TG › happy birthday Charlie!

Ma cousine (Kaya) me remercia avant de me faire savoir ce qui la tracassait, elle voulait que la soirée se passe bien tout en posant son classeur sur un meuble. J'espérais qu'elle n'allait pas l'oublier ici, comme je sais qu'elle est parfois un peu tête en l'air. Alors je lui répondit (Kaya).

Oh mais ne t'en fais pas pour la soirée, ceux qui l'ont organisé ont du tout prévoir et puis Charlie est quelqu'un de sérieux. N'oublie pas ton classeur hein.

Il est vrai que même si Charlie était mon bizuteur, je pensais sincèrement qu'il était quelqu'un de sérieux alors je le fis savoir à ma cousine comme le fait qu'elle ne devait pas oublier son classeur pour lui rappeler qu'elle pouvait être parfois un peu distraite. Alors je lui adresse un sourire tout en buvant un peu de ma boisson.

A la Dunster House pour l'anniversaire de Charlie.

Je me tourne vers ma cousine (Kenny), je ne sais pas trop quoi lui dire. Mais bon, je lui réponds : « J’espère bien que tout ira bien, sinon, je vais en prendre pour mon grade…. » Je souris doucement, puis, je sais que je dois continuer sur ma lancée. Je rajoute : « Oui, il a l’air sérieux. Je ne le connais pas trop. Tu ne connais bien, toi ? » Je patiente le temps qu’elle me réponde. Je ne sais pas trop si elle va me donner une réponse. Enfin, je continue de regarder tout ce qu’il se passe autour de moi. Je sais que pour l’instant tout se passe bien. Je respire doucement, je sais que je peux le faire.

Ma cousine (Kaya) se tourne vers moi en ne sachant pas trop quoi dire avant de me répondre qu'elle espère que cette fête ira bien sinon tout allait retomber sur sa responsabilité. Puis elle ajoute qu'elle voit que Charlie a l'ai sérieux mais qu'elle ne le connait pas très bien avant de me demander si je le connaissais bien. Alors je lui répondit.

Mais bien sur que cela va bien se passer, tout fonctionne correctement pour le moment ? Et à vrai dire, je ne le connais que depuis peu, il est mon bizuteur que depuis la rentrée mais il me semble sérieux et gentil de prime abord, pas toi ?

Il est vrai que Charlie n'était mon bizuteur que depuis cette rentrée et ce malgré que je sois à Harvard depuis quatre années. Alors j'adresse un sourire à ma cousine tout en attendant sa réponse.

Des discussions, il y en avait des tas, mais là, il se faisait un peu chier Eugene. Certes il buvait, mais même l'alcool n'arrivait pas à rendre la compagnie des Dunster plus agréables. Un coup d'oeil vers Charlie, et là, comme à chaque fois, il fondait. Il était dans son élément, entouré de ses amis, riend e bien Matherien. Et puis au fond, Eugene ne pouvait cesser de se demander si quelque chose d'énorme allait arriver à cette soirée. Genre, une pinata remplit de sachet de cocaïne. Nan, mauvaise idée, surtout avec les antécédents du Dunster ! Bon, alors un strip-tease ? Ouais, c'est fou ça, on organise une soirée pour Charlie, il risque de partir bientôt donc cela pourrait être son dernier anniversaire ici et les gens ne faisaient pas ça en grand ? Fini la récréation, maintenant qu'Eugene était revigoré par l'alcool et qu'il avait une idée en tête, les choses sérieuses allaient commencer. Sans demander l'avis de personne, il se dirigea vers la sono, coupa le son et mit la célèbre musique de striptease que tous connaissait. You can leave your hat on. La musique était lancé, ni une ni deux Eugene vint décrocher Charlie de ses amis. « Assis-toi, considère ça comme un autre petit cadeau de ma part » lui déclaa-t-il entre deux éclats de rires en lui faisant poser de force ses fesses sur la chaise. Et là, bah, Eugene prit position sur lui comme s'il s'apprêtait à monter à cheval, et envoya valser son haut sur la tronche de cette conne de Calypso. Elle avait cru qu'il n'avait pas capté son petit manège bactériologique ? Dégueulasse qu'elle était, voilà qu'elle pouvait sentir l'odeur d'homme d'Eugene à pleines narines. Tout comme Charlie pouvait le corps de l'allemand danser doucement contre le sien, au rythme de la musique.

A la Dunster House pour l'anniversaire de Charlie.

Je regarde ma cousine, et je sais que je dois lui répondre, je dis à Kenny : « Si tu le dis….» Je continue de lui répondre : « Hum, et bien, si tout va bien avec lui c’est ce qui compte. Si tu as un souci avec lui, n’hésite pas à venir me voir. » Je ne sais pas comment lui dire, mais pour le moment, je trouve que le bizutage doit rester dans les règles. Je sais aussi que pour le moment, je dois surveiller que tout se passe bien. Après, j’irai me coucher pour corriger les fautes dans mes copies. Je continue de me dire que pour le moment, il faut juste que je réponde à ma cousine (Kenny) : « Il a effectivement l’air sérieux. »

Ma cousine ne semblait pas convaincue quand je lui dis que la soirée se passait bien. Puis elle me dit que si tout va bien avec Charlie, c'est l'essentiel et que si j'ai un souci avec, que je vienne la voir. Mais elle se rendit compte qu'il avait l'air sérieux en effet. Alors je lui répondit.

Ah tu vois que j'ai raison. Charlie est un super bizuteur et il est adorable comme tout. Et ne t'en fais pas, la soirée se passe sans débordement pour le moment, pourquoi il y en aurait il hein ?

J'avais longtemps appris à positiver même quand je n'étais pas sure de moi. Quand mon père est devenu accro à la bouteille, je suis restée à ses côtés pour le soutenir et il s'en ait sorti. Quand ma mère nous a abandonné, je suis devenue la femme de la maison et j'ai tenté de soutenir mon père au maximum, ce qui a renforcé notre complicité. Non vraiment si cette soirée se passait bien pour le moment, ma cousine n'avait pas à s'inquiéter pour si peu. Alors je lui adresse un sourire tout en lui faisant un clin d'oeil et en venant porter mon verre à sa santé.

C'est étrange parce que plus la soirée avançait et plus tu commençais à avoir légèrement mal à la tête (1). Tu n'es habituellement pas le genre de mec qui a des maux de tête (2), mais ce soir, il fallait peut-être croire que si. Ce n'était malheureusement pas le moment d'avoir un mal de bloc, mais on ne choisit pas toujours comment réagit notre tête (3) quoi. Tu préféras ne pas trop t'en soucier et plutôt t'occuper de tes invités. Une fois près du bar, tu posas une question à la foule et Eugène fut le premier à répondre. « La question est si toi tu t'amuses ? » Tu souris à sa remarque et hocha la tête (4). « Évidemment que je m'amuses ! Même si j'ai un tantinet mal à la tête (5) ! C'est pas grâce, ça va passer ! » répondit-tu, le sourire collé aux lèvres. Pour chasser ce mal de tête (6), il fallait ne plus y penser ! « Mais c'est vrai cela, j'espère que tu t'amuses hein parmi tout ceux qui t'apprécie ?  » reprit Kennedy pour aussi répondre à ta question. Tu souris doucement, fier d'être près d'eux. Tu te grattas la tête (7) en passant la salle en revue. Pleins de gens, pleins d'invités. Pleins de belles personnes. Ça te faisait vraiment chaud au coeur tout ça ! Tu crus même voir Kaya, la professeur responsable de la maison. (Ça te faisait tout de même quelque chose que ce ne soit plus William...) Après quelques minutes, Eugène arriva près de toi et t'installas sur une chaise. Heu ? Étrange ! « Assis-toi, considère ça comme un autre petit cadeau de ma part » Mais qu'est-ce qu'il avait dans la tête (8) celui-là ! Tu ne pus quand même pas t'empêcher de rire lorsqu'il se mit à cheval sur toi, envoyant valser son haut. Tu riais aux éclats et finit par prendre sa tête (9) entre tes mains pour le regarder dans les yeux. Tu n'avais jamais remarqué qu'il était aussi beau... Et voilà que ton mal de tête (10) commençait à partir... ~

A la Dunster House pour l'anniversaire de Charlie.

Je regarde Kennedy, je lui réponds : « Oui, tu as raison, c’est calme c’est ce qu’il faut. J’ai reçu des ordres de la direction tu vois….Si je fais la moindre erreur, je risque d’avoir des ennuis. Et je commence juste….Enfin, je dois stresser un peu comme tu dis. » Charlie s’approchant de nous, je lui dis : « Joyeux anniversaire Charlie. » Je tiens à lui dire vu qu’il est la star de la soirée. Je souris, je lui dis : « J’ai un cadeau, tiens le voilà. » Je sors le cadeau que j’avais mis sur la table derrière moi. Il s’agissait d’un livre sur la sociologie. Je l’avais acheté pour lui, je me suis dit qu’il pourrait en avoir un. Vu qu’il était en cours avec ce cursus. Je souris, je ne sais pas trop quoi dire de plus, je sais juste que je dois être patiente.

Ma cousine me regarde et m'explique qu'elle avait eu des consignes de la direction pour que la maison des Jaunes avance sans souci et qu'à la moindre erreur, c'est elle qui allait se faire taper sur les doigts. Alors je lui répondit (Kaya).

Ah d'accord, je comprends mieux et c'est normal que tu stresses mais ne t'en fais pas, tout se passe bien. Ma puce, je vais pas tarder moi, je commence à fatiguer.

Puis Charlie vint vers nous et je sentais que je commençais un peu à fatiguer. Je laisse ma cousine lui tendre son cadeau et lui souhaiter un bon anniversaire avant de lui répondre (Charlie).

Je suis désolée Charlie mais je crois que je vais y aller, je commence à fatiguer mais c'était une super soirée et profite du reste de la soirée hein. Après tout, c'est pour toi tout cela.

Je leur adresse un sourire avant de lui faire un bise en guise de bonsoir, serre ma cousine dans mes bras et commence à partir direction ma chambre et mon lit car il se faisait tard et demain j'avais cours mais j'avais passé une super soirée.

OUT

Des barrières ? Des limites ? Naaan, il ne connaissait plus ça Eugene à l'heure qu'il était. Il adorait jouer la comédie, se lancer des défis, et là, la seule chose dont il avait pensé était de faire plaisir à Charlie par une danse sensuelle et agréable. Un chippendale gringalet certes, mais avec une bouille irrésistible, maintenant assis sur l'homme de la soirée, torse nu. Et c'est avec un sourire très satisfait qu'Eugene accueillit le contact de Charlie, ça voulait forcément dire qu'il appréciait nan ? Avec un petit rire ravi, Eugene vint placer son nez contre celui de son hôte, puis vint le glisser dans son cou, toujours dans l'idée de le titiller et de lui faire plaisir. Les mains bien ancrées derrière la nuque du jeune homme, Eugene se laissa porter en arrière, entraînant le visage de sa victime vers ses petits abdos qu'il s'efforçait de travailler chaque jour. La musique était entraînante aussi,e t l'allemand ne manquait guère d'idées. Mais il ne fallait pas trop s'attarder sur ce bel homme, du moins, ne pas rester assis sur lui, surtout pour ce qui suit. Alors il se leva, et de ses deux mains, il baissa son pantalon, laissant découvrir un boxer "Joyeux Anniversaire". Bon okay, Eugene avait espéré pouvoir passer ce petit moment avec lui après tout. Twerker n'était pas si compliqué, alors il s'acquitta de sa tâche sans grande difficulté. Les rires envahirent la pièce, la bonne humeur était là, puis la musique s'arrêta. Dieu, c'était les 3 minutes les plus courtes de sa vie, et comme pour signifier la fin de son spectacle, il s'affala de son long sur le grand gaillard. « Fiouu, je me repose deux secondes et je te laisse à tes convives » le rassura-t-il, alors qu'il commença à se revêtir. Dieu, il avait soif maintenant.