(+ Mallory) Devenir père est une mission à haut risque...

Pour le coup, je devais des excuses publiques à ma cousine car elle avait raison, la jalousie transformait ma fiancée en une furie sexuelle des plus appétissantes. Je le retournais son baiser avant de grogner quand elle s’éloigna brusquement. « Oh non, j’aime… J’adore… »lui dis-je aussitôt et c’était tout à fait vrai. Même Junior se levait pour applaudir à la chose car il était loin d’être mécontent de cette situation ! « Tu sais que j’ai toujours envie de toi alors ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre mais je savais pas que le fait que je puisse faire une crise de jalousie puisse autant t’exciter » murmurais-je tandis que je la forçais à me tourner le dos et s’appuyer contre la paroi du photomaton tandis que mes mains commençaient déjà à partir à la conquête de son corps.

Mallory esquissa un sourire aussi ravi que carnassier pour mieux reprendre ses lèvres et commencer à le déshabiller, déboutonnant les boutons de sa chemise à la vitesse grand V sans attendre même une seconde. Elle perdait totalement l’esprit mais qu’est-ce que c’était bon… « Tu n’as jamais été jaloux avant aujourd’hui et bordel t’es tellement caliente ! Si je m’étais écoutée, j’aurais arraché ta chemise en pleine allée commerciale ! Mais ce photomaton c’est parfait pour te donner un premier extra… » murmura-t-elle alors qu’elle collait son dos au torse de Declan, non sans parvenir à lui ôter sa ceinture et commencer une divine caresse à l’intérieur de son jean.

« Canaille va ! » grognais-je en la sentant s’attaquer à Junior qui n’en demandait pas tant pour se mettre à vibrer de plaisir. Je glissais pour ma part mes mains sous son haut, venant prendre en coupe ses seins pour mieux les lui masser, taquinant leurs pointes en passant sous son soutien-gorge. Je ne pouvais pas me permettre de la déshabiller, pas dans un lieu public où il fallait rester sur nos gardes et bordel que cela m’excitait comme un dingue. « Si tu me sors que tu as pas mis de culotte, je te promets que je te viole dans la seconde » rigolais-je à son oreille que je mordillais l’instant d’après.

« Oh si peu… mais tu adores ça avoue ! » le provoqua-t-elle d’une voix des plus sensuelles, même si Mallory ne lui avait pas encore fait le coup d’une étreinte passionnée dans un lieu public. Il faut un début à tout ! Mais en tout cas, elle s’adonnait en prime à une petite danse sensuelle non sans gémir avec force alors qu’il couvrait sa poitrine des attentions les plus délectables. « Ben… oups ! Ça fait partie de l’un des extras également en fait » avoua-t-elle avec malice.

« Oh bordel ! » lâchais-je tandis qu’elle s’amusait à frotter son séant contre Junior ce qui avait le don de m’arracher des gémissements à peine retenus. Il faut dire que je m’en foutais bien d’être surpris en plein public. Je la voulais tellement. « Non, c’est vrai ?! »lui demandais-je tandis que mes mains remontaient sa jupe pour effectivement constater le manque évident de petite culotte. « Tu me rends dingue, je te veux maintenant ! » murmurais-je avant de la retourner pour mieux la plaquer contre le photomaton et l’embrasser comme si ma vie en dépendait. Faut croire que son absence de culotte équivalait à ma démonstration de jalousie.

Mallory était particulièrement satisfaite de l’effet évident qu’elle possédait actuellement sur Declan, et qui était parfaitement réciproque. Cet accès de jalousie lui donnait une envie de lui totalement débridée et le moins que l’on puisse dire, c’est que la découverte de son absence de culotte ne manqua pas de lui arracher un gémissement plus violent encore que les précédents. « Tu me rends dingue aussi, possède-moi maintenant Declan ! » s’exclama-t-elle alors qu’il venait de la plaquer contre le photomaton, et l’embrassait avec une fureur à laquelle elle n’était pas encore habituée. Pour le coup, leur échange était des plus passionnés !

Je crois que je n’avais jamais eu autant envie d’elle qu’à cet instant précis, comme si le simple fait de la savoir sans culotte en public, et cela rien que pour moi, décuplé mon désir d’elle. Cela ne serait pas étonnant, j’avais toujours eu un grand penchant pour les délits en tout genre alors exhibitionnisme ou atteinte à la pudeur, cela ne pouvait que me plaire. Je la soulevais dans mes bras, l’embrassant de plus belle avant de lier nos deux corps de manière passionnée. « Je veux que mon anniversaire soit tous les jours »plaisantais-je à moitié tandis que je plongeais en elle, ne quittant que rarement ses lèvres.

Mallory esquissa un petit rire amusé à ses paroles. « Et moi que tu sois souvent jaloux » avoua-t-elle avant de s’adonner à une étreinte des plus sulfureuses, se donnant à Declan sans condition aucune, comme jamais auparavant et ce bien qu’ils soient en public et que beaucoup de monde pouvait les entendre. La jolie Eliot s’en moquait bien, pour le coup, surtout qu’elle connut un plaisir des plus fabuleux entre ses bras, au point de reposer complètement essoufflée blottie contre lui. « Tu m’as tuée pour le coup… je crois que je vais avoir du mal à attendre demain pour la suite de tes cadeaux ! »

« Promis, je laisserai plus souvent s’exprimer mon côté jaloux » déclarais-je même si je sentais que cela n’allait pas être difficile. Oh je ne serais jamais au stade où pouvait l’être Caleb par exemple mais ce serait déjà un début non ?! Quoiqu’il en soit, je perdis rapidement pied avec la réalité, lui faisant l’amour comme jamais, me foutant autant qu’elle si ce n’est plus que nous soyons en public jusqu’à connaitre la jouissance absolue, une nouvelle fois, dans ses bras. « S’ils sont tous comme ton absence de petites culottes, va falloir m’accorder des pauses bébé » rigolais-je avant de l’aider à se rhabiller. « On prend une photo ? »

« J’y compte bien » avoua-t-elle en lui embrassant le bout du nez pour mieux éclater de rire. « Non je te rassure tu auras des pauses bébé, j’ai pas envie de t’épuiser non plus, il faut en garder pour demain ! Et d’ailleurs, on attend demain si tu préfères » lui proposa-t-elle tout en se rhabillant et en l’aidant également au passage à se rhabiller, il n’y avait pas de raison. « Oh que oui ! Dis cheeeeeeese babyyyyyy !! »