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Pregnant or not ? ♥ Thélia

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Thélia ღ

« Je te prends au mot. Tu n'auras plus aucune échappatoire. » Je hochais les épaules en souriant, comme si je cherchais à m’échapper, je serais surement pas encore là si c’était le cas. J’aurais déjà pris mes jambes à mon cou même. Puis je lui proposais qu’on regarde un film vu qu’il me demandait ce que je pouvais faire. Un film à l’eau de rose pour le voir pleurer, voilà ce que ma réponse avait été mais je blaguais. Perso j’avais rien contre ces films, je les adore même. Je dois tous les avoir dans mon disque dur externe et je les ai tous vu au moins deux fois chacun. De Titanic, à n’oublie jamais, à le temps d’un automne, à the vow ou bien encore Cher John. Bref je les avais tous vu et j’en avais la panoplie de ce genre de film mais j’étais pas certaine que lui il ai envie d’en regarder un. « Ouaaaaaaiiiiiinnnn. » Il imitait des cris comme s’il pleurait et il était pas bon comédien, ça m’étonnait de lui qui était en théâtre. « Ça marche là ? J'ai le droit à un gros câlin ? » Je me mis à rire en le regardant faire alors qu’il me regardait à travers ses mains. Il était chou comme ça et c’était bien marrant à voir aussi. Tu es sûr que tu fais du théâtre non parce que moi-même je peux être plus crédible à jouer la fille qui pleure. Je lui tirais la langue à nouveau alors qu’il me prit la main et m’emmena vers le lit pour m’y installer. Assise je le regardais ouvrir le tiroir de la table de nuit. « Ça fait plus d'une semaine que je le contemple tous les soirs, me demandant ce que j'allais devenir sans sa propriétaire. » Je levais un sourcil alors qu’il ouvrit ma main, mettant la paume vers le haut. Il y déposa quelque chose ensuite et je pus constater que c’était le bracelet qu’il m’avait offert en Italie et que je lui avais rendu lors de notre rupture. Je croyais qu’il l’aurait fait fondre, l’aurait jeté ou je sais pas quoi puis j’aurais surtout pas pensé qu’il me le donnerait à nouveau. « Tu lui as manqué...tout comme tu m'as manqué... Et si vraiment tu veux me voir pleurer, quitte moi encore une fois. » Je fis un sourire mais le fait qu’il prononce le fait de devoir le quitter encore, je sentis ma poitrine se serrer. Non je comptais pas le laisser à nouveau. La première fois je l’avais déjà faite à contre cœur et là je risquais ni de le faire à contre cœur ni de le faire par envie. Je le voulais lui et seulement lui, stout. Quand il prit mon visage entre ses mains, j’étais venue faire pareil avec son visage et je laissais le reste se faire tout seul. Nos lèvres et nos langues faisant qu’un alors qu’il m’avait faite basculer sur le dos et qu’il c’était allongé doucement sur moi. Mon cœur s’emballa en le sentant si proche de moi alors qu’il brisa le baiser et se releva aussi sec. Surprise je me relevais avec lui, m’appuyant sur mes avant bras, le regardant avec un sourcil en l’air. « Bah alors marmotte, je croyais que tu voulais regarder un film, faudrait savoir. » J’ouvris les yeux bien en grand alors que je le regardais s’éloigner à la Michael Jackson. Je voulais rire mais je me retenais. Vas y lance le je vais dans la salle de bain j’arrive. J’avais soif et puis j’avais envie de me rafraichir légèrement le visage aussi. Partant dans la pièce, je mettais en premier le bracelet à mon bras, venant ensuite me rincer le visage et boire une gorgée avant de me regarder dans le miroir. J’étais heureusement de le retrouver, vraiment et moi-même j’arrivais à le lire sur mon visage, avec mon sourire niais qui ne me quittait pas d’une seconde. M’essuyant le visage avec une serviette je sortis de la salle de bain, passant par la chambre et alors que je sortais de la chambre pour arriver sur le salon je commençais à enlever mon haut me laissant en soutien gorge. J’avançais vers lui et ma voix intérieur me disait que j’étais complètement dingo, je venais d’apprendre que j’étais pas enceinte, c’était un soulagement mais normalement j’aurais pas du vouloir faire quelque chose à nouveau non ? Normalement, mais j’étais pas dans la norme et puis depuis la dernière fois on avait rien fait pendant un mois, merde quoi j’avais le droit de re profiter de lui comme on le faisait avant. M’arrêtant devant lui, je jetais mon haut sur le canapé alors que je m’étais une main sur ma hanche, le regardant comme si tout était normal. Tu nous as choisi quoi alors ?


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  « Tu es sûr que tu fais du théâtre non parce que moi-même je peux être plus crédible à jouer la fille qui pleure. » Ben quoi ? Ma prestation ne fut pas à la hauteur de ses espérances ? Total, elle me tira la langue et je ne pus m'empêcher de faire une petite moue. Fallait que je réplique là, je pouvais pas la laisser m'insulter comme ça. « Je fais du théâtre certes, mais je suis plutôt le genre à rester dans les coulisses, tu vois le genre ? Histoire qu'on ne voit pas ma sale tête sur scène. » J'hochais la tête avec conviction avant de lui prendre la main et de l’entraîner avec moi dans la chambre afin de lui rendre son bracelet. Durant tout mon petit monologue elle ne pipa mot et j'en profitais pour l'embrasser et à moitié l'écraser sous mon corps. Puis sentant à quel point mon désir pour elle était déjà en train de monter comme un flèche, je me relevais précipitamment en prenant appuie sur mes avant-bras, lui lançant d'une voix ironique que je croyais qu'elle voulait voir un film, non dormir. Sa réponse ne se fit pas attendre. « Vas y lance le je vais dans la salle de bain j’arrive. » Je lui fis un bref mouvement de tête, avant de me reculer comme le roi de la pop et de revenir dans le salon où la télé marchait toujours mais ma sorcière bien-aimée était partie. Puis me grattant le menton, je me mis à réfléchir aux différents films que je possédais et qui pouvait être émouvant alors que j'entendis la porte de la salle de bain se refermer. J'allais tout de même pas lui foutre Titanic hein ? Autant que me couper les veines avec le DVD. Riant un peu seul à cette pensée, je me mis à arpenter la pièce regardant les différents DVD que je possédais. Quand soudain mon regard se porta sur une boîte en particulier. C'était un CD de ma sœur, qu'elle avait oublié alors que nous avions passé une soirée ensemble. C'était un film bien chiant qui m'avait un peu ennuyé. M'enfin, le père de l’héroïne mourrait à la fin alors bon. Prenant la boîte en main je commençais à lire le synopsis à l'arrière, ne m'étant pas rendu compte que la jeune femme était revenue vers moi. « Tu nous as choisi quoi alors ? » Je relevais vite fait la tête vers elle avant de la baiser aussi vite, lui signalant le DVD. « Un truc qui s'appelle The Last Song et qui... » Puis je me stoppais intégralement, relevant la tête bien vite dans sa direction. Bordel ! Elle avait retiré son haut, se retrouvant en soutien-gorge devant ma personne, comme si c'était une chose tout à fait normal et...Ah quelque chose scintillait à son poignet, si bien que je reconnu le bracelet que je venais de lui rendre. Elle avait chaud ou bien elle voulait me torturer ? Par contre, j'eus soudain très chaud moi aussi de la voir dans cette tenue. Et pourtant, elle était encore bien habillée... Fallait qu'elle comprenne un jour l'effet qu'elle avait sur moi... Sur moi et sur mini Théo. Je me rapprochais d'elle doucement alors qu'elle avait posé une main sur sa hanche. « Euh... tout vas bien ? » Je me retenais de rire, tellement je la trouvais osée et n'ayant pas froid aux yeux, comme la fois où elle s'était ramenée en sous-vêtements dans le bureau de la maison de ma mère lorsque nous étions en Italie. Je montrais le bracelet d'un coup de tête. «  Tu n'avais pas à le remettre si tu n'en avais pas envie... » Je laissais ma phrase planer alors que je lui tendais le DVD. « Dis-moi si ça te conviens. » J'employais tout mon sang-froid pour ne pas la renverser sur le canapé et lui faire tout ce qui me passait pas le tête, puis je me dirigeais vers l'écran plat, allumant le lecteur DVD au passage. Je me tournais après vers elle avec un grand sourire. « Oh puis tu as raison, pourquoi ne pas se mettre à l'aise ? » Je retirais alors le haut que je venais à peine d'enfiler, me retrouvant torse nu et le faisant rejoindre son haut à elle sur le canapé. Ils allaient commencer à faire des trucs ensemble avant nous deux à ce rythme là (a)

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« Je fais du théâtre certes, mais je suis plutôt le genre à rester dans les coulisses, tu vois le genre ? Histoire qu'on ne voit pas ma sale tête sur scène. » Qu’est ce qu’il avait avec sa sale tête celui là ? Elle était très bien sa tête et d’un côté tant mieux qu’il ne monte pas sur scène, il ne devrait embrasser d’autres filles pour jouer la comédie et en plus de ça tout le public, du moins les filles dans le public, serait en chaleur en le voyant. Car oui il était sexy et dans une pièce de théâtre j’imagine bien que ça devait être le seul et unique beau gosse. Je hochais donc de la tête puis j’étais partit dans la salle de bain me désaltéré, me refroidir un peu et enfiler le beau bracelet qui était à nouveau mien. Revenant vers lui j’avais naturellement enlever mon haut lui demandant ce qu’il nous avait choisi, le voyant avec un dvd dans une main. « Un truc qui s'appelle The Last Song et qui... » Il avait monté la tête vers moi, la redescendant vers le dvd pour finalement la relever alors qu’il s’était arrêté en chemin de sa phrase. Ce film ne me disait rien, je l’avais pas vu et tant mieux, voir un film que je connaissais par cœur aurait tout sauf réussi à me captiver et ça m’aurait bien plus tenté à faire des choses pas catholiques ou à jouer avec le jeune homme se trouvant avec moi dans cette pièce. « Euh... tout vas bien ? » Je fis un sourire en hochant la tête, pourquoi ça n’irait pas ? Oui oui, très bien, puis bon choix, j’ai jamais vu ce film, au moins je pourrais pleurer avec toi. Fin bon même les films que je connaissais par cœur, que je savais ce qui allait se passer, ça m’empêchait pas de fondre en larme et de prendre les mouchoirs avec moi. « Tu n'avais pas à le remettre si tu n'en avais pas envie... » Il regardait le bracelet et automatiquement j’en fis de même, venant le toucher avec la pointe de mes doigts de mon autre main. Si je l’ai mis c’est que j’en avais envie. Ca m’avait fiat de la peine de te le rendre, mais comme tu l’avais payé toi et que j’allais me torturer à le regarder toutes les deux secondes.. Je lui laissais comprendre que ainsi j’avais préféré lui rendre, à contre cœur, tout comme je l’avais quitté à contre cœur. Je l’aimais bien ce bracelet et même si je lui avais fiat une petite scène parce qu’il m’avait offert ce cadeau, après la robe, le voyage et le restaurant. « Dis-moi si ça te conviens. » Prenant le dvd, je regardais vaguement la pochette et je lisais le résumé en diagonale, hochant pour approuver le choix. Lui donnant à nouveau, je lui autorisais à le lancer. Ce qu’il se chargea de faire en allumant la télé ainsi que le lecteur dvd. « Oh puis tu as raison, pourquoi ne pas se mettre à l'aise ? » Je le regardais alors que j’étais toujours debout, il retirait à son tour son haut et je ne pus retenir un sourire en coin. Essayait-il de me faire céder ? J’en avais toute l’impression. Tu as vu comme il fiat chaud ? Tu as pas déclenché le chauffage par hasard ? Je lui demandais sincèrement comme si je mourais vraiment de chaud et que je pensais vraiment que son chauffage c’était enclenché. Parfois ça arrive mais là je savais bien qu’il n’y avait aucun problème avec celui-ci. M’approchant de lui, je déposais mes mains sur son visage, venant coller mes lèvres avec les siennes pour un court baiser alors qu’en décollant mes lèvres je vins lui mordiller la lèvre inférieure, tirant doucement mais sensuellement sur celle-ci. Il manquerait juste des pops corns et ça serait le pompom, tu en as pas par hasard ? Je lui demandais tout en me dirigeant vers le canapé, m’installant dedans, m’y mettant au fond bien au fond.


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  « Oui oui, très bien, puis bon choix, j’ai jamais vu ce film, au moins je pourrais pleurer avec toi. »  Oui, ou je pourrais aussi mourir d'excitation parce que vu comment que je me retenais pour ne pas la toucher, il m'en fallait du sang-froid. Elle avait retirée son haut et se postait en soutien-gorge devant moi comme si c'était la chose la plus normale au monde. P'tain mais je devrais porter plainte contre elle pour être trop sexy et me faire perdre la tête là. Je riais un peu alors qu'elle me disait qu'elle allait aussi pleurer avec moi. Mais, qui lui disait que j'allais moi aussi pleurer ? « Si je l’ai mis c’est que j’en avais envie. Ca m’avait fiat de la peine de te le rendre, mais comme tu l’avais payé toi et que j’allais me torturer à le regarder toutes les deux secondes.. » Je plissais les yeux alors que mon regard était passé de son poignet où reposait le bracelet que je lui avais rendu jusqu'à ses yeux, se délectant au passage de la vue que m'offrait la rondeur de ses seins. «  Je ne l'ai pas payé, je te l'ai offert. L'argent n'a rien à voir la dedans. Et quand je te l'ai offert, je savais déjà ô grand combien j'étais fou amoureux de toi. » Puis je lui avais tendu la boîte du disque et j'étais partis allumé le lecteur DVD, retirant aussi mon haut comme elle l'avait fait, le jetant sur le canapé. « Tu as vu comme il fait chaud ? Tu as pas déclenché le chauffage par hasard ? » Je ne pus que me mettre à rire en la regardant s'approcher de moi. «  Non, c'est ta température corporelle qui a subitement monter en voyant mon corps, ma chère. » Je lui fis un grand sourire plutôt fier de ma connerie alors qu'elle s'était carrément mise face à moi et qu'elle déposait ses mains sur mon visage, collant ses lèvres aux miennes alors que je passais mes mains autour de sa taille. Et au moment ou je m'échauffais bien complètement, elle mit fin au baiser, me mordillant la lèvre inférieure. « Il manquerait juste des pops corns et ça serait le pompom, tu en as pas par hasard ? » Elle s'était éloignée de moi et je poussais un soupire de frustration. Elle avait le ton de me booster à mille en trois seconde top chrono. Elle avait trop de pouvoir sur moi cette fille. Assise sur le canapé, je la fixais durant quelques secondes avant de me rapprocher d'elle, plaçant une jambe de chaque côté de son corps, de cette façon  je la chevauchais sans l'écraser de mon poids, venant coller mon torse contre sa poitrine et m'emparant de ses lèvres. « Non désolé... Mais je croyais que tu allais enlever ton pantalon je suis déçu... » Je lui fis un sourire avant de vouloir subitement faire quelque chose « Regardes... » Je me relevais brusquement une idée en tête et venait ouvrir un placard duquel j'extirpais une guitare. Ma guitare depuis que j'avais quinze ans et je n'y avais plus touché depuis des lustres. Je me souvins alors d'une vielle chanson que je connaissais par cœur et je m'assis donc à ses côtés sur le canapé, positionnant ma guitare comme il le fallait, je commençais ensuite à faire glisser mes doigts sur les cordes. « Elia Eileen Kovalevski, ceci est pour toi. » Et je ne chantais pas comme un Dieu mais je tentais de m'en sortir quand même, pour elle, et pour lui montrer mon amour. «  There's so many reason that I find, to run to you... »
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« Je ne l'ai pas payé, je te l'ai offert. L'argent n'a rien à voir la dedans. Et quand je te l'ai offert, je savais déjà ô grand combien j'étais fou amoureux de toi. » Je la sentais venir celle là et ça m’étonnait pas qu’il dise que l’argent n’avait rien a voir dedans. & quand il annonça qu’il était déjà fou amoureux de moi je fis un petit sourire, je le savais à l’époque mais j’avoue que avec sa pause itout j’en avais clairement douté. C’était plus le cas maintenant j’avais juste peur de le perdre à nouveau et rien que pour ça je voulais encore plus profiter de lui, de chaque moment ensemble, même si avant on avait bien pu profiter de nos moments à deux. & je veux que ça reste au présent, que tu le sois, pas que tu l’étais. Non je voulais vraiment pas le perdre, pour ma part je suis bel et bien folle amoureuse de lui. Puis on c’était tous les deux dézappés, ayant commençait la première puisqu’il était mis fin à un baiser agréable j’avais fait ceci et il avait pas attendu pour me rejoindre, sachant très bien l’effet que ça allait faire sur ma personne. « Non, c'est ta température corporelle qui a subitement monter en voyant mon corps, ma chère. » Je riais un peu, non j’allais pas le nier même habillé son corps était comme un aimant, il attirait le regard et surtout il m’attirait à lui. Mais je voulais le faire un peu narguer, faire des sous entendus tout en faisant semblant d’être concentrée dans le film. C’est pourquoi j’avais rompu le baiser que je lui avais donné pour pouvoir me mettre sur le canapé en attendant qu’il lance le film. Mais il n’en fit pas ainsi. AU lieu d’approcher du lecteur pour lancer le film ou de s’asseoir à côté de moi et appuyer sur le bouton play il s’avançait vers moi, se mettant de face et venant se mettre à califourchon sur moi. Mes jambes étaient coincées entre les siennes tandis que je me mordillais la lèvre inférieure et qu’il vint prendre possession de mes lèvres tout en faisant un contact entre ma poitrine et son torse. Ah le petit coquin ! « Non désolé... Mais je croyais que tu allais enlever ton pantalon je suis déçu... » Je fis un sourire en coin. Oui c’était peut être prévu dans le plan mais il devait pas le savoir quand même. « Regardes... » Il se leva et je me demandais qu’est ce que j’allais devoir regarder. Allait il me faire un petit show de striptease ? Perso j’étais pas contre mais le voyant ouvrir un placard je commençais à en douter. Il allait peut être sortir un cd de là pour nous mettre dans l’ambiance ? Loupé Elia, il sortait du placard une guitare et je restais un peu sur le cul, une chance que je sois assise. J’ignorais complètement qu’il avait une guitare, qu’il en jouait même. A cet instant je tombais encore plus amoureuse de lui, moi qui rêvait d’apprendre à jouer du piano ou de la guitare, j’allais pouvoir peut être ajouté cette tâche dans mes résolutions de la nouvelle année. Je le regardais s’installer à côté de moi. Lui torse nu ça donnait bien, moi le regardant avec des cœurs dans les yeux et juste en soutien gorge ça paraissait bizarre haha. « Elia Eileen Kovalevski, ceci est pour toi. » Décidément il allait toujours me surprendre, il se souvenait de mon second prénom alors que je lui avais dit une seule fois. L’unique fois où je lui avais dit le prénom de mes parents et donc le fait que mon second prénom était celui de ma mère. Il s’en était souvenu et ça me surprenait. Il commençait à jouer de la guitare et je m’étais mise sur le côté, l’écoutant alors qu’il se mit à chanter. « There's so many reason that I find, to run to you... » Je l’écoutais alors qu’il chantait tout en jouant. & je ne disais rien, profitant de ce moment qui me donnait des papillons dans le ventre. Je me concentrais sur les paroles et c’est limite si j’avais pas envie de chialer comme un bébé, mais ça serait pas de la comédie. Pas besoin de ce film, il allait me faire pleurer en deux secondes là. Après deux trois refrains, quand il se mit à commencer un nouveau refrain je fis un sourire. Thinking of you, nobody else chantais je avec lui ayant réussi à retenir les paroles du refrain. Knowing you are the one with the love that I need and I miss you more each day. Une chance que je chantais assez bien, j’étais pas faite pour être chanteuse mais ma voix restait juste et ces paroles disaient juste ce que je pensais et je pouvais que l’accompagner. Quand il s’arrêta de chanter, une larme coula de mes yeux alors que je m’avançais vers lui, prenant son visage entre mes mains et venant l’embrasser dans un baiser passionné alors qu’à mon tour je montais à califourchon sur lui. Faisant attention à sa guitare je la déposais sur le canapé à côté de nous. Je savais pas tu jouais de la guitare, tu m’impressionneras toujours lui dis je entre quelques baisers. Oui il arrivait toujours à me surprendre et j’aimais bien ça mais je me demandais toujours qu’est ce qu’il pouvait me réserver de mieux que ce qu’il fait et il arrivait à trouver le truc parfait. Le faisant basculer pour que son dos se colle au canapé, je continuais de poursuivre notre baiser alors que mes mains tenaient sa nuque. Si tu veux que j’enlève mon pantalon, t’as qu’un mot à dire. Je riais légèrement alors que pour le moment c’était la seule façon dont je pouvais le remercier pour cette chanson. J’y réfléchirais plus à l’avenir mais là sur le coup, lui offrir ma personne en remerciement était tout ce que j’avais en possession.


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  « & je veux que ça reste au présent, que tu le sois, pas que tu l’étais. » Je ne pus m'empêcher de lui faire un grand sourire. Évidemment que je comptais faire tout mon possible pour que ça reste au présent. Il était hors de question que ça ne passe au passé. «  C'est je l'étais, je le suis et je le serais. » Oh oui, je lui avais pas demandé de m'épouser si jamais c'était seulement pour l'aimer rien que maintenant. Elle allait encore m'avoir sur le dos pendant pas mal de temps. Toute la vie si ça pourrait être possible. Puis alors qu'elle était revenu vers moi en enlevant son haut, j'en avais fait de même avec le mien, histoire d'un peu la déstabiliser, comme elle me déstabilisait à fond. Puis alors qu'elle avait commencé à m'embrasser avec ferveur et conviction elle m'avait laissé en plan. J'avais soudain eus une illumination et avait décidé d'aller chercher ma guitare pour lui chanter une vielle chanson d'amour qui exprimait bien ce que je ressentais à son égard. Son expression ne m'échappa pas alors que mes doigt courraient sur les cordes et que je relevais de temps en temps le visage vers elle. Elle semblait apprécier, presque émue et je me sentis fier à ce moment là de lui faire ressentir ce genre de chose. Qu'elle ne trouve pas que me voir shirtless avec une guitare sur les jambes soit quelque chose de complètement absurde voir démodé. Et je l'aimais et je voulais le lui faire savoir encore et encore. Puis alors que j'avais déjà entamé la chanson, elle se mit à chanter certaine paroles avec moi, m'arrachant de grands sourires. Si on était pas mignons là tous les deux à chanter comme des amoureux ? Dans tous les cas mon cœur lui, battait la chamade. Quand je terminais la chose, j'achevais les dernières notes avant de relever la tête vers elle et de me rendre compte qu'une larme coulait le long de sa joue et mon expression changea instinctivement. La faire pleurer n'avait jamais été mon but et maintenant je m'en voulais presque. Je la regardais jugeant si elle allait bien alors qu'elle se rapprochait de moi afin de prendre mon visage entre ses mains et de m'embrasser comme jamais alors qu'elle repoussait en même temps ma guitare. Cela lui avait permis de monter à califourchon sur moi et je posais mes mains sur ses fesses pour ne pas la voir basculer en arrière. «  Je savais pas tu jouais de la guitare, tu m’impressionneras toujours » Je ne pus que me mettre à sourire alors que nous nous embrassions toujours et ce fut à mon tour de me défendre entre deux baisers. « Je suis plein de surprise que veux-tu...Je veux être sur que tu t'intéressera toujours à moi. » Je riais un peu alors qu'avec ses lèvres contre les miennes, elle nous faisait basculer en arrière, mon dos touchant le fond du canapé et ses mains étant posées sur ma nuque. «  Si tu veux que j’enlève mon pantalon, t’as qu’un mot à dire. » Ah, elle allait m'achever cette femme. Elle était vraiment en train de me dire que je pouvais lui demander d'enlever son pantalon comme ça. M'enfin autant lui arracher moi-même. Je sentais déjà comme dans mon corps c'était comme dans le volcan le plus dangereux au monde. Elle me provoquait un drôle d'effet chaque fois qu'elle me touchait et ce moment n'échappait pas à la règle. Il fallait que je me calme un peu. «  Si j'avais su que te jouer un morceau de guitare te ferais un tel effet, je t'en aurais déjà jouer un y'à longtemps. Tu ne sais pas jouer de la guitare ? Je peux t'apprendre si tu veux ? » N'attendant pas sa réponse, je la fis descendre de mes jambes, l’asseyant à côtés de moi, mais un peu parallèlement pour que je puisse coller mon torse à son dos, afin d'avoir un meilleur accès à ce que nous faisions. Prenant la guitare je la plaçais sur ses jambes et prenant sa main droite, je la plaçais sur les cordes et son autre main gauche sur la guitare en hauteur. « Là...voilà, et c'est en trois temps, un, deux, trois... » J'entrepris alors de lui expliquer en quelques mots comment faire alors que je parlais d'une voix sensuelle tout contre son oreille, soufflant de temps en temps contre son cou. Les notes qu'elle jouait grâce à mes mains que j'avais placé sur les siennes retraçaient une mélodie, une mélodie qu'elle avait déjà entendu avec moi lorsque nous étions dans ma voiture et que nous nous rendions à la plage, le jour de notre première fois. Je ne sus pas si elle l'avait reconnu mais là peu m'importait car sa peau m'appelait. Je déposais de longs et doux baisers le long de son épaule, descendant ensuite le long de son dos, alors que mes dents commencèrent à jouer avec le tissus de son soutien-gorge.

Laaa chaaanson

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« C'est je l'étais, je le suis et je le serais. » Il pouvait pas dire mieux, c’est ce que je pensais et ce que je voulais, je voulais un futur avec lui, pas juste un présent et encore moins juste un passé. Je voulais pas me contenter de dire je suis sortie avec lui, je voulais pouvoir dire je sors avec lui, c’est mon petit ami et pas le tien, bim. Puis une chose entrainante une autre j’étais venue l’embrasser après cette belle chanson qu’il venait de m’offrir. J’allais pas juste lui dire merci et me mettre à regarder le film, c’était pas mon genre et j’étais pas du genre à vouloir le narguer, surtout pas maintenant en fait, pas alors qu’il venait de me chanter une chanson avec une guitare et une chanson dont les paroles signifiaient tellement pour moi. « Je suis plein de surprise que veux-tu...Je veux être sur que tu t'intéressera toujours à moi. » Je riais légèrement, venant décoller une de mes mains pour lui aplatir doucement dans la nuque comme une tape. Aucune raison que je m’intéresse plus à lui, on pouvait s’installer dans une routine comme des vieux que je serais toujours aussi folle de lui et que je m’intéresserais pas plus à un autre que lui. Pas besoin de mot parfois un regard ou un geste était bien plus significatif. « Si j'avais su que te jouer un morceau de guitare te ferais un tel effet, je t'en aurais déjà jouer un y'à longtemps. Tu ne sais pas jouer de la guitare ? Je peux t'apprendre si tu veux ? » J’aurais pas été contre d’en avoir eu droit plus tôt mais now que je savais, je risquais de lui demander de temps en temps de me faire un petit morceau de guitare, peut être pas le chant, je lui imposerais pas mais juste la mélodie de la guitare, me perdant en regardant son visage, ça m’irait amplement. Je hochais donc la tête disant que oui je voulais apprendre à en jouer, bon je pensais pas à tout de suite, mais j’étais pas contre d’en apprendre plus tard quoi. Sauf qu’il me fit basculer de lui et m’installant juste à côté de lui, il vint placer la guitare sur mes jambes, positionnant ma main droite vers le bas de la guitare et la gauche sur le haut des cordes. « Là...voilà, et c'est en trois temps, un, deux, trois... » J’avais presque l’impression qu’il parlait de danse avec son un, deux, trois. T’es pas obligé de m’apprendre maintenant, tout de suite tu sais. J’aimais bien mais bon on était quand même sans haut quoi.. Le pire n’était pas ça, c’est qu’il me guidait, ses mains sur les miennes, tout en venant souffler dans mon cou et en parlant sensuellement. A chaque souffle je sentais les frissons m’envahir et je me cambrais un tout petit peu. Comme si c’était pas suffisant, la musique qu’il me faisait jouer était le genre de musique lente mais super entrainante et qui donnait carrément un son romantique alors quand il me soufflait dessus je ne faisais que perdre de ma concentration. Non c’était pas une façon de travailler, mon cerveau était pas vraiment réceptif là, sauf à autre chose qui n’avait rien à voir avec jouer de la guitare. L’ambiance était plus que enivrante et en sentant ses baisers sur mon épaule alors qu’il descendant vers mon soutien gorge, c’était juste pas possible. Si lui il arrivait à me faire jouer sans regarder et tout en faisant ça, moi j’étais incapable de jouer alors que c’était lui qui me faisait surtout gratter les cordes. Retirant ma main vers le bas de la guitare, avec celle qui se trouvait vers le haut, je vins déposer la guitare sur la table base, sans me lever, me tournant ensuite vers lui. On va s’arrêter là pour l’instant lui dis je en parlant des cours de guitare bien sur. Si tu n’y vois pas d’inconvénient bien sur lui murmurais je alors que j’approchais de ses lèvres et que je fis basculer mes jambes au dessus de ses jambes à lui. Ma proposition tiendra pas longtemps tu sais lui dis je entre quelques baisers. Je lui avais proposer qu’il dit qu’un mot pour que j’enlève mon pantalon et j’étais toujours de cet avis mais celui-ci risquerait de changer d’ici quelques heures ou demain même. Parce que perso j’aimerais bien m’occuper du tien lui soufflais je alors que j’avais glisser mes lèvres jusqu’à son oreille venant embrasser son lobe pour pouvoir m’attaquer à son cou. Depuis la dernière fois dans l’ascenseur il m’avait laissé une putain de marque, marque que je possédais toujours, parce que 3 malheureux jours n’avaient pas suivi à la faire disparaitre. Dieu merci on était en hiver et j’avais pas de mauvaises excuses à fournir pour garder mon écharpe ou foutre un col roulé. Cependant, c’était à mon tour de mettre mon nom sur lui et de le faire graver dans sa peau. Je commençais donc à aspirer sa peau de façon sensuelle tout en appuyant bien pour que la marque se fasse. J’essayais pas juste de lui rendre la pareil, je voulais aussi que via ce suçon il soit un peu plus dans l’ambiance et qu’il prend goût au plaisir à l’avance (a)


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  « T’es pas obligé de m’apprendre maintenant, tout de suite tu sais. » Ben si. Parce que j'en avais envie. Mensonge Théo... Je secouais la tête alors que je l'avais attrapé afin de la positionner à côté de moi et de coller mon torse contre son dos afin de lui apprendre à toucher les cordes de la guitare. Mais alors que j'avais mes mains de placées sur les siennes et que j’entraînais ses doigts sur les cordes, sa peau m'appela comme un aimant. Et je commençais progressivement à lui souffler dans le cou et à embrasser sa peau, venant ensuite jouer avec le tissu de son soutien-gorge à l'aide de mes dents. Elle me rendait fou. Et si j'avais voulu lui apprendre tout de suite à jouer de la guitare c'était uniquement pour freiner mes ardeurs car elle me provoquait toujours plus. Mais je n'avais pas envie d'être raisonnable et au diable le film qu'on devait voir. Je riais un peu contre sa peau alors que la, lui apprendre à jouer de la guitare n'était plus ma priorité. Elle retira mes mains et je pus la sentir bouger un peu pour poser la guitare sur la table basse et je stoppais les baisers que je déposais dans son dos pour la regarder un peu par-dessus son épaule et surtout constater ce qu'elle mijotait. « On va s’arrêter là pour l’instant. » Quoi ? Quelque chose lui déplaisait ? J'avais agis d'une quelconque façon qui ne lui avait pas plu ou je n'étais pas un bon professeur de guitare ? « Si tu n’y vois pas d’inconvénient bien sur. » Ben là, je ne savais pas quoi en penser, je fronçais les sourcils me creusant les méninges et ne vis pas dans un premier temps qu'elle était en train de m'escalader. « Ma proposition tiendra pas longtemps tu sais. » Elle m'embrassa et je me sentis bête, de quelle proposition parlait-elle ? Parce que merde quand elle se tenait comme ça au-dessus de moi, je ne savais plus penser rationnellement. Je ne pus m'empêcher de lui demander alors que je posais mes mains sur ses hanches. « D'enlever ton pantalon je suppose ? » J'allais lui arracher oui ! Surtout si elle continuait sur cette voie-là.  « Parce que perso j’aimerais bien m’occuper du tien. » Un frisson me parcourut tout entier alors qu'elle avait murmuré ça près de mon oreille et je laissais glisser mes mains de ses hanches jusqu'à ses reins, avec de petits va-et-viens. Et là sans que je m'y attende, elle posa ses lèvres dans mon cou et commença à aspirer la peau qui s'y trouvait. Ah, elle la tenait sa vengeance personnelle pour la dernière fois que je lui avais une telle chose aussi dans l'ascenseur. Je rejetais la tête en arrière fermant les yeux, elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait sur moi, j'étais totalement sien là. Quand je sentis qu'elle avait fini de me marquer, je constatais que j'avais chaud mais genre très, très chaud. Et sa présence n'arrangeait pas les choses. J'attrapais alors sa nuque et l'obligeait en quelque sorte à plaquer ses lèvres contre les miennes. «  Je...Ne te fais plus...peur là ? » J'avais demandé cela ironiquement en espaçant mes mots entre différents baisers que je posais sur ses lèvres. Non parce qu'avant elle m'avait expressément dit que je lui faisais peur et lui faire peur était bien la dernière chose que je voulais faire. Soudain, je ne me contrôlais plus, et alors qu'une de mes mains était monter vers l'attache de son soutien-gorge, j'entrepris de le défaire et lorsque j'allais lâcher la chose, je la retenais avec ma main, la réalité me revenant en pleine face. « Attends... » Je séparais mon visage du sien, me traitant intérieurement de fou. Qu'est-ce que j'étais en train de faire là ? « Je ne veux pas que tu ne te sentes forcé en aucun cas... Avec ce moment éprouvant que nous venons de vivre, tu ne trouves pas que c'est...un peu précipité ? » Ah non parce que moi je ne demandais que ça, mais je ne voulais pas la brusquer pour autant, surtout pas après le fait que j'avais cru durant quelques instants qu'elle pu être enceinte et qu'on avait décidés d'aller faire des tests, juste pour s'assurer que tout allait bien. Je la fixais alors intensément me mordant la lèvre inférieure.
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Thélia ღ

« D'enlever ton pantalon je suppose ? » Je hochais la tête, de quoi voulait il que je parle ? De mon haut ? Il était plus déjà sur moi et hormis mon pantalon je pensais pas lui avoir proposé autre chose. « Je...Ne te fais plus...peur là ? » Je souriais alors que je l’embrassais toujours. Si la il venait à me faire peur je voulais bien être constamment effrayé avec lui alors (a) Surtout pas. Je le sentis alors faire monter sa main au milieu de mon dos et en un rien de temps il avait détaché mon soutien gorge. Je l’avais presque pas senti, j’avais seulement senti que je n’avais plus de pression dans mon dos et comme ma poitrine se trouvait libérée. « Attends... » Quoi ? Le regardant alors qu’il avait séparé nos visages, je comprenais pas qu’est ce que je devais attendre. Une autre chanson à me jouer avant, pour que je sois encore dans le bain, que je sois sous le charme et toute enjouée ? « Je ne veux pas que tu ne te sentes forcé en aucun cas... Avec ce moment éprouvant que nous venons de vivre, tu ne trouves pas que c'est...un peu précipité ? » L’écoutant je lui lançais un regard noir. Son intention était bonne et j’avais rien a dire là-dessus. Il voulait pas que je me force mais bon sang est ce que j’avais une tête à me forcer pour ce genre de chose ? Si j’en avais pas envie ni le cœur je me serais pas mise sur lui ainsi, je lui aurais pas proposé d’enlever mon pantalon ni j’aurais enlevé mon haut pour finalement le refroidir en disant que non je voulais pas. On avait fait plusieurs petits jeux sadiques comme mon petit lap dance ou lui qui m’avait attaché à son lit, mais là ça serait poussé. Passant mes mains dans mon dos, j’attachais à nouveau les agrafes de mon soutien gorge. Tu crois vraiment que je vais me forcer si je veux pas ? Croit moi que le jour où je voudrais vraiment pas tu verras bien la différence avec quand je veux. Après avoir attaché mon sous vêtement, j’enlevais mes jambes qui était par dessus les siennes. C’était son petit dada de toujours nous interrompre dans ce genre de moment ? C’était sa façon de prendre son pied ? Non parce que je commençais à me poser des questions, une fois, deux fois ça va mais il avait du me faire au moins 5 à 6 fois le coup depuis qu’on était ensemble. Ca devenait clairement frustrant. Tu sais au pire demande le moi avant d’être trop entreprenant plutôt qu’en plein milieu. Ouais j’étais pas contente. Là il allait pouvoir constater que j’avais pas envie, qu’il m’avait tuer l’envie. Il allait bien voir que j’étais pas du genre à me forcer si je voulais pas le faire.M’enfonçant dans le canapé alors que j’étais à côté de lui, j’avais choppé mon haut le mettant dessus mon corps comme pour me cacher alors que je vins croiser mes bras sur ma poitrine. Non je boudais pas mais j’étais pas contente. C’était un mec il devait savoir ce que c’était d’être stoppé, ben pour une fille c’était la même chose. S’il continuait il allait savoir ce que ça faisait quand à mon tour je viendrais à lui faire ça, l’interrompant avec des excuses. Peut être que à ce moment là il osera plus m’interrompre et me gâcher le moment ?


CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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  « Surtout pas. » Ah non ? Je lui faisais plus peur alors ? Tant mieux, j'en profitais donc pour toujours plus l'embrasser juste après qu'elle m'eut offert un magnifique suçon dans le cou, qui ne manquerait pas, j'en étais sur, d'être royal. Mais alors que je laissais une de mes mains vagabonder dans son dos pour venir détacher son soutien-gorge, je retenais les attaches, repoussant un peu mon visage du sien. Et c'était que quand elle se trouvait sur moi comme ça, je ne pensais plus rationnellement, mais il fallait quand même être réaliste. On abusait peut-être un peu trop de la situation. Mais, par contre, ce à quoi je ne m'étais absolument pas attendu, était à ce qu'elle ne me lance un regard noir, limite j'étais un imbécile heureux qui venait encore une fois de niquer un moment bien intime. Et c'est vrai que ça m'arrivait souvent de faire ce genre de bourde mais je me rattrapais toujours (a). « Tu crois vraiment que je vais me forcer si je veux pas ? Croit moi que le jour où je voudrais vraiment pas tu verras bien la différence avec quand je veux. » Ok, ouais, non, whaou. Méchante Elia, ça fait peur. Elle avait rattaché les bouts de son soutien-gorge et je me sentis encore bien plus con qu'avant, surtout qu'elle s'éloignait à présent, rompant tout contact physique avec moi. Et merde. « Tu sais au pire demande le moi avant d’être trop entreprenant plutôt qu’en plein milieu. » C'était plus s'éloigner ce qu'elle faisait là, c'était carrément prendre une pelle et creuser un fossé entre nous deux. Je me bouffais carrément la lèvre, m'en voulant à tout rompre. Elle avait reprit son haut et l'avait bloqué contre sa poitrine comme si elle voulait se cacher. M'enfin ma foi là, c'était trop tard...Enfin j'dis ça j'dis rien. Je soupirais, je n'avais pas juger que mes intentions étaient si mauvaises que ça. Je me tournais vers elle, doucement. « Pardon... Je t'en prie ne te fâche pas. C'est que je suis long à la détente, je réfléchis seulement au mauvais moment aux conséquences parfois. Et c'est que quand tu m'touches, j'réfléchis plus rationnellement, plus du tout même ! » Je pointais un doigt accusateur. « C'est de ta faute tout ça ! » Je fis un sourire, lui montrant que je plaisantais avant de me lever, torse nu ou pas, moi je m'en foutais carrément. «  C'est juste que..on a quand même échapper au pire, enfin le pire... Et sur le coup je me suis simplement dit que tu étais peut-être trop fragile pour recommencer tout ça. » Par tout ça évidemment, je pensais à nos ébats sexuels, surtout à ceux bien érotiques dans l'ascenseur. Je contournais le canapé et venais poser mes mains sur ses épaules, dos à elle, je la forçais un peu à se tenir droite. « Je suis désolé...mon amour... » Puis je commençais à la masser tout doucement, c'était ma manière de me faire un peu pardonner. Je lui aurais effectivement bien sauté dessus pour me faire pardonner, mais là je n'osais plus. Et j’étais même en train de me demander si elle n'allait pas me repousser.
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