Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI know you need me { Madisson - Page 7
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


I know you need me { Madisson

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

After
creepy moments.

 


Je n'avais pu m'empêcher de rire à l'insulte suprême de Madisson. J'avais connu pire sortant de sa bouche et sachant que c'était en rien sérieux, je ne prenais pas la mouche me contentant de lui sourire fièrement. Je savais que j'étais un véritable petit con et malgré tout ce que j'avais pu lui faire avec mes agissements de connard, elle était toujours là pour moi. Je ne comprenais pas pourquoi et elle me jugeait de tout de manière trop con pour comprendre, mais c'est bien connu. Les filles il faut un mode d'emploi pour les comprendre et malheureusement, j'ai perdu celui de Madisson au moment même où nous nous sommes séparés. Enfin, je n'allais pas me plaindre de voir Madi' autant accroché à moi, car si elle venait à plus le faire je me sentirais blessé, peut-être un peu triste et sans doute moins aimé et je ne pouvais pas concevoir cela.

Je m'emparais d'une seconde serviette que j'enroulais autour de mes cheveux. Me voilà fin prêt ! Fin prêt à sécher tranquillement du moins, car il n'y avait pas de vêtement pour moi. « Heu...attend t'as pas de chauffage et t'as même pas de vêtements pour moi ? » Me balader à poil, dormir nu, ne me gênait absolument pas, mais faire ça sans chauffage alors qu'il faisait moins dix dehors c'était limite quoi. « Jsais pas, invite plus de mec chez toi et pique leur des fringues pour ton meilleur ami chéri que t'aime » disais-je la taquinant avant de lui poser un bisou sur sa joue. Elle avait plutôt intérêt à sortir la blinde de couverture si elle ne voulait que je fasse une crise d'hypothermie durant la nuit et me voir mort à son réveil, car elle l'aurait sur la conscience.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
calmer mon petit coeur.


Son rire m’énervait vraiment. Il me disait sans cesse que je ne cherchais et que ça finissait par ma faute par du sexe, mais alors pourquoi ne cessait-il de me provoquer ? Franchement, c’était désespérant parfois. A croire qu’il le cherchait. Cette pensée me fit un peu souffrir, me rappelant ô combien il n’éprouvait pas les mêmes sentiments que moi à mon égard. De temps en temps, j’imaginais une vie sans lui. Ça me plairait autant que ça me ferait peur de ne plus l’avoir avec moi. Le jour et la nuit. Comme nous deux. Lorsqu’il prit une serviette pour se sécher les cheveux, je fis de même. Sans sèche cheveux, ni chauffage, j’avais bien intérêt à bien les sécher pour ne pas tomber malade. Vraiment, cette panne commençait à me courir sur les nerfs. Sa réflexion entraîna mon sourire. Et oui, tu ne peux pas toujours avoir ce que tu veux (a) Hochant la tête pour lui affirmer mes dires, mon sourire s’estompa net à ses prochaines paroles. Ne le regardant pas et même si son ton était taquin, la douleur que je ressentais me revenait en plein visage. Je n’en avais pas vraiment besoin. Surtout qu’il estimait être à nouveau mon meilleur ami … Mon cœur se serrait de plus en plus et même si son baiser sur ma joue me calma un peu, ce n’était pas un remède miracle. Loin de là. « Pour inviter " plus " de mecs, il faudrait déjà que j’en invite tout court » soufflais-je, essayant de ne pas montrer à quel point ça m’avait touché. A part lui, je n’avais pas eu d’histoires d’amour. Des histoires d’une nuit, ce n’était pas pour moi alors à part lui, sexuellement et amoureusement, il n’y avait eu personne. Dans le présent et l’avenir, je ne voyais que par lui. Malheureusement. « Ton meilleur ami chéri que t’aimes » me restait en travers de la gorge. Séchant correctement mes cheveux, je luttais pour ne pas me laisser entraîner par ses paroles qui me réduisaient le cœur en morceaux. Pas ce soir, pas maintenant. Finalement, après avoir enroulé une autre serviette autour de mes cheveux, je me dirigeais à nouveau dans ma chambre, baillant discrètement et j’ouvrais ma grande armoire. Soupirant doucement, je pris une chaise et la mis juste devant. Me hissant dessus, je cherchais en haut et tout au fond de ma penderie. Ça devait être là normalement … ah ! Tirant un grand t-shirt des années lycées et un boxer en très bon état, je souriais fièrement d’avoir réussi à les trouver sans avoir à mettre le bazar dans mes affaires. Il valait mieux qu’il soit habillé. 1. il arrêterait de râler et 2. même s’il allait sortir une phrase qui allait me faire mal, c’était mieux qu’il soit vêtu, pour moi au moins.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

After
creepy moments.

 


Outch. Effectivement, en n'en invitant pas ça risquait d'être difficile, mais lorsqu'elle me tourna le dos pour aller en direction de sa chambre, un petit sourire apparu sur mon visage à l'idée qu'en fin de compte je restais le seul mec qu'elle invitait chez elle, qu'elle 'invitait personne donc et par conséquent qu'elle ne couchait pas à droite et à gauche. Elle pourrait le faire en boîte de nuit, mais je l'a connaissais et ce n'était pas du tout son genre. Je l'a suivait de loin, arrivant dans la chambre au moment où elle se trouvait dans les hauteurs avant de me balancer des fringues à me mettre. Jure, elle avait gardé ça ? Je ne savais pas si je rentrais encore dedans puisque depuis le lycée j'avais pris un peu de muscle, mais au pire du pire je me retrouverais juste un peu serré dedans et ça restait mieux que rien. « Thank's Darling ! » C'était sorti tout seul, pas besoin qu'elle me regarde d'un drôle d'air suite à ce surnom. J'enfilais donc difficilement mon ancien t-shirt ainsi que mon ancien boxer. « Je devrais te laisser de nouveaux vêtements pour la prochaine fois » c'était sans arrière pensée -quoi qu'un peu provocateur- mais ce serait vachement utile, parce qu'après je me retrouvais toujours dans la même situation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
calmer mon petit coeur.


Lui balançant son ancien t-shirt et son ancien boxer dans la tronche, j’essayais de rester zen. Mais rien qu’en entendant son remerciement, je levais les yeux au ciel. Lassant, vraiment fatiguant à la fin. Il continuait en plus. Descendant de ma chaise, je la remis à sa place. Dos à lui, je soupirais un peu. Lui faisant face, je le regardais, hésitante. « On.. on verra » avais-je fini par dire. Parce qu’il laissait des affaires chez moi, ça voudrait dire qu’il reviendrait quand il voudra et … je ne sais pas. Dans le « nous », je n’imaginais pas ça. J’avais l’impression qu’il n’avait rien écouté à ce que je lui avais dit sur le fait que je l’aime. Lui en mettre une me démangeait toujours, mais j’avais pris de bonne résolution pour ce soir. Baillant à nouveau, je voyais pas trop quoi faire. Le regardant rapidement dans ses vêtements, je ne pouvais pas me retenir de sourire. Vraiment, il avait quand même un peu changé. Enfin, juste physiquement. Plus de muscles, plus … Non. Je n’avais pas le droit d’y penser. Roulant des yeux, je venais m’asseoir bien confortablement sur mon lit. « Tu veux que l’on fasse quoi ? » Je devinais rapidement la première connerie qu’il pourrait sortir, mais après tout, avec lui, je pouvais m’attendre à tout et n’importe quoi. Je n’avais pas envie de laisser ma douleur tout casser. Lorsque j’étais partie pour le Palais des Glaces, je m’étais promis d’en profiter et pour le moment, ça allait. Moitié moitié, on va dire. J’avais retrouvé mon idiot et même s’il ne changeait pas, je devais m’y faire, petit à petit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

After
creepy moments.

 


Je prenais déjà sa réponse pour un oui. Me croire tout permis ? À peine, mais elle avait pris l’habitude. Je ne savais pas pourquoi, mais quoi je pouvais dire, quoi que je pouvais faire, j’avais toujours l’impression qu’elle m’en voudrait. Genre il fallait que je lui demande les réponses qu’elle aimerait que je sorte pour éviter qu’elle soit froide ou bien que je me la ferme, que j’aille dormir et puis point final tout se finirait là, quoi que là encore elle trouverait quelque chose à redire. Alors, à sa question, j’avais presque l’impression que c’était un piège. « Comme tu veux » J’haussais simplement les épaules avant de m’asseoir sur le lit bien sagement, attendant qu’elle trouve une occupation tout simplement. Elle savait très bien que j’avais un mal fou à dormir depuis que je suis petit -aller savoir pourquoi- et restait éveillé pour moi elle savait le faire, mais elle n’était plus obligé de le faire. « Tu peux dormir, je veillerais à ce qu’aucun monstre t’approche » J’esquivais un petit sourire tandis que je m’allongeais convenablement sur le lit, m’étant bien une limite entre elle et moi. Je ne voulais pas entraver sur son espace vital. Elle m’en voudrait sinon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
calmer mon petit coeur.


Selon moi, la douleur physique avait toujours été plus facile à surmonter que la douleur morale. Quand on se fait mal, on ressent la douleur sur l’instant et peu à peu, elle diminue jusqu’à la prochaine. La douleur morale reste plus longtemps. Même si l’on pardonne ou que l’on se dit que tout va bien, il suffit d’un claquement de doigts d’une parole, d’un geste ou d’un souvenir pour que tout s’effondre. C’est ce qu’il se passait sans cesse avec lui. J’avais beau essayer, je n’arrivais pas à me dire que non, ce n’était pas grave qu’il m’est brisé le cœur. Nous pouvions retourner le problème dans tous les sens, c’était comme ça. Traîner cette tristesse me déplaisait énormément, mais si j’avais le choix, je m’en séparais très volontiers pour que tout redevienne comme avant que l’on sorte ensemble. Haussant un sourcil, je pensais qu’il m’aurait proposé quelque chose. Bizarre. « Euh bah … j’ai des jeux de sociétés et sinon … tout le reste fonctionne à l’électricité alors bon » Souriant un peu, je ne voulais pas qu’un nouveau malaise revienne, surtout pas à cause de moi. Sa déclaration me fit froncer les sourcils. Même si j’étais fatiguée, je ne sais pas … sa façon de le dire et de se tenir loin de moi, c’était étrange. Oui, je ne savais pas trop ce que je voulais. A la fois, j’aime et je déteste lorsqu’il est taquin autant que lorsqu’il est froid. Ce n’est pas facile à expliquer comme situation. « C’est gentil, mais je veux te voir foutre une raclée aux monstres » dis-je, largement plus enjouée. Me laissant tomber dans mon lit, je soupirais de bien être. Être dans son lit, ça n’a pas de prix quand même. Bien moelleux et quand même – il faut l’avouer – en bonne compagnie. Tournant le visage vers lui, je sentais quand même que quelque chose n’allait pas. Mais je ne voulais rien dire. Une autre dispute, ce n’était pas mon truc. Soit ça passait tout seul, soit ça partirait sûrement en cacahuètes, et je n’en avais pas vraiment envie. Pas du tout. Alors je faisais en sorte de garder mon sourire. Pour lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

After
creepy moments.

 


Nous aurions pu jouer à la console, regarder la télé ou je ne sais quoi d'autre, mais il avait fallu qu'il y ai une putain de coupure de courant qu'ils n'étaient pas décidé à rétablir. Les jeux de sociétés, très peu pour moi. Étant de nature hyperactive, je finissais très vite par m'ennuyer. Je m'étais contenter de lui tirer une moue du genre « Mouais, ça ne me dit rien » avant de rire à sa réflexion. « Tu serais surprise de ce dont je suis capable, crois moi » Le sourire aux lèvres, je me tournais sur le côté en la regardant. « J'en suis sûr que tu vas finir par t'endormir de toute façon » Surtout si nous ne faisions rien. Autrefois on ne s'endormait jamais, car nous avions toujours trois milles tonnes de choses à se raconter, on allait se faire cuire de la bouffe à trois heures du matin, faisions des batailles de nourritures en essayant de ne pas trop rire pour ne pas réveiller ses parents. Bref, ça se sentait que nous avions grandi et surtout que nous nous étions éloigné. Personnellement, même en la regardant comme ça durant des heures, je ne trouverais probablement pas le sommeil d'ici quatre bonnes heures si ce n'est pas plus. Si elle trouvait quelque chose de vraiment intéressant pour m'occuper afin que je ne m'ennuie pas pourquoi pas, mais sinon nous étions bien partis à rester silencieux toute la soirée, car oui je pouvais me la fermer pendant des heures en fait -bon ce n'était jamais bon lorsque je le faisais, vu le moulin à paroles que j'étais- mais je savais l'être.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
calmer mon petit coeur.


Sincèrement, je ne savais même pas quoi faire. Sans électricité, ça craignait vraiment. Seule, je lisais un livre, mais avec lui, sans courant, c’était vraiment super limité. En fait, il n’y avait même rien à faire du tout. Désespérant. Alors il m’avait parlé de monstre lorsque je dormirais. « Ah oui ? » fis-je, assez curieuse et moins fatiguée, voulant savoir de quoi il s’agit. « Je n’ai pas envie de dormir » murmurais-je avec une petite moue renfrognée. A croire qu’il n’attendait que ça pour que je lui fiche la paix. Bah non, je ne voulais pas. « Montre moi un peu de quoi tu es capable » C’était toujours ça, après tout. Bon, j’espérais qu’il ne fracasse pas tout en les prenant pour des monstres. « Attends juste deux secondes, je reviens » Posant un bisou sur sa joue, je me relevais à la hâte pour aller chercher – dans le noir – de quoi manger dans ma cuisine. Tout à fait débrouillarde dans le noir, je prenais à manger et à boire avant de revenir dans ma chambre. Etalant tout sur mon bureau qui cette fois est débarrassé de tout devoir qu’il pourrait tâcher … enfin, non, ça n’arrivera pas. Bref. Me frottant les yeux – bon d’accord, j’étais fatiguée, je prenais un paquet de bonbon pour l’ouvrir et revenir sur le lit en en mangeant quelques uns avant de tendre le paquet à mon ancien ( ?) meilleur ami. « Dès que tu m’auras surprise par tes capacités, je voudrais te poser une petite question » Je ne savais pas pourquoi, mais j’avais besoin de lui demander. Oui, il pourrait sûrement me trouver chiante d’avance avec mes questions de fille, mais je suppose que ça pourrait entraîner une conversation … intéressante. En particulier avec lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

After
creepy moments.

 


Menteuse. Pensais-je alors tout bas. Demain matin elle n'allait pas cesser de bâiller et dès lors que j'aurais quitté son appartement, elle irait dormir comme une marmotte. Elle me faisait toujours le coup. Je souriais en la voyant partir et revenir avec....avec le repas ! Un repas peu équilibré entre bonbons et gâteaux en tout genre, mais c'était tout à fait le genre de dîner que je pouvais me faire, car je ne cuisine jamais et quand je n'ai pas assez pour me payer un fast food, voilà comment ça finissait. À faire les fonds de placards. Un paquet de bonbons tendu vers moi, j'y plongeais ma main afin de me donner des forces juste avant que je lui montre de quoi j'étais capable. Ni une, ni deux, je me levais du lit en avant ma friandise. Je craquais mes doigts, mon cou et sautillais sur place comme si je m'apprêtais à monter sur un ring. Je décidais d'abord de l'impression avec mes soit disant prise de Taekwondo et lorsqu'elle fût assez morte de rire pour se préoccuper de quoi que ce soit, je l'attrapai comme un sac à patates avant de la plaquer -délicatement, mon but n'était pas de lui péter le dos- contre le sol. « Et je finirais comme ça » Un petit sourire au coin des lèvres, je me trouvais accroupie juste à côté d'elle, une de mes mains sur son ventre. « Alors, tu voulais me demander quoi ? » Encore. Genre les filles ça posaient définitivement trop de questions.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
calmer mon petit coeur.


Avec un repas comme celui que je venais d’amener, il y avait de quoi prendre pas mal de poids, surtout de la graisse. Mais lui comme moi, nous avions beaucoup de chance, je trouve. Enfin, lui fait du sport ce qui lui permet de perdre, je suppose alors que moi … je ne savais pas comment j’arrivais à ne pas prendre un foutu gramme. Ma mère m’avait toujours dit que c’était à cause de mon stresse et qu’inconsciemment, je sautais souvent des repas. Peut-être, même si je n’en prenais conscience que lorsqu’Austin me forçait à manger, quand nous étions plus jeune. Il avait toujours pris soin de s’occuper de moi et même si je le voyais comme un frère avant, maintenant il comptait d’une toute autre façon. Dommage pour moi. Après avoir pris quelques bonbons, je le vis se lever et se « mettre en condition ». Je ne pouvais cacher mon sourire, voire même de me foutre de lui. Non, mais c’était impressionnant, mais il y avait un truc qui me faisait me tordre de rire. Ce n’était qu’une fois élevé dans les airs avec un cri tout ce qu’il y a de plus féminin que je cessais de me foutre de lui. Ah oui, quand même, il avait pas mal de force. N’ayant même pas le temps de m’accrocher à lui, je me retrouvais au sol, lui au-dessus de moi. Mon cœur battait tellement rapidement que j’avais cru qu’il allait sortir de ma poitrine. Je ne voudrais jamais me battre réellement contre lui, c’est net. « Tu battras tous les monstres sans aucun problème … enfin, je pense qu’ils seront un peu plus imposant que moi » fis-je remarquer en souriant doucement. Reprenant ma respiration, je sentais l’une de ses mains sur mon ventre, sans pour autant broncher. Un petit rapprochement, ce n’était pas non plus comme s’il était entre mes jambes, quoi. Je devais apprendre à moins m’en prendre à lui, malgré la douleur que je ressentais. « Même si tu détestes que l’on parle de cours, je dois faire une dissertation sur une citation et je voudrais ton point de vue » Comme ça, ça devait être une corvée pour lui, mais vu le sujet, je pense qu’il sera assez partant pour m’aider. D’ailleurs, je n’aimais pas lui demander de l’aide en temps normal, mais là, j’avais besoin de son point de vue. « Le sujet est : Oscar Wilde a dit : Je peux résister à tout, sauf à la tentation » Etant en psycho, je voulais savoir son avis et en temps que lui-même aussi. Souriant, je posais doucement ma main sur la sienne, restant au sol tout en ne le quittant pas des yeux.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)