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[x Wyatt] ­─ différence de longueur d'ondes

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« C’est pas bête. Ils doivent te laisser faire ce que tu veux, mais j’imagine que pour ta famille, c’est différent. Leur vision est plus adaptée à leur mode de vie. Surtout quand on a un nom connu. » " L'argent prend tellement de valeur dans le vie de certains que ces personnes en deviennent les marionnettes. dis-je d'un air détaché. Et si ma famille n'avait pas été une riche famille, comment aurions nous vécus? Aurions-nous été plus unis, plus proches? Le problème avec mes parents, c'est juste qu'ils ne voient pas plus loins que les invitations aux soirées mondaines. J'espère que ca leur passera avec l'âge. Puisse-t-on toujours espérer. La jeunesse n'était éternelle pour personne, même psychologiquement parlant. Les idées changent, et c'était ce que j'espérais de mieux à mes parents. Au fait, tu as des frères et soeurs? demandai-je, un sourire aux levres. Je n'avais jamais connu ça, une famille "nombreuse", j'avais toujours été fille unique. Et j'avais tendance à poser cette question à beaucoup de gens, cherchant à comprendre comment ce pouvait être. Ou savoir comment les autres personnes dans mon cas percevaient la chose.
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" L'argent prend tellement de valeur dans le vie de certains que ces personnes en deviennent les marionnettes. Elle parlait de sa famille comme s’ils étaient de pure étranger. « Le problème avec mes parents, c'est juste qu'ils ne voient pas plus loins que les invitations aux soirées mondaines. J'espère que ca leur passera avec l'âge. » Je voyais le genre. Est-ce que la plupart des gens d’Harvard vivaient ce genre d’histoire ?   « Je suppose que c’est impossible de parler avec eux ? » Non, sinon, elle n’en serait pas la. « Au fait, tu as des frères et soeurs? » Je comprenais dans sa question, qu’elle voulait changer de sujet. Ça ne devait pas être évident de parler de sa propre famille à des inconnus. « J’ai un grand frère et une petite sœur. Et toi ? »
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« Je suppose que c’est impossible de parler avec eux ? » " Ils sont trop pris, ou trop têtus. J'ai déjà essayé cela dit, mais ça ne marche jamais!" soupirai-je. Parfois, j'ai eu des lueurs d'espoir. Mais ils sont impossibles à convaincre, et me rabachent toujours que la psychologie, ça ne paie pas. « J’ai un grand frère et une petite sœur. Et toi ? » Chanceux! " Je suis fille unique. Mais j'ai toujours voulu avoir des frères et soeurs. C'est comment? " demandai-je avec une voix d'enfant curieuse. Je devais avoir l'air d'une gamine, à poser ce genre de questions. Comme ces enfants de six ans qui se demande "c'est comment d'être adulte?" et bien si j'avais une réponse à leur donner c'est bien.. Que c'est compliqué. Il commençait à y avoir un peu de vent, tandis que le soleil continuait à monter dans le ciel. La matinée n'avait pas l'air d'être une matinée d'été.
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" Ils sont trop pris, ou trop têtus. J'ai déjà essayé cela dit, mais ça ne marche jamais!" Elle était courageuse de supporter cela. Je comprenais mieux maintenant, pourquoi elle avait voulu s’éloigner d’eux. Je ne trouvais rien à dire, car je ne pouvais me permette de faire des commentaires sur sa situation. Une main dans une poche, je profitais de la légère brise pour refroidir mon corps, qui était chaud à cause de l’effort. La jeune femme en était venue à me demander, si j’avais des frères et sœurs. " Je suis fille unique. Mais j'ai toujours voulu avoir des frères et sœurs. C'est comment? " Fille unique. Pourquoi, cela ne m’étonnais pas ? Je la connaissais à peine, mais elle me donnait l’impression d’avoir grandis en solitaire. « Bruyant » Un léger rire s’échappait de mes lèvres, alors que je reprenais la parole. « Il faut s’habituer à devoir tout partager, mais même si y a certaine contrainte, je dois reconnaitre que c’est cool » En venant à Harvard, je m’étais rendu compte à quel point leur présence me manquait. Les voir la semaine dernière, ne m’avait pas suffi.
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« Bruyant. Il faut s’habituer à devoir tout partager, mais même si y a certaine contrainte, je dois reconnaitre que c’est cool » Je lui souris, tandis que j'essayais d'imaginer la chose. A part les riches enfants du voisinage, le manoir de ma famille était toujours très silencieux. Et bien que je n'eus à ma disposition des tas de choses pour m'occuper, tout me sembalit souvent bien vide. " Ça doit faire bizarre, de passer d'un milieu bruyant au "calme" de l'université.. Enfin, tu me comprends." dis-je dans un sourire. Parce que la vie universitaire est loin d'être calme, avec les nombreuses soirées, sorties, et personnes qui étaient autour de nous. J'aurai bien voulu avoir une petite soeur ou un petit frère, pour lui enseigner des milliers de choses et partager avec ce que je ne pouvais dire à mes parents. Qui sait ce que ma vie aurait été, dans ce cas la. Mais je considérais mes amis comme une deuxième famille, car eux étaient plus proches de moi que jamais mes parents ne l'avaient été. Et je tenais bien plus aux personnes qui m'entouraient depuis peu, qu'aux personnes qui me connaissaient depuis mon premier souffle.
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" Ça doit faire bizarre, de passer d'un milieu bruyant au "calme" de l'université.. Enfin, tu me comprends." C’est clair que cela m’avait fait bizarre, mais en fin de compte, j’avais retrouvé la même ambiance à la Winthrop House. On était une famille de mec qui adorait mettre de l’ambiance au sein de la maison. Pour moi, ils étaient ma seconde famille et je m’étais très vite sentie à l’aise chez eux. « Au début oui. Puis, finalement, j’ai trouvé la même chose chez les Winthrop » Peu importe ce que pouvait penser certaines personne. Je savais que nous étions une famille soudée et c’était le principal. Je ne me serais jamais aussi bien intégré à Harvard sans eux. « Et toi, tu te sens bien chez les Quincy ? » Je ne savais pas comment cela se passait dans leur résidence. Et puis, il faut dire qu'à part quelques Quincy comme Alek, je ne connaissais pas beaucoup d'orange.
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« Au début oui. Puis, finalement, j’ai trouvé la même chose chez les Winthrop » J'esquissai un sourire. Une confrérie comme une famille. Les winthrops étant exclusivement une confrérie masculine, il y avait également une complicité que seuls eux pouvaient comprendre. Bien que si on disait la même chose des Cabots.. on risquait tout bonnement d'avoir tort. « Et toi, tu te sens bien chez les Quincy ? » « C'est une confrérie particulièrement soudée. En fait, même sans forcément être proche tous les uns des autres, on peut parler à n'importe qui de la même manière. Ils sont tous très ouverts d'esprits, alors oui, je m'y sens bien. » répondis-je sincèrement. Et je ne mentais pas, j'avais réellement bien choisi cette confrérie. J'étais heureuse de pouvoir m'entendre avec autant de personnes, bien que j'eus quelques différends avec une ou deux personnes. Personne n'est parfait. Mais j'aimais à passer des après-midi à la maison des quincys, car c'était un lieu où il y avait toujours de l'activité. Au final, entre les nombreuses activités qui créaient mon quotidien, je n'avais pas le temps de m'ennuyer, cela dit, tant mieux.
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« C'est une confrérie particulièrement soudée. En fait, même sans forcément être proche tous les uns des autres, on peut parler à n'importe qui de la même manière. Ils sont tous très ouverts d'esprits, alors oui, je m'y sens bien. » C’était important de faire partie d’une bonne confrérie. C’était ce qui allait déterminer une grande partie de votre vie universitaire. Bien sûr, vous pouviez changer à chaque début d’année, mais honnêtement, si ça se passait mal dans l’une, vous n’auriez sans doute pas envie d’aller dans une autre confrérie. « Je ne connais pas trop de Quincy. A part Neva et Alek. Enfin, surtout Alek » J’avais même été présent lors de leur mariage. Je me rappellerais toujours du moment où j’étais entré dans la loge d’Alek en faisant passez Théo pour un gay auprès d’Andy. Tout ça, c’était de bons souvenirs. Continuant de marcher, je me rendais compte que nous approchions du campus. « Tu t’es fait de bons amis ici ? »
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« Je ne connais pas trop de Quincy. A part Neva et Alek. Enfin, surtout Alek » « Ceux sont ceux dont on retient le plus facilement le nom! » dis-je en riant. Quand on pensait quincy, c'était les premières personnes auxquelles on pensait, après tout. « Pour ce qui est des winthrops, je n'en connais pas énormément non plus. Toi, Théophyl, Jorden, Marshall, c'est tout, il me semble. » En fait, je n'étais pas plus proche de personnes d'une confrérie que d'une autre, je parlais à absolument tout le monde. « Tu t’es fait de bons amis ici ? » « Oui, je trouve que je suis plutôt bien entourée. » Et c'était vrai. Depuis que j'étais à Harvard, j'avais rencontré des tas de gens plus intéressants les uns que les autres. Des gens qui me sortaient de la solitude dans laquelle j'étais partie pour me plonger. Certains qui m'emportaient dans des délires complètement farfelus, d'autres qui voulaient simplement passer du temps à parler, de temps en temps, constamment. Harvard, c'était finalement ce que j'avais fait de mieux dans ma vie.
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« Ceux sont ceux dont on retient le plus facilement le nom! » C’est vrai. C’était un couple emblématique de la Quincy House. Leur fils s’appelait même Quincy ! « Pour ce qui est des winthrops, je n'en connais pas énormément non plus. Toi, Théophyl, Jorden, Marshall, c'est tout, il me semble. » Elle connaissait de bon gars. Bon d’accord, Marshall n’avait pas la meilleure réputation pour ce qui était des filles, mais c’était un bon gars. « C’est pas mal déjà » disais-je en souriant. Par la suite, je lui demandais si elle s’était fait des amis. Avouez que ma question ressemblait plus à un père inquiet pour sa fille. « Oui, je trouve que je suis plutôt bien entourée. » Au bout de plusieurs minutes de marchent, nous apercevions enfin les grandes grilles qui annonçaient l’entré d’Harvard. « D’accord. En tout cas, si jamais t’as besoin, je suis là. Tu sais que je ne mords pas » Un léger rire s’échappait de ma bouche, alors que nous passions les grilles.
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