KENYA ❀ Roller bougie baby

] C'est la passion mon amour lui dis-je avec un petit clin d'oeil. Je regardais sa lèvre qui n'avait presque rien, il saignait juste un petit peu ... Non t'as presque rien dis dis-je en haussant une épaule. Oui, je n'allais pas lui dire qu'il m'avait fait pas mal de confidence. Si je suis aussi bonne que ça pourquoi tu viens pas me gouter oui parce que je n'avais pas envie de rester avec du chocolat en rouge à lèvre et autour du nombril. Je voulais lui changer les idées, je pensais réellement que ça allait marcher, mais apparemment, sa curiosité était plus forte que mon corps tartiné de chocolat. Dur.  Tu m'as juste dis d'ailleurs devant ta mère que si tu pouvais me faire l'amour tous le temps tu le ferais, que tu voulais mettre ta lave en moi ... tu m'as aussi dis que ton volcan était éveillé le matin et que j'en profiterai par sms   Dis -je en le regardant s'agiter.  Allez viens là ... regardes j'ai plein de chocolat dis-je en tentant de l'attirer vers moi, je voulais plus de question sur cette soirée, je voulais pas le rendre mal à l'aise et j'étais heureuse de savoir ça, sans qu'il le sache pour profiter pleinement de cette satisfaction. La prochaine fois qu'il tenterait de me faire réagir, au fond, je saurai que c'est faux.

J'avais dis ça devant ma mère, j'étais plus choqué de l'apprendre plutôt que de savoir ce qu'elle avait pu dire. "Mon dieu, elle doit me prendre pour un pervers." Dis-je en regardant Anastasiya. "Oh non…" Je m'agitais, j'étais calmé là, je ne bougeais pas vraiment quand Anya m'attirait vers elle. "J'ai été pervers à haute voix, je vais pas te lécher le nombril." Ouais attend j'étais totalement choqué, comment j'avais pu être sans gêne comme ça, ça me ressemblait pas du tout. Je faisais toujours des gros yeux quand je passais mon index sur son ventre pour lécher le chocolat autour, bon très bien, j'avais envie de profiter de sa peau qui s'offrait à moi je reconnais. "J'ai du être affreux hier soir." Je déposais un bisou sur son ventre comme pour m'excuser d'un comportement que je ne me souvenais pas du tout. J'étais nul, je me sentais nul à un point que personne ne pouvait s'imaginer. Les yeux rivés sur Anya, je l'embrassais délicatement. "En plus je dois reprendre les médicaments, tu devrais pas rester si je te fais toujours des avances." J'espérais ne pas être trop lourd, je faisais un peu la tête, faut dire que j'aimais avoir une bonne image et là comment vous dire que je passais pour un mort de faim. Prenant mon chocolat chaud, je le buvais avant de me lever en béquille pour prendre un verre d'eau. "Manuela bosse aujourd'hui?"

Okay je pensais pas que ça le gênerait autant.  Si elle te prend pour un pervers ? Ta mère nous a donné des conseils lorsque j'étais enceinte, sur comment je devais me poser à cause de mon ventre  non il n'était pas passé pour un pervers, enfin pas devant sa mère.  Elle a rien dit , elle a souris dis-je en haussant une épaule, j'attendais qu'il vienne m'enlever cette chose que j'avais sur la peau.  Mais Kenny ... une moue sur les lèvres, je souriais tout de même en le voyant flancher petit à petit. Son doigt, puis ses lèvres contre mon ventre.  T'as été le le plus merveilleux des maris  Oui, il avait été merveilleux. Il m'enlevait ensuite le nutella que j'avais sur les lèvres en m'embrassant, je retenais son visage près de mon visage pour plonger mon regard dans le sien.  Tu m'as aussi dit que j'étais ta plus belle réussite, que m'aimer avait été le meilleur choix que ton coeur ai pu faire  Mon regard était posé sur ses lèvres lorsque je lui disais cela, jusqu'à ce que je plonge mes yeux dans les siens. a croire que nos coeurs son raccord  je lui volais un nouveau baiser, rapide cette fois ci  Non, elle bosse pas, on est dimanche, mais je vais m'occuper de toi je me levais à mon tour, débarrassant un peu la table afin de le rejoindre dans la cuisine. Tu crois que je vais fuir parce que tu me fais des avances .. tu rêves mon vieux dis-je en tapotant sur sa joue. Alessia commençait à se réveiller, je montais pour aller la chercher, la changer aussi.  Les paillettes et les papillons des princesses... c'est vraiment une légende c'est après que la miss fut toute propre, que nous descendions rejoindre le papa.  Regardes c'est qui qui est là  je montrais Kenny à Alessia, elle baillait un peu en se jetant dans les airs, en direction de son papa.  Je crois qu'elle veut son papa  je donnais Alessia à Kenny, une fois qu'il fut installe sur un des tabouret de la cuisine, rapprochant un autre pour qu'il puisse allonger sa jambe.

J'avais céder, faut dire qu'Anya avait des sacrés arguments pour elle mais dans ma tête je repensais à ce que j'avais pu dire, ma mère ne me prenait pas pour un pervers mais je suis sur qu'elle pensait que je devais mieux me comporter, je la connaissais, on avait été éduqué dans la tradition anglaise, bien éduqué, pas parler de sexe en dehors du cercle familiale et encore moins faire de grosses démonstrations en public, je m'étais toujours abstenu d'ailleurs de ploter Anya et c'était pas l'envie qui me manquait. Après le baiser, je la regardais, je rougissais à ce que j'avais pu dire, c'était très personnel, une déclaration dit avec le cœur, Anya avait l'air touchée et moi au début gêné puis curieux, si j'avais pu dire ça alors c'est que j'avais parlé beaucoup plus. "On est âme sœur je te l'ai dis." Chuchotais-je encore proche de ses lèvres, je lui volais un baiser à mon tour pour me lever ensuite. "Mais si j'ai dis tout ça, ça veux dire que j'ai plus parlé… Tu me cacherai pas un truc?" Sauf qu'en déambulant en boxer dans la maison et assez en forme, je pensais à Manuela qui pouvait me voir ainsi. "Donc je peux rester comme ça, tant mieux j'ai la flemme de m'habiller, c'est compliqué avec ma jambe." Lâchais-je en prenant un verre d'eau, je buvais pour faire passer les 4 comprimés. "Hum…" commençais-je avant de reprendre. "C'est bon à savoir ça…" sifflotais-je en riant, j'allais lui faire des avances enfin de nouvelle quand Alessia se réveillait. "Je confirme, regarde, moi j'ai toujours cru que tu faisais ça pourtant la dernière fois… J'ai cru mourir d'asphyxie." Je lui tirais la langue, rieur. Alessia et Anya arrivait tandis que je me mettais sur mon siège derrière le comptoir. "Coucou !" dis-je en faisant un signe à Alessia qui se jetait dans les airs, énorme. Je riais, je la prenais contre moi tendrement. "Et son papa veux sa princesse. Bonjour mon amour… Oh tu es toute fatiguée." Anya me donnait un autre siège pour ma jambe, je la remerciais du regard alors qu'Alessia posait ses mains partout sur mon visage. Adorable, les deux. "Ou…" j'essayais de parler en vain alors je lui faisais une attaque de bisou de partout. Elle riait, encore et encore, je la chatouillais encore de ma bouche sur son ventre avant de la laisser. "Papa est le plus fort !" dis-je en hochant la tête. "ça serait bien que tu dodo toute l'après-midi, maman doit s'occuper de papa." Coquin, très coquin, je regardais Anya.

 Oui oui tu peux rester comme ça, moi en tout cas, ça me dérange pas  dis-je en lui faisant un clin d'oeil. J'étais en haut, avec notre fille qui venait de se réveiller.  Kenny, arrêtes de m'écouter dans le babyphone et moi je connais le désodorisant contrairement à toi  dis-je en éteignant le babyphone qui nous servait de radio. Je descendais avec Alessia dans les bras qui se jetait dans les airs pour aller contre son papa. En attendant, pour ma part, je préparais le biberon de la demoiselle, en jetant quelque coup d'oeil pour les regarder tous les deux. J'aimais les voir ensemble, c'était si beau. Les deux êtres que j'aimai le plus au monde. Je prenais Alessia dans mes bras pour lui donner le biberon. Je la regardais, elle plongeait son regard dans le mien tout en buvant son biberon assez goulûment. Tel père, telle fille. Ah oui ? Toute l'après midi ? demandais-je en me tournant vers Kenny, un sourcil arqué. Pise, pise, pise  criais-je en cachant les yeux d'Alessia et en regardant Kenny, un peu plus bas. J'éclatais de rire en tournant sur moi, mettant Alessia dos à l'homme de la maison.

"Mais je m'ennui." Dis-je dans le babyphone. Je restais à la cuisine, je prenais mes cachets en mangeant une pomme, c'était le fruit le plus proche de moi, je mangeais donc ce qui avait. Alessia et Anya ne tardaient pas à venir me rejoindre, mon bébé me réclamait et bien sur que j'allais la prendre dans mes bras. Je souriais, je jouais avec elle, chatouille et autres bisous quand son attention était détourné. Le biberon. "Toute l'après-midi oui." J'haussais deux fois de suite les sourcils, coquins et charmeurs. "Quoi?" Elle criait, prenait Alessia, cachait même ses yeux, je me regardais avant de mettre mes mains devant mon boxer. "Merde, ta faute aussi depuis quand on se balade en débardeur et culotte." Je me levais difficilement, mon genou me faisait un mal de chien, je manquais même de trébucher alors que j'allais sur le canapé me recouvrir. "Ce bébé dort jamais." Ça m'avait mit de mauvaise humeur, je m'allongeais sur le canapé, je fermais les yeux, avoir un autre enfant c'était de la folie car par égoïsme total je voulais Anya à moi seul. La sonnerie de la maison se faisait entendre. Ma mère, bien sur qu'elle viendrait, son fils était blessé et il avait mal, maman poule arrivait.

J'éclatais de rire en regardant Kenny, tournant Alessia afin qu'elle ne puisse pas voir son père comme ça. Depuis que mon mari m'a demandé de me dépêcher de me lever  lui dis-je en haussant une épaule. Je le regardais aller sur le canapé, je grimaçais légèrement en voyant qu'il manquait de tomber. Elle vient à peine de se réveiller  je secouais la tête, ce n'était pas de la faute d'Alessia. Je caressais sa tête, elle regardait autour d'elle, un peu perplexe enfin, j'imaginais, même si je n'étais pas certaine qu'un bébé puisse être perplexe. La sonnette sonnait, je regardais Kenny, passant devant lui pour aller vers la porte. C'est qui ? j'ouvrais la porte quand je tombais nez à nez avec ma belle mère. Bordel de merde, pourquoi diable n'avais-je pas fait ce qu'on m'avait dit depuis petite. Ne jamais ouvrir la porte à des inconnus. Je la laissais entrer après lui avoir fait la bise.  Je suis désolé .. on vient de se lever... oui il est sur le canapé je claquais la porte, faisant les gros yeux derrière ma belle mère en direction de Kenny.  Vous voulez un café ? Il en reste dans la cafetière italienne dis-je en me mordillant la lèvre pour ne pas rire, regardant Kenny avec un sourire angélique. Puis lorsque ma belle mère allait pour se lever, je fis l'effort d'y aller, par respect pour la mère de mon époux. Je lui donnais Alessia, afin d'aller lui servir un café, prenant une petite bouteille d'eau pour Kenny et finalement aller me poser sur le canapé. Le petit oiseau venait de se poser délicatement sur la branche de l'arbre.

"Ouais bien dodo c'est pas l'heure pour les bébés !" Je la regardais avant de rire, la sonnerie me sortait des bêtises que je pouvais dire, Alessia dans les bras de sa mère me regardait en riant, elle riait pour rien je le savais déjà mais encore plus maintenant. "Je sais pas, un démarcheur peut être." Je voulais me lever après avoir mit la couverture autour de ma taille seulement quand je voyais ma mère je me laissais tomber en arrière, pas la peine. "C'est pas grave, je sais que je passe tôt, je voulais juste savoir comment il allait et toi aussi, tu t'en sors?" Elle avait l'air plus inquiet pour Anya, un peu étrange d'ailleurs. "Non non ne t'embête pas Anya, j'en ai déjà pris un merci." Ma mère arrivait, passait sa main sur ma tête qui me faisait me crisper, je détestais ça encore Anya ça passait, j'appréciais même mais pas elle, ça me faisait rappeler la maladie, ma cicatrice sur mon crâne, les fois ou j'avais vu ma mère en larme. "Comment tu te sens mon chéri, ça va?" Alessia sur mes genoux, je regardais ma mère. "Oui maman, tu sais je me suis juste fait une entorse." Anya venait à mes cotés, je lui donnais bébé intrigué par la petite bosse qu'elle avait senti sous ses fesses, elle avait commencé à taper dessus comme pour aplatir parce que ça la dérangeait. "Je sais mais je me souviens quand tu étais en convalescence à cause de ton genou, tu as beaucoup souffert." Je bougeais un peu en voyant Anya en culotte, j'étais chaud, chaud et je voyais une brèche. "Oui là aussi j'ai beaucoup de douleur quand je bouge et tout puis des migraines… Alessia pleure en plus…" Mensonge. J'allais m'en débarrasser juste deux ou trois heures jusqu'à ce que je me rende compte que j'étais un mauvais père, je faisais comme le mien, je voulais pas de mes enfants, je baissais la tête d'ailleurs un peu, je me sentais coupable. "Je peux la prendre si vous voulez, deux ou trois heures cet après-midi." Anya était décidément meilleur que moi, elle n'aurait jamais fais ça.

C'était tout simplement la mère de mon mari qui était à la porte. Ma belle mère. C'est après lui avoir ouvert la porte que j'allais dans le salon, rejoindre ma petite famille. Alessia dans les bras, je la berce doucement , avec douceur en chuchotant une petite chanson, tout en regardant faire la brune avec son fils. Je sais bien qu'il n'aime pas qu'on lui touche les cheveux, qu'il n'aime pas qu'on lui caresse la tête, mise à part lorsque c'est moi. J'en ai seule le privilège. Finalement, je me posai près de mon cher et tendre, peut être qu'inconsciemment je voulais faire paravant. Il était de plus en plus désagréable avec sa génitrice d'ailleurs, quoi qu'en cet instant, c'est peut être à cause des médicaments, comme hier.Je lui reprenais Alessia des genoux, elle s'agitait pour je ne sais quoi d'ailleurs, piqué à vif, j'interrogeai Kenny du regard jusqu'à ce que monsieur nous serve son plus grand jeu d'acteur, par contre le coup des migraines, je me posai quand même la question. Je t'ai porté une bouteille d'eau ... tu dois avoir tes cachets par là ... je me penchai en tenant bien Alessia contre moi pour chercher la boite de médicament, que j'avais un peu de mal à trouver au départ.   Si Kenny a mal, oui, je viendrai la chercher, je vais lui préparer ses affaires et la changer je me levais, prenant Alessia avec moi, laissant ainsi, mère et fils en intimité.

Alessia m'avait fait mal. Elle avait de la force la petite, je regardais Anastasiya puis en bas pour lui faire comprendre ce qui avait eu mais ma mère me prenait a part. Je ne sais pas ce qui m'arrivait elle m'agaçait. Elle venait comme ça pour moi, c'était mignon mais j'avais envie de me retrouver avec Anya, Alessia aussi seulement la seconde d'après avoir vu la tenue de mon épouse j'avais une folle envie de lui arracher. J'avais des yeux pétillants alors le jeu d'acteur se mettait en route attention action. "Attend n'amour." Je l'aidais, ma mère caressait ma tête. La je détestais, je fronçais les sourcils en buvant l'eau et le médicament, honnêtement j'avais un peu mal au crâne, je crois que les antidouleurs étaient tellement fort qu'il me procurait des effets indésirables. Anya acceptait, elle partait faire les affaires de la petite et je culpabilisais. J'étais un mauvais papa et un mauvais fils aussi même si ma mère était bien heureuse d'avoir la petite avec elle, une vraie enfant elle me disait qu'elle allait voir un film et tout un vrai programme. "Couche-la tôt quand même." Dis-je en toussotant un peu. "Elle est souvent ronchonne vers 16h." Comme moi en ce moment. J'attendais Anya en plus, j'aimais pas être seule avec ma mère les médicaments étaient vraiment fort. J'étais sur les nerfs, y avait que mon épouse qui savait m'apaiser. "N'amour." Soulagé quand je la voyais redescendre avec Alessia en petit manteau. "Oh ma puce elle est trop belle !!!" M'écrivais-je en la voyant avec son bonnet. "T'es super belle, viens voir papa." Je la prenais pour la couvrir de bisous. "C'est la plus belle, mon cœur, papa t'aime beaucoup trop !" Lançais-je en la serrant bien fort. Je voulais plus la lâcher. "Allez Kenny donne la si tu veux pas qu'elle soit super triste apres, elle pleure souvent sans toi." Mes yeux brillaient d'amour pour Alessia, une révélation qui me touchait, moi qui pensait qu'Anya était la seule et unique personne que ma fille aimait.