TG ouvert à tous ✿ Cinéma en plein air

Venait-il vraiment de courir après la mère de son enfant alors qu'il avait sa petie amie non loin, oui Drew l'avait fait et il venait même de s'excuser auprès d'Evanna d'avoir été aussi dir avec elle ces derniers temps. Puis alors qu'il lui avait posé un doigt sur la boiche pour l'empêcher de parler, il lui avait assuré qu'il ne kui en voulait plus et qu'il souhaitait entretenir avec elle une relation plus saine pour offrir à Aliénor la chance de vivre dans un meilleur climat. Ce qu'il ne s'attendait pas c'était qu!elle se jette à son cou pour le remercier. Il repoussa l'air désolé : " Ne me sautes pas au cou comme ca stp... Surtout quand Prue est à côté... Est-ce que notre bébé est apte à sortir de l'Angleterre ? "

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Les choses prenaient vraiment une drôle de tournure. Je commençais sincèrement à paniquer. Bien que je tentais de toutes mes forces de ne pas le montrer. « Pathétique ? C'est pathétique de vouloir prévenir un mec génial de faire attention parce que sa petite-amie est du genre à passer sur les mecs que sa soit disant amie aime ? » Mayday, mayday, vous m'entendez ? Le papillon s'est craché ou sol parce que...attendez quoi ? Fallait que je rembobine, j'avais raté un truc. Mec. Amie. Aime. C'était moi le mec ? Nah, c'était Mickey. Secouant la tête, je tentais de me persuader moi-même alors que Prue continuais : « Ah parce que tu aimes Théo ? Etrange, quand on sait que tu n’arrêtais pas de chialer à cause de Marshall. Il faut croire que tu es multifonction ! » Round 2 ! Ça envoyait du lourd en plus, mais Prue avait formulé ce que je tentais de dissimuler tout bas. Tournant mon visage, je me surpris à fixer Leyna en plissant les yeux. C'était vrai ça ? Non hein, elle parlait juste d'amitié. Secouant la tête, je retrouvais mes esprits. « Et moi je voudrais que vous fermiez vos gueule, mais on a pas toujours ce qu'on veut apparemment. » Je devenais vulgaire. S.O.S. « Non mais c'est quoi ce bordel ? Eh oh, l'amitié ça vous rappel rien ? Je sors mon dictionnaire pocket ou bien ? » Ou alors je pars à reculons et je me tire.

Il m’avait suivi pour me demander pardon, puis à mon tour je m’étais excusée et je lui sauté au cou. A la base, je n’étais pas excessivement démonstratrice d’effusions de joie envers mon ex, mais là, ça me faisait plaisir. Cependant, alors que je m’attendais à ce qu’il partageât mon bonheur, Andrew me repoussa, m’expliquant qu’il ne voulait pas que Prudence ne nous voit trop près l’u de l’autre. Le rabat joie… Du coup, je reculais. -Oui, elle le peut, sans aucun doute. Et tu comptes la loger où, exactement ?

Il vebait d'accomplir ce qu'il avait promis de faore après qu'il ait eu la conversation post soirée des Mathers avec Abbey. Ils venaient de mettre assez de choses au point et il s'était excusé et tout. Comme ses mots avaient du fzire un effet réconfortant, la jeune femme avait sauté à son cou mais il l'avait repoussé par rapport à la fille qu'il aime... Bref il lui avait demandé si Aliénor pouvait sortir du pays. Elle répondait que oui puis elle demandait ou il souhaitait la loger. " Je compte acheter une maison ici. Jeviens de signer un contrat de nageur professionnel dans le club de Boston. Je voudrais qu'elle apprenne à s'habituer a la vie américaine. "

Andrew et moi n’avions jamais été aussi proche (dans le plan amical et pas celui sexuel) que maintenant. Nous parlions de notre fille, et ce, sans un mot plus haut que l’autre : un nt progrès ! Après une discussion, je sautais au cou de mon ex, mais celui-ci me repoussa, désireux de conserver Prudence à ses côtés et non de l’avoir comme ennemie. Il me demanda si notre petite Aliénor pouvait quitter le pays, et je répondis par l’affirmative. Je lui demandais où il comptait la loger, savoir si c’était loin ou si je pouvais la voir ? Andrew me répondit qu’il comptait acheter une maison dans les environs, qu’il avait décroché un contrat de nageur professionnel et qu’il voulait que notre puce s’habitue à la vie américaie. J’avais toujours plutôt vu les champs plus au Nord de Londres comme paysage tous les matins pour elle, mais bon, il fallait savoir faire des concessions. Tu comptes aller la chercher quand au juste ?

Leyna ne savait dire si elle regrettait d'avoir accidentellement dit qu'elle aimait Théo ou si au contraire elle était contente parce qu'il allait peut-être comprendre sa manière d'agir. Pourtant sa décision se concrétisa vite alors que la Dunster lui rappela sans détour qu'il y a peu c'est pour Marshall qu'elle pleurait. Aouch. Ça pour faire mal à l'égo surdimensionnée d'une ancienne Eliot c'est parfait... Dire qu'elle venait de se faire recracher à la figure des mois de confidences. C'était juste pas croyable. Alors qu'elle rageait, Théo en fit de même en tentant des les raisonner. Il fit même un rappel très important, leur amitié. Tu peux le lui sortir ça ferait du bien. Je croyais jamais que tu oserais m'insulter de la sorte Prue. S'approchant d'elle, la gifle parti toute seule. C'est moi ou sa arrive un peu trop souvent ce genre de situation ? À force la petite Carlson allait se casser un poignet ou un truc dans le genre. Se reculant Ley' les observa l'un à la suite de l'autre avec un haut le coeur, il n'y avait aucun mot assez puissant pour exprimer ses émotions en ce moment.

Le jeune homme était un peu fier de lui parce qu'enfin de compte, il était arrivé à parler avec Evanna sans problème et sans qu'ils ne finissent par s'engueuler. Il voulait vraiment réussir a entretenir une relation simple et sans complexes pour leur bébé. D'ailleurs après l'avoir repoussée parce qu'il ne voulait pas que sa petite amie croit qu'il se passe quelque chose, Il expliquait ses projts d'avenir en compagnie de sa fille. " Pendant cet été. On ira ensemble si tu veux. Tu devrais prendre un logement pas loin de chez nous pour qu'on puisse partager équitablement nos temps en compagnie de notre perle. qu'en dis-tu? "

Théo nous disait de la fermer, mais peu importe. Je ne l’écoutais plus. A présent, c’était entre Leyna et moi. Elle avait voulu me prendre de haut en me traitant comme une vulgaire concurrente et je détestais ça. Ne retenant pas ma colère, je laissais échapper une information capitale.   « Tu peux le lui sortir ça ferait du bien. Je ne croyais jamais que tu oserais m'insulter de la sorte Prue. » L’avais-je trahis ? En quelque sorte, mais elle m’avait bien cherché. Bim. Sa main était venue s’abattre sur ma joue avec une telle force, que j’en ressentie le claquement. Avait-elle vraiment fait cela ? Personne, ne me giflait et encore moins une amie. Ne montrant aucune émotion, je ne daignais pas répondre à sa gifle. Au contraire, je me rapprochais d’elle, avant de murmurer des mots, qui risqueraient de la blesser fortement, mais cela égalisait bien sa claque. « Je ne peux pas t’en vouloir d’être jalouse. Théo baise sacrément bien. J’ai adoré chaque minute passées dans sa chambre. »

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - J'avais beau ouvrir mon sublime clapet, ça ne faisait absolument aucun effet. Les deux jeunes femmes ne faisaient absolument pas attention à ma petite personne. Je jetais un regard à nos alentours mais à part deux trois convives d'assez près, personne ne semblait faire attention à nous. «Tu peux le lui sortir ça ferait du bien. Je croyais jamais que tu oserais m'insulter de la sorte Prue. » Ah si, Leyna m'avait entendue elle. Un sourire fier se dessina sur mon visage quand subitement la jeune femme gifla la seconde. Sans mentir, je restais totalement sur le cul et c'est là ou je pris conscience de mon caractère de pervers. C'était mal de les imaginer dans une piscine en plastique, se battant dans la boue ? Oui hein... Si ma bouche formait un O parfait, Prue ne resta pas les bras croisés et si je crus un instant qu'elle allait nous faire un téléphone arabe des gifles, elle n'en fit rien. « Je ne peux pas t’en vouloir d’être jalouse. Théo baise sacrément bien. J’ai adoré chaque minute passées dans sa chambre. » Juste ciel ! Je claquais une main contre mon front, hyper gêné. Quoique flatté d'un côté même si je savais que c'était pour faire chier Leyna qu'elle avait dire cela. Mais je ne pus m'empêcher de me tourner vers elle avec un grand sourire de crâneur. «  Tiens donc ? » Mais me déplaçant je prenais place entre les jeunes femmes pour les séparer, les reculant légèrement, cachant la vue de l'autre par mon corps. « On va se calmer tout de suite. La violence ne résout rien Leyna. Ce genre de discussion n'en vaut pas la peine. Allez plutôt regarder le film... » Bon ça n'allait servir à rien, je le savais parfaitement mais bon.

Autant que Leyna et Prue étaient indestructibles en tant qu'amies, autant que quand elles se prenaient la tête ça pouvait très rapidement dégénérer. On a même un témoin ici. Alors qu'à la base ce n'était qu'une petite blague de tête entre les cuisses, deux minutes plus tard on était rendu à la gifle et aux piques sanglantes. Miss Carlson avait l'impression qu'on s'amusait à lui planter un couteau dans le coeur, à le ressortir puis à le remettre en tournant de tous les côtés pour que ça fasse bien mal. Seulement elle était trop fière pour ne rien répliquer. Ouais bah que veux-tu, faut bien trouver un peu de positif à te prendre les mecs sur qui je suis déjà passée.Voilà, la guerre froide. C'était quand même triste de voir que personne n'écoutait le beau Winthrop alors qu'au fond c'est lui qui essayait de jouer au papa ours mais en un peu moins poilu. Bon par contre une fois qu'il se fut interposer entre les deux filles y avait un peu plus de difficulté à l'évité. D'ailleurs... c'est moi ou Bobby à eu une petite poussée de croissance ? Bref c'est pas le sujet de conversation du moment. Tu as raison cette conversation n'en vaut pas la peine. Prenez vous une chambre moi je m'en fiche, c'est pas comme si vous étiez difficile à remplacer. Sur ce bonne soirée. Tournant les talons elle soupira, valait mieux rester le plus loin possible de Théo ce soir finalement. Si la première prise de tête c'était pratiquement fini en angry sex avec les petites carottes dans le cul, la seconde avait cependant coûter une amitié à Leyna. Ce serait long avant qu'elle ne lui pardonne, quand bien même il s'agissait de Prue. Elle avait touché un point beaucoup trop sensible.