TG Winthrop + invité(s) ❥ It's a party rock !

« Il ne sait pas ce qu’il perd » J’esquissai un sourire. En effet, il n’avait pas eu la chance de vraiment savoir ce qu’il avait à perdre en me laissant. Mais il avait eu peur d’avoir à prendre ses responsabilités vis-à-vis de Cadence et je ne lui en avais jamais voulu. Nous étions encore amis aujourd’hui. « De toute façon, même si ça avait été sérieux, je t’aurais arraché à lui » Je ris doucement, me collant un peu plus contre Wyatt. « Oh vraiment? Parce que si je me souviens bien, c’est plutôt moi qui ai dû t’arracher aux bras d’une autre. » Je n’en étais pas particulièrement fière, mais le résultat était tout de même très satisfaisant. Je l’embrassai à la commissure des lèvres.

« Oh vraiment? Parce que si je me souviens bien, c’est plutôt moi qui ai dû t’arracher aux bras d’une autre. » Oui, c’était vrai, mais cela n’avait plus d’importance. Je m’en étais voulu pendant un certain temps, mais à présent, je n’en avais rien à faire. Je ne pense pas que j’aurais été heureux avec Feldt et mes sentiments pour Torrey étaient beaucoup trop forts. « T’en ai fière en plus. » Je me penchais un peu plus vers elle et lui chuchotais des mots à l’oreille. « Elle ne m’aurait jamais rendu aussi heureux. » Je mettais fin à notre étreinte et ouvrais un placard pour en sortir du vin. « T’en veux ?

Si j’en étais fière? Non. Mais si j’étais contente, oui. Je souris, amusé. « Elle ne m’aurait jamais rendu aussi heureux. » me chuchota-t-il finalement à l’oreille et je n’aurais pu être plus heureuse. J’allais l’embrasser, mais il se détacha de moi pour aller fouiller les placards, sortant une bouteille de vin, me demandant si j’en voulais. « Avec plaisir! »

Klaus se trouvait en ma compagnie et donc, j’appréciais fortement sa compagnie. Je lui répondais alors en souriant contente qu’il accepte : « VIP…Mais oui, pardi, tu pourras venir avec moi dans les loges. La dernière fois, j’ai eu mes préparations, le concert aura lieu la semaine prochaine. Il sera au The Middle East dans Central Square. » Je suivais alors la suite de la conversation, et je disais : « Les tiennes sont comment dire aussi charmantes que toi. Hum, tu aimes m’embrasser ? A vrai dire moi aussi. » Je continuais ma réponse et je lui disais : « Ah, je ne sais pas trop. Il n’est pas encore au courant. » Je le regardais alors patiemment, et je me demandais bien ce qu’il pourrait me répondre par la suite.

Elle me dit que je serai VIP si je viens la voir à son concert, que je pourrai aller la voir dans les loges, mon visage s'illumina d'un grand sourire. Elle me dit qu'il aura lieu dans Central Square au Middle East la semaine prochaine. Puis elle me dit que mes lèvres étaient charmantes tout en me demandant si j'aimais l'embrasser. Bien sur que j'aimais sentir nos lèvres l'une contre l'autre et je pourrai passer ma vie à l'embrasser. Enfin, elle me dit que son meilleur ami n'était pas au courant au sujet de notre relation mais il faut dire que c'est tout récent et que je veux prendre mon temps avec elle. Alors je lui répondit.

Chouette, je vais pouvoir découvrir les loges d'une charmante chanteuse qui fait mon bonheur chaque fois que je la vois. Ok tu me textoteras l'adresse exacte quelques jours avant pour pas que je me perde ? Et bien sur que j'aime t'embrasser pardi, tu es mon rayon de soleil chaque fois que je suis avec toi, tu fais de moi l'homme le plus heureux au monde. Ah d'accord, ce n'est pas grave, c'est encore tout récent entre nous et je veux prendre mon temps avec toi, ne pas brûler des étapes. Je t'aime Sio. Une danse pour ma chère et tendre ?

Je venais de lui dire pour la deuxième fois "Je t'aime", que m'arrivait il ? Je devenais accro à elle et je voulais qu'elle le sache sans lui faire peur. Elle était toujours dans mes bras mais à ce moment là une chanson se mit en marche et j'eus envie de danser avec elle alors je lui proposa en lui tendant ma main.

Voyant le visage de Klaus s’illuminait une fois que je lui avais dis qu’il pourrait donc venir me voir dans les loges, je souriais. Je me demandais bien pourquoi est-ce que je n’avais pas eu le cran de sauter le pas avant. « Tu vas voir c’est une petite loge. Et tu verras pour l’adresse c’est simple. Ou alors je passe te prendre avant c’est comme tu veux. Je pourrais aussi te faire visiter la salle de concert et tout et tout. » Je prenais donc aussi le temps de lui dire ceci : « Et bien, mon petit soleil à moi c’est toi ! Hum, je sens que tu auras une chanson pour toi…Hihihi, allons danser, tu vas voir comment je suis peu douée sur la piste. Enfin, avec danse en mineur, si je me rétame, la honte… » Lui souriant et lui faisant un baisé express, je lui répondais : « Mon charmant cavalier j’accepte avec joie cette danse. »Lui souriant, je lui disais : « Notre temps, c’est une bonne idée ça. »

Je continua de sourire quand elle me proposa de venir me chercher et de me faire visiter la salle de concert, bien que je n'avais juste envie de passer le temps d'avant le concert avec elle dans mes bras dans sa loge. Elle me dit ensuite que son soleil à elle, c'était moi, ce qui me fit encore sourire, surtout que j'aurai une chanson rien que pour moi. Enfin, elle accepta d'aller danser avec moi son cavalier et coup de chance, c'était un slow qui passait à ce moment là alors je lui répondit.

Tu pourras venir me chercher et me faire visiter, du moment que je suis avec toi, tout me va ou on peut juste rester dans ta loge en attendant le début à se faire des câlins. Je sais que je suis ton rayon de soleil mais tu es la femme de ma vie depuis que je t'ai vu la première fois il y a un mois. Oh un slow pile quand on va danser si ce n'est pas un signe cela.

Je la pris dans mes bras pour l'emmener sur la piste de danse où nous nous collons l'un à l'autre pour commencer le slow, je la regardai dans les yeux et l'embrassa tendrement. J'étais si bien avec elle que je ne voulais pas que la chanson s'arrête et que ce moment dure longtemps.

 Tout en observant Klaus, je lui disais : « Oui, je dois y aller trois heures avant, même si tout est déjà installé à cause des répétitions. On aura largement le temps de te faire visiter les lieux. Des câlins ? Hum, c’est une bonne idée ça. » Contente de voir que tout se passait bien, je lui répondais : « Oui ; et bien allons montrer qui nous sommes sur la piste. » Le suivant tout en sachant que cette chanson serait donc bien pour profiter d’une douce étreinte. Je lui disais : « C’est vraiment un bon signe. » Dans ses bras, je sentais son parfum. Il était un peu présent, mais il correspondait bien à mon cher et tendre. D’ailleurs, le baisé encore un se fit cette fois-ci devant tout le monde. Comme ça au moins, il n’y aurait plus d’ambigüité. Posant ma tête dans son cou, je respirais son odeur. Me sentant bien, je venais vers lui un peu plus pour qu’il ne me laisse pas m’échapper.

Sur ce baiser, je meurs. C'était Shakespeare, c'était pure vérité. Je n'avais si bien compris jusqu'alors, Orlane me donnait une raison supplémentaire de croire en la magie des mots. C'était difficile, mais nécessaire. Pour mon coeur, pour mon amour propre quasi inexistant, que je m'éloigne de tout ce qui pouvait représenter un danger. « Tu ne peux pas me reprocher mon passé... Je ne suis plus la même aujourd'hui... » J'avais tourné les talons avant même de me laisser le temps d'assimiler ces paroles. Je ne demandais qu'à voir, mais il y avait trop de chose qui j'ignorais sur elle... la signification que l'on donnait à l'acte de faire l'amour nous différenciait déjà un peu trop. J'étais en marge dans ma manière de penser, je le savais, mais j'aurais tant voulu qu'elle soit similaire. Je ravalai un sanglot prit dans ma gorge. Reprenant mon verre avec appétit et soif, je le calai jusqu'au fond. La tête me tourna quelque peu, je n'osais me retourner pour la voir, mais le fis quand même. Elle était là, les yeux humides, les bras tenant prisonnier ce nouvel homme que je reconnaissais sans avoir à voir son visage. Avery et Orlane s'accolaient d'une manière qui m'arrachait le coeur. Elle n'avait certainement pas perdue de temps. J'ai envie de vomir. Je manquai de souffle, incapable de regarder ailleurs que vers eux, m'auto-torturant de la sorte. Comme le ridicule ne tuait pas et que j'en avais l'obligation. Je grimpai sur la table d'approvisionnement, manquant à plusieurs maladresse de ne pas m'y rendre en un seul morceau. Je me mis à danser, à bouger comme je ne l'avais jamais fait auparavant, oubliant tout, laissant mon coeur émietté de côté. Juste moi, la musique et un désir ardent d'attirer l'attention... la sienne tout particulièrement.

Je ne savais pas qu'un jour mon tableau de chasse finirait par déranger quelqu'un. Je dois admettre que mon esprit a dû mal à coller tous les morceaux du puzzle. Son passé est la cause de ses larmes c'est ça ? Et si j'ai bien compris ça a un rapport avec le type qui l'a amené à l'écart de la salle ? Oui... De loin comme de près. Voilà la confirmation que j'attendais. Alors Dexter est lié à tout ça. Il lui reproche d'avoir un plus ou moins grand tableau de chasse ? Pourquoi ? Sèche tes larmes et oublie quelques minutes qu'il est là. Je me tourna vers l'endroit où se trouve mon bizut. Pendant un fraction de seconde il nous fixait puis se mit à danser sur la table. Peut être qu'il fait pleurer mon amie, mais au moins il exécute tous les défis que je lui donne. Tu veux danser ? lançais je à Orlane dans l'unique but de lui faire changer les idées.