Pregnant or not ? ♥ Thélia

Thélia ღ

« Pardon... Je t'en prie ne te fâche pas. C'est que je suis long à la détente, je réfléchis seulement au mauvais moment aux conséquences parfois. Et c'est que quand tu m'touches, j'réfléchis plus rationnellement, plus du tout même ! » « C'est de ta faute tout ça ! » J’avais tourné mon regard vers lui le détournant à nouveau pour fixer la télé. Il m’énervait quand il faisait ça et il m’énervait encore plus car il arrivait toujours à s’en sortir, à avoir l’excuse qu’il faut, à trouver les bons mots et avec sa tête de chien battu, je suis toujours faible et je cède toujours. Aaaaaaaaah qu’est ce qu’il m’énervait à jouer comme ça avec moi et à toujours me faire tomber dans le panneau. Il fallait que je ne cède plus, à force il allait croire qu’il pouvait tout se permettre, s’excuser ensuite et que j’allais revenir vers lui facilement. C’était bien la dernière des choses que je voulais, je l’aimais mais je voulais pas qu’il croit que tout soit acquis, qu’il m’avait dans la poche, que je l’aimais trop et qu’il pouvait faire ce que bon lui semble de ma personne. Je ne répondis pas cependant, cherchant quoi lui dire, lui pardonner ou bien le faire mariner encore ? « C'est juste que..on a quand même échapper au pire, enfin le pire... Et sur le coup je me suis simplement dit que tu étais peut-être trop fragile pour recommencer tout ça. » Je savais que c’était pas méchant, que sa partait d’une bonne intention au contraire mais bon j’étais pas du genre à me forcer, si j’en avais pas l’envie, pas le cœur j’allais pas le faire juste pour faire plaisir à monsieur et que lui puisse prendre son pied et se soulager ! Je sais que c’était pas en mal que tu as dit ça, mais tu devrais savoir que je suis pas du genre à me forcer, si je voulais pas j’aurais encore moins rien fait, plutôt que te chauffer pour te dire non. Je supportais pas qu’on me fasse ça alors je risquais pas de lui faire. J’étais assez à cheval sur certains proverbes, surtout celui qui dit « ne fait pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse ». Il s’était levé depuis et toujours fixé sur la télé je ne le vis pas contourner le canapé pour venir se poster derrière moi et derrière le canapé. C’est seulement quand je sentis ses mains sur mes épaules que je captais. Il em tenait m’obligeant à me mettre droite alors que je m’étais un peu affalé dans le canapé. « Je suis désolé...mon amour... »Alors qu’il commençait à me masser, je me détendais bien plus que quand j’avais commencé à mettre mes bras sur ma poitrine. Il avait des mains de fées et même si j’avais pu le constater auparavant (loukas) là je voyais que c’était vraiment le cas. C’est pas grave soufflais je parce que ça m’énervait cette emprise qu’il avait sur moi et combien il pouvait me stopper alros que j’étais censée être en colère car il m’avait frustré. T’es pas obligé, je t’en veux plus dis je alors que j’avais posé une main sur l’une des siennes comme pour le faire arrêter. Sauf si tu recommences, je te jure que la prochaine fois je le prendrais vraiment mal. Je m’étais légèrement retourné, pointant mon index vers lui. Oui si y avait une prochaine fois, il s’en sortirait pas aussi bien ni vivant que cette fois.

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« Je sais que c’était pas en mal que tu as dit ça, mais tu devrais savoir que je suis pas du genre à me forcer, si je voulais pas j’aurais encore moins rien fait, plutôt que te chauffer pour te dire non. » Oui enfin bon. Je sais, c'était moi le fautif. Mais je voulais pas non plus que chaque fois que nous nous voyons ça finisse par une partie de jambes en l'air. Mais dans tous les cas, peu importe. Ça faisait longtemps que nous nous étions pas retrouvés rien que tout les deux comme ça en bonne entente. Et je n'avais envie que d'elle, que de tout faire pour elle, que d'être avec elle. Elle ne voulait même pas me regarder pendant que je parlais et mon cœur se serra dans ma poitrine. Je ne savais pas que maintenant je l'a répugnais un peu. Je m'étais levé en parlant et étais venu me placer derrière elle avant de placer mes mains sur ses épaules, la forçant un peu à se tenir droite, la massant du bout des doigts tout en m'excusant. C'est vrai que je venais de péter un nouveau moment intime entre nous et je m'en voulais. Énormément. « C’est pas grave. » Si ça l'était, je voyais bien que maintenant elle se mobilisait contre moi, qu'elle ne voulait même plus me voir. Et je tentais de me concentrer sur ce que je faisais. Étant en médecine sportive j'avais une formation de kinésithérapie 4 heures par semaines, qui de mieux qu'elle pour appliquer ce que je connaissais ? « T’es pas obligé, je t’en veux plus. » Comme si j'étais en train me forcer là. La toucher était tout ce que je voulais. Je continuais mon silence tout en continuant de la masser délicatement. Elle posa subitement une main sur une de mes mains comme pour m'arrêter et je stoppais tout mouvement. « Sauf si tu recommences, je te jure que la prochaine fois je le prendrais vraiment mal. » Je fis la grimace alors que je savais qu'elle ne pouvait pas me voir. « C'est une menace ? Non, parce que si s'en est une, je n'ai absolument pas envie que tu la mettes à exécution. » J'eus un bref sourire alors que je recommençais encore et toujours à la masser doucement, puis je me penchais par-dessus le canapé et déposais mes lèvres dans son cou, l'embrassant doucement, le mordillant et y faisant glisser ma langue. Puis à l'aide de mes mains, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge de chaque coté de ses épaules. Puis je refis le tour du canapé de son côté à elle, avant de m'agenouiller devant elle et je prendre ses mains dans les miennes. « Je t'aime et je t'ai promis de me battre pour nous. Jusqu'au bout et je ne veux donc pas te fâcher, te frustrer et surtout pas répéter mes erreurs. Donc... » Je fis glisser mes doigts sur sa cuisse d'un geste distrait. « Je te promets de ne pas recommencer ce genre de chose et si jamais je le fait... Tu pourras m'tuer. » J'avais employé un ton ironique pour achever ma phrase avec un sourire en coin. Puis je me mis à la fixer attendant ma sentence, un signe ou des mots, puisque du coup là, je n'osais plus continuer.

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Thélia ღ

Je lui avais dit que c’était pas grave, même si ça l’était, car oui sur le coup ça m’avait énervé malgré sa bonne intention. Cependant justement comme ça partait d’un bon geste je lui en voulais pas, mais sur le coup j’avais pas pu faire semblant et j’avais du lui dire le fond de ma pensée. J’étais comme ça, je disais ce que je pense, que ça plait ou non, mais en y mettant les formes. Je risquais donc pas de me forcer à faire quelque chose que je voulais pas, puis qui n’avait pas envie de partager un moment intime avec lui ? Je pouvais mettre ma main à couper que les trois quart, minimum, de Harvard m’enviait de savoir qu’il était à moi, que c’est moi qui l’avais dans mon lit et dans ma vie. Par contre pour bien être claire et éviter qu’il recommence une prochaine fois, je le mettais en garde que s’il me refaisait le coup je passerais pas au dessus, je ferais la gueule et bien comme il faut. « C'est une menace ? Non, parce que si s'en est une, je n'ai absolument pas envie que tu la mettes à exécution. » Il était toujours derrière moi, me massant toujours malgré que je lu ai dit qu’il n’était pas obligé. Un peu oui, je le prendrais vraiment mal sachant encore plus que tu auras été prévenu. Ne lui ayant rien dit auparavant, je pouvais rien lui reprocher même s’il devait se douter que ce genre de chose n’est pas ce qu’on aime le plus. Casser une ambiance comme ça, couper toute envie y a vraiment pas pire pour mettre une personne en rogne, homme comme femme. Là il savait et il pouvait pas dire que je l’avais pas mis en garde. Son sort restait donc entre ses mains pour l’avenir s’il venait à recommencer. Puis je sentis un appuie sur le canapé alors que ses lèvres se déposaient dans mon cou. Il mordilla un peu celui-ci, faisant trainer sa langue dessus. Etait ce une réponse comme quoi il avait compris ? Sa façon de dire qu’il recommencera pas ou qu’il était désolé ? Aucune idée mais il avait l’air de vouloir se rattraper et reprendre là où il avait tout fait arrêter. Enfin je crois, sauf s’il était suicidaire et qu’il faisait ça pour encore me bloquer par la suite. Sentant les bretelles de mon soutien gorge, tomber sur mes épaules, j’en concluais que oui il voulait reprendre ou j’interprétais mal la chose ? Pas le temps de me le demander plus, il était devant moi, à genoux alors qu’il avait attiré mes mains pour les prendre entre les siennes. « Je t'aime et je t'ai promis de me battre pour nous. Jusqu'au bout et je ne veux donc pas te fâcher, te frustrer et surtout pas répéter mes erreurs. Donc... » « Je te promets de ne pas recommencer ce genre de chose et si jamais je le fait... Tu pourras m'tuer. » Je fis un petit sourire à la fin de sa phrase. Compte sur moi pour le faire si tu me refais ça, surtout en plein dans le feu de l’action. Certes ça aurait pu être pire, il aurait pu arrêter alors qu’il était déjà en moi, mais il m’avait quand même bien fait flamber pour me refroidir aussitôt. Mettant mes doigts sous son menton je l’incitais à se relever, il était à genoux ça devait pas être confortable, je me sentais supérieure et j’aimais pas ça, j’avais pas l’impression du tout d’être supérieure, puis ça sonnait presque comme s’il allait me demander ma main et s’en était perturbant. Alors qu’il se posa sur le canapé, je fis glisser une main au bord de son oreille, la faisant prolonger dans ses cheveux avec tendresse alors que je vins l’embrasser, d’un baiser tendre et doux. Il m’énervait à bien se rattraper mais je pouvais pas cracher sur le fait qu’il était chou à dire ceci, j’espérais juste du fond du cœur qu’il en pense vraiment chaque mot. Mettant redressé pour venir l’embrasser, mon haut que j’avais remit sur ma poitrine était tombé sur mes jambes. Bon tu veux vraiment voir ce film ou autre chose te tente ? Je lui demandais entre quelques baisers tendres. Ou un autre film c’était comme il voulait en fait, ou peut être sortir faire quelque chose. Ouais parce que là je savais pas ce qu’il envisageait de faire vu comme les choses avaient finalement tourné en dérapage. Il était peut être attendu pour boire un verre avec un pote aussi.

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« Un peu oui, je le prendrais vraiment mal sachant encore plus que tu auras été prévenu. » Ah oui donc c'était bel et bien une menace. Devais-je lui avouer que je me comportais la plupart du temps comme un gros couillon avec ceux qui osait me menacer, de toutes les façons possible ? Non, hein... Parce que je ne comptais pas me comporter encore plus mal que je le faisais déjà avec elle. Devais-je lui raconter ma discussion par messages avec Avery suite au fait qu'il m'eut insulter de petit rouge et qu'il n'avait aucun respect pour son Vice-Président et que j'allais finir par lui coller du ciment dans son lit comme revanche et qu'il m'avait menacer de se venger avec des coquilles d’œufs dans le mien ? J'allais lui faire sa fête s'il pensait déjà à faire la mienne à Vegas. Oh putain Vegas ! J'ouvris de grands yeux en me souvenant du fait que je devais lui parler de cette sortie que j'avais d'organisée avec les Winthrop et les Dunster. Et je ne pouvais pas manquer cette excursion mais je ne voulais pas qu'elle m'en veuille encore plus et qu'elle ne se préoccupe à cause de ce qu'il s'était passer la dernière fois que j'étais parti avec les Winthrop, puisque je l'avais trompé avec une Dunster. Mon cœur se contracta douloureusement dans ma poitrine alors que je contournais le canapé, venant m'agenouiller devant elle, lui disant que je l'aimais. Le petit sourire en coin qui se dessina sur ses lèvres si parfaites ne m'échappa pas et j'en restais presque avec des étoiles dans les yeux. « Compte sur moi pour le faire si tu me refais ça, surtout en plein dans le feu de l’action. » Je secouais vraiment la tête de gauche à droite. « Avec mes conneries je me demande vraiment comment tu fais pour m'aimer un tant soit peu. » Parce que plus bourrin que moi y'avait pas. Elle passa alors une main sous mon menton et m’incita à me relever et je m’exécutais sans protester, venant m'asseoir à côté d'elle, elle passa ensuite sa main dans mes cheveux et j'inclinais un peu la tête en sentant son contact tendre jusqu'à ce que ses lèvres ne se collent contre les miennes. Je posais mes mains sur chacun de ses bras alors que j'étais plus que réceptif à son baiser. « Bon tu veux vraiment voir ce film ou autre chose te tente ? » J’espérais qu'elle était pas vraiment sérieuse avec son film parce que moi j'étais prêt à lui en faire vivre un, un vrai de véritable et du genre interdit aux moins de vingt-et-ans. (a) « C'est comme tu veux... » Puis je pris un peu le dessus et la poussait gentiment sur le canapé sans quitter ses lèvres, m'allongeant doucement contre elle. D'une main j'attrapais son haut et le jetais au loin, juste pour ne pas qu'elle ait l'idée de le remettre. « Mais, à vrai dire, il y a bien autre chose qui me tente... » Je recommençais à l'embrasser doucement dans le cou. « Toi... » Je replongeais sur ses lèvres alors que j'attrapais une de ses mains et que je venais la coller sur mon cœur, prenant appuie sur un avant-bras. Mon cœur battait aussi vite que si j'avais fait un marathon de dix mille kilomètres et c'était à peine si elle me touchait vraiment. « Tu sens ? Ben genre dis-toi que si jamais je meurs d'une crise cardiaque, t'y seras probablement pas pour rien. » Puis je me m'y à rire avant de revenir l'embrasser sur les lèvres.

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Thélia ღ

« Avec mes conneries je me demande vraiment comment tu fais pour m'aimer un tant soit peu. » Je haussais les épaules à peine avait il terminé sa phrase. Franchement je sais pas, je suis peut être sado maso dis je en riant légèrement. Je voyais pas en quoi il faisait plein de conneries. S’il parlait de sa tromperie, j’étais vraiment mal placé pour dire quelque chose et dans ce cas là je devais me demander comment il faisait lui aussi pour m’aimer un minimum. Si c’était aussi pour les fois où il avait le terrible don de tout stopper au mauvais moment, c’est pas pour ça que je devais pas l’aimer. Tant qu’il faisait pas bien plus pire que ça comme me tromper à nouveau ou d’autres trucs farfelu, ça allait. Mais je me gênais pas pour lui dire quand même qu’il arrête de faire ça, de tout stopper brutalement sinon il allait savoir ce que c’est l’abstinence et combien je peux être déterminée quand je veux pas faire l’amour. Puis je l’avais embrassé, passant une main dans ses cheveux avant de lui demander s’il était toujours partant pour ce film : the last song, ou bien pour autre chose. « C'est comme tu veux... » Je m’apprêtais donc à me mettre face à la télé, me positionnant correctement pour lancer le film puisque ça le dérangeait pas tant que ça, mais il me poussa doucement sur le canapé, venant se superposer au dessus de moi alors que nos lèvres discutaient entre elle et qu’il enleva mon haut qui était toujours positionné contre mon ventre, pour le faire partir. « Mais, à vrai dire, il y a bien autre chose qui me tente... » Est-ce que je comprenais bien sans qu’il en dit plus ? « Toi... » dit il alors qu’il avait repris d’assaut mon cou. Je comprenais donc bien ce qu’il avait en tête et ce qui le tenter bien plus que ce film. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors qu’il avait ses lèvres dans mon cou. Quelle femme pouvait être contre cette information ? C’était plaisant de savoir que celui qu’on aime nous veut nous au lieu d’un film non ? Pour le coup moi ça me plaisait bien. Il prit ma main ensuite et je le laissais faire tandis qu’il la déposa sur sa poitrine, là où son cœur se trouvait. « Tu sens ? Ben genre dis-toi que si jamais je meurs d'une crise cardiaque, t'y seras probablement pas pour rien. » Je rigolais avec lui, venant secouer doucement la tête. Non je risquais pas d’être la cause d’une crise cardiaque, c’était juste pas possible, sinon lui aussi allait être la raison de la mienne. Alors on sera réuni là haut dis je en pointant le doigt vers le ciel pendant qu’on échangeait à nouveau un baiser. C’était beau comme tout même si ça sonnait triste à la fois. Mais je t’interdis de me laisser seule sur terre. Ca pouvait sonner morbide de parler de ça et je préférais pas y penser, devoir le perdre parce qu’il serait plus de ce côté du monde, je me demandais si c’était pas pire que de le perdre parce qu’il ne m’aimerait plus. Etre séparé de l’être qu’on aime alors que cet être nous aime aussi, c’est bien trop horrible et ayant eu peur le temps de courtes minutes lors de notre sortie au karting avec June et Aidan, je voulais vraiment pas avoir à vivre avec ça, avec cette perte. Y repensant, je replongeais sur ses lèvres, venant glisser mes mains sur le flanc de chaque côté de son corps. Arrivant dans le bas du dos, je contournais sa taille pour faire arriver mes mains à l’avant, venant défaire les boutons de son pantalon, introduisant ma main dans son pantalon, tout en douceur.

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« Franchement je sais pas, je suis peut être sado maso. » Je ne pouvais qu'approuver ce qu'elle disait. En effet, elle était sadomaso. Pour rester avec moi fallait vouloir souffrir un peu je pense. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors qu'elle m'avait aidé à m'asseoir à côté d'elle avant de m'embrasser. Et dire que j'avais ruiné notre petit moment, fallait à tout prix que je rattrape le coup. Je ne voulais certainement pas qu'elle m'en veuille ou qu'elle ne garde une certaine colère contre moi. Puis, elle m'avait demandé si le film ou faire quelque chose d'autre me tentait et il était vrai qu'à la base nous devions voir un film romantique mais suite à ma connerie, c'était pas maintenant qu'elle allait me voir pleurer. Je m'étais donc un peu allongé sur elle, lui disant que la chose qui m'intéressait c'était elle et les battements effrénés de mon cœur pouvaient le lui prouver. « Alors on sera réuni là haut. » Oui, mais pas maintenant. Elle, elle devait vivre une très belle vit et mourir comme une petite vieille avec plein de petits enfants. Elle avait pointer son doigt vers le ciel et je souriais tout contre ses lèvres, pensant que c'était dingue l'état dans lequel elle me mettait. « Mais je t’interdis de me laisser seule sur terre. » Je me détachais de ses lèvres quelques secondes pour venir fixer son regard. Sa phrase me faisait penser au fait que je l'avais lâchement abandonné avec cette fichue pause que je lui avais imposé comme un gros lâche. Je fus tenté de lui répondre que jamais je ne voulais la laisser tomber, mais je me rendis compte qu'elle ne me croirait probablement pas. Je vins alors embrasser de nouveau ses lèvres gardant un silence de mort, alors que je mordillais sa lèvre inférieure, positionnant une main derrière sa nuque. Je pus ensuite sentir comme ses mains glissaient le long de chaque côté de mon corps et je frissonnais entièrement. Finalement, ses petites mains vinrent à se situer vers l'avant de mon corps, en bas de mon ventre, venant déboutonner les boutons de mon pantalon et un rire silencieux s’échappa de mes lèvres. Elle voulait me tuer, son coup de on se retrouvera là haut, ben pour moi ça allait être très prochainement. Je retirais sa main et me détachais d'elle, me relevant ensuite avec une moue coquine sur les lèvres, songeant déjà à ce que j'allais lui faire. Puis je fis quelques pas, me stoppant immédiatement après. Il me manquait pas un truc là ? Ben si, quel con ! Je revins sur mes pas, en secouant la tête et me giflant mentalement, alors que je plaçais mes mains sous Elia afin de la porter dans mes bras comme une princesse et de l’emmener jusqu'à mon lit. Je la fis s'asseoir dessus avec un grand sourire avant de poser un index contre sa poitrine et la pousser en arrière afin de m'allonger un peu sur elle et d'embrasser fiévreusement son cou alors que je lui disais d'une voix sensuelle: « Bonsoir... » Il y avait déjà trop longtemps pour moi que je ne m'étais pas senti aussi proche d'elle qu'en cet instant dans ce lit qui commençait à bien la connaître maintenant. Je fis descendre mes lèvres jusqu'au milieu de sa poitrine, passant entre ses seins, descendant jusqu'à son ventre plat, déposant de tendre baisers partout ou je pouvais. Qu'est-ce que je pouvais l'aimer cette femme alors. Puis je remontais progressivement venant embrasser ses lèvres, avant de venir lui chuchoter à l'oreille. « Eliiiiaaaaaa, elle est à moiii... » (a) Bon j'avais presque opter pour une voix d'enfant et j'étais ridicule mais l'intention y était. J'étais fou. Je vins alors jouer avec les bretelles de son soutien-gorge alors que j'embrassais sa poitrine par-dessus le sous-vêtement, venant lui dire avec sourire alors que je l'embrassais toujours à cet endroit là. « Dis...Tu crois que je pourrais te kidnapper ici avec moi, genre, disons pour...toujours ? » Je lui fis un grand sourire alors que je devais avoir une tête de souris avec mon menton posé sur son ventre et le regard levé vers elle. Question conne car je connaissais la réponse mais là j'avais juste besoin d'être avec elle et de rattraper mes erreurs.

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