KENNY&ANYA இ « Once upon a dream »

Je sais pas trop ce qui se passe ces derniers temps, pourtant on semblait être tellement osmose. La tête sous l'eau, je réfléchissais. Avant, il aurait tout fait pour me donner du plaisir quand bien même il en avait pris avant moi ... mais là non il était parti, comme si la partie était fini. Qu'il avait eu ce qu'il voulait et l'affaire était conclue. Je le prenais mal ... la dernière fois j'avais rien dit mais là ... partir comme ça en me laissant en plan sans rien c'était surement pas la chose à faire. Je sortais la tête de l'eau en prenant une grande inspiration. J'étais surement resté trop longtemps sous l'eau, je n'avais plus au d'oxygène. Passant mes mains dans mes cheveux pour les plaquer, je sortais enfin de la baignoire après de longue minute. J'enroulais la serviette autour de mon corps sans un mot tout en prenant une petite pour sécher mes cheveux. C'est en retournant dans la chambre que je vis Kenny sous les couvertures, le mâle était parti se coucher après son plaisir ? C'était ça le truc ? Un sourcil arqué, je le regardais faire, du moins ne rien faire avant de soupirer et de m'habiller. Je mettais rapidement mes sous vêtement puis une petite jupe noire et un chemisier blanc transparent. Je retournais dans la salle de bain pour me sécher les cheveux regardant encore les livres de mariages ... c'était ça ? Je les poussais, un peu sur les nerfs et complètement frustré. Je voulais pas que ma vie devienne comme ça. Une fois fait j'attachais mes cheveux en queue de cheval, mis un peu de mascara et de blush pour sortir pimpante avec finalement les livres sous le bras.  Je vais dans le jardin lui dis-je . Passant près de la chambre d'Alessia, je constatais qu'elle dormait comme un ange, Manuela allait partir pour rejoindre ses fils. C'est donc totalement seule au rez de chaussé que je me faisais un café tout en feuilletant les catalogues toute seule. Finalement tout ceci ne semblait plus l'emballer autant. J'avais cédé sur le mariage, c'était peut être ce défis qui l'avait animé et maintenant ... l'idée ne faisait plus son chemin.

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Je devais rattraper la situation seulement je n'étais pas le seul à le faire. A vrai dire, je reconnais que j'attendais qu'Anya vienne me voir, une histoire comme celle-là se réglait à deux, en parlant mais déjà que j'avais fuis, je pouvais pas revenir pour dire: ma puce vient on va parler de ce qui a eu, c'était limite donner le bâton pour se faire battre. "Ok…" Elle allait dans le jardin quelques secondes après avoir mit des vêtements, bien soit ça ne la marquait pas, soit elle m'en voulait et je pense que c'était plus la seconde option. Les yeux rivés sur le réveil, je regardais les minutes défiler avant de me lever pour m'habiller à mon tour et descendre seulement mon téléphone me retenait. Anastasiya. Un SMS d'elle, elle était en bas et malgré la faible distance qui nous séparaint, nos cœurs se mit à parler. Je souffrais, j'avais mal, elle ne voulait que de moi des plaisirs rien de plus et après plusieurs minutes de discussion, même si j'étais toujours habité par la surprise et énervé, je descendais.
Alessia dormait, j'affichais un petit sourire avant de regarder Anya et me poser face à elle. J'ouvrais à plusieurs reprises la bouche pour la refermer ensuite, une fois, cinq fois pour finalement prendre un jus d'orange dans le frigo. "Je…" Je renfermais la bouche à vrai dire je devais m'excuser ou m'expliquer en vrai ? Ou même faire les deux ? Je savais pas, ça m'agaçait tellement en cet instant que je prenais un catalogue pour le feuilleter. "J'aurais aimé le 14 juin à vrai dire, j'aime le mois de juin, il fait ni trop chaud, ni trop froid…" Je buvais le jus d'orange, mes yeux rivés sur sa main qui tournait les feuilles pour enfin lui prendre. "Je veux du mariage… Viens…" Je tirais sa main, je la voulais contre moi, la serrer bien fort en faisant des plans d'avenir avec elle. Les fleurs, la date, les faires-parts, je voulais tout faire en sa compagnie. "On fait un point sur ce qu'on a déjà sur le papier…" dis-je en prenant un stylo et une feuille blanche. "Les alliances, je les aie déjà, tu les as vu la dernière fois. Les vœux pour moi oui, toi non donc c'est presque fait, la nuit de noce c'est fait et la date on l'a…"
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J'étais énervée et blessée, alors prendre un bol d'air frais était surement la meilleur des solutions avant qu'on ne s'envois des sms. Je n'arrivais pas à être claire sur ce que je voulais lui faire passer comme message. Bien sur que non, je n'attendais pas de lui, seulement des plaisirs charnels, sinon nous n'aurions pas d'enfant aujourd'hui, nous n'habiterions même pas sous le même toi et nous ne saurions pas en train de préparer notre mariage, il y'avait beaucoup plus derrière. C'était évident et qu'il puisse imaginer ce genre de chose aussi était blessante en plus de sa désertion. A vrai dire, je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il vienne. C'est donc avec une grande surprise que je le vis là, planter face à moi, assis sur une chaise à ouvrir la bouche puis la fermer. Je le regardais faire d'un oeil discret, faisant mine de ne rien voir. J'étais partagé entre l'envie de lever les yeux au ciel d'exaspération ou de me moquer de sa façon de faire.  C'est pas possible le 14 Juin Kenny, déjà juillet ça fait peu imagines, y'a encore tellement de chose à préparer .... ça se fait pas en un claquement de doigt, ça ne dépend pas que de nous pour que tout soit parfait Je voulais que se soit parfait et pas bâclé puis s'il suivait un peu ce que je lui disais en général, il devait savoir que jusqu'au 13 juin, je n'étais pas vraiment disponible, alors comment faire pour organiser ? Peaufiner ? La main de Kenny venait tirer la mienne, je me laissais faire un peu mollement pour finalement me retrouver sur ses genoux. Je ne le regardais pas encore un peu désorienté.  Je sais pas Kenny j'ai cette fichue impression que c'est le défis de me faire changer d'avis que t'aime puis quand ça se concrétise PAAF cette envie s'estompe. Regardes tu me tannais pour que je tombe enceinte et quand c'est arrivé on a pas arrêté de se prendre la tête, tu me tombais dessus à longueur de temps alors que c'était pas le moment ... c'est réellement l'impression que j'avais, sincèrement. Il dressait le bilan de ce qui avait avancé je le regardais faire en posant ma main sur la sienne pour qu'il arrête tout  J'ai pas envie que se soit une source de stresse pour toi de te marier avec moi, que ça te file de l'urticaire ou je ne sais quoi , je pensais que ... je pensais que t'allais être plus heureux, je voulais que tout se passe bien

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Je voulais vraiment le mois de juin mais Anya n'avait pas l'air de le vouloir. Bon j'avais déjà attendu depuis septembre je pouvais encore attendre un peu. "Ok alors le 14 juillet ma chérie !" Je souriais un peu, je ne savais pas comment être avec elle mais je savais que je la voulais contre moi à cet instant, la sentir, passer mes doigts sur sa peau, oublier ce qui avait eu pour mieux rebondir. "C'est pas ça Anya…" dis-je en baissant un peu la tête. "J'avais fais une rechute depuis fin décembre, je te l'ai jamais dis parce que je le savais pas jusqu'à mars au spring break mais la tumeur est logée dans un endroit qui joue sur mes sentiments, sur mes humeurs et la colère est le sentiment qui domine chez moi parce que c'est le coté d’où elle appuie le plus… Je veux pas que tu crois que c'est forcément contre toi car c'est pas vrai, c'est pas contre toi, c'est que quand tu étais enceinte bah moi aussi en quelque sorte, je portais la tumeur…" dis-je en grimaçant, c'était dur d'en parler parce qu'on devait être lucide, les disputes c'étaient moi souvent. On se prenait jamais la tête avant le mois de décembre, on était souvent en accord, on était amoureux comme jamais puis du jour au lendemain, j'avais changé sans même m'y attendre. Prenant un papier et une feuille, j'espérais qu'elle passe à autre chose mais non Anya était buté, pire qu'un âne, elle restait là à vouloir aplatir la situation. Ce n'était pas plus mal mais comment je lui avais expliqué tout à l'heure, je perdais souvent le contrôle de mes sentiments, de mes envies. "J'ai envie Anya vraiment mais c'est pas forcément pour le mariage que je stresse plus pour moi et si ce jour là, je me sens pas bien? Que j'ai des maux de tête, je fais comment ?" Mes yeux s'embrumaient, c'était le fond du souci, un souci qu'il avait apprit à résoudre par différente manière dont le traitement qui marchait vraiment bien même s'il y avait des ratés niveau intimité. "Et notre lune de miel ? Si ça se passe comme tout à l'heure, tu vois comment on va s'en souvenir ? Je pensais t'épouser depuis longtemps mais pas en étant malade parce que j'avais cru que c'était fini…"
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Merci lui dis-je avec un sourire sur les lèvres. C'était beaucoup plus simple comme ça pour eux. Les choses devaient peu à peu se remettre dans le bon ordre, mais pour cela nous devions parler lui et moi. Je comprenais ce qu'il avait vécu réellement, je savais à quel point il avait pu avoir mal, à quel point il peut avoir mal, mais jamais je ne serais à sa place et jamais je ne pourrais le juger pour ça ou bien lui en vouloir. Okay .. d'accord Je n'en avais aucune idée. Je ne savais pas que ça touché son ses sentiments à ce point là et dire que je m'étais fait tout un film. J'enroulais mes bras autour de son cou pour y nicher ma tête et juste fermer les yeux et m'apaiser grâce à son odeur bien à lui. Elle était tellement douce pour mes narines, tellement apaisante pour mon coeur et enivrante pour mes lèvres. Je pense que jamais j'arriverai à imaginer à quel point ça te bouffe, même si j'imagine très bien à quel point ça me bouffe moi ... Je savais pas tout ça, j'ai tellement cru que c'était l'idée que je sois enceinte qui t'étais devenu si peu importante du moment que c'était fait.  ouai, à ce moment là, je m'étais sentie la plus part du temps seule et malheureuse. Me disputer avec Kenny était quelque chose que je détestais, bien que ça nous arrive souvent.  Tu seras pas malade ce jour là et encore moins le jour de notre lune de miel et si c'est le cas, on recommencera rien que nous encore et encore jusqu'à ce que tu te sentes apte à  J'étais fin prête à me marier avec lui, que se soit une fois ou des millions de fois tant que c'était avec lui. et notre lune de miel on pourra la recommencer quand bon nous semble je te le promet  un sourire contre sa peau, je n'avais pas bougé de mon endroit favoris. Mes bras l'encerclais toujours alors que je posais mes deux jambes sur lui. Tu veux pas qu'on aille feuilleter les catalogues dans le hamac ? J'ai envie que tu me serres fort contre toi et je veux pas que tu penses que je t'aime juste parce que tu peux m'apporter du plaisir. J'aime tout de toi Kenny, tout vraiment que se soit ton humour merdique, ta gentillesse , ton intelligence ... J'aime quand tu m'apprends des choses, quand tu te trompes aussi , quand .... autant dire qu'elle avait une longue liste. Tu es la seule personne que j'ai réellement aimée, que j'aime et que j'aimerai et c'est pour ça que je veux faire ma vie avec toi si ce n'est pas plus, toutes celles qui suivrons aussi

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Je n'y croyais pas Anya était si douce, elle me comprenait et mon cœur s'allégeait. Je me sentais mieux, j'avais enfin déballé ce que je ressentais ce qui se passait, j'aurais du lui dire plus tôt au lieu de lui faire croire que c'était moi le mauvais dans l'histoire, c'était juste la tumeur, cette petite merde dans ma tête. "Je te mérite pas…" chuchotais-je en refermant mes bras sur elle. Oui à cet instant je savais qu'elle était bien meilleure que moi, qu'elle faisait des efforts et qu'en contrepartie je lui offrais un homme même pas fichu de lui donner ce qu'elle souhaite. Je souriais, recommencer la lune de miel quant ils le voulaient, cette idée était vraiment tentante et j'aurais pu sauté sur la perche pour lui demander un entrainement mais je me sentais bloqué. Deux fois, deux fois que je me plantais évitons la catastrophe. "Moi aussi je t'aime ma chérie ! Et allons-y, parlons mariage dans ce hamac !" dis-je en me redressant tout en la portant. J'étais touché, j'avais du mal à cacher mes yeux tout brillant, ma larme qui roulait le long de mes joues à cause de sa fichue déclaration. "Mais me dis pas des trucs comme ça quand je suis ainsi…" Faible. C'était le mot, Anya méritait vraiment mieux clairement alors je ferais tout pour être à sa hauteur. "Ramasse tout…" Je pris un catalogue entre mes doigts et on partait dehors armé du babyphone pour surveiller notre princesse de loin. Le jardin était beau, je crois que c'était l'endroit le plus apaisant de la terre, j'avais l'impression de vivre ailleurs surtout quand on se posait dans l'hamac. Elle contre moi, mon bras qui passait sous sa tête pour que ma main caresse sa joue, j'embrassais son front… son nez… puis terminait sur ses lèvres. "On commence par quoi ? Y a tellement de truc…" La liste devant mes yeux, je riais un peu. "Le point positif c'est qu'on va mourir ensemble dans la galère !"
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Mes yeux se fermaient lorsqu'il renfermait ses bras autour de moi. Un petit rire s'échappait d'entre mes lèvres à ses mots. A croire que j'étais une gentille fille à ses mots. et c'est que maintenant que tu t'en rends compte ?  lui demandai-je en entrant complètement dans son jeu. C'était bel et bien le contraire. J'étais la personne froide, la personne vile et méchante, s'il savait ce que j'avais essayé de faire, s'il savait que la drogue que Briony avait repris dernièrement, ce qui avait séparé Andy et cette femme durant un moment, venait de moi ... Il était gentil, tellement gentil et aimant et parfois, je me demandais si ses sentiments ne changeraient pas en sachant toute les mauvaises choses que je pouvais faire ... sauf que c'était une part de moi et je ne pouvais pas la changer. J'aimais ça, faire du mal, me sentir supérieur et écraser les autres. J'avais pas un complexe d'infériorité, non, c'était plus un esprit mal tourné, un esprit qui aime se sentir puissant et grand. Les grandes mains de Kenny se posaient autour de moi pour me porter. Je me laissais faire, telle une princesse en gardant bien fermement mes bras autour de son cou , sauf qu'en levant mon regard vers lui, je vis une larme couler sur la joue de Kenny. Sérieusement ? Hey .. pleures pas dis-je en retirant une de mes mains de sa nuque pour essuyer sa joue du bout de mes doigts. Bien sûr que je vais continuer à te les dire dans ce genre de moment, c'est beaucoup plus facile pour moi riais-je en plongeant mon regard dans le sien tandis que la seconde d'après je ramassais les livres pour aller dans le Hamac. Une fois installés dans le hamac, il passait son bras sous ma tête qui se reposait volontiers contre son biceps. Il avait repris le sport et c'était un peu comme se poser dans un coussin fait pour sa tête, une moulure parfaite. Je souriais à ses baisers contre mon front, mon nez puis mes lèvres tandis que mes yeux étaient fermés. ça serait bien qu'on le fasse dans des milliers d'années bon milliers j'abusais, on étaient pas éternels non plus mais je préférais pas penser à ce genre de chose, parce que ô combien de fois j'avais eu peur qu'il ne me laisse et s'endorme éternellement ? Ma main posait contre son torse, je levais un peu la tête pour regarder le bouquin. Hum le lieux ... on a même pas décidés réellement où on allait le faire ... enfin ça dépend aussi si tu te sens bien  lui dis-je en caressant son ventre sous son tee-shirt.
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"Je pleure pas, j'ai une crotte dans les yeux…" Bon ok c'était pas glamour mais je m'en moquais, je voulais pas qu'elle me prenne par pitié, c'était horrible de penser que sa fiancée pouvait nous trouver faible même si elle balayait mes deux pauvres larmes qui c'étaient égaré sur mes joues. Les yeux posés sur elle, je souriais, je voulais tellement l'embrasser que je préférais m'abstenir pour aller m'installer dans l'hamac en la portant comme une princesse. Allongé tous les deux, je posais ma joue contre sa tête, elle avait l'air bien contre moi, j'étais bien avec elle, c'était naif de se dire que le bonheur se résumait à ça mais j'assumais totalement. Cette femme me rendait heureux, me faisait avancer et combien de fois elle m'avait sorti la tête de l'eau avec son caractère de cochon. "Tu verras on va fêter notre 50ème anniversaire de mariage à la maison de retraite sans nos dents mais toujours amoureux !" Je riais, je comptais bien vivre pour elle-même si ce n'était pas pour moi, je voulais la voir encore sourire, rire. La vie ne l'avait pas gâté, elle accumulait les pertes de ses proches comme on faisait une collection de peluches alors je ne lui créerait pas une nouvelle blessure au fond d'elle. "T'occupe pas de moi, je gère !" dis-je en souriant. Ou pas, j'avais peur de tomber malade ce jour là et dieu sait que j'étais bien placé pour savoir que l'avenir pouvait changer en une fraction de seconde. "Je pensais au Brésil à un moment donné, je trouve qu'il nous ressemble bien mais après est-ce qu'on fait ça dans une salle ou à l'air libre ? Puis ça dépend des invités aussi, des proches qu'ils amènent !" En gros, j'étais complètement paumé.
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Hum hum tout à fait dis-je en souriant alors que mes doigts s'écrasaient contre ses joues pour les lui essuyer. Une fois installés convenablement dans le hamac, je me posais contre son bras, mes doigts quant à eux longeaient son torse sous son tee-shirt comme elle pourrait le faire en caressant l'une des peluches de sa fille. Parles pour toi, j'aurais encore mes dents  lui dis-je en lui pinçant un tétons en riant. Le Brésil ça me convient tout à fait après tout c'était notre pays non ? En tout cas, cette idée me touchait tellement. Je préférerais en plein air .. mais après si tu veux on peut le faire à la maison du lac au moins si t'as besoin de te reposer on est près Oui, je n'avais pas envie qu'il se sente mal ce jour là. Oui les invités ... faut qu'on en parle aussi  oh oui mon petit gars j'avais des droits de véto à poser
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"Donc allons-y pour le brésil !" Elle avait dit oui, j'y croyais pas, je pensais qu'elle allait rechigner, qu'elle allait vouloir aller après au brésil pour notre lune de miel mais non, elle avait dit oui. Je trépignais d'impatience, ça allait vraiment me plaire tout ça, tout s'organisait comme dans mon rêve. Oui j'avais rêvé de cet instant et alors ? Je tenais comme je pouvais après tout c'était mieux de rêver de romantisme, que de la drogue ou de l'alcool. "Anya sérieux ! On vient de dire le Brésil ça va être là point je négocie plus !" Je prenais le stylo écrivant dans la case lieu, le mot Brésil même si je reconnaissais que dans mes valises j'allais ramener peut être une infirmière avec moi après tout on était jamais trop prudent et puis si j'allais bien elle aurait profité du voyage. "Donc déjà ma famille, la tienne aussi après je veux vraiment les proches parce que les autres pourront venir en Russie, on va pas les faires venir pour les deux cérémonies…" dis-je concentré. Manuela arrivait à ce moment là les interrompant dans leur discussion, couverture à la main, elle étalait sur Kenny qui fronçait les sourcils. "Je vais y allez et Kenny ne rechignez pas !" dit-elle en le regardant un peu durement. "J'ai rien dis…" dis-je en me faisait tout petit, les mamans latine me faisait peur que voulez vous, j'étais persuadé qu'elle pouvait me jter un mauvais sort avec les poupées vaudou même si Manuela était une femme vraiment en or. Elle était souvent avec moi quand Anya était dehors, une relation mère-fils c'était installé, la preuve. "Au revoir…" déclara t'elle alors que je mis mon nez dans les livres. "Faudra penser à l'augmenter un peu…"
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