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William semblait plus que perdu, et c'était toi qui avais provoqué cela. Si une partie de toi était fière de réussir à le duper si facilement, la majorité de ton esprit culpabilisait quelque peu à la vue de sa panique visible pour tes yeux experts en la matière. Sérieusement, tu n'avais voulu que jouer un peu, sans penser à mal, mais William semblait plus prêt à s'énerver qu'autre chose... et à avoir la trouille. Sérieusement ? Lui qui avait peur que tu partes alors qu'il était clairement visible que tu étais totalement accro à sa personne ? On marchait sur la tête. C'était peut-être parce que tu draguais de manière plus que suggestive, toi qui rougissais à la moindre mention un peu trop direct... mais tu en avais très franchement envie. Enfin, tu avais envie de le prendre à contre-pied, de le surprendre sans pour autant virer à la vulgarité. Mais même ton compliment pour lui faire comprendre ta petite "imposture" ne semblait pas tellement le sortir de son hébétude, vu qu'il conservait sa bouche entrouverte et qu'il se mit même à rougir. Lui, rougir ? Alerte rouge (c'était le cas de le dire), cela ne lui était jamais arrivé devant toi. Il ne semblait pas croire au fait que tu l'avais roulé dans la farine, mais c'était bien le cas, et ton sourire s'agrandit avant que tu ne le mettes à rire doucement. Tu me pensais réellement capable de te tromper, quelle qu'en soit la raison ? Apparemment oui, vu le mouvement sec pour retirer son sweat et la rougeur qui s'intensifiait sur ses joues tandis qu'il réalisa qu'il avait plongé dans ton piège sans aucune hésitation. Cependant, ton aveu de défaite et son compliment ne te faisaient pas tellement plaisir que cela. Oui, tu avais voulu jouer, mais cela te semblait quand même amer vu les émotions montrées par le Kane qui semblait avoir du mal à s'en remettre. Ouais, j'ai voulu jouer... mais je ne pensais pas que tu y croirais vraiment. Je suis avec toi... et je n'irai pas voir ailleurs. Cela irait déjà contre mes principes et contre mes promesses... Je ne pensais pas te mettre dans tous tes états. Passant une main dans tes cheveux, tu avais baissé la tête, quelque peu gêné par la situation. Sérieusement, comment avais-tu pu être aussi stupide pour penser qu'il ne dirait rien en parlant de futures conquêtes ? Une partie de toi savait très bien la raison, mais cela avait un côté un peu trop flippant pour que tu acceptes de l'avouer. Tu voulais simplement sentir qu'il tenait à toi, plus que par des mots que tu savais pourtant sincères, mais en remuant plus profondément son esprit. Bon sang, cette méthode en était presque nauséabonde à tes yeux, tu n'avais pas à faire ça pour le savoir, non ? Apparemment, ton propre esprit se rebellait contre cette idée de confiance absolue, et cela était vraiment effrayant pour toi. Mais pour le moment... Il fallait que tu mettes cela sur le côté, vu le sale coup qu'il venait de te faire, en te comparant à toi-même en tant que lycéen. Tu n'étais pas énervé cela dit, juste vexé : c'était peut-être un sale coup, mais ce n'était que normal par rapport à ce que tu avais fait auparavant. Pourtant, tu doutais : tu n'avais pas l'impression qu'il avait voulu te rendre la pareille vu qu'il commença à vouloir t'expliquer qu'il ne parlait pas de ton caractère mais juste de la barbe. Tu ouvris la bouche avant de la refermer aussi sec, te sentant particulièrement stupide et rougissant à ton tour. Bien sûr, ta pilosité n'avait pas augmenté depuis que vous vous connaissiez, c'était vrai, et cela correspondait parfaitement à ce que tu lui avais dit précédemment. Au moins aviez-vous l'air tous les deux stupides maintenant, un partout, balle au centre. Tu n'as pas à t'excuser. Je croyais juste... que c'était ta petite vengeance pour ma mauvaise blague. Y a pas de soucis. Bien, tout était remis à plat maintenant, cela ne pouvait qu'aller mieux maintenant, et tu lâchas un léger sourire qui se teinta quelque peu d'une expression coquine, miroir de ceux que tu avais fait lors de tes plaisanteries... limites. Par contre, je ne mentais absolument pas en disant que tu étais encore plus attirant lorsque tu étais jaloux. Tu t'étais ensuite mordillé les lèvres tout en lui jetant un regard mi-amusé, mi-enflammé, puis avais de nouveau capturé ses lèvres presque férocement et laissé tes mains vagabonder sur ce fichu sweat pour retoucher sa peau de nouveau. Bon sang, ce mec te rendait autant fou que lui allait te considérer comme tel... mais c'était plus fort que toi, et trop paradoxal pour que tu veuilles même y réfléchir.
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William savait que Devyn n’était pas du genre à aller voir ailleurs. Cependant, cette évidence ne lui sauta aux yeux que lorsque ses neurones décidèrent de se remettre au boulot. Parce que oui, son petit numéro l’avait quelque peu renversé. L’imaginer en diva aurait pu être drôle, si l’on ne comptait que les caprices. Cette histoire d’aventures avait provoqué chez le Kane une jalousie monstre qu’il avait tenté de dissimulé, mais cela avait été vain. Devyn avait finit par se trahir en disant que William était encore plus attirant lorsqu’il était jaloux, et c’est ainsi qu’il réalisa que tout ceci coulait de source. Il s’en serait surement rendu compte du premier coup s’il n’avait pas été aveuglé par ses sentiments, mais il n’en voulait pas à Devyn. Pourquoi ? C’était ridicule, il a passé cinq minutes à le mener par le bout du nez, il en a profité et voilà. Non, pas de raison d’être en colère après lui. Après lui-même par contre c’était une autre affaire. Lui qui s’était juré de ne jamais tomber dans ce genre de panneau s’en était pris un en pleine poire & avait découvert avec ça qu’il était jaloux. « Non, je suis sûr que non. Ton histoire de célébrité & tout ça, imaginer des gens avec toi, ça m’a… » Il frissonna, ne terminant pas sa phrase. Jaloux de personnes irréelles, de mieux en mieux Kane. Il entortilla la cordelette blanche de son sweat posé sur ses jambes repliées, écoutant ce que lui disait Devyn. Qu’il se rassure, il s’était rendu compte lui-même qu’il le menait en bateau, que tout ça ne tenait pas debout. Il n’avait pas à se justifier, l’affaire était close. « Je ne pensais pas y croire non plus, lâcha-t-il dans un petit rire, tournant tout ça en dérision. Maintenant, on sait que je suis jaloux. Vraiment jaloux. » Ce n’était pas son genre d’exposer ses défauts –quoique si l’on part du principe qu’il faut réellement aimer quelqu’un pour être jaloux, il s’agit d’une qualité, mais on ne va pas polémiquer- mais devant l’air désolé de Devyn, il essayait de le faire sourire un peu. Il tendit ses bras vers le ciel comme prit d’une illumination divine, lançant ; « Je suis jaloux ! » Et il laissa retomber ses bras le long de son corps, rions de tout ça, on s’en fout que monsieur Kane ait été aveuglé par ses sentiments, il s’était rendu compte que ce n’était qu’une blague & point final. S’ils commençaient à se torturer pour des choses aussi insignifiantes, ils n’étaient pas au bout de leurs peines. D’ailleurs, il venait de parler au plafond, magnifique plafond lézardé. Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour Devyn Gale. Un nouveau quiproquo le froissa mais ça ne dura pas. Il adressa un sourire maladroit à Devyn, il n’était pas doué pour désamorcer les situations, même si elles n’étaient pas forcément compliquées. Si ses phrases avaient l’air cohérentes dans sa tête, elles avaient l’air débile ou insensées une fois prononcées & en général, il ne faisait qu’envenimer les choses. Mais pas cette fois. Au contraire même, quelques instants après ça, le Gale avoua avoir été sérieux en disant que William était plus attirant lorsqu’il était jaloux. Sa remarque l’amusa, il avait cette capacité de passer d’un état à l’autre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. C’était surprenant mais dans le bon sens, il n’était pas lunatique pour autant. Jusqu’à présent, ses changements d’humeur avaient tous eu une explication. Cependant, le brun ne s’attendait pas à ce qu’il lui saute dessus au sens littéral. Il l’embrassa fougueusement et sentait ses mains courir sur sa peau, sous son tee-shirt. Après le retour compliqué à Harvard, le coup de téléphone passé à son père, les légères prises de bec, il avait pensé à tout, sauf à ça. Il resta figé un instant, vraiment surpris. Sauf que son sang battait dans ses tempes & que la sensation des mains du Gale sur son corps était tout sauf désagréable. Il prolongea son baiser, enveloppant son torse de ses mains pour l’attirer contre lui. Maintenant assis sur jambes, il posa une main contre sa nuque, la seconde juste sur ses côtes.
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Vu de l'extérieur, tu aurais presque considéré que William était chou, à tenter d'expliquer sa réaction alors qu'elle était relativement normal vu son caractère habituel. De ton point de vue... C'était à la fois amusant et gênant. Ainsi, lui aussi avait peur que tu ne partes, surtout si tu devenais connu... comme si tu lui ferais cela. Il faudrait vraiment que tu sois aveuglée par le showbiz pour aussi mal tourner et trahir tous tes principes, et tu étais un peu trop terre à terre et pessimiste pour cela. Non, que le Kane se rassure, tu ne présentais aucun risque de transformation en diva en solitaire. Tu ne savais cependant pas comment le tranquilliser plus qu'en lui disant qu'il ne le ferait pas : après tout, hormis te croire sur parole, aucune preuve n'existait, tu ne pouvais pas faire de voyages dans le temps... et tu n'aimerais de toute façon pas. To qui prônais le fait de profiter au maximum de chaque jour, tu te voyais assez mal voir ce que le futur te réservait. Tu étais chanceux dans toute cette histoire : William ne t'en voulait pas, tu étais le seul à t'en vouloir dans tout ça, et cela était tout de même un peu rassurant. L'anglais prit même la liberté de plaisanter là-dessus, sur ce nouveau défaut que vous aviez eu le plaisir de découvrir, et tu finis enfin par en prendre le parti de rire, toi aussi. Enfin, c'était surtout son air ridicule d'illuminé en répétant qu'il était jaloux qui te fit rire, plus que le fait lui-même, mais cela te fit du bien tout de même. Ensuite... Tu eus l'impression que ton cerveau jouait aux montagnes russes de manière assez drastique : en effet, tu passas de l'agacement le plus profond à une certaine gêne lorsque tu te rendis compte que sa petite pique n'en était finalement pas une et qu'elle tombait au contraire sous le sens vu tes propos précédents. Ce changement était déjà pas mal, mais à cela s'ajoutait ensuite une poussé de... tu ne savais pas trop de quoi en fait, mais cela te poussa à réaffirmer ta remarque sur le pouvoir attracteur de William sur toi. Bien sûr qu'il attira, ce serait un crime d'affirmer le contraire... mais il fallait bien avouer que le voir dans tous ses cas à la potentielle idée de ton départ avait quand même un certain intérêt et un charme indéniable. Oui, tu perdais la tête, mais c'était sûrement tous ses événements en si peu de temps, ainsi que son absence de trois longues journées qui te faisaient presque lui sauter dessus pour l'embrasser et caresser son torse en même temps... et pour une fois sur ce sujet, tes émotions et ton esprit étaient totalement d'accord avec toi. Tu l'avais senti se raidir sous tes doigts au début, ce qui te fit lui jeter un regard intrigué mais toujours empli de cette fougue... mais cela ne dura pas très longtemps vu qu'il attaqua à son tour tes lèvres jusqu'à ce que tu n'aies plus de souffle. Toi, tu n'avais pas envie de t'arrêter cela dit, et tu repartis à l'assaut presque aussitôt. Tu eus un léger sursaut en sentant ses mains sur toi, lui mordant la lèvres au passage, mais tu te détendis bien vite tout en te laissant être collé à lui. Entre la chaleur de sa peau contre la tienne, et de ses mains contre ta nuque et tes côtes, tu luttais pour ne pas fermer les yeux pour juste profiter... mais tu eus un léger rire presque nerveux tout à coup. Et là, tu as les voisins qui se demandent d'où vient le bruit venant de ta chambre... ils vont devoir s'y habituer, j'en ai peur. Ô le beau tue-l'amour que voilà... et même pas volontaire en plus, c'était juste une idée qui t'avait traversé la tête, mais ce n'était pas ça qui allait diminuer la flamme qu'il avait allumé.Pour tout dire, là, tu te fichais clairement de ce que les autres pourraient dire, vu que tu étais vraiment bien... et quand tu disais vraiment bien, tu le pensais réellement. T'installant un peu mieux sur ses jambes, plus exactement à califourchon pour être face à lui, tu étais reparti à l'assaut de ses lèvres et de son torse, n'hésitant pas à laisser traîner quelques baisers dans le creux de son cou.
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Devyn était une girouette émotionnelle, passant de la vexation au désir en un tour de main. Bon, là c’était un cas particulier, il y avait eu méprise sur les propos du Kane. Il n’en restait pas moins que le jeune homme lui avait sauté au cou & dire que cela déplaisait à William serait mentir. Il pouvait ainsi profiter un peu de lui, tranquillement installés dans leur chambre, à l’abri des regards indiscrets. Le silence était retombé dans la pièce, seulement troublé par des chuintements de vêtements froissés & des murmures de lèvres qui se rencontrent & se séparent pour mieux se retrouver. Mais n’en oublions pas que Devyn Gale reste Devyn Gale, il lança une très pertinente remarque, à savoir que les Lowell pourraient se demander quel est ce bruit qui provient de sa chambre. Passons outre la lourdeur de la remarque un instant : les Lowells seraient-ils suffisamment sans-gêne pour débouler dans la pièce comme des fleurs ? Ca, le Kane en doutait fortement. La maison à laquelle il appartenait n’était certes pas la plus grande ou la plus populaire, mais à ses yeux, c’était la meilleure, ils étaient comme une famille & en principe, une famille ne fait pas irruption dans la chambre de ses frères, enfants ou tout autre lien de parenté quel qu’il soit –à moins que cela ne soit dans un film comique. Revenons-en à nos moutons, pourquoi sortir ça ? Le Kane lâcha un rire spontané, ce gars l’épaterait toujours. Dépité, il lui demanda ; « Comment fais-tu pour te mettre des idées comme ça dans le crâne ? » Est-ce qu’il craignait vraiment que quelqu’un ne rentre & ne les surprenne ? Ou bien peut-être voulait-il devenir moine, rester à jamais éloigné des tentations, du péché de chair & de tout ce qui s’en approche. Il tentait donc de se dégoûter de William pour s’éloigner de lui pour pouvoir partir dans un monastère tibétain. Tragédie, la toge rouge & le crâne rasé ne lui iraient pas du tout, et la solitude n’irait pas au Kane. De toute façon, ces hypothèses peu probables s’envolèrent en une fraction de seconde lorsque le blond revint à la charge, l’embrassant de nouveau. Pour la pureté du moine, on repassera. Le Kane ne libérait pas ses lèvres, elles étaient siennes. Il laissa ses mains glisser sur son torse pour déboutonner lentement sa chemise. Les boutons lui filaient entre les doigts comme ses mains tremblaient, mais il finit par tous les détacher. Il fit alors glisser la chemise le long de ses bras, l’expédiant un peu plus loin sur le lit. Il relâcha ses lèvres pour embrasser sa joue, sa mâchoire, son cou, s’arrêtant à sa clavicule. Il prenait le temps de savourer sa peau, son goût, son parfum, alors même qu’il brûlait d’envie de s’en nourrir sans retenue & sur le champ. Ses mains posées sur ses omoplates vinrent glisser jusqu’au bas de son dos où elles restèrent campées tandis qu’il mordillait la peau de son cou.
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Oui, tu avais des idées étranges parfois, en pensant directement aux autres alors que tu profitais d'être totalement seul avec William. C'était peut-être ton côté pudique qui ressortait, mais quelque peu déformé par tout ce qui te traversait le corps. Tu pensais donc aux autres qui pouvaient vous entendre... mais même pas le fait qu'ils vous surprennent et viennent vous voir, ça non. Les gens étaient suffisamment respectueux pour cela, non ? Par contre, se demander ce que vous pouviez bien faire tous les deux, c'était très largement possible. Après, tu savais également que la Gossip de l'école avait révélé votre couple sur son blog donc que beaucoup devaient se douter que vous n'alliez pas être tout mignons tout sages en étant tous les deux dans une chambre, si ? Quoique tu savais que l'on te considérait comme pas mal coincé, ils risquaient donc peut-être de douter que cela soit possible. Il fallait en effet croire que le Kane te faisait totalement disjoncter pour que tu agisses ainsi avec toi, toi si réservé et pudique en temps normal. Qui aurait pu penser que tu lui sauterais dessus si aisément, sans même te poser de questions ? Même toi tu en aurais été surpris si tu y avais réfléchi quelques secondes. Cependant, ton cerveau semblait bien trop déconnecté pour cela, et tu utilisais réellement le minimum pour écouter sa réponse à ta question. Tu en gloussas d'ailleurs, parce qu'il n'avait pas tort, et parce qu'il semblait lui aussi désespéré de ton cas. Je suis indéniablement fichu et bon pour l'asile je crois. Si tu avais été religieux un jour, inutile de dire que pour ça aussi, c'était fichu. Tu n'étais pas quelqu'un de très porté dans ce domaine, loin de là même... mais s'il continuait à te rendre fou de la sorte, cela risquait aussi de changer très fortement et rapidement. Rien que sentir ses lèvres sur les siennes te procurait un apaisement rarement atteint pour un stressé comme toi, alors que dire de ses mains sur toi... C'était en fait tout le contraire, vu le feu qui couvait dans tes veines rien que de sentir leur chaleur au travers de ta chemise. Nul besoin même de chaînes pour que tu ne bouges plus, cela suffisait très largement, et tu ne trouvas même rien à redire au fait qu'il te mette torse nu si rapidement. Au contraire, tu avais même hâte qu'il finisse de retirer tous les boutons et en jetas presque la chemise à travers la pièce lorsque ce fut le cas. Tu n'avais même pas pu retenir un gémissement lorsque ses mains touchèrent ta peau mise à nu pour travers ton dos de haut en bas. C'était tout simplement divin, et tu n'arrivais même plus à te concentrer pour calmer ce feu. Il n'y avait aucun doute sur le fait que tu étais bien moins résistant que lui, et cela t'aurait pétrifié habituellement, vu que cela était une faiblesse... mais pas là. Là, tu t'en fichais totalement, tandis que tu tâchais de retirer le tee-shirt qui lui restait sur le dos tant bien que mal alors qu'il embrassait délicatement ta peau. Une fois fait, tu tâchais de rester un minimum lucide pour continuer à caresser sa peau, en apprenant le moindre centimètre et tâchant de lui rendre la pareille... difficile lorsque la chose qui t'attirait le plus était de le laisser faire. Quelques bruits sortaient de temps à autre de tes lèvres, ceux que tu n'arrivais guère à retenir, tandis que tu eus l'idée de tranquillement t'attaquer à son pantalon. Si une chose devait bien être efficace, c'était cela, non ?
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Devyn, bon pour l’asile ? Mais non voyons. Il était juste un peu atypique, voilà tout. Il craignait que quelqu’un ne les surprenne & c’était sensé, le risque zéro n’existait pas. Mais de là à sortir ça comme ça, brûle-pourpoint, alors qu’ils étaient pris dans le feu de l’action… C’était quelque chose tout de même. Ce n’était pas que William était fan des pratiques demandant cravaches, chaines & combinaisons de cuir, mais il allait devoir bâillonner son cher & tendre s’il ne la fermait pas. Il ne répondit que par un hochement de tête, l’air navré, lèvres pincées. Au moins, il avait de l’imagination. Il s’était ensuite affairé à lui retirer sa chemise de ses mains tremblantes, l’expédiant plus loin, parcourant sa peau nue du bout des doigts ou plus franchement en la mordillant. Puisque le Gale semblait passer aux choses sérieuses, il s’allongea lentement sur le dos, ses mains posées sur ses reins. Il lui donna un coup de main en faisant glisser son pantalon le long de ses jambes, le laissant tomber au sol avec ses baskets & ses chaussettes. Il l’embrassa de nouveau, plus tendrement cette fois-ci, prenant son temps sans lui martyriser les lèvres, une main sur sa joue. Il glissa la seconde sous son ventre, déboutonnant son pantalon, le faisant lentement glisser sur ses jambes. A force, il finit par tomber lui aussi au sol & le Kane roula donc sur le flanc, inversant la donne. Déposant plusieurs baisers sur ses lèvres, sa main glissa petit à petit le long de sa joue sur son cou, son torse, sa hanche, pour finir par se poser sur son dernier vêtement. Il joua avec un instant, une main distraite se baladant sur sa cuisse, sentant sous sa paume la chaleur de sa peau et ses muscles tendus. Il finit par passer un doigt sous l’élastique, laissant le tissu quitter son corps progressivement, se retrouvant à son tour au sol.
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