(+ Mallory) Devenir père est une mission à haut risque...

« Tu sais ce qui arrive quand on me donne un défi ?! Je fais tout pour le gagner » rétorquais-je tandis que j’arquais un sourcil amusé « Attends toi à avoir les fesses rouges » plaisantais-je pour mieux me concentrer sur son effeuillage qui n’eut que pour seul effet, rendre junior d’autant plus réveillé. Je la laissais par la suite approcher, posant mes mains sur ses hanches pour la coller contre mon bassin où mon désir d’elle était plus que fragrant. « Satisfait et oui tu me plais » murmurais-je avant de l’embrasser à nouveau avec passion non sans laisser mes mains errer sur son dos et son séant appétissant. « Déshabille moi »

« Je sais que tu adooores mes défis… puis tu sais je suis plus à un fessier rouge près ! » plaisanta-t-elle avant de mieux sourire contre ses lèvres, lui rendant son baiser avec passion pour mieux commencer à lui ôter son bermuda, s’adonnant à une petite danse des plus sensuelles contre son bassin se faisant, descendant progressivement en couvrant son torse de baiser, le mordillant par endroit, jusqu’à ce que ses lèvres et sa langue n’errent tout contre sa virilité fièrement tendue, qu’elle se plu à titiller alors qu’elle lui ôtait complètement son bermuda.

« Défi accepté » murmurais-je tandis que mes doigts glissaient dans ses cheveux, lui massant le cuir chevelu tandis que mes gémissements se firent rapidement entendre tandis qu’elle titillait une certaine partie de mon intimité qui n’en demandait pas tant. J’allais finir par les aimer nos disputes si elles se terminaient toutes de cette manière. Je la désirais tellement si bien qu’au bout de quelques minutes de ce traitement, je la relevais pour l’embrasser passionnément. « Allonge toi sur le dos » murmurais-je avec autorité tandis que je la couvais d’un regard tendre.

« J’espère bien » murmura-t-elle avant de lui faire subir une délicate torture, mais pas en vue de le provoquer une nouvelle fois, plutôt d’abandonner toute tension néfaste. Mallory le couvait littéralement d’attention jusqu’à ce qu’il ne l’incite à se redresser et ne lui offre un baiser des plus passionnés. Cela la laissa littéralement tremblante de désir avant qu’elle ne s’allonge effectivement sur le dos, sans pour autant le lâcher du regard bien évidemment. « Je suis toute à toi… »

Elle était toute à moi. Qu’est-ce que j’aimais entendre ce genre de paroles sortir de cette jolie bouche qui savait être aussi impertinente que délicieuse. « Ferme les yeux » lui ordonnais-je tandis que je m’installais à genoux près du lit, saisissant une cheville pour déposer des baisers sur son mollet, remontant le long de sa jambe pour mieux venir cueillir sa fleur d’un baiser, la taquinant du bout de la langue tandis que je glissais ses jambes sur mes épaules pour avoir un meilleur accès à celle-ci.

Mallory pensait diablement ses propos. Comment aurait-il pu en être autrement ? Elle ne désirait que lui, ne voulait que lui. Elle n’hésita donc pas une seconde à fermer ses yeux, se sentant totalement en confiance, et frissonnant déjà alors qu’il venait tout juste de lui frôler la cheville. Chacun de ses gestes lui arrachèrent de petits soupirs, qui se transformèrent bientôt en gémissements de plus en plus violents tant elle multipliait les orgasmes à la vitesse de la lumière. « Declan !! » s’exclama-t-elle alors que la sensation fut plus forte que jamais tandis qu’il titillait sa fleur, la poussant à se redresser pour l’embrasser avec folie.

J’aimais l’entendre gémir, la voir se tordre sous mes attentions et mes caresses. A ce moment-là, je me sentais capable de tout, tel un dieu bienveillant –ou un brin pervers, au choix ; Mallory termina par se redresser et m’embrasser passionnément et j’entourais son corps de mes bras, la soulevant pour mieux la rallonger sur le dos, me glissant entre ses cuisses. « Dis-moi que tu me veux » murmurais-je en picorant ses lèvres des miennes tandis que je caressais l’arrière de sa cuisse, remontant le long de celle-ci avant de caresser sa fesse pour mieux y claquer une main. « Tu l’avais cherché celle-là » plaisantais-je tandis que je reprenais ma caresse pour apaiser le feu que je venais de provoquer.

Declan l’avait aussitôt entourée de ses bras, lui rendant son baiser comme jamais et même là, Mallory sentait une nouvelle fois son corps se tendre sous un mélange de désir et de plaisir jusqu’ici jamais atteint. « Je te veux comme jamais » avoua-t-elle sans honte, sans hésitation, avant d’éclater de rire lorsqu’il claqua sa main contre sa fesse. Nom d’un chien, il avait tenu parole ! « Tu sais que tu es un bourreau quand tu t’y mets ? » avoua-t-elle tout de même.

« Tu m’avais mis au défi… Tes impressions quant à la fessée ? »plaisantais-je non sans rire avant de reprendre ses lèvres dans un baiser, ne lui laissant pas le temps de me répondre que je liais nos corps avec ferveur, entamant un va et vient alternant entre tendresse et passion pour mieux lui faire perdre toute capacité à raisonner convenablement. Il faut dire que je la voulais comme jamais également. « Je t’aime bébé… » murmurais-je en l’embrassant pour mieux filer après au creux de son cou, mordillant par la suite le lobe de son oreille.

« Bah je préfère tes bisous à ta fessée ça fait moins mal ! » bougonna-t-elle légèrement avant d’éclater de rire, bonne joueuse. Mallory ne se cachait pas lorsqu’elle perdait un pari, même si là, il s’agissait plus d’une plaisanterie que d’un véritable pari. De toute évidence, elle fut bien incapable d’y penser la seconde qui suivit, pas alors que Declan la tuait littéralement en liant leurs corps, non sans lui offrir de nouvelles caresses plus délicieuses les unes que les autres. Ce n’est pourtant qu’une fois qu’ils reposèrent dans les bras l’un de l’autre, tous deux essoufflés, qu’elle reprit la parole : « Moi aussi je t’aime mon ange… et si mes calculs sont exacts, dans deux semaines maximum, tu seras divorcé et libre ! »