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Pregnant or not ? ♥ Thélia

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Thélia ღ

« Ah bon ? Tu viendras me voir dans ce cas, lors des moments de visites quand je serais interné dans un hôpital psychiatrique avec le diagnostic "est devenu fou à cause de l'amour qu'il porte à Elia Kovalevski." » Je riais avec lui car il disait vraiment n’importe quoi. La preuve même qu’il était fou oui et j’étais pas certaine d’être la seule raison de cette folie. Il devait avoir des petits séquelles déjà avant (a) On était ensuite parti sur le sujet du mariage, mais pas simplement, parlant d’un éventuel mariage entre lui et moi, ce qui était assez étrange comme discussion il faut le dire. Encore plus après qu’on ait failli devenir parents. Il avait posé sa main sur ma joue, se rapprochant de moi et plongeant son regard dans le mien. « Je ne suis pas en train de jouer là. Si c'est ce que tu aimerais, crois-y. » Je levais un sourcil. Dit comme ça c’était pas top, si c’est ce que tu veux croit y mais t’y attends pas. C’était presque de cette façon que ça sonnait mais je répliquais pas, il avait peut être pas voulu dire ça mais il ne c’était pas si bien exprimé. & je lui avais confié ma crainte sur le fait qu’il se précipite trop pour finir par se réveiller, la dernière chose que je voulais évidemment. « Comment ? Arrêtes Elia. Quand je ne suis pas sur de moi, je ne m'aventure pas. » Je secouais la tête comme pour dire que j’étais pas d’accord. C’est pas ce qu’il m’avait dit avant, il était plus du genre à agir et ensuite réfléchir, tandis que moi je réfléchis et après j’agis. C’était donc ça qui me faisait craindre qu’il s’emballait, qu’il disait des choses qu’il était pas certain de penser encore dans quelques semaines ou bien capable de faire. Si tu le dis répondis je pour ne pas rentrer dans une polémique. « Tu es un vrai paradis, pour aurais-je envie de faire marche arrière avec toi ? C'est plutôt toi qui va prendre tes jambes à ton cou le jour ou ma demande va te tomber dessus. Tu voudras jamais de toute façon. » Ma minuscule phrase avait fait son effet apparemment mais j’hésitais presque à rire. Non parce que le coup du paradis c’était gros quand même. Il y allait fort et il devait être vraiment aveuglé, c’était bien pire que ce fameux proverbe sur l’amour rend aveugle. Tu dis vraiment n’importe quoi. Il pouvait pas savoir que j’allais refuser puis c’était pas comme s’il envisageait de faire sa demande demain. D’ici là on avait le temps. Je préférais d’abord nous savoir encore ensemble dans des mois, c’était plus l’essentiel pour moi. Etre déjà et encore avec lui dans quelques mois ça m’allait très bien, c’est la seule chose que je voulais. Puis il partit dans la cuisine pour me préparer un café et restant à ma place, je le regardais. Elia Di Matteo.. ça sonne bien quand même. Je riais doucement en le regardant m’apporter mon café. Sérieusement je trouvais que ça collait vraiment bien, un signe peut être ? Prenant le café je lui demandais du sucre, je supportais pas de boire du café sans au moins deux sucres ! « Et sinon, qu'à tu fais pendant mon absence, à part de faire du soucis évidemment ? » En deux jours qu’est ce que j’avais pu bien faire ? Vraiment pas grand-chose, entre les cabots, les cours, les clubs et j’en passe. J’ai fiat une réunion avec les roses pour avoir leur avis sur l’élection de cette année de la miss cabot 2014. Je pense lancer ça en janvier et je voulais savoir ce qu’elles en pensaient, genre que les bizuts seraient le jury et.. Je remuais mes sourcils en mode loukas avant de continuer. & si elles préféraient que les winthrops soient de la partie pour être dans le jury avec les bizuts cabots. Ouais étant la maison opposé aux cabots, étant que des mecs et nous que des filles ils étaient bien placé pour pouvoir noter. Mais je voulais que toutes les cabots soient ok, certaines préféraient faire ça que entre nous, d’autres étaient partantes pour que les winthrops soient là. Un sondage allait donc avoir lieu prochainement pour prendre une décision par la suite avec Olympe. & toi tu as fait quoi là bas ?


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  « Si tu le dis. » Bon là je devais reconnaître que je perdais de ma superbe. Donc, je n'avais plus le même pouvoir de persuasion que j'avais autrefois. Je fis une grimace sans m'en rendre compte alors que je lui parlais encore et toujours de mariage. Je devais bien remarquer que cette conversation ne l'enchantait pas vraiment. Elle devait vraiment me prendre pour un grand fou. Mais merde, comment lui dire qu'elle me changeait complètement ? Par exemple, avant, jamais je n'aurais songé à faire des choses peu catholiques dans des lieux publics et depuis que j'étais avec elle, ça changeait complètement. Un sourire divagua sur mes lèvres quand je repensais à notre fois dans cet ascenseur lors de nos retrouvailles ou dans l'aéroport lors de notre sortie en Italie. Avec elle, je devenais un autre homme qui avait envie de changer en bien. Pour que je songe déjà à devenir père et à me marier fallait le faire. Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder encore et encore. Si seulement elle pouvait rentrer dans ma tête, y comprendre mes pensées et dans mon cœur pour qu'elle puisse voir l'étendu de mon amour, celui que je ressentais et qui me faisais peur tellement je sentais qu'il avait tout contrôle sur moi au lieu que ce soit l'inverse. « Tu dis vraiment n’importe quoi. » Je formais alors un o parfait avec ma bouche. Elle ne pouvait pas me dire dire ça. Je portais alors une main sur mon cœur, faisant comme si j'étais blessé. Bien que dans mon fort intérieur je l'étais. « Bien... » Puis je m'écartais afin d'aller lui préparer son café avant de repartir lui chercher du sucre après lui avoir apporté. « Elia Di Matteo.. ça sonne bien quand même. » Ne m'y attendant tellement pas après avoir bu une gorgée de café, je la recrachais littéralement sur ma chemise. Bravo Théo, t'es trop sexy avec une grosse tâche de café ! Néanmoins, je souriais un peu alors que je me rendais compte que pour moi aussi sa sonnait vachement bien. Je l'imaginais déjà en robe de mariée alors que je tentais d'essuyer un peu la tâche. Heureusement que nous étions chez moi. « J’ai fiat une réunion avec les roses pour avoir leur avis sur l’élection de cette année de la miss cabot 2014. Je pense lancer ça en janvier et je voulais savoir ce qu’elles en pensaient, genre que les bizuts seraient le jury et.. & si elles préféraient que les winthrops soient de la partie pour être dans le jury avec les bizuts cabots. » Ah ? Un défilé de Cabots ? Ça ne pouvait plaire qu'aux autres Winthrop ça. « Dans tous les cas, les Winthrop seront très ravis de venir donner leur avis, sans hésiter. » Je lui fis un grand sourire. Nous allions surtout passer pour des gros pervers. Je relevais la tête vers elle. « M'enfin moi...Je n'aurais d'yeux que pour une personne. » Et d'yeux que pour la brûlure que je venais de me faire. « & toi tu as fait quoi là bas ? » J'haussais les sourcils avec un mouvement de tête. J'allais lui raconter ça d'une façon rapide qui allait bien résumer ce que j'avais fait. « J'ai passé mon temps assit dans un fauteuil, le regard perdu à travers une fenêtre à penser à toi et au... » Je me retenais de justesse de dire « au bébé » mais comme il n'y en avait pas, ça faisait très bizarre. « Enfin, j'ai surtout tenté d’échapper à mon futur-beau-père. Rien de bien fameux. Tiens, ma mère meurt d'envie de te rencontrer aussi. Elle dit que j'ai changé que je ne suis plus le Théophyl qu'elle connaît. » Je me mis à rire un peu car c'était complètement ridicule. Puis je posais ma tasse de café et commençais à déboutonner ma chemise comme une chose tellement normale. « Puis, tu en as parlé à quelqu'un de cet ...incident ? »
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Alors que j’avais pas répliqué, laissant juste un « si tu le dis » sortir de ma bouche, lui affirmant qu’il disait n’importe quoi aussi, je le vis mettre sa main sur son cœur. « Bien... » Que voulait il que je dis de plus ? Je voyais pas pourquoi il pensait à tout prix que je refuserais sa demande. Certes c’était trop tôt encore mais plus tard si on parcourait d’autres mois ensemble j’y voyais aucun inconvénient. Puis prononçant mon prénom suivi de son nom de famille, je trouvais que ça sonnait bien. Ca rendait joli et ça donnait que envie de porter son nom de famille un jour, peut être. Le truc non attendu ce fut qu’il recrache sa gorgée de café, venant en foutre de partout sur sa chemise. Je me mis à rire en le voyant faire et essayant d’essuyer le tout. Je l’avais choqué ou quoi ? Surement mais après tout c’était pas plus choquant que j’avais avoué vouloir un enfant avec lui plus tard. Il était fou et il me rendait folle aussi, je pensais déjà à ça alors qu’on était à peine ensemble depuis peu. Il me retournait le cerveau celui là avec sa gueule d’ange. « Dans tous les cas, les Winthrop seront très ravis de venir donner leur avis, sans hésiter. » Je fis un sourire. Etonné de sa réponse ? Clairement pas ! Ayant plusieurs affinités avec les hommes de cette fraternité, j’étais plus que bien placé pour savoir que tous lèverait leur main pour dire qu’ils veulent assister à notre élection. Tout comme je savais que toutes les cabots seront partantes pour assister à un show de leur part, la preuve quand ils avaient fait une vente aux enchères y a deux ans. « M'enfin moi...Je n'aurais d'yeux que pour une personne. » Levant les yeux au ciel, je tournais la tête à gauche puis droite, revenant à gauche et à droite à nouveau. Ah bon, qui est elle ? Si je me trompais pas c’était moi cette personne mais bon y avait pas de mal à l’entendre le dire lui. Remuant mon café pour que le sucre fond et se dissout dans le liquide marron j’attendais de savoir ce que lui, à son tour, avait fait là bas. « J'ai passé mon temps assit dans un fauteuil, le regard perdu à travers une fenêtre à penser à toi et au... » « Enfin, j'ai surtout tenté d’échapper à mon futur-beau-père. Rien de bien fameux. Tiens, ma mère meurt d'envie de te rencontrer aussi. Elle dit que j'ai changé que je ne suis plus le Théophyl qu'elle connaît. » Il terminait pas sa première phrase mais je devinais le mot qui en découlait. Je le comprenais, c’était logique que même à des kilomètres d’ici, il avait du y penser assez beaucoup. & quand il évoqua sa mère, je toussotais légèrement. Une chance que je m’apprêtais à boire une gorgée mais que je n’avais pas celle-ci dans ma gorge ou on aurait été deux à se retrouver avec une tâche sur nos vêtements. La belle famille ça me faisait toujours peur. J’étais pas assez confiante en moi pour me dire que l’on pouvait m’accepté, que c’était une évidence et rencontrer les parents ou les frères et sœurs de son petit ami c’est toujours une étape cruelle. Etre accepté par la famille de son petit ami y a pas plus important, ça aide clairement la relation. J’avais vu bien des films pour savoir que si les parents, le frère ou la sœur n’aime pas l’autre ça peut causer bien des problèmes et j’avais pu en faire un peu les frais avec mon frère et Tyler durant quelques temps. C’était tout sauf agréable et du coup ça me stressait grave. Une chance qu’elle soit pas aux Etats Unis dis je aussitôt et m’arrêtant net alors que ma phrase pouvait être mal prise par Théo. Fin je dis ça parce qu’elle pourra pas me rencontrer dès du jour au lendemain et que j’ai horreur de passer par la case, connaissance avec la belle famille. Je faisais une petite grimace. Lui-même pouvait le comprendre ayant mon jumeau dans sa fraternité. Mais j’aime bien savoir qu’elle sait que j’existe et que tu as donc du lui parler de moi. Oui il avait du le faire quand on avait squatté sa maison pendant un week end en Italie, mais il avait du lui en reparler peut être pour qu’elle veuille me rencontrer et ça me touchait. Qu’il en parle à sa mère voulait dire que j’étais pas une de plus sur son chemin.. Buvant plusieurs gorgées de mon café, je le regardais se déboutonner tranquillement alors qu’entrapercevoir son torse me fit prendre une grande respiration. « Puis, tu en as parlé à quelqu'un de cet ...incident ? » Je secouais la tête, m’avançant vers lui alors que je posais ma tasse de café dans la cuisine. Le regardant ainsi, je me disais qu’il était temps. Je sais pas si c’est le bon moment mais.. tant cas faire, que penses tu qu’on rend ça plus séiruex ? Je voyais bien qu’il comprenait pas, ça pouvait signifier plusieurs choses. Je veux dire, faire des tests pour ne plus omettre ça et se retrouver encore dans la situation ? Je prenais la pilule certes donc on pouvait le faire sans test mais c’était la moindre des choses de faire des tests, d’assurer l’autre qu’on avait rien a craindre, qu’on allait rien chopper que l’autre pourrait avoir.


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Quand elle avait mixé son prénom plus mon nom de famille, m'a réaction fut immédiate. Je recrachais sur ma chemise la gorgée de café que j'avais eu dans la bouche à ce moment même et je pus l'entendre rire comme jamais. Elle se moquait carrément de moi et en même temps, y'avait de quoi. Ça sonnait bien Elia Di Matteo... peut-être même trop. Bon, quand m'épouse-t-elle ? « Ah bon, qui est elle ? » Elle venait de me parler de cette espèce d’élection qu'elle allait organiser pour les Cabot et du fait qu'elle envisageait de demander aux Winthrop de faire parti jury. Je lui avais alors dit que pour moi, il n'allait y avoir qu'une seule Cabot à mes yeux: leur présidente. Je relevais la tête vers elle, alors que tout ce que je faisais c'était empirer la tâche que j'avais sur le torse au lieu de limiter les dégâts. « Qui veux-tu qu'elle soit ? Celle dont je suis fou amoureux pardi ! » Je levais ensuite les yeux au ciel avec une expression qui disait clairement, tu es trop bête. « Une chance qu’elle soit pas aux Etats Unis. » Sympathique. Il s'agissait quand même de ma mère, mère qui mourrait d'envie de rencontrer la femme qui avait changé son fils dans tous les sens du terme. «  Fin je dis ça parce qu’elle pourra pas me rencontrer dès du jour au lendemain et que j’ai horreur de passer par la case, connaissance avec la belle famille. Mais j’aime bien savoir qu’elle sait que j’existe et que tu as donc du lui parler de moi. » Je ne pus que me mettre à rire, d'un rire franc et sonore. J'avais deux-trois petites choses à lui apprendre sur ma mère. « Il faut que tu saches que ma mère serait capable de se ramener à l'improviste sans m'avertir préalablement. Elle pourrait même se trouver derrière cette porte à n'importe quelle heure. » Je pointais la porte d'entrée d'un signe de tête avec une expression grave. Je cherchais presque à lui faire peur. « Elle n'est pas méchante tu sais, elle impressionne juste. Et évidemment que je lui ai parlé de toi...J'crois que même m'a sœur lui à parlé de toi. » Bien qu'elles ne se connaissent pas directement, ma sœur connaissait l'existence d'Elia...et avec ce qui lui était arrivé et ce qu'elle m'avait avoué, je préférais ne pas penser à elle. Quand je lui demandais si elle avait parler de notre petit incident à quelqu'un, elle secoua la tête et je l'entendis se diriger pour poser sa tasse alors que je déboutonnais ma chemise. « Je sais pas si c’est le bon moment mais.. tant cas faire, que penses tu qu’on rend ça plus séiruex ? » Je me stoppais instantanément, tournant mon regard vers le sien. Quoi ? Comment ça rendre ça plus sérieux ? « Je veux dire, faire des tests pour ne plus omettre ça et se retrouver encore dans la situation ? » Ah. Je restais un peu perplexe devant sa demande mais son idée n'était pas folle, mais alors pas du tout. J'achevais de déboutonner ma chemise avant de lâcher une phrase toute prête: « Je ferais ce que tu voudras. » Si ça pouvait la rassurer et nous éviter l'oublie de condom la prochaine fois, je ne pouvais qu'être pour. Puis ne retirant pas ma chemise qui restait juste ouverte sur mon torse, je me souvins subitement que j'avais quelque chose à lui donner. Je me dirigeais donc vers un tiroir du salon que j'ouvris et en sortis une clef que je vins lui tendre. « Tiens...C'est la clef de cet appartement. Pour que tu puisses y venir quand bon te chantes. » J'haussais les épaules en me demandant si elle n'allait pas trop mal interpréter mon geste. Je ne lui demandais pas de venir vivre avec moi, juste qu'elle puisse venir quand elle voulait. Bien qu'habiter avec elle ne m'aurait pas dérangé, mais c'était trop tôt. Tout était beaucoup trop tôt. Puis je retirais ma chemise, la jetais par terre et je me dirigeais vers ma chambre en me souvenant d'une chose que je lui criais presque pour qu'elle m'entende. « Au fait, tu ne m'avais pas parlé d'y laisser des affaires ici, ou une trace féminine, peu importe ? » Je me mis un peu à rire alors que je revenais avec un tee-shirt à manche longue cette fois.
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« Qui veux-tu qu'elle soit ? Celle dont je suis fou amoureux pardi ! » Il levait les yeux au ciel et je souriais. Ben oui sa petite amie ça semblait logique mais il répondait pas plus à ma question au final ou alors très vaguement. Oui mais ça me dit pas qui c’est. Oui je le cherchais gentiment, comme si je savais pas que c’était moi. & la discussion avait vite tourné sur sa maman et qu’elle voulait me connaitre, mon dieu rien de pire pour me foutre la boule au ventre et m’angoisser. J’étais pas le genre de fille à vouloir plaire à tout le monde, qu’on m’aime tant mieux, qu’on m’aime pas osef, cependant quand ça touchait la famille de mon petit ami, là je tenais absolument à être apprécie un minimum et je craignais toujours de ne pas être apprécié. J’étais pas une blonde écervelée pourtant, je suis mature, intelligente, j’ai de la discussion et pas seulement sur les vêtements, les magazines, les stars et j’en passe. Aucune raison d’être regardé bizarrement du coup mais c’était pas suffisant pour ne pas paniquer à l’idée de rencontrer la famille de mon petit ami. « Il faut que tu saches que ma mère serait capable de se ramener à l'improviste sans m'avertir préalablement. Elle pourrait même se trouver derrière cette porte à n'importe quelle heure. » Il me montrait la porte d’entrée et je ne pouvais que moi aussi porter mon regard vers celle-ci. Cela voulait dire qu’elle pouvait se pointer n’importe quand ? Mais comment avait il fait pour nous laisser faire plein de bêtises, ici, pendant de longues minutes, sans fermer la porte alors que sa mère pouvait débarquer ? J’imaginais la rencontre alors qu’on serait en pleine action.. Non merci, y a pas pire pour se faire mal voir ou pour angoisser encore plus par la suite. Désormais j’allais être plus hésitante si on devait faire l’amour dans son appartement. « Elle n'est pas méchante tu sais, elle impressionne juste. Et évidemment que je lui ai parlé de toi...J'crois que même m'a sœur lui à parlé de toi. » Son « elle impressionne juste » n’était pas rassurant ! C’est justement CA qui fait le plus peur. Se retrouver avec une personne impressionnante c’est déstabilisant. C’est comme une fourmi devant un ours, c’est juste pitoyable. Si tu voulais me rassurer, c’est loupé.. Puis comment ça sa sœur avait aussi parlé de moi ? Je la connaissais même pas, hormis son prénom et qu’elle était une dunster j’en savais vraiment pas plus. Ah si pour ce qui lui était arrivé, mais c’est tout quoi. Ta sœur lui a parlé de moi ? Tu veux me faire fuir c’est ça ? Non parce que ta mère + ta sœur.. Ce sont les deux femmes les plus importantes de ta vie quoi.. Oh que oui et c’était pour ça aussi que j’avais super peur de les rencontrer. Leur avis devait être super important pour Théo et si elles m’aimaient pas, ils pourraient le prendre en compte.. Puis j’avais gentiment proposé qu’on fasse des tests pour ne plus avoir à mettre la capote et qu’on soit tranquille par la suite. « Je ferais ce que tu voudras. » Perso je prenais sa phrase d’une autre façon, surtout qu’il venait de défaire sa chemise, en entier. J’étais revenue dans le salon après avoir déposé ma tasse de café alors qu’il partait je ne sais ou. Le regardant ouvrir un tiroir je me demandais qu’est ce qu’il trafiquait, jusqu’à qu’il revient et me tendit une clé. « Tiens...C'est la clef de cet appartement. Pour que tu puisses y venir quand bon te chantes. » J’ouvris légèrement la bouche, un peu sur le cul face à ça. Je m’y attendais pas du tout, j’aurais pas cru qu’il me donne la clé de son appartement. Je ne savais pas vraiment ce que ça signifiait pour lui mais pour moi, ce simple geste était bien plus qu’un simple geste justement. C’était un peu comme du sérieux et il me faisait confiance et me voulait à ses côtés au point de me donner la clé de chez lui. Encore un peu sous le choc, je tenais la clé dans ma main alors qu’il jetait sa chemise et partit vers sa chambre pour surement en prendre une nouvelle, sans tâche. « Au fait, tu ne m'avais pas parlé d'y laisser des affaires ici, ou une trace féminine, peu importe ? » Je hochais la tête, sortant de mes pensées, alors qu’il ne me voyait pas. Oui je lui avais demandé ça avant qu’on part pour nos voyages respectifs. Passant de plus en plus de nuit improvisé chez lui, avoir deux trois rechanges c’étaient le mieux pour moi. Je restais bête qu’il s’en souvient et qu’il me le ressort sans que moi-même je ne lui en ai fait part à nouveau. Si si, si tu es toujours d’accord. S’il me donnait sa clé il y avait encore moins de chance qu’il soit contre que j’emmène quelques vêtements ici. Avançant dans la chambre, je m’appuyais sur le mur, le regardant. & si je viens et que je veux te faire une surprise spéciale et que ta mère tombe sur moi au lieu que je tombe sur toi, je fais comment ? Je riais légèrement, car oui je me voyais déjà lui faire une belle surprise un jour à venir. Genre l’attendre dans son lit en tenue spéciale et tadaaaaaam quand il rentre de court. Ou bien lui préparer un bon repas et une petite soirée rien que pour nous deux, dans une ambiance digne de ce nom. Si sa mère se pointait vraiment à l’improviste, j’allais être réticente sur mes surprises.. M’approchant plus de lui, je lui montrais la clé que j’avais toujours en main. Mettant une main sur sa taille, celle où je tenais la clé se trouvait collé à son torse. Je sais pas ce que ça veut dire pour toi mais.. mais pour moi ça signifie beaucoup.. et.. et je t’aime à la folie des étoiles de la galaxie de l’univers. C’était niais et ça sonnait comme si ça sortait droit d’un film à l’eau de rose mais ça pouvait pas être plus vrai. Il était comme mon étoile. Les étoiles illuminent le ciel la nuit, tandis que lui il se chargeait d’illuminer ma vie et mon cœur et pas seulement la nuit. Il était aussi haut dans mon cœur que les étoiles le sont dans le ciel et cette phrase décrivait bien ce que je ressentais à son égard même s’il risquait pas de la comprendre de la façon dont moi je le ressentais. Approchant doucement mes lèvres des siennes, je vins l’embrasser passionnément, lui montrant à quel point j’étais sincère.


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« Oui mais ça me dit pas qui c’est. » Et en plus elle le faisait exprès, jouant avec moi. Elle ne cessait de me taquiner, voulant réellement que je lui dise ce que je pensais d'elle et de notre relation, que c'était elle dont j'étais fou amoureux. Et il était hors de question que je ne la taquine encore plus. Je ne voulais pas répéter mes erreurs passées. « Mais je vais te le dire...C'est toi. » Je l'avais fixé avec un demi-sourire avant de lui parler de ma mère et du fait qu'elle était capable de se ramener à n'importe quel moment. « Si tu voulais me rassurer, c’est loupé.. » Ah bah zut. Certes, lui dire que ma mère pouvait se ramener à tout bout de champs et sans prévenir, ce n'était pas du tout rassurant, même pour moi, car je ne pouvais donc jamais avoir une réelle intimité. Je me rapprochais d'elle doucement, l'écoutant. « Ta sœur lui a parlé de moi ? Tu veux me faire fuir c’est ça ? Non parce que ta mère + ta sœur.. Ce sont les deux femmes les plus importantes de ta vie quoi. » La faire fuir ? Certainement pas. Je ne pus que me sentir un peu offusqué du fait qu'elle puisse me dire une telle chose. Je ne pensais pas que c'était les deux femmes les plus importantes de ma vie. «  Ce sont les deux seules femmes que je considère proches de moi, de ma famille. Par contre toi... Toi tu es la femme la plus importante de ma vie en ce moment. Ma sœur a du parler de toi à ma mère parce qu'elle a comprit elle aussi, à quel point j'avais changé. » Je lui fis un doux sourire, me retenant de lui sauter dessus et de l'embrasser à pleine bouche. Puis après avoir renversé mon café sur ma personne, je retirais ma chemise après lui avoir donné une clef de mon appartement et lui avoir dit que je me demandais encore si elle voulait toujours laisser sa trace féminine dans cet endroit. « Si si, si tu es toujours d’accord. & si je viens et que je veux te faire une surprise spéciale et que ta mère tombe sur moi au lieu que je tombe sur toi, je fais comment ? » Je relevais la tête vers elle alors que j'avais attrapé un nouveau haut à me mettre et je pus la voir appuyé contre un mur me regardant alors que je me retenais de sourire de toutes mes dents suite à sa petite explication sur une surprise spéciale. Je restais bloqué le haut en main. «  Une surprise spéciale ? Il va falloir que tu m'en dise plus là... » Je lui lançais un regard coquin alors que je riais un peu. « Et si ma mère tombe sur toi, tu lui expliques qui tu es, elle comprendra et c'est tout. » J'haussais les épaules avec désinvolture alors qu'elle se rapprochait de moi, puis posant une main sur ma hanche, elle en posa une autre sur ma poitrine, m'empêchant de me rhabiller. « Je sais pas ce que ça veut dire pour toi mais.. mais pour moi ça signifie beaucoup.. et.. et je t’aime à la folie des étoiles de la galaxie de l’univers. » J'écarquillais les yeux en l'écoutant me dire de tels mots qui sonnèrent comme de pures merveilles à mes oreilles. J'en restais bouche-bée. Si ce n'était pas une déclaration d'amour ça, j'étais un grand novice en la matière. Elle vint ensuite m'embrasser et mon cœur se mit à battre follement dans ma poitrine. Si seulement elle savait comme je l'aimais... « Tu sais je me suis toujours demandé si ma vie avait un sens et puis parfois on rencontre des êtres qui donnent un sens à notre vie et pour moi, c'est toi. Depuis cette première fois que j'ai posé les yeux sur toi, j'ai tout de suite su que je voulais être toi, de toutes les façons possibles. » Je prenais son visage en coupe entre mes mains, me mordant la lèvre inférieure. « Je ne peux pas te dire combien de temps on va rester ensemble, mais j'aimerais que notre histoire soit associé à l'infini. Je t'ai perdu une fois, Dieu seul sait comme je ferais tout pour ne pas te perdre une seconde fois, parce que je t'aime tellement... » J'enlaçais ensuite sa taille dans mes bras, déposant mes lèvres dans son cou, approchant ensuite mes lèvres de son oreille. « Mademoiselle Elia Kovalevski, vous allez finir par m'épouser, je vous le garantis ! » Il fallait pas qu'elle me dise de telles phrases aussi, parce qu'elle me mettait dans des états pas possible...
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« Mais je vais te le dire...C'est toi. » Je fis un sourire, satisfaite de sa réponse même si je la connaissais. C’était jamais mauvais d’entendre de la part des gens qu’on aime, que eux aussi nous aime. Ca faisait toujours plaisir et encore plus quand c’est sincère. « Ce sont les deux seules femmes que je considère proches de moi, de ma famille. Par contre toi... Toi tu es la femme la plus importante de ma vie en ce moment. Ma sœur a du parler de toi à ma mère parce qu'elle a comprit elle aussi, à quel point j'avais changé. » Quoi ? J’étais la femme la plus importante dans sa vie, même pas après sa mère et sa sœur ? Sa mère il en était éloigné mais quand même sa sœur, ils avaient l’air proche du peu que je savais et je restais surprise. Disait il ça pour pas que je me vexe ? Que je prends mal le fait qu’il me place pas au top de la pyramide ? Si c’était ça non, je pouvais comprendre qu’elles étaient plus importantes. Elles seraient toujours là pour lui, elles le connaissaient depuis toujours, alors que moi du jour au lendemain je pouvais ne plus faire parti de sa vie s’il en décidait. La troisième place me suffisait, tant que c’était après elles et non après une ancienne ex, un coup d’un soir ou après une amie et que ça serait ambigüe entre eux. J’espère alors qu’elle pense que c’est en bien et que ça me donne des points auprès d’elle. J’étais bien placé pour savoir qu’une sœur pouvait être très maternel envers son frère ou qu’elle ne veuille pas le voir souffrir pour une fille ni qu’il s’éloigne d’elle à cause d’une fille. J’étais encore plus bien placé pour savoir qu’avoir grandit avec un frère qui n’a pas eu de relation sérieuse et qui se pose enfin, ça peut encore faire plus peur et avoir l’impression qu’on va passer au second plan. Je voulais donc pas qu’elle pense ça de moi, pas même avant de m’avoir connaitre, sinon ça faisait un mauvais commencement avant de se connaitre. « Une surprise spéciale ? Il va falloir que tu m'en dise plus là... » Je remuais mes sourcils pour le faire narguer et lui dire que non il en saurait rien. Les surprises portent bien leur nom, la personne concernée ne doit pas savoir ce qui se cache derrière. « Et si ma mère tombe sur toi, tu lui expliques qui tu es, elle comprendra et c'est tout. » Je riais un peu. Oui je me voyais bien en petite tenue, sur le lit de Théo et sa mère se pointant. Lui expliquer la chose serait pas nécessaire, elle devinerait bien vite mais comprendrait elle ? Surement mais peut être pas au point de me voir d’une drôle de façon, de me juger ou je ne sais quoi. Bref, je secouais un peu la tête, j’allais pas y penser maintenant, on faisait rien de mal là alors elle pouvait débarquer ce ne serait pas un problème. & je lui avais sortit ma phrase, une phrase qui résumait ce que je pensais de lui et ce qu’il représentait pour moi. Si on me demandait désormais qu’est ce qu’il représentait ou combien je l’aimais, cette phrase serait ma réponse, comme une évidence. « Tu sais je me suis toujours demandé si ma vie avait un sens et puis parfois on rencontre des êtres qui donnent un sens à notre vie et pour moi, c'est toi. Depuis cette première fois que j'ai posé les yeux sur toi, j'ai tout de suite su que je voulais être toi, de toutes les façons possibles. » « Je ne peux pas te dire combien de temps on va rester ensemble, mais j'aimerais que notre histoire soit associé à l'infini. Je t'ai perdu une fois, Dieu seul sait comme je ferais tout pour ne pas te perdre une seconde fois, parce que je t'aime tellement... » Oh oui, moi aussi j’aimerais que notre histoire soit à l’infini. Savoir qu’on resterait toujours ensemble, j’en mourais d’envie et rien que y penser je trouvais ça parfait. Il entoura ma taille et je déposais ma main se trouvant sur son torse sur sa taille. Il vint déposer ses lèvres dans mon cou et je bougeais légèrement ce dernier sous les frissons qui parcouraient mon corps à cet instant. « Mademoiselle Elia Kovalevski, vous allez finir par m'épouser, je vous le garantis ! » Je fis un petit rire en entendant sa phrase. Je t’ai dit Elia Di Matteo ça sonne terriblement bien. A mon tour je vins entourer sa taille, collant mon corps contre le sien et venant chercher ses lèvres à l’aide des miennes, introduisant ma langue pour la mélanger avec la sienne et qu’elles fassent des roulées entre nos deux bouches.


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 « J’espère alors qu’elle pense que c’est en bien et que ça me donne des points auprès d’elle. » Je relevais la tête dans sa direction avec une expression neutre, me passant une main dans les cheveux, faisant mine que j'étais en train de réfléchir. Je ne savais pas vraiment ce que ma famille pensait du nouveau moi, de ce nouveau Théo qui prenait plus le soin de regarder ce qu'il se passait aux alentours, dans sa vie. Qui commençait à apprendre à faire attention à ce qu'il avait. Je ne savais pas non plus ce qu'elle pensait d'Elia, juste que ma mère particulièrement mourrait d'envie de la rencontrer. « Je sais pas...mais, dans tous les cas, elles trouvent que je me suis transformé en une vraie guimauve et que je pleure plus qu'avant pour un rien. Comme un bébé. » Je lui fis un grand sourire alors qu'évidemment ce n'était pas vrai. J'avais pleuré près d'Ofélia, de larmes de rage pour ce qu'elle m'avait annoncée. J'avais pleuré lorsqu'Elia m'avait quitté, lors de notre séparation à l'aéroport et lorsqu'elle m'avait réellement quitté ici même. Je réprimais un frisson songeant à ce moment là, me déplaçant donc pour aller me chercher un nouveau haut. Puis, la jeune femme était venue me rejoindre et après qu'elle m'eut fait comprendre que le fait que je lui donne la clef de mon appartement, représentait beaucoup pour elle, elle m'avait fait une pseudo déclaration d'amour, ce à quoi je n'avais pas pu m'empêcher de répliquer à mon tour. Achevant aussi le tout par le fait qu'elle allait finir par m'épouser puis c'était tout. Avait-on le droit de forcer une personne à nous épouser, qu'elle le veuille ou non ? Dans tous les cas, elle se mit à rire un peu alors que j'avais entouré sa taille de mes bras, la gardant près de moi. « Je t’ai dit Elia Di Matteo ça sonne terriblement bien. » Je fronçais un peu les sourcils réfléchissant à l'impact que ses mots avaient sur moi. Elle vint ensuite m'embrasser et nos langues jouèrent ensemble durant un petit moment, puis, coupant court au baiser car j'étais déjà essoufflé, je posais mon front contre le sien. « Comment je dois prendre ça ? Comme un futur oui ? » Je me mis à rire un peu, alors que je me détachais d'elle pour enfiler mon haut. Fallait pas qu'elle me provoque de la sorte parce que je n'étais qu'un simple mortel qui devenait fou en sa présence. Mais maintenant que je savais qu'elle voulait faire des tests et surtout après l'incident de la dernière fois et le motif du pourquoi elle était venu me voir aujourd'hui, je préférais rester sur mes gardes. Je revenais quand même vers elle, signalant la clef qu'elle avait dans la main avec ma tête. «  N'en profite pas non plus pour organiser des fêtes ici lors de mes nombreuses absences hein... » J'imaginais trop le truc, elle profitait de cet appartement rien que pour pouvoir organiser des soirées avec des potes et je secouais la tête, tant que ces fêtes ne dérapaient pas, ça ne me gênait pas. Tant qu'il n'y avait que ses amis et pas trop de mec hypers canons pour lesquels elle pourrait m'abandonner. Je fis ensuite courir mes doigts depuis son bras jusqu'à son épaule comme si une bête était en train de lui monter dessus. « Tu as envie de faire quelque chose de particulier maintenant ? »

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« Je sais pas...mais, dans tous les cas, elles trouvent que je me suis transformé en une vraie guimauve et que je pleure plus qu'avant pour un rien. Comme un bébé. » Je me mis à rire. Dès la première fois ou je l’avais connu il m’avait dit pleurer facilement et c’était d’ailleurs grâce à ça que j’avais su sa date d’anniversaire et que j’avais eu l’excuse de lui offrir une carte d’anniversaire en retard pour pouvoir le revoir. Cependant je l’avais jamais vu pleurer hormis la dernière fois lors de notre rupture mais ceci c’était normal, enfin s’il avait vraiment tenu à moi je trouvais ça normal qu’il en pleure un peu au moins. Cela ne le rendait pas filette juste qu’il avait un cœur et des sentiments. En revanche j’aimerais bien le voir pleurer devant un film ou une carte d’anniversaire comme il m’avait dit, chose peut être pas gagné. T’es encore plus une guimauve pourtant depuis que je te connais pour une guimauve je t’ai pas trop vu pleurer. J’exige qu’on se regarde un film à l’eau de rose pour la peine. Je riais légèrement. Non j’étais pas une sadique qui voulait le voir pleurer, le voir ainsi m’arrachait le cœur mais si c’était pas du à de la tristesse concernant ses proches mais juste à cause d’un film ou de larme de joie, ça me va. « Comment je dois prendre ça ? Comme un futur oui ? » Mon front coller au sien, je plongeais mon regard dans le sien, me mordillant la lèvre inférieure. Peut être bien dis je en déposant un baiser sur ses lèvres. Je voyais raiment rien contre le fait de l’épouser, certes pas maintenant mais sinon j’y voyais vraiment rien contre. Il remit d’ailleurs son nouveau haut, ouais c’était mieux comme ça, s’il restait dénudé sous mes yeux j’allais baver tel un chien ou alors j’allais lui sauter dessus tel un lion sautant sur une gazelle. « N'en profite pas non plus pour organiser des fêtes ici lors de mes nombreuses absences hein... » Je fis une mine choquée. J’étais pas le genre de nana à faire des fêtes en grandes, j’étais pas une mather puis si je faisais des fêtes généralement c’était juste chez les cabots. La dernière fête que j’avais organisé c’était pour mes 21 ans avec mon frère, sur une île que nos parents avaient loué pour nous et nos amis, c’était ma dernière fête organisée et la dernière plus grosse d’ailleurs. De un je fais pas de fêtes et de deux je m’amuserais pas à faire des fêtes chez toi, surtout pas. Me demander de me prendre moi-même un verre dans un placard c’était trop demandé alors faire une fête chez lui, inviter des gens qui pouvaient casser des choses, voler ou j’en sais rien, non merci. J’étais folle mais pas à ce point là et j’avais assez de valeur pour respecter son chez lui, son espace. Puis il fit monter ses doigts sur mon bras alors que je souriais bêtement sous cette sensation. « Tu as envie de faire quelque chose de particulier maintenant ? » Je hochais la tête. Je t’ai dit tout à l’heure, on se mate un bon film à l’eau de rose, comme ça tu pleures et je te console. Je lui tirais la langue alors que je riais ensuite. Non j’allais pas l’obliger à faire ça, je le taquinais mais j’avais rien contre un film et encore moins le consoler (a)


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« T’es encore plus une guimauve pourtant depuis que je te connais pour une guimauve je t’ai pas trop vu pleurer. J’exige qu’on se regarde un film à l’eau de rose pour la peine. » Je fronçais les sourcils, pas tellement ravis de la tournure que prenaient les choses. Elle voulait vraiment voir un film romantique avec ma personne ? Mon Dieu, j'allais passer mon temps à pioncer et encore. C'est à peine si j'avais pu voir la fin de Titanic. J'avais appris bien après que Jack était mort. Pauvre gars. Je plongeais mon regard dans le sien, au moins, elle avait un peu oublié le fait que ma mère mourrait d'envie de la rencontrer. « Tu veux me voir pleurer ? La dernière fois ça ta pas suffit ? Je suis choqué. » Il était vrai que j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps lorsqu'elle m'avait quitté. Et après et encore après, passant en boucle son départ et toutes les sombres galères qui hantaient ma vie. J'avais passé la moitié de mon temps avachi sur mon lit à ravaler mes larmes, me demandant ce que j'allais devenir. Une vraie guimauve, quoi. J'avais posté mes bras sur mes hanches la regardant durement. Puis non, finalement, c'était trop dur de la regarder avec colère, sinon avec amour et joie, car j'étais fier de l'avoir retrouver et qu'elle ne revueille de moi. « Peut être bien. » Mon front collé contre le sien, ses paroles me donnèrent l'effet d'une bonne douche chaude bien relaxante. Puis elle m'embrassa et je papillonnais des yeux, presque choqué encore une fois. Un grand sourire se peigna sur mon visage. « Je te prends au mot. Tu n'auras plus aucune échappatoire. » Et j'étais totalement sérieux. Enfin, j'allais probablement finir par lui faire très peur et allait sûrement finir par me laisser tomber plutôt que de s'engager avec un type dans mon genre. Puis je m'étais rhabillé avant de la prévenir de ne pas organiser de fêtes dans mon appartement, maintenant qu'elle avait la clef. «  De un je fais pas de fêtes et de deux je m’amuserais pas à faire des fêtes chez toi, surtout pas. » Je plissais des yeux, la considérant avec méfiance. Hum oui, si elle le disait, je ne pouvais que la croire. « Je t’ai dit tout à l’heure, on se mate un bon film à l’eau de rose, comme ça tu pleures et je te console. » Ma parole, mais, elle voulait vraiment que je pleure ! Elle me tira la langue avant de se mettre à rire et la tentation fut trop forte. Je plaçais mes mains sur mes yeux et commençait à les frotter avec une moue triste. « Ouaaaaaaiiiiiinnnn. » Puis je fis semblant de pleurer comme un gros bébé avant de la regarder à travers mes mains. « Ça marche là ? J'ai le droit à un gros câlin ? » Puis ce fut à mon tour de me mettre à rire. Je lui prit alors la main et l'entraînais jusqu'à mon lit, qu'elle ne se méprenne pas, lui faire de douces folies me hantait déjà l'esprit, mais ce n'était pas pour ça que je l'emmenais là. « Viens... » Je la vis s'asseoir sur le lit, à côté de moi, qui m'étais assit près d'une table de nuit, que j'ouvris. « Ça fait plus d'une semaine que je le contemple tous les soirs, me demandant ce que j'allais devenir sans sa propriétaire. » Lui prenant ensuite la main, j'ouvris sa paume à plat avant d'y déposer un objet froid et fin: Le bracelet que je lui avais offert lors de notre voyage en Italie. « Tu lui as manqué...tout comme tu m'as manqué... Et si vraiment tu veux me voir pleurer, quitte moi encore une fois. » Je la regardais alors avec une expression grave, avant de prendre son visage en coupe entre mes mains et de l'embrasser de nouveau, nous faisant basculer sur le dos, m'allongeant un peu sur elle. Je mélangeais ma langue avec la sienne, me délectant du contact qui nous unissait. Puis je me stoppais. Fallait pas continuer sur ce chemin là, pas maintenant. Je me relevais alors subitement, la regardant alors qu'elle était toujours allongée. « Bah alors marmotte, je croyais que tu voulais regarder un film, faudrait savoir. » Je fis une mine offusqué avant de rire et de m'éloigner à reculons en mode Michael Jackson, ça allait pas franchement lui plaire.
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