finally, it's happening ☼ olirren.

J'prendrai mes responsabilités, alors. Et tu prendrais les tiennes. Il fallait être deux pour ce genre de truc, et t'étais bien plus qu'heureuse d'être la deuxième personne, en compagnie de Warren. Ses lèvres enflammèrent chaque parcelle de peau qu'elles touchaient. Ton cou, ton épaule, ton décolleté puis tes seins. C'était à en perdre la raison, à en perdre la tête. Tu n'étais plus là, tu étais ailleurs. Dans une bulle, dans ton monde, avec Warren. Tous les deux, vous étiez intouchables. Ses baisers étaient délicieusement brûlants, une douce torture dont tu en redemanderais encore, et encore. C'était ça d'avoir le coeur plein de sentiments pour une personne ? Au final, c'n'était pas si horrible. Le coeur bat plus vite, le coeur bat plus fort, c'est tout. Et il bat pour lui. Oh oui, ton coeur battait pour lui. Oh, Olive... Tu soupires de désir sous ses caresses. L'entendre soupirer ton nom, ainsi, ne te laisse pas indifférente. Malgré toutes tes bonnes convictions, résister à Warren plus longtemps ne serait pas chose facile.. Tes fins doigts glissent le long de la ceinture de son boxer et s'y faufilent pour aller à la rencontre de ses fesses et puis.. de l'autre côté. Hmm, hmm. Un raclement de gorge vient, comme une flèche au bout aiguisé, éclater la bulle dans laquelle vous vous trouviez. Vite, tu retires tes mains et plaque ta poitrine contre le torse de Warren. Je voulais juste avertir monsieur Cooper que votre demande concernant.. vous savez quoi est prête. Je.. navrée pour le dérangement. La réceptionniste ne savait plus où se mettre et était aussi rouge que les coquelicots qui poussaient dans les champs. Elle était partie aussi vite qu'elle était arrivée, pas prête de remettre les pieds ici tant que vous n'aurez pas décarpiller sans doute. Votre demande concernant vous savez quoi ? Qu'est-ce que tu mijotes Cooper ? lui demandes-tu en éclatant de rire. Mieux valait prendre cette interruption à la rigolade. Vous commenciez à être habitués des interruptions non commanditées.

Faisais-tu ça correctement? Ça te stressait. De ne pas lui plaire, de lui déplaire à ce niveau. Tu la connais ; c'est une ravageuse, une sauvage, elle a toujours vendu du rêve à tous les hommes qu'elle rencontre et certains, voire plusieurs auront même eu la chance de partager un moment agréable en sa compagnie. Toi, tu ne voulais pas que ne soit qu'agréable. Tu voulais que ce soit parfait. Parfait pour elle, en fait. Elle est parfaite, de toute façon, ta copine. En tous points et encore plus... lorsque tu sens sa main dans ton short. Tous tes muscles se serrent, tu fermes les yeux instantanément ; c'est délicieux. Un contact agréable, quel soulagement.. Tu pousses un léger grognement que tu ne peux retenir, c'est instantané et pas du tout planifié. Tu ne t'attendais pas à une caresse si douce. Hmm, hmm. Tu rouvres les yeux, paniqué, en sursautant. Vous êtes surpris, putain. Oh... C'est l'hôtesse! Je voulais juste avertir monsieur Cooper que votre demande concernant.. vous savez quoi est prête. Je.. navrée pour le dérangement. Tu ravales un rire nerveux, tu hoches la tête sans bouger, puis tu tousses en te râclant la gorge. "Oh! Oui, merci beaucoup..." Et elle repart aussi vite qu'elle est venue. Olive se met à rire, tu te passes une main dans les cheveux ; pourquoi on vous pète toujours votre moment?! Votre demande concernant vous savez quoi ? Qu'est-ce que tu mijotes Cooper ? Tu soupires, légèrement triste. De un, car tu voulais qu'ce soit une surprise. De deux, parce que le moment était magique et... tu n'as aucune idée de ce qu'elle va décider. Sortir de l'eau? Reprendre ça une autre fois? T'es toujours en feu et ça t'mets un peu en rogne, oui... "Rien... C'était supposé être un truc romantique, pour toi... Une petite surprise... Donc tu verras tout à l'heure, d'accord?", dis-tu en la regardant avec des yeux brillants de déception et de supplication pour qu'elle ne te force pas à lui dire ce que tu avais préparé avec l'hôtesse... Merde, et faudrait que tu retournes la voir tout à l'heure, celle-là!

La réceptionniste de l'hôtel avait fait irruption dans la piscine, vous dérangeant dans ce moment parfait, pour annoncer à Warren que ce qu'il avait demandé était prêt. Tu étais soudainement intriguée, qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Tu lui avais posée la question, dans un éclat de rire. Rien... C'était supposé être un truc romantique, pour toi... Une petite surprise... Donc tu verras tout à l'heure, d'accord? Oh, non, Warren. Le romantique et toi, ça n'allait pas ensemble. Tu faisais déjà un grand pas en devenant sa copine, mais t'étais pas prête aux chandelles, au champagne et à toutes ses conneries qui vont ensemble. Et puis quoi, il avait demandé un truc romantique avant même que tu lui dises être prête pour tenter l'aventure avec lui, pourquoi ? Warren était vraiment imprévisible, sauf quand il s'agissait de retirer ton maillot de bain... Tout à l'heure, d'accord. dis-tu en te mordant la lèvre inférieure avant d'inspirer fortement. Tu n'avais pas envie, en fait. Pas envie d'un truc débordant de romantisme à en faire perdre la raison. Tu voulais juste Warren, sans blabla, sans chichi. Juste Warren. N'empêche que tu t'es planté en beauté. On n'sait pas fait dégager. Le fait qu'elle s'en aille aussi vite, j'le prends même comme une invitation à continuer.. murmures-tu avant de capturer ses lèvres tendrement. Quant à tes mains, elles étaient déjà retourner jouer avec la ceinture de son boxer..

Tout à l'heure, d'accord. Ouf. Elle ne te supplie pas, elle ne te fais pas des beaux yeux, ni au contraire elle ne t'lance pas un regard bourré de reproches et boudeur, rien que pour te forcer à lui dire ce que tu avais bien pu lui préparer, rien que pour elle. Car tout le monde sait que tu aurais cédé et que tu lui aurais dit. Quoique... Tu t'améliores, tu résistes de plus en plus. Tu t'y es habitué, faut croire. N'empêche que tu t'es planté en beauté. On n'sait pas fait dégager. Le fait qu'elle s'en aille aussi vite, j'le prends même comme une invitation à continuer.. Était-elle sérieuse? Tu plonges ton regard dans le sien, et tu te rends compte qu'elle ne peut pas être bien plus sérieuse que ça. Surtout que ses mains, qui reprennent l'activité dans laquelle elles ont été interrompues tout à l'heure, te prouvent qu'elle est très sérieuse... Tu te mords l'intérieur de la joue, avant de lui dire, d'une faible voix : "Olive Bambi Shark, tu en as vraiment envie?", demandes-tu, bien que tu saches déjà la réponse. C'était plutôt évident. Et toi aussi, c'était évident... Pas besoin de la tête à Papineau pour remarquer la bosse dans ton boxer... Tu fermes de nouveau les yeux en appréciant ce contact, mais tu la détestes pour la sensibilité et l'agréable sensation que ça te procure. Tu penches la tête, de sorte à caresser de nouveau son cou de tes lèvres, à l'embrasser, tout ça.. C'tait pour la voir apprécier, mais aussi pour te concentrer sur autre chose que simplement sur sa main qui s'trouvait dans un endroit... indécent. Tes mains, elles, prennent ses épaules doucement et l'éloignent de toi. Elles se posent ensuite sur sa poitrine, sur ses deux magnifiques seins, que tu palpes avec délicatesse, mais avec fermeté. Tu viens souffler à son oreille, sans oublier de mordre gentiment le lobe au passage : "Il faut bien les cacher, surtout... Si on venait à se faire prendre de nouveau..". C'était dit avec une pointe de malice dans la voix, elle sentait probablement ton envie par ta voix rauque et quelque peu différente de d'habitude. Tu ne la voulais qu'elle, plus qu'Olive. C'est le centre de ton monde, de ton univers, et aujourd'hui, vous allez monter au septième ciel ensemble..

Olive Bambi Shark, tu en as vraiment envie? Ta tête criait non, ton corps hurlait oui. Une fois encore, Cooper te mettait dans un doute intérieur. Il était si doué pour ça, le Warren. En avoir envie, et le faire, avec lui, ce n'était pas vraiment replonger, pas vrai ? C'était ton copain, ce n'était pas n'importe qui, rencontré dans un bar, dans un club, dans la rue.. Et puis, tu en avais tellement envie. Depuis des mois, depuis le jour où tu l'avais rencontré, en fait. Un Warren pas encore amoureux, un Warren chiant au sourire ravageur. Le seul gars qui n'marchait pas dans ton sens, qui te tenait tête. Le seul gars qui avait réussi à viser ton coeur et l'obtenir. Alors est-ce que tu en avais vraiment envie, avec lui ? Comme tu ne peux l'imaginer, Jay Warren Cooper. murmures-tu les yeux clos. La petite conscience qui traînait dans ta tête t'avais déjà tourné le dos, te répétant à quel point tu étais faible. Tu t'en foutais. Warren t'obsédais et tu l'assumais enfin. Tu le caressais là du bout des doigts tandis que lui s'occupait à merveille de toi, de ton corps, de tes seins. Ils étaient bien, là, entre ses doigts experts. Les tiens, pas ceux d'une autre. Et se serait toujours comme ça. Il faut bien les cacher, surtout... Si on venait à se faire prendre de nouveau.. Tu frissonnes sous la sensation de ses dents sur ton oreille et sourit inlassablement suite à ses paroles. Je peux toujours remettre le maillot si tu as vraiment peur que quelqu'un d'autre ne les vois.. dis-tu le regard pétillant, un brin de malice dans les yeux. Ta main change d'allure dans son boxer. Oh d'ailleurs, combien il te gênait ce morceau d'tissus détrempé. Du bout des doigts, tu le fais glisser le long de ses cuisses agréablement musclées et t'aide de tes pieds pour le lui retirer avant qu'il ne remonte flotter à la surface de l'eau. Nu comme un ver, Cooper. souffles-tu, un sourire sur le coin des lèvres, tandis que ta main continuait de s'occuper de lui avec, maintenant, plus d'aisance.

Comme tu ne peux l'imaginer, Jay Warren Cooper. Un sourire ravi se dessine sur tes lèvres. Tu as le visage rayonnant de bonheur et tu ne t'en caches pas. Le plaisir a aussi sa place sur tes traits, tu ne peux le retenir. Elle sait sacrément y faire, la Olive. Dans cette eau pourtant fraîche, tu avais cette impression d'être chaud, de bouillir de l'intérieur, de ne pas pouvoir contenir à présent cette envie, cette tentation qui faisait rage en toi depuis si longtemps déjà allait te faire littéralement exploser. Tu t'abandonnes dans ses bras, ou plutôt à ses mains, c'est parfait, c'est divin, et tu ne cherches désespérément qu'à lui rendre la pareille, rien de plus. Je peux toujours remettre le maillot si tu as vraiment peur que quelqu'un d'autre ne les vois.. Tu ris, relevant ton visage pour la regarder et voir ses yeux, avant de secouer la tête de gauche à droite, démontrant ainsi ton refus catégorique de cette proposition. "J'en ai pas très envie..", dis-tu, pour la convaincre de rester dans cet accoutrement. Un joli accoutrement qui te vendait du rêve, oui. Tu aides Olive à te débarrasser de ton maillot, qui flotte maintenant au-dessus de l'eau. Nu comme un ver, Cooper. En effet, elle est perspicace, celle-là. Tu rigoles en regardant entre vos deux corps, baissant la tête. Tes yeux rencontrent d'abord sa poitrine que tu tiens entre tes mains, puis ensuite ton intimité et la sienne...recouverte toujours par son propre maillot. "Mais pas toi, Shark.", remarques-tu, amusé. Alors, sans un mot de plus, tu lâches sa poitrine afin qu'elle se retrouve dans le même habit que toi : en Adam et en Ève, c'est parfait ça, non? Tu l'observes un instant, sans jamais quitter ses yeux du regard, ta main se faufile jusqu'à son bas de maillot, que tu prends entre deux doigts experts et que tu tires vers le bas. T'aurais eu une idée un peu plus coquine que malheureusement tu n'as pas mis à exécution : vous avez bien le temps encore pour faire les fous, pas vrai? "Maintenant, c'est parfait." Tu glisses ton bras dans le bas de son dos, l'entourant ainsi, et tu la rapproches d'un coup contre toi, contre ton torse, contre ton corps tout entier, nu. Le sien l'est aussi et... c'est loin d'être pour t'aider, mais tu apprécies. Encore une fois, tu fermes les yeux et... tu apprécies.

J'en ai pas très envie.. En même temps, il faudrait être fou pour en avoir envie. Mais Warren n'était-il pas la folie incarné ? Non, bien heureusement. Tu aimais à être là, presque nue, offerte à ses mains, à son corps que tu avais rendu nu en une petite fraction de seconde. T'étais douée pour, faut croire. Mais pas toi, Shark. Non, toi tu avais encore le bas de ton maillot de bain. Mais pour combien de temps ? Alors que ses doigts agiles s'occupaient déjà de ça, tu ne cessait d'te répéter ses mots. En avais-tu vraiment envie ? Ne serait-ce pas différent, avec Warren ? Tu voulais rendre ce moment parfait, unique. T'avais l'impression d'te foutre trop la pression, comme si c'était la première fois. D'ailleurs, tu tremblais, comme la première fois. Ton coeur était sur le point d'exploser et ça, ça ne t'était pas arrivé la première fois, ni aucune fois après d'ailleurs. Maintenant, c'est parfait. Ses bras musclés, ses bras de sportifs, t'attirent contre lui, contre lui. Tu trembles, tu as chaud, tu as envie de lui, et c'est un véritable supplice. Vos intimités se cherchent, se rencontrent pour la première fois et se mettent à danser l'une contre l'autre. La merveilleuse danse de l'amour. Tu plonges la tête dans le cou de Warren et soupire de plaisir. Tes mains agrippent son dos à défaut d'autre support. C'est affreux, c'est un supplice, un doux supplice, une délectation, c'est exquis. Ta tête ne sait plus quoi penser, elle ne pense plus qu'à vous deux, ensemble. C'est une sensation nouvelle que tu ressens là, dans ton bas ventre, et c'est délicieux. Warren.. grognes-tu contre sa joue, la marquant de mille et uns baisers.

Y arriveriez-vous, un jour, à ne faire plus qu'une seule et même personne? Vous cherchiez, vous vous cherchiez tout les deux, mais chaque fois, vous étiez interrompus par quelqu'un ou quelque chose. Mais là, non. Aucune interruption, à l'exception de l'hôtesse qui était pourtant partie aussi vite qu'elle était arrivée sans vous tenir rigueur du manque de décence dont vous faisiez preuve en pleine piscine publique. N'importe qui d'autre aurait pu se pointer à tout moment et pourtant... La chance, ou le ciel ou peu importe quoi d'autre faisait en sorte de vous laisser un petit moment, votre petit moment de bonheur à tous les deux. Enfin. Tu prenais ton temps, tu voulais que ce soit parfait et en caressant ta copine, tu la sentais trembler sous tes doigts. Encore plus maintenant que vous étiez complètement nus tous les deux. "Ça va...mon amour?" Tu ne l'avais jamais appelée comme ça. Tu ne savais même pas si elle aimerait ça. Au pire, elle te le ferait savoir, mais sur le coup, c'tait venu, comme ça. Tu voulais qu'elle soit bien, qu'elle n'ait pas peur, qu'elle en ait envie. Et puis le moment se déroula d'un coup, pas de complications, pas d'hésitation. Enfin, vous ne faisiez plus qu'un. Ce n'était pas une baise avec n'importe qui, c'était le début d'un amour véritable, et votre amour, vous le dansiez ensemble. C'était parfait, c'était le comble du bonheur, c'était magique. Tu laissas Olive t'aggriper dans le dos et plonger sa tête dans le creux de ton cou. Tu en fais de même, attrapant ses fesses pour te retenir, pour vous aider dans l'action. Warren.. Tu grognes, soupires, tu te sens si bien, c'est divin. Au début, tu prends ton temps, tu y mets toute la douceur possible, comme si oui, c'était sa première fois et que tu cherchais à ne lui faire sentir aucun mal. Mais tu accélères un peu, rien que pour vous faire apprécier un peu plus, pour qu'elle y prenne plaisir. Toi, en tout cas, c'était délicieux, et tu en redemanderais encore et toujours, si tu l'pouvais. Tu ne pouvais pas parler, tu ne pouvais que la caresser du bout des doigts d'une main libre, par moments, rien que pour accentuer le tout. Quelle passion...!

Ça va...mon amour? Mon amour. Mon amour. Non, ça n'allait pas, ça. C'était trop, beaucoup trop pour toi. Olive, Livette à la limite, Princesse passait encore.. mais mon amour, tu n'étais pas prête. C'était comme le romantisme, t'étais pas tout à fait prête pour ça. Pas du tout, même. Oui.. Juste, ne m'appelle pas comme ça, s'il te plait. dis-tu les dents serrés, embêtée de devoir interrompre le moment ne serrait-ce que quelques secondes pour lui dire ça. Et puis la machine s'était lancée. D'abord doucement, puis intensément. Tu t'imbibes de chaque soupire de Warren, de chaque mouvement de son bassin, de chacun des battements de son coeur. C'était ça, faire l'amour avec l'être aimé ? C'était remarquable, c'était mieux que toutes les autres fois. C'était mieux que ta première fois, il y a sept ans. C'était mieux que ce que tu avais pu imaginé, et pourtant dieu sait que tu avais de l'imagination quand tu voulais. L'entendre, le sentir frémir contre toi, en toi.. tout ça te rendait un peu plus folle, un peu plus au bord de l'explosion. T'allais t'évader, là, dans cette piscine, dans les bras du merveilleux Warren. Ton Warren. Ce n'était plus qu'une question de temps.. Oh, Warren.. ronronnes-tu une dernières fois, éclatant dans ses bras, prises de spasmes en tout genre. Ton corps ne répondait plus qu'au désir que Warren lui offrait. T'étais partie, tout droit dans l'septième ciel. Un allez simple, tu ne voulais pas en revenir, tu voulais restée là, abandonnée aux bras de Warren. Il t'aimait, tu l'aimais. vous étiez parfaits.

Oui.. Juste, ne m'appelle pas comme ça, s'il te plait. Tu aurais dû t'en douter. Ne pas l'appeler ainsi, elle n'apprécierait pas. Déjà que... si tu avais su que les fleurs seraient de trop, tu ne lui en aurait pas commandé. Enfin, tu verrais bien sa réaction, mais impossible de la prévoir à l'avance. Olive, c'est Olive et bien que tu parviennes à la comprendre par moments, c'est presque impossible et ça te désespère, parfois. "Désolé..." Encore une fois, tu t'excuses. Parfois, tu ne te sens pas à la hauteur, comme si tu sentais que tu ne correspondais pas, ou que tu ne répondais pas aux attentes et aux critères d'Olive. En avait-elle? Ou réagissait-elle seulement ainsi, tout simplement face à l'amour? S'y habituerait-elle? Pourtant, elle semble rapidement omettre ce détail et il n'y a plus que votre union à tous les deux, de vos deux corps, qui compte. Il n'y a plus que ce plaisir grandissant, cette sensation exquise et intense de bonheur, vos deux corps qui ne font qu'un, tes caresses sur son corps. Oh, Warren.. Et c'est l'atteinte suprême du plaisir. Elle explose dans tes bras, et tu ne peux te retenir bien longtemps, c'est délicieusement bon, agréable. Tu pousses un grognement, montrant c'que tu ressens, comment tu te sens à l'instant où vous grimpez ensemble au septième ciel. Tu serres Olive un peu plus contre toi pour profiter un dernier moment de cette magie, puis tout retombe. Doucement, mais agréablement. Sans un mot, tu reviens chercher ses lèvres, signe que tu as apprécié cette passion partagée, et c'est avec fougue et amour encore que tu l'embrasses. C'est tout simple, mais si parfait. "C'que t'es belle.. C'était magique.", souffles-tu en passant une main dans sa crinière blonde. Pourtant, y'a comme un moment de panique qui s'empare de toi, et regardant ta petite-amie un peu trop sérieusement, tu demandes, gêné, et pourtant légèrement stressé : "Tu prends la pilule, n'est-ce pas?" Parce que non, vous n'aviez pas vraiment réfléchi à ça, et que ça s'était fait comme ça donc... pas de protection pour toi, hein!