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i just want drink like if this is the last day of my life. (haytam)

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Beaucoup disent que l'Amour est éphémère et que c'est un sentiment qui fait mal. Mais il y a également de bons moments avec ce sentiment, et même si la plupart du temps, être amoureux fait plus de mal que de bien, à chaque fois que Poppy avait ressenti ce sentiment intense, ce qui se résumait singulièrement à deux fois dans sa vie, elle avait toujours prit le temps d'apprécier la sensation que ça lui procurait. Des papillons dans le ventre et l'impression de voler la rendait presque naïve et insouciante, mais elle s'en fichait puisqu'elle était amoureuse. Aussi lorsque la jeune Cabot avait prit le temps de s'habiller dans la salle de bain de vêtements secs, elle avait eu le temps de penser à ce sentiment. Elle s'étonnait presque de ne pas être tombé plus de fois amoureuse dans sa vie. Mais quoi qu'il en soit, la jeune Silver ressentait un sentiment fort pour Haytam et elle ne savait si le sentiment qu'elle ressentait s'appelait amour, ou forte amitié. Après tout comment pouvait-elle le juger aussi rapidement ? Ca ne faisait que très peu de temps qu'elle avait réussi à retisser des liens avec Haytam et elle ne voulait pas gâcher ce qu'ils avaient en commun. Elle voulait attendre et voir si la passion allait la consumer ou si bien au contraire, elle se laisserait aller dans l'obscurité sans possibilité de retour. Alors qu'elle avait prit place dans les draps chauds du lit, elle supplia presque le Dunster de venir la rejoindre. Elle ne voulait pas bénéficier du lit alors qu'il était assez grand pour y contenir au moins trois personnes. Aussi alors qu'elle sentit le Winchester hésiter sur l'endroit où il pourrait se reposer, elle esquissa malgré elle un doux sourire sur ses fines lèvres. Il était si préventif et attentionné avec elle, que ça lui retourné l'estomac de la manière la plus douce qui soit. Aussi lorsqu'elle aperçut son ombre se redresser du fauteuil pour finalement venir se glisser dans les draps, la Cabot esquissa un nouveau sourire, ravie de voir qu'Haytam ne jouait pas la tête brûlé. « Je... » Lorsque le Dunster lui demanda si elle voulait s'approcher un peu plus de lui, elle hésita un instant puis prit finalement l'initiative de rapprocher son corps frêle de celui du jeune homme. Frôlant de ses doigts glacés la peau d'Haytam, c'est comme-ci elle recevait une décharge dans tout son être. Elle frissonna alors puis posa sa joue contre le torse du jeune homme. Sa tête était toute proche de celle du Dunster et elle pouvait sentir son souffle chaud qui s'évaporait à l'arrière de sa chevelure. Elle ferma les yeux, profitant de cet instant qu'elle estimait être quasiment magique et inoubliable.
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Haytam & Poppy
i just want drink like if this is the last day of my life.
Auparavant, j’avais totalement ignoré les sentiments, ceux qu’ils représentaient pour un être humain, ce que l’on ressentait, ce genre de chose, du moins c’est ce qu’avaient pu dire les personnes qui m’avaient côtoyée avant mon accident. Un homme froid, fourbe, glauque, sans sentiment, prêt à disséquer la chaire de la personne l’approchant d’un peu trop près. J’avais eu des frissons en entendant ces mots qui étaient venus m’agresser personnellement, comme si j’étais encore le digne agresseur par mes anciens gestes, gestes dont j’ignorais tout. J’avais beau avoir 25 ans, j’avais l’impression que ma vie n’avait commencé qu’il y a un an, et en une maigre année j’avais totalement changé, les gens ne me reconnaissaient plus, j’espérais que cela soit bénéfique pour ma personne. Avec Poppy, tout s’était passé très vite, à une vitesse éclair. Nous nous étions embrassés et mis en couple avant que je prenne le temps de comprendre quoi que ce soit, et presque à la même vitesse nous avions rompu, enchaînant sur cette guerre quotidienne qui s’était installée. Pour finir, nous étions redevenus complices, encore plus qu’avant, mais quelque chose avait changé en moi. Dès que j’avais le bonheur de poser mon regard sur son doux visage, c’est comme si le temps en profitait s’arrêter, comme si quelqu’un tirait sur mes lèvres pour dessiner un sourire, comme si mon cœur avait décidé de gonfler et de battre pour me montrer que j’étais vraiment vivant… Était-ce ça l’amour ? Peut-être bien. Je ne connaissais pas les sentiments, juste le cœur, l’organe en lui-même que j’avais pu disséquer sur ma table de cours, pas très romantique, je vous l’accorde. Je me laissais alors porter sur cette espèce de nuage même si l’idée que mes pieds ne touchent pas vraiment la terre me paniquait légèrement, mais bon ce n’était qu’une métaphore, un sentiment, on sait tous que le cœur ne se soulève pas, que des papillons ne naissent pas dans notre ventre, pas vrai ? J’avalais ma salive en lui proposant de venir contre moi, histoire de la réchauffer et de partager encore un moment en sa compagnie. Je n’allais pas dormir de la nuit, comme toutes les nuits depuis mon accident, mais la savoir près de moi allait m’apaiser, je le savais. Je la laissais alors s’approcher et se poser contre mon torse. Un sourire s’était à nouveau dessiné sur mon visage et je passais ma main sur son bras, le frottant légèrement pour le réchauffer, puis je passais cette même mains dans ses cheveux, m’amusant avec ceux-ci. Je levais alors ma tête pour déposer un baiser sur sa douce chevelure et en profitais pour caler mon bras derrière ma tête, la reposant sur celui-ci.
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De si grands dilemmes pour une simple histoire de couchage, de lit suffisamment grand pour y contenir trois personnes. En y repensant la jeune Cabot se sentait presque bête de voir, qu'un était sur un fauteuil et que l'autre était dans un lit. La situation dégageait un ridicule peu commun, un spectateur en aurait forcément ris de les voir si éloignés physiquement mais pourtant si proche psychologiquement. Il y avait ce je ne sais quoi qui se dégageait dans la pièce, un affre de sentiments et de gênes qui s'était emparé de ces deux êtres. Poppy commençait d'ailleurs à oublier ce qu'il s'était passé plus tôt. Son petit coup futile à la plage, puis l'épisode de la douche et du regard dans le vide. Elle pouvait dire sans crainte qu'elle était maintenant rassurée, qu'elle était paisible et intouchable et tout ça grâce à Haytam qui avait bien voulu porter le fardeau de la présence de la jeune Cabot. Aussi lorsqu'elle l'avait incité à venir dans le lit pour s'y allongé et qu'elle s'était rapproché de lui au point de recevoir une décharge dans tout son être lorsqu'elle lui frôla du bout des doigts le bras. Elle esquissa malgré elle un sourire, probablement niais, à cause de ce que son estomac lui faisait subir. En réalité, la jeune Silver ne savait pas ce qu'il lui arrivait, elle avait vécu tellement de choses avec Haytam, et pourtant à aucun moment de leur relation elle avait ressentit quelque chose de semblable à ce qu'elle pouvait ressentir aujourd'hui dans cette chambre d'hôtel aux côtés du jeune Dunster. Aussi alors qu'elle sentit les lèvres du Winchester se poser sur sa chevelure, elle esquissa un nouveau sourire, probablement toujours niais. Puis elle posa une main sur le torse d'Haytam, fronça les sourcils. Levant ses doigts, paume plaqué, elle les faisait danser en y portant un soudain intérêt, puis lorsqu'elle reposa sa main, elle laissa son regard noisette se poser sur la télé qu'elle pouvait voir en face d'elle, puis elle demanda intéressée « C'est quoi ta couleur préférée ? » Question stupide, brisait-elle l'ambiance ? La jeune Silver venait de se rendre compte qu'elle n'avait jamais vraiment apprit à connaître Haytam par le passé. Bien trop occupé à lui mettre des bâtons dans les roues. Cependant, aujourd'hui, elle sentait que tout était entrain de changer et bizarrement Poppy ne voulait plus se montrer égoîste. Elle voulait apprendre à mieux connaître le Winchester, voir les centres d'intérêt qu'il avait, ce qu'il aimait faire dans la vie, elle voulait être une nouvelle personne pour lui. Une autre Poppy, qu'il puisse peut-être plus apprécier que celle qui lui avait fait des crasses.
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Haytam & Poppy
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La relation qui m’unissait avec Poppy était une relation tout à fait unique. J’étais un type étrange, un type avec son lot de problème, comme tout le monde me direz-vous, seulement je m’étais toujours senti différent des autres personnes, c’était certainement pour ça qu’autrefois j’étais un vrai connard après tout. J’avais l’impression que depuis quelque temps, Poppy pouvait comprendre ma sensation de mal, ma sensation d’être perdu dans ce monde, de ne plus quoi faire, de patauger alors que les limbes tentaient d’attraper mes jambes. La voir ainsi, dans l’état où elle était précédemment, j’avais l’impression de me revoir il y a tout juste un an, totalement ailleurs, avec aucun passé, du moins aucun souvenir d’une quelconque vie. C’était à la fois bouleversant et rassurant de me savoir à ses côtés, car personnellement, personne ne m’avait tendu la main, j’étais partie en live trop tôt, j’avais essayé de faire comme si de rien n’étaient, c’était également pour ça que j’étais sortie avec la jeune femme, car j’avais voulu être comme tous les jeunes de mon âge. Grossière erreur, j’en avais payé le prix fort après. Je fixais alors le plafond comme si de rien n’était, pour la première fois depuis longtemps je me sentais apaisé, oui j’étais paisible. Mon cœur n’avait pas de raté et je m’avançais peut-être mais, j’avais l’impression que si je me laissais me détendre encore plus, Morphée allait s’emparer de moi, ce qui n’était pas arrivé depuis des lustres. Un sourire dessiné à la commissure de mes lèvres, j’inspirais profondément en essayant de me représenter le dessin que faisait Poppy de ses doigts fins sur mon torse. Le silence régnait dans la pièce, mais c’était un silence bénéfique, un silence qui s’emparait d’un moment complice. Soudain, la voix de la jeune femme se mettait à résonner dans ma tête. Je fronçais alors les sourcils sans pour autant bouger d’un fil, puis je lâchais un léger rire. « Hum j’en sais trop rien… je dirais le bleu peut-être. Et toi ? » J’ignorais sa couleur préférée, le nom de son parfum, son chiffre fétiche, ce qu’elle préférait manger, toutes ces choses que j’aurais dû connaître. Je voyais où elle voulait en venir, elle devait ressentir la même sensation que moi à cet instant.
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Sereine. C'était le mot qui correspondait le plus à Poppy pour l'heure. Elle avait enfin le loisir de trouver la paix dans toute cette cacophonie qui ne cessait de lui briser les tympans. Et d'une manière ou d'une autre, la jeune Cabot était heureuse de partager ce moment avec Haytam. Même s'ils n'avaient pas toujours étaient proches tout les deux, ils avait vécus et on ne pouvait pas dire que c'était le cas de tout le monde. Mais bizarrement, la jeune Cabot ressentait ce besoin de vouloir être normale, de parler de choses futiles mais pourtant si importante. Elle voulait apprendre à en connaître plus sur les personnes de son entourage, en l'occurrence, ce soir, avec Haytam. Car elle s'était rendu compte qu'elle ne connaissait presque rien sur son sujet, quoi qu'en réalité, cela s'apparenterait plus facilement au néant. C'est pour ça que la rose avait été pris d'un élan de curiosité qui avait besoin d'être satisfaite en apprenant plus sur le jeune Dunster. Bien que ces liens avec lui étaient encore vagues, il n'était pas trop tard pour apprendre à le connaître. « Huum, le bleu à oui... » Observant en face d'elle, elle esquissa un fin sourire en prononçant le mot bleu puis elle fronça les sourcils lorsqu'elle le vit lui retourner la question. «  Le orange. Mais pas le orange carotte, un orange plus crépusculaire. » Elle figea son sourire sur ses lippes féminines, puis elle perdit son regard dans le vague, dans la lune. Cessant de bouger, elle ne voulait pas briser cet instant de repos qui était la seule chose bien qu'elle pouvait offrir au Dunster. Et si grâce à lui, il arrivait à trouver le sommeil, la Cabot n'en serait que des plus ravies, c'est pour ça qu'elle ne relança pas la conversation et ferma un court instant ses yeux noisettes, se perdant dans l'obscurité bien veillante du marchant de sable.
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Haytam & Poppy
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Avec Poppy, on se connaissait et se fréquentait depuis un bon bout de temps désormais, mais en y repensant, nous n’avions jamais eu le temps de nous poser, de prendre un moment à nous, à chaque fois quelque chose saccageait nos plans. Nous étions sortis ensemble trop rapidement, je le savais désormais, entre elle qui se donnait des airs de femme volage et moi voulait à tout prix rattraper la vie que j’avais perdue, ce cocktail nous avait été nocif. Je soupirais alors longuement, je sentais chacun de mes muscles se détendre petit à petit pendant que je réchauffais Poppy grâce à la chaleur de mon corps. Je fixais toujours le plafond en laissant mes idées vagabonder petit à petit, je ne voulais en retenir aucune, j’avais trop peur qu’un mauvais souvenir ne s’incruste sinon. Un sourire dessiné sur mes lèvres, mes doigts fins venaient caresser son bras, elle avait la peau douce, c’était très agréable. « Comme les magnifiques coucher de soleil… c’est une belle couleur. » J’adorais les coucher de soleil. À ma sortie de l’hôpital l’année dernière, j’avais été confiné dans ma chambre, je n’avais pas eu d’autres choix, et étant devenu insomniaque, j’avais pris l’habitude de me caler contre la fenêtre chaque soir pour observer le soleil disparaître de l’horizon et les étoiles prendre de la place dans le ciel, entre ça et la pluie, ce sont sûrement les seules choses qui m’apaisent réellement. Je laissais alors le blanc s’installer et posais mon regard sur Poppy qui s’en allait dans les bras de Morphée, je la sentais partir au fur et à mesure que son corps se posait plus contre le mien. Je fermais alors les yeux et me laissais attirer à mon tour par Morphée, chose qui ne m’était pas arrivée depuis longtemps, à croire qu’elle voulait recomposer ma bonne action ou prendre soin de moi pour que je prenne à mon tour soin de Poppy…
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