KENYA+Teddy l'ourson ♥ You're like a drug that's killing me

"ça t'énerve hein !" dis-je en souriant. "Ma fille, je peux dire, mon studio, mon entreprise… hum… Ma femme !" Je la regardais droit dans les yeux, je l'embêtais tout simplement et elle se saoulait. Ok. Je le prenais pas mal, c'était des mots comme ça, au fond je savais que c'était bien nos biens à tous les deux même si les voitures que j'avais, j'aimais savoir qu'elle m'appartenait rien qu'à moi, mes bébés comme Anya avait ses chaussures. Une chose entrainant une autre, je lui proposais de venir avec moi demain, bon ça allait tout casser mais je lui avais dis qu'on ne se cacherait plus rien et je voulais opter pour la transparence. "J'ai les résultats d'IRM, j'ai envie que tu sois là…" J'avais un peu honte sauf que moi j'allais pas fuir, je me sentais juste plus faible qu'elle et je pense que j'avais raison. Le coup du surnom passait, elle m'appelait même avec un autre. Oh ! je fondais, c'était la première fois qu'elle disait ça, ça rendait la situation encore plus mignonne, plus romantique mais par contre je voyais pas du tout son attaque pour m'embrasser alors que je la prenais dans mes bras. "Je pourrais m'y habituer rapidement au surnom je crois…" dis-je un brin rêveur. On allait dans ma chambre, je déposais Anya sur le lit, une Anya pas très contente, elle voulait parler, qu'on se retrouve. "Oui on va discuter juste que j'ai juste envie de me glisser dans le lit avec toi, le canapé me rappelle des souvenirs pas très agréable de ces derniers jours…" dis-je en la regardant. "J'ai pas dormi ici, c'est notre chambre et sans toi bien je m'endormais souvent devant la télé très tard… Enfin !" Je retirais mes chaussettes pour lui sortir un haut de mon armoire histoire qu'elle ne prenne pas froid ensuite.

Je ne savais pas qu'il devait avoir des résultats, je ne savais même pas qu'il avait fait un IRM d'ailleurs. Oui je vais venir . J'hochais la tête, avec un sourire sur le visage. Je m'étais promis de ne plus lui montrer lorsque je m'inquiétai pour la simple raison que c'était à cause de cela qu'il s'était tourné vers la boisson, qu'il n'était pas venu me voir et que finalement nous nous étions disputés. Alors, j'allais être forte comme d'habitude. Je ne lui montrerais plus rien. Plus mes peurs. Arrêtes, il me semble que par moment un Bébé m'échappe ... C'est juste ton puce des bois, puce du dessert et j'en passe qui me sort par les yeux oh oui, ça me choquais même d'entendre ce genre de chose. Même si ce n'était plus la première fois. Tandis que j'allais pour l'embrasser, il me soulevait dans ses bras pour me porter au lit. Et un vent, un ! Je me laissais tomber en soupirant, je n'avais pas envie de dormir, je n'étais pas fatigué, j'avais encore de l'alcool dans le sang, j'étais heureuse. NOTRE CHAMBRE ? Hey t'es sûre que tu vas bien ?  je posais ma main sur son front, avec un grand sourire faisant référence à ce qu'il avait pu me dire tout à l'heure. Oui c'était quelque chose qui m'énervait parce que depuis que nous étions ensemble, dans une relation solide, je partageai tout ce que j'avais avec lui. Après qu'il m'ait donné un haut, j'enlevais ma robe et mon soutient gorge pour mettre son tee-shirt. Metallica ? C'était ta période rebelle ? Un peu dark de ton adolescence ?   je regardais le tee-shirt en faisant un noeud juste en dessous de ma poitrine pour avoir moins chaud. Donc t'as joué à ces jeux vidéos pendant ces quelques jours ? Parce que moi je crois avoir lu tout les livres inimaginable, avoir regarder toutes les émissions les plus idiotes qu'il puisse exister à la télé et tu sais quoi, Alessia n'aura pas de télé dans sa chambre, tu sais un peu le genre de publicité qu'il passe à partir d'une heure du matin à la télé ?

Un t-shirt Metallica, il était beau, oui je le mettais encore de temps en temps à presque 27 ans. "Il est beau ce t-shirt, tu sais pas apprécier la bonne musique c'est tout !" Je la regardais dans sa tenue, sa robe ne c'était pas bloqué, signe du destin? Oui je commençais à penser que c'était notre face de réconciliation, tellement que je me confiais sur ce que j'avais pu faire. J'hochais la tête quant elle disait que j'avais joué aux jeux vidéos, ouais j'avais été à la boutique et j'avais pris 5 jeux je crois, j'étais retourné dans la période déprimé et ados que j'avais pu avoir à un moment donné. "Ah ouais je vois de quoi tu parles !" riais-je en tendant les bras vers elle pour qu'elle se mette à califourchon sur moi. "Je pense que d'ailleurs on devrait voir ce sujet tu crois pas ?" Je lui dégageais une mèche derrière son oreille, je caressais sa joue puis ma main glissait sur sa nuque pour l'embrasser enfin. Doux, rapide un peu, je regardais ses yeux avant de reprendre ses lèvres une dernière fois dans un baiser plus langoureux, il me consumait sur place, cette sensation je l'avais presque oublié, c'était tellement bon, tellement divin, ça me remplissait de joie alors que mon autre main était dans son dos, la plaquant plus contre moi. A bout de souffle, je rompais le baiser. "Parler tu voulais qu'on discute…" murmurais-je complètement troublé. Je me raclais la gorge alors que j'appuyais mon dos contre le mur laissant mes mains glisser le long de sa silhouette, j'avais cruellement envie d'elle, son petit nœud sur son ventre, son bas que je voulais faire sauter en quelques secondes, je pense ce n'était quand même pas prudent, qu'on devait prendre du temps tous les deux surtout que je baillais un peu. "Alessia me manque... J'ai faillis aller chez nous pour la voir mais Manuela m'a dit que tu allais pas en cours et vu que je pensais que tu ne voulais pas me voir, je suis pas allé! J'ai pris sur moi pour ne pas t'envoyer de SMS sérieux partir comme ça ok mais pas faire la morte..."

Je sais pas apprécier la bonne musique ?  et là je me m'y face à mon mari, en mode air guitar en secouant mes cheveux. Oui j'allais pas crier, prendre des voix bizarres et lui faire peur maintenant. Oui je connaissais ce groupe, puis ce n'était pas toujours des cris comme tous le monde pouvait le penser. Les morceaux de guitare étaient juste extraordinaire, sans parler de la batterie. Je poussais Kenny en me mettant au dessus de lui, la main sur son torse. J'ai eu ma période aussi et si tu regardes bien dans mon armoire j'ai encore quelques tee-shirt dis-je avec un petit sourire. Je le regardais un instant dans les yeux. On apprenait encore des choses l'un sur l'autre. C'était beau. Les solos de guitares sont juste exceptionnels ajoutais-je en lui faisant un clin d'oeil avant de me remettre à place, comme ci tout ceci n'avait pas exister. Je fus surprise qu'il m'entraine sur lui. Il voulait qu'on voit le sujet pub oléolé.  Non mais je rigole pas, pas de télé .. et je n'eu pas le temps qu'il m'embrassait. Je souriais. Je me laissais totalement faire, tandis que mes deux mains se posaient sur ses joues s'engouffraient à l'intérieur de sa chevelure au fur et à mesure de l'intensité que ce baiser prenait. Ses mains étaient divine, il me collait littéralement contre lui et j'avais envie de rester contre lui, mes mains descendaient dans son dos , parce que damn, j'adorais son dos musclé , me soulevant un peu avant que nous le rompions. Je passais mes doigts contre mes lèvres totalement brulantes. Je frissonnais encore sous ses mains qui n'arrêtés pas. Je me faisais tomber contre lui, la tête dans son cou, les doigts qui s'amusaient contre son torse, comme à plus grande habitude. Jamais je t'interdirai de la voir ou je t'en empêcherai parce qu'on est en froid Kenny, elle n'a rien à voir avec nos histoire, mais promis je ferais plus jamais ça ... N'empêche que je me suis fait un bleu sur les fesses en tombant. Tu sais que c'est Manuela qui a dû m'ouvrir la fermeture, d'ailleurs c'est elle qui me l'avait remontée dis-je en levant les yeux vers lui. J'aurais eu besoin de tes mains à toi à ce moment là

Ce baiser m'avait littéralement scotché sur place. Mes lèvres étaient brûlante, désireuse de rencontrer les siennes a nouveau, ses yeux que dire sur ses yeux qui scrutaient mes lèvres, elle avait le pouvoir de me rendre si faible. Je l'aimais, je sais que ce n'était pas une nouveauté mais après tous les jours passés loin d'elle, j'avais envie de me le répéter, Anya et Kenny. Kenny et Anya. Mon dieu ce que mon cœur battait rapidement alors que son souffle s'heurtait contre la peau de mon cou. Je fermais les yeux, mes doigts eux glissaient sur son corps à la recherche d'une parcelle de peau à câliner. Ils la trouvaient facilement. La naissance de sa hanche, les ongles qui glissaient dessus déclenchant mes frissons à cause de ce geste mais aussi de ses paroles. Alessia. Elle ne m'empêcherait pas de la voir, c'était nos histoires, c'est dingue ce qu'on était sur la même longueur d'onde souvent. Mes yeux posés sur sa tête, je rencontrais les siens quant elle me confiait que c'était moi dont elle aurait eu besoin. "T'es partie si vite..." Je sais que ça cassait tout mais j'avais besoin de le dire, je m'étais senti si mal, si exclu de sa vie seulement je ne pouvais plus lui en vouloir, ma peine partirait bien rapidement. "Tu sais j'ai cru que c'était la fin a un moment donné mais quand je t'ai vu à la fête, que j'ai vu ton alliance et que je portais encore la mienne je me suis dis qu'il allait nous en falloir bien plus..." Je prenais une aspiration alors que je me laissais glisser sur le lit pour avoir ma tête qui tapait contre le cousin. Ma main toujours contre sa joue, je la caressais pensant à cette femme qui avait complètement changé. Elle était plus douce, plus tendre, ses mains dans mes cheveux me rappelait a tel point je pouvais lui faire confiance moi qui avait toujours détesté ça, je me surprenais à fermer les yeux quant elle touchait la cicatrice derrière mon crâne.

Mes frissons se déclenchaient automatiquement lorsqu'il caressait ma peau du bout de ses ongles. Je fermais les yeux sous ce contact qui avait le dons de m'apaiser. Moi, je laissais trainer mes doigts contre son torse, ses bras, j'avais un besoin inconditionnel de le toucher. De le sentir contre moi, de sentir sa peau. Lorsqu'il me disait que j'étais partie si vite, je poser mes doigts contre ses lèvres pour qu'il arrête. Je ne voulais pas qu'il continu. Je le savais tout ça et je n'avais pas envie qu'on en reparle.  Chuuut, je suis là maintenant et c'était le principal non ? J'attrapais sa main, celle avec son alliance pour entrelacer ses doigts avec les miens. Nos alliances s'entrechoquées, je souriais en les voyant côtes à côtes. [color=palevioletred] Pour rien au monde je ne l'enlèverait, je me suis habitué à pencher plus d'un côté que de l'autre [/colot] dis-je en riant, c'était de l'humour.  beaucoup, beaucoup plus je déposais un baiser contre son torse, me relevant un peu pour le regarder, tandis que lui s'était glissé contre le coussin. Je laissais mes doigts trainer dans ses cheveux. Doucement, je survolai sa cicatrise à plusieurs reprise, avec une légèreté déconcertante.  Bonne nuit mon amour  soufflais-je à son oreille, déposant ensuite un baiser contre sa mâchoire avant de me glisser sur le côté. Je n'allais pas rester sur lui, bien que l'idée me tentait bien, mais il avait besoin de sommeil. Pour ma part, je n'étais pas encore fatiguée. J'attrapais son bras, le posant contre mon ventre afin d'y laisser trainer mes ongles.

Nos alliances, le symbole de notre amour, je riais à ce qu'elle disait. C'est vrai, elle portait plusieurs bagues d'un certains poids et encore ce n'était pas fini. "si tu penches déjà j'imagine pas quand tu vas avoir l'autre alliance, tu vas tomber !" riais-je en frissonnant. Je fermais les yeux sous son baiser sur mon torse, je baillais encore une fois. Je me sentais bien, mieux en sa compagnie, j'avais l'impression d'avoir fait un mauvais rêve ces derniers jours et Morphée venait me chercher pour que je puisse enfin me reposer sous les caresses d'Anya dans mes cheveux, ça me détendais encore plus même quant elle passait sur ma cicatrice, je me sentais léger. "Bonne nuit…" J'avais pas la force de dire plus, je me tournais un peu vers elle pour l'avoir contre moi, mon bras sur son ventre, mes yeux clos, je m'assoupissais bien rapidement.
Il devait être 11 heure quand j'ouvrais les yeux, j'étais reposé et triste. Le lit était vide. J'avais donc rêver tout ceci, je me retrouvais tout seul dans notre chambre, personne à mes cotés, je passais mes mains sur mon visage avant de me lever. On devait pas déprimer aujourd'hui, j'avais rendez-vous dans 3 heures pour mes résultats et j'avais besoin de savoir, au pire je m'écroulerai après.

Je ne m'étais pas endormie tout de suite. J'avais profiter de son sommeil pour caresser sa peau, me dire qu'il était bien là. Mes doigts étaient passés sur son bras, contre son torse, son visage et dans ses cheveux. J'aimais bien nicher ma main dedans. C'est sur les coup de 10h34 que je m'étais réveillé. J'étais sortie du lit sans faire de bruit afin qu'il puisse dormir. Il manquait de sommeil et je ne voulais pas voir sa mine fatiguée, surtout que c'était de ma faute d'après ce qu'il m'avait dit. Enfin, de la notre, parce que je n'étais pas la seule dans l'histoire. J'étais en bas, je faisais le petit déjeuner que j'avais servis sur la grande terrasse. Le soleil n'était pas au rendez vous, il y avait des nuages mais il faisait ni trop chaud, ni trop froid. J'avais juste mis la table à vrai dire. Disposer des fruits, des confitures et du pains, je faisais couler le café lorsque Kenny descendait. Je lui faisait un grand sourire en m'appliquant sur ce que je faisais, comme d'habitude. Ce matin je n'avais pas fait de pancake. Overdose de pancake mais j'avais tout de même fait décongeler des gaufres, c'est pas mal aussi non ?  Coucou toi dis-je en m'approchant de lui pour déposer un petit baiser contre sa joue, afin d'aller rapidement de lever les gaufres de l'appareil. Je baissais les bras, déçu en voyant qu'elle était complètement carboniser.  Loupé ! dis-je en les jetant à la poubelle. J'espère que t'as pas envie de gaufres ce matin, parce que je viens de carboniser les deux dernières dis-je avec un grand sourire pour me faire pardonner.

Elle était là. Elle faisait le déjeuner donc hier je n'avais pas rêvé tout était vrai. Je souriais en la regardant faire restant planté là sans rien faire, je voyais sa petite silhouette s'atteler à la tâche. "Salut…" dis-je en la voyant venir. Elle déposait un baiser sur ma joue, je prenais quand même, je reconnais que j'aurais préféré un baiser mais j'allais pas faire le chieur surtout quand je la voyais se précipiter sur la machine à gaufre. "Bien si j'en voulais, c'est pas sérieux chérie, ton mari est pas content…" dis-je sérieusement avant de sourire. "Je plaisante mais l'odeur par contre, elle pique dès le matin…" ça sentait le cramé dans toute la maison, je fronçais les sourcils en allant ouvrir la grande baie vitrée sur toute la longueur, c'est ce que j'aimais dans cette maison, elle se fondait dans la nature et la nature pouvait entrer chez nous. Calme et sérénité, ce matin était un matin comme je les aimais, manquait plus que notre petite princesse et ça serait digne d'un film. Je revenais vers Anastasiya pour la coincer dans mes bras et l'enlacer simplement. Juste un pauvre câlin, j'en avais envie, elle me manquait ce matin au saut du lit. "Attend…" dis-je en lui pinçant le bras. Je vérifiais si elle était bien là.

L'homme était enfin arrivé. Je terminai ce que j'étais en train de faire pour aller l'embrasser, je commençais par sa joue mais alors que j'allais terminer par ses lèvres, je sentais l'odeur de brûler, je voyais un peu de fumée sortir de l'appareil et c'est à contre coeur que je quittais ses bras, rapidement pour aller sortir le massacre que je venais de faire. Sinon tu peux aussi remuer tes belles petites fesses musclés lui dis-je en faisant un clin d'oeil en même temps  pour aller chercher des gaufres fraîches je lui faisais un bisous du bout des lèvres de loin, tandis qu'il allait ouvrir la baie vitrée. Oui, c'était urgent. Je secouais un torchon autour de l'appareil pour dissiper la fumée en m'étouffant un peu. Je toussais, la main contre mes lèvres en allant sur la terrasse lorsqu'il venait m'enlacer. Je me mettais légèrement sur la pointe des pieds, je n'avais pas besoin de me grandir énormément après tout sauf que je redescendai bien rapidement lorsqu'il me pinçait. AIIIIE criais-je en me frottant l'endroit. Je lui pinçais un téton, le menaçant de le tourner  Bisous magique ou je tourne le menaçais je lui présentant mon bras.