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(+Thais) Un Weyss peut en cacher un autre.

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« Parce que tu crois que madame n’en est pas une ?! Il suffit que tu battes des cils pour que Junior se rappelle à ton bon souvenir » m’exclamais-je car dans le genre tentation, elle en était une belle. Thais me faisait littéralement mourir de plaisir dès qu’elle bougeait le moindre petit orteil alors la frustration, elle allait être forcément dans les deux camps seulement, c’était pour son bien. « Je sais bien que tu n’es pas encore du troisième âge mais je te connais, si je ne te fais pas mettre la pédale douce, tu seras toujours en train de faire la fête que tous nos invités seront déjà couchés. Crois-moi, je vais faire en sorte de vous faire un carré VIP avec Anna pour que vous ne bougiez presque pas pour le bien de vos jumeaux » lui signalais-je en posant mes mains sur les siennes, fermant les yeux. Je me sentais tellement bien lorsqu’elle était contre moi. « Je n’ai jamais mal avec toi » mentis-je à nouveau mais je ne voulais pas gâcher ce moment tandis que je la faisais passer devant moi avant de tout simplement la faire valser seulement, au bout de quelques minutes, je dûs me rendre à l’évidence, ma migraine ne passait pas. « Ton massage tiens toujours ? » marmonnais-je n’arrivant même pas à rester les yeux ouverts tant la luminosité m’agressait.

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« Oh c’est vrai, à ce point ? Ralala on a le mot torture incrusté dans la peau à ce rythme là… » soupira-t-elle, presque hilare bien que rassurée de ne pas être la seule à « souffrir » pour le coup, bien que Caleb n’ait jamais expérimenté l’atrocité des titillements. Dans un lieu public, c’est bonjour l’ambiance et compagnie. « Chéri, sincèrement, ce n’est pas parce qu’on va se coucher un peu tard que je vais être déraisonnable. Je pense que je serai souvent assise tu sais, je finis par avoir la tête qui tourne lorsque je reste trop longtemps debout alors je saurai m’occuper de moi aussi toute seule ! » lui précisa-t-elle non sans poursuivre sa caresse pour mieux profiter d’une tendre valse en sa compagnie, non sans caresser sa joue la seconde qui suivit la fin de cette dernière. « On va rentrer et je vais prendre soin de toi » déclara-t-elle pour mieux l’embarquer, le laissant certes la guider pendant la majeure partie du trajet afin de mieux le mettre en caleçon, le déshabillant avec tendresse, enfilant une nuisette de son côté pour mieux les plonger dans le noir, le forçant à s’asseoir sur le lit. Elle commença à le masser doucement avec ses mains « magiques », lui chantonnant une petite berceuse irlandaise, qu’elle avait apprise par cœur et qu’elle chantait plutôt bien, avec une voix douce. « Je me suis entraînée pour la chanter à nos trésors » murmura-t-elle en espérant le calmer.
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« Est-ce une façon gentille et douce pour me dire d’arrêter de te couver comme une mère poule ? » lui demandais-je avec malice sans rebondir sur cette histoire d’attirance car sinon, je savais que j’allais avoir du mal à me retenir. Depuis que j’avais retrouvé la mémoire, je n’avais qu’une envie, plongé en elle encore et encore pour m’assurer que nous étions bien liés au-delà du mariage. J’avais besoin de lui appartenir et que l’inverse soit tout aussi vrai. « Hum hum » marmonnais-je en faisant l’effort quasi surhumain d’ouvrir les yeux pour la guider à travers les bois même si je commençais sérieusement à peiner. Aussi, c’est sans protester que je la laissais prendre soin de moi, soupirant d’aise lorsque le noir se fit autour de moi tandis que ma femme me prodiguait un massage salutaire. Néanmoins, mes migraines reprirent rapidement le dessus me faisant pousser un gémissement de douleur. « Chérie… Appelle ma mère pour qu’elle prévienne le médecin de famille, j’ai vraiment trop mal » lui demandais-je et pour que je lui demande pareille chose, c’est que j’avais atteint mes limites. Durant l’attente, je ne pus m’empêcher de me blottir contre elle, sous les couvertures. « Tu feras la meilleure chanteuse de comptines au fait » murmurais-je tout bas.

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« Pas du tout… j’adore quand tu me chouchoutes ! » avoua-t-elle en embrassant le bout de son nez avec malice, ne lui apprenant cela que pour qu’il ait conscience du fait qu’elle soit touchée par ses actes mais qu’elle avait plus de force qu’il n’y paraissait de prime abord. La preuve en fut lorsqu’elle prit soin de lui à sa manière, espérant bien le soulager avec autant de brio qu’il la soulageait elle de tout stress, du moins jusqu’à ce qu’il ne lui énonce LA phase faisant trembler ses mains sous la frayeur. « Je l’appelle tout de suite ! » s’exclama-t-elle, paniquée, enlevant au passage son tensiomètre qui s’était bien évidemment mis à biper. « Il va arriver d’ici une petite demi heure maximum, tu veux que je continue mon massage ? » lui proposa-t-elle non sans se mettre sous les couvertures au passage pour mieux le serrer dans ses bras. « C’est vrai, je chante pas trop faux à ton goût ? C’est toujours toi le meilleur chanteur… le meilleur tout court. »
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« C’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, tu sais » murmurais-je car malgré tout, j’adorais prendre soin d’elle, la couvrir d’attentions. Thais méritait qu’on prenne soin d’elle comme si elle était une princesse. Elle était ma princesse. Toutefois, ce qui devait être un moment tendre et complice se retrouva bien vite placé sous le signe de la douleur bien que j’essayais de ne pas la faire paniquer sauf que je souffrais réellement de mes migraines. J’en devenais presque fou. « Ton tensiomètre… » marmonnais-je car à la fois, cela me tuait d’être à l’origine de son stress et de l’autre, le bruit provoquait comme un vacarme dans ma tête, une vrai torture. « Je..Je veux bien mon cœur » me laissais-je faire, posant ma joue contre sa poitrine pour me concentrer sur les battements de son cœur, la serrant contre moi. J’avais l’impression d’être totalement vulnérable à cet instant précis que ça m’agaçait. « Arrête, tu es la meilleure. La meilleure des amies, des épouses et bientôt la meilleure des mères. Thais, tu es à la fois ma femme, mon amante, ma meilleure amie, tu es mon tout… Et c’est grâce à toi que je suis meilleur » soufflais-je en fronçant les sourcils sous la douleur.

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Thaïs eut aussitôt le réflexe d’enlever ce foutu tensiomètre, tant pis, il serait toujours temps de le remettre plus tard sans compter qu’elle était couchée, il ne pouvait rien lui arriver de sinistre. Pour l’heure, le bien-être de Caleb était mille fois plus important, tant et si bien qu’elle poursuivit doucement son massage, espérant le soulager non sans le garder tout contre elle, en espérant que la douleur s’amoindrirait rapidement pour qu’il cesse ainsi de souffrir… « Mais je ne me dépréciais pas tu sais ! C’est objectif de dire que tu chantes mieux que moi, je n’ai pas l’oreille musicale pour ça mais je me suis entraînée dure pour les comptines par contre. Je t’assure que tu es le meilleur des maris, des confidents, quelqu’un pour qui je décrocherais volontiers la lune et qui me rends moi aussi meilleure. Je t’aime à en rompre les battements de mon cœur et je voudrais prendre ta douleur, la faire mienne pour t’en soulager… ça m’affole de te voir ainsi ! »
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« Je t’aime aussi Thais, plus que ma propre vie. Tu as bien vu le connard fini que j’étais sans ton amour. C’est toi qui a fait de moi l’homme que je suis actuellement, par ta patience, ton amour, ta personnalité. Si tu savais combien je t’aime » lui répondis-je en déposant un baiser au creux de son cou, me blottissant davantage contre elle. « Je ne veux pas que tu souffres par ma faute, je t’ai déjà trop fait souffert ces derniers temps…C’est peut-être une punition divine » déclarais-je sur un ton amusé même si, pour l’heure, j’essayais vainement de rester conscient mais j’avais si mal que la nausée me gagnait. Finalement, je refermais les yeux, restant calé bien au chaud contre elle, attendant que le médecin passe. Ce dernier arriva avec mes parents et ma mère prit rapidement Thais avec elle pour me laisser seul avec le médecin qui m’ausculta durant de longues minutes avant de rejoindre ma femme et mes parents. « Caleb souffre d’épisode migraineux sûrement dû à son trauma crânien. Il a besoin d’être au calme et d’éviter le stress. Je pense qu’il a dû trop forcer et que son corps le lui fait payer. Il devra absolument rester dans le noir pendant une grosse semaine afin de soulager ses yeux mais aussi sa tête » leur expliqua-t-il avant de prescrire un antidouleur léger dont Thais devrait bien entendu faire attention à la posologie afin qu’il n’y ait pas de souci avec ma cure. Mes parents allèrent rapidement chercher les médicaments ainsi que les lunettes censées me couper du monde visuel. Le lendemain, en me levant, je me cognais aux meubles et aux murs. « Bordel, comment elle fait ?! » grognais-je, le pied douloureux.



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« Je suis là chéri, je ne bouge pas… ne compte pas te débarrasser de moi ! Et ce n’est pas une punition divine Caleb, tu as été une victime… une victime tu m’entends ? » Par chance, Anita parvint à calmer la haute inquiétude de Thaïs mais ce ne fut pas une mince affaire, tant et si bien qu’elle retourna auprès de son mari nettement plus détendue et apaisée. Elle était prête à suivre les instructions du doc à la lettre et par chance, la boîte de médicaments prescrite avait toutes les instructions marquées en braille. Quant à la posologie, le pharmacien avait suffisamment appuyé en écrivant sur la boîte pour que cela fasse relief. « Tout va bien mari de moi ? » demanda-t-elle alors qu’elle l’avait entendu se cogner. Elle préparait aussi adroitement que possible des tartines pour le petit déjeuner, et ne put s’empêcher de lui venir au secours. « Tu sais, il y a neuf pas quand tu sors du lit jusqu’à la porte. Compte dans ta tête… et use de tes mains pour te guider. Je te prépare des tartines avec ta confiture préférée ! »
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« Je plaisantais même si je me serais botté le cul pour ce que je t’ai fait endurer… Je crois que ce dont j’ai le plus honte, c’est d’avoir osé proférer que les enfants n’étaient peut-être pas de moi » soupirais-je. Je crois que dans le fond, je serais bien incapable de me pardonner ne serait-ce un seul jour. J’allais devoir vivre avec ma honte et mes regrets. Toutefois, l’épreuve que je m’apprêtais à vivre allait être bien compliquée et douloureuse que je ne l’avais pas pensé tandis que je me massais le pied en grommelant. La tentation d’enlever ce foutu bandeau était tentante mais l’idée d’être à nouveau sous l’emprise de ces migraines me dissuada. « Comment tu fais ? » marmonnais-je essayant d’aller vers elle en m’orientant au son de sa voix mais je me pris rapidement une chaise puis la table pour mieux me retrouver le cul par terre car je manquais la chaise. « Je sens que ça va me saouler d’être aveugle. Désolé chaton mais je n’ai pas ton habilité. Sérieusement, quand je te vois faire, je ne pense même plus à ton handicap tant tu sembles évoluer avec aisance. Je me sens tellement perdu sans mes repères » râlais-je tandis que j’arrivais cette fois-ci à m’asseoir convenablement. Bien sûr, mes doigts terminèrent dans la confiture. « J’arriverai jamais à tenir une semaine »

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Thaïs essayait d’oublier les propos de Caleb durant son amnésie mais le fait qu’il les lui rappelle lui arracha plusieurs larmes. Elle remercia presque le ciel qu’il ne la voie pas à ce moment précis car se souvenir qu’il l’ait prise pour une vulgaire prostituée et que les enfants n’étaient pas de lui… diable, cela lui arrachait une fois encore le cœur. Elle ne parvint d’ailleurs pas à se calmer, même si elle pleurait le plus silencieusement du monde. Une chance qu’elle n’ait pas encore remis son tensiomètre par peur de lui causer une migraine ! « Je suis plus habile parce que ça fait sept ans, tout simplement. C’est comme débarquer dans un pays étranger, quand tu es obligé de parler une langue, tu apprends vite. Quand c’est une question de survie de te repérer sans tes yeux, tu t’obliges. Est-ce que tu me ferais suffisamment confiance pour être ton guide pendant cette semaine ? Je pense que ça te rendras la chose moins pénible. » Thaïs avait approché sa chaise, essuyant ses larmes au fur et à mesure pour mieux se saisir de la tartine d’une main, de la main de Caleb de l’autre pour mieux la lui mettre dans la main, histoire de lui faciliter la vie sans être envahissante.
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