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Bon, il est vrai que si je disais à quelqu’un que je n’étais pas un mec qui avait pour habitude de coucher avec des filles sans pour autant entretenir une relation très approfondie cette personne me rirait au nez, mais ces derniers temps j’avais été sage, peut-être trop sage pour ne pas succomber à ce petit jeu qui me plaisait chaque seconde davantage ? Je ne cherchais pas d’explications, il n’y avait aucun motif qui pouvait m’empêcher ou, au contraire me faire regretter d’avoir cette envie d’aller plus loin que de simples caresses avec Teodora, je désirais ses lèvres, je voulais m’approprier son corps et communier avec elle dans des ébats sensuels et chauds bouillants. Des dizaines de pensées envahissaient ma tête et pourtant je gardais le nord, il était hélas fort probable qu’à la fin de ce vol la petite blonde parte en courant et que je ne puisse jamais la revoir. Je prenais alors les devants pour ne rien regretter, je m’approchais rapidement pour prendre possession de ses douces lèvres appréciant le contact avec sa langue qui me plaisait énormément, je reculais. « Hey. » Elle m’attrape par le col pour m’imposer un nouveau baiser qui me plait encore plus que le précédent pour son côté nettement moins chaste, ma langue retrouve très rapidement la sienne et j’ajoute une petite touche d’animosité à ce baiser, comme si j’étais sauvage oui et c’était comme ça que j’offrais mes meilleurs baisers de toute manière. La jolie blonde rompait le contact reculant avec un petit sourire satisfait, devais-je comprendre que je n’étais pas trop mauvais lorsqu’on parlait d’embrassades ? Je pense que oui mais ça, sans vouloir paraitre vantard, je le savais déjà ! « Je comptais me reposer...Je suis une Cabot, à Harvard. Donc, je serais allée dans ma maison. Tu pourrais venir avec moi pour te reposer, non ? » Un petit sourire se dessinait sur mon visage de démon, mes yeux bleus fixaient ceux de Teodora, je faisais mine de réfléchir. « Je sais pas… Est-ce que je suis obligé ? » Je suis d’humeur joueuse et elle sait très bien que je vais la suivre une fois ce vol terminé. Sans prévenir elle détache sa ceinture, je fais la même chose pouvant à nouveau respirer sans avoir ce morceau de plastique collé à ma peau, elle s’approche me fait basculer sur mon siège pour pouvoir monter à califourchon sur mes genoux, je souris et apprécie son odeur corporelle dans laquelle je m’inhibe lentement en respirant contre son cou. Mes mains viennent se poser contre ses douces jambes que je caresse à nouveau tout en déposant quelques baisers sur ce cou qui me plaisait de plus en plus.
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