we can walk through the feels ~ joshua

Quel était le problème que ce soit sur des bateaux ? Il pouvait bien la rejoindre à la nage ou inversement. Il allait faire une très belle Petite Sirène. N'est-ce paaaaaas. Déjà il avait été roux avant, pfu il pourrait ressortir son ancienne couleur de cheveux pour le SC sérieusement. « Oui bien sur j'y songerai » Comme si il allait la repousser … il allait surtout prendre sur lui. Après pour des questions de confort, Joan allait forcément le faire, il n'y a rien de plus désagréable au monde que d'avoir l'impression d'avoir la bouche sale. « Je ne pense pas qu'elle soit là. Si elle est pas là, on y va et on ferme la porte à clé. » Aucune pitié, puis elle comprendrait bien hein ? La jeune femme se dirigea vers la-dite chambre. Elle toqua une fois, et en entrant il n'y avait personne. Alleluia, victoiiiiire. Lindley sourit. « Entreeeeee !!! Vite. » Elle tira Joshua à l'intérieur, récupéra les pizzas. Elle se rapprocha de lui pour l'embrasser. Elle recula ensuite légèrement avant d'ajouter.  « Si jamais j'oublie de me laver les dents ou que je m'endors. Et j'avais un peu envie aussi. » Ma foi oui qu'elle avait envie. Et Joan ne regrettait pas son choix, vivre de Quincy et de pizzas lui semblait être une belle façon de vivre, pour le moment en tout cas.

Josh&Joan★
how to face the unexpected

« Oui bien sur j'y songerai » Elle va le faire wesh, genre j'vais la tirer avec moi dans la salle de bains parce que moi aussi je me laverai les dents, et comme ça on pourra s'embrasser tranquille sans avoir peur d'avoir du fromage dans ma bouche. Ou même l'odeur. Duh. « Je ne pense pas qu'elle soit là. Si elle est pas là, on y va et on ferme la porte à clé. » ; « D'acc » On arrivait alors face à sa porte de chambre sur laquelle elle toquait et entrait. C'était avec curiosité qu'on découvrait une chambre vide. « Entreeeeee !!! Vite. » Pour cette raison, Joan m'attrapa et me tira à l'intérieur de la pièce, posant les pizzas sur le meuble le plus proche pour ensuite m'embrasser. Mh, ça c'était de l'entrée en matière que j'aimais un peu beaucoup quand même. Une fois séparé, je me reculais pour fermer la porte à clé alors qu'elle ajoutait « Si jamais j'oublie de me laver les dents ou que je m'endors. Et j'avais un peu envie aussi. » Je souriais en hochant la tête. « J'espère bien que t'en avais envie, un peu quand même. » A quoi ça servirait qu'on soit en couple si elle n'aime pas m'embrasser après tout. « Bon, j'ai la dalle alors femme, apporte moi ma pizza. Et vérifie qu'elles sont bien prédécoupées. » disais-je en m'installant dans son lit, après avoir retiré mes chaussures et posé mon sac par terre.

La jeune femme préféra accepter docilement de jouer les boniches (ou les bonnasses) parce que monsieur était un homme, même si tout le monde autour de cette table sait que l'homme est une femme. Mais on va pas commencer à mélanger rp et irl dans le rp sinon on va pas s'en sortir. Non sérieux ça va de nouveau être un débat sur les joies de skype, les boulets de facebook et la chance extraordinaire qu'à l'homme à vivre prêt de chez Mickey alors que la femme doit faire six heures de route, ce qui est injuste. Disney c'est pour les enfants, pas pour les mamies. Enfin bon. La brune grimaça, tira la langue et grogna avant de prendre une pizza au hasard. « C'est bien t'as au moins compris que les chaussures sur le lit je veux pas. » Décidément cette cohabitation amoureuse commençait vraiment bien. Joan quitta à son tour ses joulies chaussures, la boîte de pizza en main. Forcément, une fois bien installée en tailleur sur le lit, elle ouvrit la boîte et découvrit avec horreur qu'elle n'était pas découpée. Zut. C'était le genre de choses qu'il fallait vérifier à la commande. J'vous jure aucune organisation. En plus elle n'avait pas de couteau, juste des ciseaux. Des ciseaux taille 6 ans, roses, coloriés de partout. « Euh, on a qu'à la couper avec les doigts ? Je vais chercher des mouchoirs pour qu'on s'essuie. Débrouille-toi avec la pizza homme » Elle finit par se lever et prit un paquet de mouchoir, attrapant au passage la boîte de chewing-gum. « Je vais pas me lever cinquante fois. » dit-elle pour se justifier. N'empêche, elle les avait pris ses fichus chewing-gum, il allait être un homme comblé. En attendant, elle fixait la pizza, désespérée de leur non-organisation.

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Après avoir fermé la porte et les pizzas posées sur un meuble non loin de l'entrée, je me dirigeais vers le lit sur lequel je m'installais, délesté de mes chaussures. Et ouais, j'aimais pas être sur un lit avec des chaussures, que ce soit mon lit ou celui de ma copine. Visiblement, elle était du même avis que moi. « C'est bien t'as au moins compris que les chaussures sur le lit je veux pas. » C'est que, même si j'ai eu énormément de familles d'accueil, j'ai eu tout de même une bonne éducation. Disons que je savais les bonnes choses et les mauvaises choses. Une pizza emportée sur le lit, elle ouvrit la boite et, horreur malheur, c'était pas prédécoupé. En même temps, fallait pas s'étonner. J'crois fallait demander lors de la commande et on était bien trop pressé d'avoir les pizzas pour pouvoir rentrer et faire ce qu'on veut entre quatre murs vu que mademoiselle n'aime pas les lieux publics. Pas étonnant que j'ai oublié de le demander. Mais je lui épargnerai les détails et je resterai triste que nous ne pouvons pas manger proprement nos pizzas. « Euh, on a qu'à la couper avec les doigts ? Je vais chercher des mouchoirs pour qu'on s'essuie. Débrouille-toi avec la pizza homme » Couper avec les doigts... Mh, okay, on fait comment ? « T'sais que la pizza c'est pas du papier ? Ca se coupe pas comme ça facilement..! » Il suffisait qu'une soit bien remplie de sauce tomate pour que ça foire tout le découpage. Je regardais la pizza sous tous les regards et god, ça allait être vraiment compliqué. Elle revenait avec une boite de chewing gum et des mouchoirs, ce qui m'arrachait un sourire. « Je vais pas me lever cinquante fois. » Je la stoppais avant qu'elle ne se réinstalle sur son lit pour lui demander avec toute la gentillesse Quincy en moi « Tu veux pas aller demander à quelqu'un dehors ? » Une paire d'yeux de chat potté et on espère que ça marche. « Et j'te laisserai faire de moi ce que tu veux à ton retour. » Ouais, comme ton esclave.

Justin Bieber in da place :sifle: babyyyyy babyyy ouuuuuuuh like babyyyyy babyyyy ouuuuuuh

« Je rêve ! » Non mais oh ! C'était quoi ce soudain machisme ? Il pouvait pas se lever lui ? La jeune femme, sous le choc, se contenta de râler dans sa moustache – c'est une IMAGE, évidemment qu'elle n'a pas de moustache, elle est pas poilue tss – et se lança dans les couloirs de la Quincy House à la recherche d'un couteau. À cet instant-là, vraiment, elle le détestait. Cependant, elle était boostée par sa promesse. Esclave à vie. Héhé oui. Il n'a pas précisé pour une durée déterminée. Joan harcela la moitié des Quincy avant de finalement trouver le Saint Graal. Mais, elle s'assit un moment par terre devant sa porte, histoire de faire patienter Joshua qui semblait prendre Lindley pour sa conchita. Puis, elle finit par entrer. Uniquement parce qu'elle s'ennuyait dans le couloir, sinon elle serait rester longtemps juste pour le plaisir d'emmerder Dwight. Elle grimpa sur son lit, où il avait prit ses quartiers, coupa sa part de pizza et mordit dans sa part de pizza. « Je suis en train de chercher de quoi te faire souffrir. Tu sais comment c'est dur de trouver un couteau dans une confrérie pacifiste ? Je crois que j'aurais plus vite fait d'aller en chercher chez les Mathers ou les Eliots. Je viens de perdre au moins deux heures de ma vie à chercher un couteau. Je n'aurais perdu qu'une heure de ma vie si tu m'avais aidé ! » Il allait en baver, moi je vous le dis. D'ailleurs après avoir bien mâché sa pizza quatre fromages, bien avalé – quand même – et embrasse bien le jeune homme. « Maintenant que j'y repense j'ai plein d'idées de tortures. » Elle était motivée wesh, c'est fou comment ça peut être inspirant une pizza. Qui aime bien châtie bien, hein ?

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« Je rêve ! » J'étais bien installé moi sur son lit alors forcément, je ne voulais pas bouger. Et j'avais profité du fait qu'elle, elle se soit levée, pour qu'elle aille chercher un couteau pour couper la pizza. Vous avez déjà essayé de couper de la pizza à la main ? C'est pas du papier, ça se déchire pas comme on l'entend. Ca fout surtout de la sauce partout, de la garniture partout et au final, on peut plus que déguster la pâte mal cuite. Du coup, elle était partie et puis moi je restais installé, calé dans les coussins en évitant de penser à la pizza qui était juste là à côté de moi et qui m'appelait. Mon ventre grognait mais je pouvais pas manger vu que je pouvais pas couper de part. Après je ne sais pas combien de temps à être tout seul dans cette chambre qui n'était pas la mienne, je fus rejoint par celle que j'peux appeler maintenant ma petite amie. « Je suis en train de chercher de quoi te faire souffrir. Tu sais comment c'est dur de trouver un couteau dans une confrérie pacifiste ? Je crois que j'aurais plus vite fait d'aller en chercher chez les Mathers ou les Eliots. Je viens de perdre au moins deux heures de ma vie à chercher un couteau. Je n'aurais perdu qu'une heure de ma vie si tu m'avais aidé ! » disait-elle une fois sa part de pizza coupée et un bout déjà avalé. Parce qu'on sait tous qu'il ne faut pas parler la bouche pleine. « Maintenant que j'y repense j'ai plein d'idées de tortures. » J'attrapais le couteau et je me coupais une part vu qu'elle ne voulait pas me la couper et je l'apportais jusqu'à ma bouche pour que je puisse déguster tranquillement et que mon ventre se rassasie. « J't'ai dit, j'serai ton esclave donc fais moi faire c'que tu veux.. dès que mon ventre aura reçu assez de pizza. Et puis après les bisous, faut m'donner la force de faire ce que tu m'demanderas de faire. » disais-je avec un sourire sur les lèvres. Je mâchais tranquillement mon morceau et une fois avalé, je rajoutais « Merci... d'avoir récupéré un couteau quelque part dans c'te maison. Et mon estomac aussi te remercie. J'crois même que c'est lui qui te remercie le plus en fait. » Elle allait pas pouvoir m'en vouloir éternellement de toute façon.

Pas trop exigeant ça va. En même temps, ce n'était pas pour lui déplaire. Si la conquête avait été trop facile, elle se serait ennuyée. Il fallait un bon équilibre de oui et de non. Sauf que là, la jeune femme disait surtout non. Non elle ne pardonnerait pas. En tout cas, elle n'allait pas lui dire, parce qu'au fond elle s'en moquait pas mal d'avoir passer un quart d'heure à chercher un couteau. C'est-à-dire qu'elle pensait quand même bien un peu beaucoup à ce qui allait suivre. Et noooon, pas forcément au soir en particulier. Ils avaient autant de temps qu'ils voulaient devant eux. Bon d'accord, avant aussi. En fait elle ne voyait pas du tout ce qui avait changé. Pourtant elle avait vraiment l'impression qu'il s'était passé quelque chose, genre une avion de chasse qui passe dans le ciel, un oiseau qui se prend un pare-brise dans la face, un chat qui tombe du huitième étage parce que son propriétaire fait des expériences. Peut-être que ça change rien au quotidien, mais à chaque fois, Joan avait la sensation que le cours du temps était inversé, qu'on venait de découvrir un nouveau continent, ce genre de choses. Pas qu'elle prenne les choses trop à cœur, non … « Cimer, je crois que j'aurais du me mettre en couple avec ton estomac, lui au moins il a l'air sincère et il va droit au but t'vois. Il a faim il grogne, il est content il se tait. C'est pas comme toi qui me manipules. » Joan tenta de garder son sérieux mais elle finit par sourire, transformant ça en grimace, histoire d'avoir un minimum de crédibilité même si Joshua l'avait probablement grillée depuis un moment. « Tu m'énerves. » Lindley entreprit de couper toute la pizza entamée. Mine de rien c'était un sacré signe de paix.

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J'avoue que je faisais le chieur là mais c'était pour que les choses ne soient pas si faciles. Genre si je me montrais comme le parfait petit ami, elle se lasserait, comme toutes les filles en fait. Donc j'me montrais un peu macho pour que ça rajoute du piquant à notre relation. Un peu comme la sauce piquante que j'ai oublié de mettre sur la part que j'étais en train de manger actuellement. Bon, tant pis, ça sera pour la prochaine. Là, j'ai trop faim pour pouvoir faire quoique ce soit si ce n'est manger. « Cimer, je crois que j'aurais du me mettre en couple avec ton estomac, lui au moins il a l'air sincère et il va droit au but t'vois. Il a faim il grogne, il est content il se tait. C'est pas comme toi qui me manipules. » J'avais encore un sourire sur les lèvres alors que je dégustais ma part de pizza, me retenant de rigoler. Genre je la manipule. Savait-elle vraiment ce qu'était la manipulation ? Visiblement ce n'était pas le cas. « Bah vasy, t'attends quoi ? J'suis sûr que tu vas kiffer une relation avec lui. J'vous laisserai même tranquille pour vos ébats amoureux. » Good lord, j'étais vraiment en train d'accepter que ma copine me largue pour s'foutre avec un estomac, un organe. Ouais, on était pas du tout défoncé là.. Le pire, c'est que j'avais rien pris et je pense pas que ça soit son cas non plus. « Tu m'énerves. » finissait-elle par m'avouer. Un sourire, une grimace et une pizza découpée entièrement après, je me mettais à sourire à mon tour. J'attrapais une nouvelle part que j'entamais tout en la regardant, le sourire en coin. « Ah oui, je t'énerve ? » Bon okay, je disais ça surtout pour la taquiner et voir ce qu'elle allait répondre. Bah ouais, ça m'intéressait.

« Ouais c'est ça tu nous regarderas comme un vieux papy pervers devant YouPorn. » C'était assez weird. Puis quitte à choisir un organe autant prendre le cœur, c'est romantique le cœur. L'estomac, triple beurk. Parce que l'estomac c'était se taper les sucs gastriques, les remontées acides, tous ces trucs dégueulasses contre lesquels luttent les médocs dont ils font tout le temps la pub à la télé. Le truc avec les pompiers là. C'est dingue ce qu'elle pouvait avoir appris des choses en fréquentant monsieur l'étudiant en médecine. Mine de rien, la morfale qui sommeillait en elle venait de s'enfiler trois parts. Joan était déjà presque rassasiée, mais elle ne voulait pas laisser Joshua manger tout seul. Elle trouvait ça un peu nul et elle aimait bien s'occuper de ses invités. Bon clairement, c'était plus un invité temporaire. « Gnagnagna. Oui. » En vrai, pas vraiment. En fait, c'était très simple de l'énerver pour rien, mais pour l'énerver pour de vrai, ça prenait des années, des siècles. En bonne goinfre qui se respecte, elle enchaîna sur une quatrième part. Or lorsqu'on mange trop vite, à un moment ou un autre, ça bloque. Elle se laissa tomber en arrière en gémissant. Puis elle se repoussa sur ses coudes pour attraper le paquet de chewing-gum. Elle en mâcha un, pensant à pas s'étouffer. « C'est fatiguant de manger, je pense que je vais dormir. Qu'est-ce que tu en penses ? » Comme si elle avait l'intention de dormir héhé. S'il n'avait pas été là, c'est probablement ce qu'elle aurait fait, sauf qu'il était là. Elle réfléchit à ce qu'elle pouvait exiger du brun puisqu'il était son esclave. Un massage des pieds ? Nan elle était trop chatouilleuse. Un massage du dos ? Non, c'nul ça. Pfui, elle allait devoir le laisser faire ce qu'il voulait. Genre, l'affranchir.

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Bon, il était clair que quand je disais que je les laisserai, elle et mon estomac, faire des choses pas catholiques, je ne pensais pas du tout à ça. « Ouais c'est ça tu nous regarderas comme un vieux papy pervers devant YouPorn. » Je la dévisageais légèrement et que lors d'un court instant avant de lui répondre en toute honnêteté, toujours dans le même délire. « Ouais non. Je pensais pas du tout à ça en fait. J'pensais à regarder ailleurs pour éviter de faire le jaloux... surtout auprès de mon estomac quoi. T'as déjà vu un mec taper une crise de jalousie à son estomac ? Moi non plus. Et j'veux pas être le premier. » C'était une certitude. Suicide social assuré après ça. Donc ouais non, on en reste à notre plan premier : elle et moi, c'est tout. Pas de relation extra-conjugale avec n'importe quel estomac. Je continuais de manger, lui lançant des regards avec un sourire sur les lèvres, même après l'avoir repris sur l'emprise que j'avais sur son énervement. « Gnagnagna. Oui. » Ca me faisait clairement plus rire qu'autre chose. Après tout, qui aime bien châtie bien donc si je l'énerve, c'était preuve que je l'aimais bien. J'en étais qu'à ma deuxième part et elle était déjà à sa jenesaispluscombientième. Eh okay, goinfre. Je continuais de manger malgré qu'elle se soit laissée tomber en arrière, entamant alors ma troisième part de pizza. God que c'était bon, je me régalais genre vraiment. « C'est fatiguant de manger, je pense que je vais dormir. Qu'est-ce que tu en penses ? » Je fronçais les sourcils, reposant ma part de pizza pour lui montrer que ça m'coupait l'appétit ce qu'elle me disait là. « Nan, j'suis pas d'accord. Tu m'as pas extirpé de la bibliothèque pour dormir. Tu veux dormir genre vraiment vraiment ? »