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Je souriais en l'entendant me dire que j'avais été géniale. C'était la première fois qu'il était si ... enthousiaste, si hors d'haleine, mais surtout revendeur de compliment. Je déposais des baisers partout sur son visage, partout dans son cou, partout sur son torse lorsqu'il me reparlait de ma souplesse, puis je revenais en face de son visage, mon regard dans le sien. La danse mon coeur, la danse, je sais faire tout un tas d'autre truc tu sais dis-je en attrapant sa lèvre inférieur entre mes dents. Oui, j'étais d'une incroyable souplesse, mais il est vrai que je ne m'en étais jamais réellement servie, pas comme ce soir du moins pendant nos petit moments à deux. J'attends que ça Oh oui, j'avais tellement envie de rester dans ses bras, de profiter de lui, pas seulement en s'adonnant l'un à l'autre. C'est juste que notre petite discussion m'a fait réfléchir. Je ... j'ai juste envie de te faire plaisir, de nous faire plaisait, alors j'ai eu peur que tu te lasses au fur et à mesure, mais j'ai compris que tes autres expériences n'avaient pas d'importance avec moi, enfin que c'était moi et pas les autres qui comptais dis-je en caressant ses joues à l'aide de mes pouces. Je crois que moi aussi et j'ai encore plein de souvenirs à te donner je riais un peu en donnant un petit coup de bassin, avant de me laisser tomber sur le côté. Alessia se mettait à pleurer, je me mordillais la lèvre, juste parce que je n'avais pas envie de me lever, je n'avais pas envie qu'il se lève non plus. Restes encore un peu Je montais sur lui, à moitié, une de mes jambes contre son bassin alors que je me mordillais l'index.
La danse, la danse, non mais clairement j'avais envie qu'elle me montre tout tout maintenant. Mes yeux étaient tellement reconnaissant en cet instant, je sais pas si elle s'en rendait compte et mon cœur je vous en parle pas du bazar dans laquelle il se trouvait. "Bien on reste comme ça…" J'aimais aussi ces moments, c'est là qui me faisait penser qu'avec Anya tout était différent, notre relation n'était pas que sexuelle, c'était aussi les câlins, les bisous, les moments ou on ne parlait pas forcément mais qu'on se comprenait, des moments tellement simple comme là, je regardais le plafond, mon pouce caressait son bras de haut en bas, moi qui détestait les câlins après l'amour, j'avais changé. "ta tout compris, y a que toi qui…" Et elle me donnait un coup de bassin, je souriais, riais devant ma faiblesse car je n'avais pas résisté à pousser un petit râlement de plaisir. "Ah ça c'est petit ma chérie !" riais-je encore alors que je voulais l'embrasser. Alessia pleurait, c'est vrai elle existait, je l'avais oublié durant notre moment, heureusement d'ailleurs. "Oui…" dis-je en posant ma main sur sa cuisse. "On dit que les bébés font des caprices non? C'est surement un caprice…" Les égoïstes ! ma conscience me disait clairement cette phrase alors que mon corps me disait de profiter de mon épouse. Je lui volais plusieurs baisers d'affiler mais Alessia criait tellement fort en cet instant que mon rôle de papa ressortait, j'y pouvais rien, je devais y aller et je suis sur qu'Anya avait aussi envie d'y aller. "Je vais voir attend moi !" Je me défaisais rapidement, attrapait mon boxer au sol que j'enfilais en passant jusqu'à descendre. Rien du tout, juste une perte de sa girafe tombé au sol. Petit monstre. Je lui donnais et elle se calmait avant que je remonte en haut. "Elle avait perdue sa girafe !" Je revenais au lit me poser à ses cotés. "Je peux comprendre dormir sans son doudou c'est dur…" dis-je en la regardant droit dans les yeux, je parlais d'elle bien sur.
Le menton posait contre le torse de mon mari, je laissais mes doigts se faire des ronds sur son torse avec un doux sourire, alors que je regardais mes mouvements. J'étais en train de penser, t'imagines, quand même, qu'on est mariés je levais mon regard vers le sien, pour plonger mon regard dans ses prunelles. Je suis heureuse de l'avoir fait oui, j'étais complètement heureuse de l'appeler " mon mari " . Il n'y avait que moi qui compté, je le savais mais j'adorais l'entendre le dire, je lui donnais un petit coup de bassin joueuse et automatiquement, il se mit à pousser un râlement de plaisir Je crois que je vais vite m'y habituer, que tu montres que je te fasse plaisir comme ça lui dis-je en mordant sa lèvre inférieur, pour finalement tirer dessus. Oh oui , j'adorais l'entendre gémir de plaisir. Alessia se mit à pleurer mais je ne voulais pas que nous quittions notre position, non, il caressait ma cuisse, je la remontais doucement pour laisser ma peau frotter sur son muscle, alors qu'il me disait que les bébés faisaient généralement des caprices. C'était encore mieux, qu'il soit d'accord avec moi sur ce point là. Sauf qu'elle continuait à pleurer et mon instinct de mère voulait reprendre le dessus. Oui vas'y, je comprend, j'ai envie d'y aller moi aussi je me laissais rouler sur le côté tout en le regardant partir Après t'enlève ton boxer petit cul je me mordillais la lèvre en disant ça, alors que je le regardais partir avec une certaine lueur dans le regard. Quelques minutes après il revenait, elle avait juste fait tomber sa girafe me dit-il pour me prévenir, sauf que j'avais entendu au babyphone. J'avais entendu quel papa merveilleux il était. J'avais décidément fait le bon choix. Oui mais toi ton doudou il est multifonctions dis-je en passant une jambe au dessus des siennes alors que je lui retirais son boxer
"Comme si je m'en cachais !" Désormais je m'en cachais plus, j'avais laissé mes barrières tombés, j'avais osé parler en prenant le risque qu'elle soit surprise, que ça ne lui plaise pas et finalement je remarquais qu'en étant moi-même le moment avait été divin, parfait, complètement. Elle me mordait la lèvre, d'instinct ma main serrait son fessier parce que ce truc là avait son petit effet quand même, ça me plaisait bien de la voir sauvage, sensuel, de la voir femme car dans la vie de tous les jours je m'en rendais compte qu'il m'arrivait de la voir maman surtout en présence de notre puce, je voyais Anya la maman, pas Anya ma femme. Et en parlant de maman, mon coté papa se réveillait, Alessia pleurait de plus en plus fort, elle faisait un caprice oui j'espérais car le frottement de sa jambe contre mon muscle me faisait un bien fou clairement, en plus Anya était moins coincée, elle tentait des choses nouvelles… Et je me surprenais à être égoïste. "Je reviens vite !" dis-je en enfilant mon boxer rapidement alors qu'elle m'interpellait une dernière fois sur le palier de la porte. "A vos ordres !" Petite lueur dans son regard comme dans le mien, je lui adressais un clin d'œil en souriant, je crois qu'entre nous tout venait de changer, c'était, je sais pas j'avais l'impression d'être fusionnel avec elle vraiment en cet instant.
Quelques gazouillis, bisous et autres câlins, je revenais au lit, me pavanant un peu fièrement même si j'étais grillé, je pensais pas qu'elle pouvait m'entendre par le babyphone, je pensais pas qu'elle m'avait entendu parler bébé à notre fille. "Et mon doudou sent toujours bon !" riais-je en passant mon bras autour d'elle. "Ta sentit Flopy ?" dis-je en la regardant. Non mais infection totale, la seule fois ou je l'avais lavé Alessia avait pas dormit en trois jours et nous on en avait bavé depuis c'était un petit nid à microbes mais elle adorait. "Ah oui, j'ai oublié que tu étais atteinte du syndrome de la Kennytomanie !" Je retirais mon boxer en riant légèrement à cette connerie. "On fait quoi alors ? Tu veux partir ? Je te suis, partout, sans rechigner, sans râler, je te suis !" Je l'aimais bien trop pour la laisser en fait, je me voyais pas sans elle dans la vie de tous les jours.
Bah oui, d'ordinaire, t'es pas aussi expressif lui dis-je en haussant une épaule. Il partait bien vite pour voir notre fille, pour la réconforter de son gros chagrin, sauf que son gros chagrin n'était juste qu'un caprice. Il revenait quelques minutes plus tard T'as vraiment de la chance alors lui dis-je en ramenant ma jambe sur lui, alors que d'une main je lui retirais son boxer, autant qu'on soit à égalité. Je lui laverais à la main aujourd'hui avec le soleil qu'il y'a je suis sûre que sur la terrasse il séchera vite, puis elle a sa girafe maintenant dis-je en déposant des mains contre son cou, alors que mon bassin se posait contre lui, pour glisser de l'autre côté, et voici que j'avais les côtés sur son torse, le bras allongé sur celui-ci aussi. Et c'est quoi les symptômes, j'espère que c'est pas trop grave docteur ! dis-je en souriant un peu alors que mon index faisait le tour d'un de ses tétons, doucement. Je suis pas sûre de vouloir partir aujourd'hui du coup dis-je en haussant une épaule maintenant que tu restes avec nous, mais oui j'aimerais bien aller les rejoindre et profiter de l'air maritime, puis j'ai déjà prévenu Davina, faudra qu'on passe la voir, elle et Romane
"Rien égalera Flopy le lapin puant !" Je riais mais je comprenais, j'avais aussi eu un doudou à l'époque et je me gardais bien de le dire à Anya surtout que même en grandissant j'en avais un autre: elle. "Je suis sur qu'elle va sentir la différence, je propose qu'on lui laisse comme ça on dort tranquille ! On fait les parents égoïstes un peu c'est pas grave, pense à nos nuits… Tu vois la douceur du matelas ? Bien si tu laves Flopy dans les 4 prochains jours tu le verra plus !" Je rigolais mais j'avais pas envie de passer des nuits blanches parce que mademoiselle Alessia dormait mal à cause de sa maudite peluche qui ne portait plus son odeur, j'avais du mettre Floppy dans un body qu'elle avait porté un jour ou deux pour qu'elle sente que c'était son lapin, la galère. "ça dépend, je devrais vous examinez pour savoir si ce n'est pas trop grave…" Je frissonnais sous le contact de son doigt contre mon téton, mon petit point faible comme le lob d'oreille alors que je lui caressais la tête poussant ses cheveux d'un coté, les peignant aussi en l'écoutant. "Ah mais je comptais partir les voir, c'est juste que j'avais des trucs à faire ici après on peux partir demain… J'ai une soirée ce soir, je pense que tu as envie d'y aller…" Madame n'avait pas regardé son alerte téléphone puisque c'était la soirée qui déclarait l'homme le plus sexy, je pensais ne pas y aller mais désormais là dans le lit avec elle, heureux et amoureux, je me laissais porter. "Surtout que tu as reçu une invitation que…" Je tournais la tête vers l'enveloppe carré blanche. "Tu n'as pas ouverte…" Je lui tendais, la première invitation sous le nom Kovalevski-Kataieva.
Non je veux pas la laisser avec ce truc, au pire, elle pleurera un bon coup, puis elle se calmera bien vite quand elle verra qu'on cède pas à son caprice lui dis-je en haussant une épaule. Je suis toute à vous alors dis-je en me laissant glisser sur le côté, les bras et les jambes écartés, en mode étoile de mer avant de me remettre contre lui, bien rapidement. Depuis quand t'as une soirée, tu me l'avais pas dis dis-je en arquant un sourcil, alors qu'il était en train de peigner mes cheveux avec ses doigts. Je frissonnais à ce contact d'ailleurs. Je l'avais pas vu dis-je en attrapant l'enveloppe pour l'ouvrir. Regardes ! dis-je en lui montrant le nom sur l'enveloppe. Madame Kovalevski-Kataïeva, vous êtes conviés à la soirée annuelle de l'homme le plus sexy. lis-je à voix honte, en passant à l'essentiel. En plus t'es nominé si Kenny était élu l'homme le plus sexy de l'année, cela ferait de nous, le couple le plus sexy de l'année ... mais ça, je le savais déjà.
"Je vous examinerai tout à l'heure mademoiselle…" C'est que j'étais quand même bien fatigué, Anya m'avait bien tué sur place deux fois d'affilé avec autant d'émotions, je crois que je méritais une pause et même si on voulait on pouvait pas mon corps était un peu faible sans compter que j'avais pas encore pris mon cachet. "je comptais pas y aller sans toi et vu que tu as viré la nounou, il est hors de question qu'on parte en la laissant dans les mains d'une personne en qui je n'ai pas confiance…" ça elle le savait, Alessia c'était mon bébé à moi, ma princesse il était hors de question qu'elle soit avec une personne que je ne connaissais pas ou alors juste de quelques heures. Je continuais mes caresses dans ses cheveux hochant la tête en souriant. "J'ai vu…" dis-je en reprenant tout de suite avant qu'elle commence. "ça m'a fait étrange d'ailleurs !" Et en plus la suite était assez glorifiant, je ne sais pas si j'allais gagner, je pense pas mais elle était tellement excité à cette idée que j'avais bien envie de l'emmener puis je trouvais qu'il y avait quelque chose de coquin dans cette soirée pour nous deux. "Bien oui c'est toi qui me l'a montré la dernière fois le sondage !" On dirait qu'elle apprenait vu comme ça alors qu'à notre retour de lune de miel, elle me l'avait bien signalé, elle avait même été très fière. "J'en déduis qu'on y va si on trouve quelqu'un…" genre ma mère en fait, elle allait être heureuse d'avoir la petite. "Je viens si…" Je me levais pour aller chercher une petite boite ou il y avait deux petites boules de couleur noir, joué ? Oui clairement et Anya avait assez bien lu le livre que je lui avais secrètement offert pour qu'elle puisse comprendre l'utilité de ses boules. "Si tu joues avec moi !" Bon là, elle avait le droit de rougir.
Moi ça me fait plaisir dis-je en haussant une épaule, lorsque nous parlions de nos deux noms de familles collés. Je sais que je te l'ai montré, c'est pour te le rappeler et mon dieu ce que j'étais fière. Il me parlait de faire garder la petite, c'est vrai que j'avais virer la nounou, ce qui était légitime d'ailleurs, une vraie furie, enfin je pouvais pas, c'était plus fort que moi, c'est gens là ... impossible, surtout qu'elle avait flashé sur moi. On a qu'à appeler ta mère, on la dépose en y allant ... oui j'avais pas tellement envie qu'elle dorme là, parce que ça voudrait dire se la coltiner en rentrant, au petit déjeuner et au moment de partir, alors autant faire court. Cependant, il ajoutait une condition. Il apportant une petite boite, je me redressais légèrement, assise en tailleurs, toujours dans ma tenue d'Eve pour ouvrir la boite. Je fis les gros yeux, en regardant l'objet puis Kenny et de nouveau l'objet. Je rougissais clairement avant de reporter mon regard sur lui à nouveau. Je .. tu veux que je mette ça ? Pas à la soirée quand même ? non mais j'avais jamais testé ce genre de chose, j'avais lu un passage en ce qui concernait la chose sur le bouquin qu'il m'avait offert, mais jamais je n'en avais porter et j'avais pas tellement envie de .. enfin c'était surement dérangeant.