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Paniers, pirouettes, on est des winners [part 2]

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Olympe jouait-elle d'ironie ou disait-elle un fond de vérité? C'était bien possible, après tout, ce genre de mecs ne manquent pas à Harvard, ils ont même formé un groupe à eux: les Eliots. Sourire plutôt amusé à l'entendre, Nick se dit qu'il est probablement l'opposer de ce genre de types. Les costumes cravates, c'est pour les grandes occasions, et encore, c'est pas confo' comme truc et puis, des chaussures hors de prix, c'est seulement pour le basket, sinon, ça ne sert à rien.

-Ah? Et pourtant, tu te tournes vers moi. Pas étonnant, à la longue, ils sont ennuyeux ces mecs.

Tandis que lui, il se considère tout le contraire d'ennuyeux, pour le meilleur et pour le pire. D'ailleurs, une course poursuite s'engage dans le loft, entre Olympe qui fait la souris et Nick qui fait le chat. Si dans la cuisine, elle lui échappe encore, le beau brun est si rapide qu'il manque un tournant, à savoir, quand la belle brune au jolie fessier tourne dans sa chambre. Du coup, quand il y arrive, elle a comme disparu, mais il ne tarde pas à apercevoir son dressing, dont la porte est légèrement mal fermée. Il eut alors un petit sourire. Il parcourt sa chambre, fait mine de vérifier sous le lit, rôde près du dressing et porte attention à tout son qu'il pourrait entendre. Une scène presque digne d'un film d'horreur. Le Mather va même jusqu'à aller dans le cadre de porte de sa chambre, comme s'il sortait, mais il revient vite sur ses pas, ouvre le dressing, lâche un ahah! et tire la belle par le bras, plutôt rude il avoue, pour ensuite l'envoyer valser sur le lit. La pauvre est à peine remise que le loup est déjà sur elle, enfin, pour éviter qu'elle ne s'échappe encore, il lui tenait les poignets, les bras au-dessus de la tête. Leurs têtes étaient toutes proches, son regard plongé dans le sien, un sourire malicieux sur les lèvres.

-Je te tiens!

Qu'allait-elle faire maintenant? Nick était bien curieux de voir. Allait-elle se soumettre? Il en doute, il sait combien cette fille est une battante et à quel point elle est orgueilleuse, compétitive aussi, des qualités qui lui plaisent bien, il l'avoue.
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Faut que croire que oui, pour ce soir les mecs en costards que je fréquentais habituellement étaient trop ennuyeux, et que finalement comme j'avais envie de profiter et de m'amuser, Ric allait très bien. Je savais qu'avec lui, je ne risquais pas de m'ennuyer et c'est donc pour ça que je m'autorisais ses petits gestes. Du genre virer ma robe et mon haut de sous-vêtements sans plus de cérémonie, dans son salon, avant d'aller dans la cuisine, d'un air réellement intéressé par la nourriture. C'est dans la cuisine qu'il tenta de m'attraper une première fois, et grâce à mon agilité et à am rapidité, je réussis à lui échapper, pour courir dans son loft, cherchant une porte. Forcément, j'avais ouvert celle de sa chambre, et en voulant trouver une sortie je me retrouvais dans son placard. Merde..

Je fermais don la porte derrière moi, comme une enfant, et en l'entendant entrer dans la chambre, et marcher je retins ma respiration. Il marchait, dans tout les coins de la chambre, mais pas une fois il ne prit la peine d'ouvrir le dressing, et je cru un instant à ma victoire : mais avant que je n'ai le temps de réaliser quoi que ce soit, il avait ouvert la porte, attrapé mon bras et je me retrouvais sur le lit, en poussant un cri. De rire et de surprise, et non pas de douleur malgré la force qu'il avait mis pour me tirer de ma cachette. Il attrapa mes mains pour m'immobiliser, le mettant au dessus de ma tête, tout proche de moi, en me soufflant qu'il me tenait. Mouais, pas forcément pour longtemps beau brun. Je gigotais un peu, pour tenter de partir, mais il avait clairement le dessus, et malgré mes coups de bassins pour le faire reculer, je n'avançais pas beaucoup. Du coup je fini par soupirer, cessant de bouger, faisant la moue.

- J'avoue, tu me tiens.

Je souris, me redressant légèrement, les mains toujours tenues par le mather. Un sourire coquin aux lèvres. J'effleurais ses lèvres des miennes, avant de reculer pour me coller au matelas de nouveau.

- C'est pas juste que j'ai pas le droit d'utiliser les mains, j'peux rien faire. Libère moi...

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Nicholas avait réussi à attraper Olympe. Cela n'avait pas été facile, mais il y était arrivé. Faut dire que la gazelle était rapide et puis, comme c'était au jeu, il n'allait pas à son plus rapide non plus et jouait un peu avec sa proie, pour ainsi dire. Cette fois par contre, fini de jouer, il la tenait et la gardait prisonnière, tout fier qu'il était de l'avoir capturé. Olympe, de son côté, n'avait pas abandonné. Elle se débattait encore et bougeait son bassin aussi sous lui, tentant de s'extirper de sa poigne, mais sans succès. Nicholas n'était peut-être pas aussi agile que l'Australienne, il le reconnait, mais il était tout de même plus fort physiquement. Du coup, elle finit par se rendre, c'est du moins ainsi que Nick interprétait la chose. Il en eut un sourire tout fier.

À moitié nue sous lui, la belle brune se redresse et se met à jouer de charme, ce qui semblait fonctionner à merveille. Déjà, quand ses lèvres effleuraient les siennes, elle devait sentir les mains de Nick desserrer un peu plus leur étreinte. Puis, elle se recule, à son grand désespoir et le suppliait presque de la lâcher. Sans vraiment répondre, Nick vient juste embrasser Olympe, de manière assez douce, puis, de plus en plus intense et du même coup, ses mains lâchaient les poignets de la belle et venait glisser contre ses épaules. Elle était désormais libre de tout mouvement, enfin, il y avait tout de même le bassin de Nick qui venait se loger contre le sien.
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J'avais été surprise par son entrée dans ma cachette improvisée, alors je n'avais même pas eu le temps de riposter. J'avais été directement plaquée sur le lit, avec une totale impossibilité de bouger mes mains, alors même quand j'essayais de me sauver, de fuir le corps du mather collé contre le miens, je n'arrivais à rien? Après au moins deux minutes de lutte et de tentatives vaines, je fini par pousser un long soupir, me laissant tomber sur le matelas; Bon, je ne l'aurais pas par la force. Alors, un grand sourire aux lèvres, je lui avouais que j'allais me laisser faire et qu'il pouvait lâcher mes mains. Pour le convaincre encore plus de me laisser une plus grande liberté de mouvement, je vins effleurer ses lèvres, pour le rendre fou, pour qu'il cède. Au début, ses mains restaient vissées aux miennes, mais plus l'échange s'approfondissait, plus elle glissaient vers mes épaules, me caressant les bras. Si j'avais eut en tête de partir dès qu'il aurait fait cela, je n'avais aucune envie de rompre l'échange avec lui. Glissant mes mains pour venir à on mon tour caresser ses épaules, j'en oubliais presque je voulais partir, juste pour l'énerver. Presque.

En rompant le baiser soudainement, je tentais de me glisser hors de ses bras vers le haut, me dirigeant vers les oreillers, puisque je n'aurais jamais la force de le soulever, et comme j'avais presque réussie, je ralentis mon mouvement un dixième trop tôt, et il attrapa mes jambes, ce qui me fis rire, et je me laissais tomber sur les oreiller de l'immense lit en l'observant.

- Zut alors, t'es vraiment trop fort. Mais je t'aurais un jour, je t'aurais..


Je me redressais sur les coudes, attendant sa réaction.

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Bien peu de choses auraient empêché Olympe de lui filer entre les doigts une fois qu'il venait l'embrasser et qu'il lâchait ses mains. Nick lui-même ne se souciait plus trop de tout cela, bien trop occupé à profiter des douces lèvres de la jolie Cabot. Leurs corps se pressent même un peu plus un contre l'autre et il sentit les mains de la belle venir caresser ses épaules. Entre deux baisers, il en eut un sourire, plutôt heureux d'enfin pouvoir profiter d'elle à nouveau.

N'empêche, la belle brune finit par relever son corps et à se reculer vers la tête du lit, ses lèvres quittant celle de Nick. Nick est surpris au départ, mais tandis qu'elle file vers le haut du lit, le jeune homme attrape la fine jambe de la cheerleader et assez solidement pour lui indiquer que s'il pouvait, il n'aurait qu'à tirer pour la ramener vers lui. Du coup, Olympe rigole et se laisse tomber contre les oreillers. Elle promettait de l'avoir un jour et il en eut un sourire amusé. Avec un peu de persévérance, on arrive à tout il parait. Nick revient, à quatre patte, vers la brune et ce n'est qu'une fois qu'il est au-dessus d'elle, tête à tête presque, qu'il arrête.

-Tu sais, ya plus d'une façon d'avoir le dessus sur un mec.


Et il n'était pas si différent des autres. Son nez frôle le sien, ses lèvres effleurent les siennes, mais surtout, il la sondait de son regard. C'est qu'il aimait bien cette nouvelle proximité entre eux, cette aisance. Ils ne semblaient plus prisonnier de leur attirance réciproque, ils étaient libres maintenant et c'était une bonne chose. C'est sans doute pour cela que sans plus attendre, il l'embrasse encore et à nouveau.

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Sous Nick, sur le lit, j'avais oublié pendant un moment que je voulais fuir. Parce que ces lèvres et ses mains glissant sur mes bras jusqu'à mes épaules me donnaient plutôt envie de rester ici toute la nuit. Je l'embrassais avec passion, venant même glisser poser mes mains sur ses épaules musclées dénudées puisqu’il avait laissé son débardeur dans la cuisine, quelque part sur le plan de travail, même si je n'en étais pas totalement sûre. Reprenant ensuite mes esprits, je tentais de me sauver vers la tête du lit, mais il attrapa ma jambe avant que je n'ai eu le temps de me sauver pour aller dans un coin de la chambre. Riant, je me laissais tomber sur les oreillers, l'observant, un sourire aux lèvres, en lui disant que je ne laissais pas tomber et qu'un jour je l'aurai. Il sourit à son tour, s'avançant vers moi à quatre pattes, tel un fauve, et je savourant cette vision, jusqu'à ce qu'il soit au dessus de moi, et à cet instant je laissais glisser mes mains sur son torse. Il me dit qu'il y avait d'autres moyens de prendre le dessus sur un homme, et alors que j'ouvrais la bouche pour tenter de lui poser une question, il m'embrassa en se penchant sur moi.

Je lui rendis son baiser, glissant une main sur sa joue puis dans son cou, avant de glisser mes lèvres dans son cou, pour venir souffler quelques mots à son oreille. Parce que je n'avais pas oublié sa phrase, il avait clairement dit que je pouvais avoir le dessus sur lui, non? Mordillant son oreille, me collant à lui je lui posais donc la question, profitant au passage de son odeur. J'me rendais compte que je ne voulais pas que notre amitié soit gâchée, mais que d'un certain côté j'avais envie de lui depuis Paris, sans pour autant me l'avouer..

- Hum, et je fais comment pour que tu perde alors? Pour avoir le dessus..?

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C'était sans doute inévitable que ses deux-là se rapprochent une fois chez lui, mais Nick était bien heureux de la façon que cela se passait, à travers un petit jeu où en bout de piste, il imaginait qu'ils seraient tous les deux gagnants. D'ailleurs, c'est l'impression qu'il avait en ce moment, tandis qu'il embrassait Olympe, qu'elle le caressait, de douces caresses qui lui faisaient le plus grand bien. L'Australienne va jusqu'à mordiller son oreille et toujours toute collée contre lui, la belle brune lui murmurait à l'oreille une question. Elle demandait comment elle pouvait prendre le dessus et faire en sorte qu'il perde. La double question le fit sourire. Ce fut son tour de poser sa main contre la joue d'Olympe, tandis qu'il la regardait toujours dans les yeux.

-Pas pour que je perde... Pour qu'on gagne tous les deux. Pour prendre le dessus, faut que tu joues de tes avantages. Tu verras, on est tous pareil les mecs, on baisse facilement notre garde.


C'est certain qu'il parlait peut-être plus pour lui que pour les autres, mais n'empêche, il ne croyait pas se tromper non plus. Le jeune homme recommence à embrasser la Cabot, il y mettait un peu plus de passion d'intensité. Si Olympe se met à diapason avec lui, alors il inverse les rôles. Comment? En effectuant une sorte de roulade avec elle. D'habitude, on la fait pour prendre le dessus, mais Nick le faisait pour que la belle brune prenne le dessus. Après tout, c'est ce qu'elle voulait qu'il lui montre non?

-Tu vois? Facile.

Les mains de Nick glisse chaque côté du corps de la belle et vont se nicher au niveau de ses hanches. Ce n'est pas parce qu'elle prenait le dessus maintenant que tout était joué pour autant!

-Après, pour garder le dessus, faut que tu fasses en sorte que l'autre oublie tout espoir, toute ambition, qu'il ne voit, qu'il ne sente, qu'il ne respire, que toi.

Et mine de rien, une certaine tension le gagnait. C'était une drôle de leçon qu'il donnait, le jeu prenait une petite tournure inattendue, mais ce n'était pas plus mal. Il avait hâte de voir ce qu'Olympe en ferait.
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J'avais demandé à Nicholas ce que je devais faire pour être au dessus des hommes, mais je ne pensais pas qu'il parle d'au lit. Parce que lorsqu'il nous fit rouler pour que je me retrouve sur lui, mon regard s'illumina d'une lueur amusée. Alors c'était à ça qu'il pensait., pour que l'on gagne tout les deux. En effet, sur le coup il ne serait pas perdant du tout, je ne pensais pas du tout à ça en lui disant que je voulais prendre le dessus, mais je n'allais clairement pas dire non à ça. Lorsqu'il me dit avec un petit air trop mignon que c'était facile, je ris, hochant la tête en posant mes mains fines sur son torse musclé. Contraste énorme, on aurait dit des toutes petites mains d'enfants là, contre ses muscles assez imposant.

- Ouais, facile comme tu dis.


Je souris, et ses mains se posèrent sur mes hanches, proche de mon dernière vêtement. Mais je ne bougeais pas l'écoutant me faire une leçon, terriblement amusée qu'il pense qu'il pouvait m'apprendre quelque chose dans l'art de faire perdre pied à un homme. En tout cas il tournait cela d'une jolie façon, bien plus poétique et plus belle que ce que j'aurais put le faire à sa place, alors je me penchais tout doucement sur lui, me collant presque à lui sur toute la longueur de nos torses, embrassant ses lèvres tout doucement, comme si ce baiser était une chose fragile.

- Tu va sentir que moi toute la nuit, c'est moi qui te le dis..

J'avais soufflé cette phrase contre ses lèvres, mais assez fort pour qu'il l'entende malgré tout, avant de commencer à glisser mes lèvres dans son cou. Je pouvais profiter autant que je voulais de son corps, vu qu'il était totalement soumis à mes désirs, et j'adorais ça. Je pris tout mon temps, mais au fur et à mesure ma bouche glissant vers son torse, son ventre, l'embrassant, le mordillant doucement, et l'embrassant ensuite comme pour effacer la petite morsure que je lui infligeait. Les mains sur son jean, je caressais ses reins du pouce avant de chercher à l'aveuglette le bouton de la braguette sans cesser mes bisous sur son corps.

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Nicholas venait de donner le dessus à Olympe. Cela ne lui dérangea pas, après tout, c'était aussi à son avantage d'une certaine manière. Hey oui, il parlait bel et bien de prendre le dessus au lit et pas ailleurs. Il n'allait quand même pas dévoiler toutes ses failles le Achille. La belle brune semblait bien heureuse de cette hauteur et se permit de rire un peu, avant de caresser son torse et de profiter de sa nouvelle position. Ce qu'elle était belle avec ce sourire, vous n'imaginez même pas à quel point.

Nicholas faisait peut-être la leçon à Olympe, mais de son avis, ce n'était pas le genre de leçon ennuyeuse qu'on apprend à l'université, c'était bien plus concret, sensoriel même et puis ça peut vraiment servir aussi! De l'autre côté, si la belle brune est en mesure de l'impressionner, il ne demandait qu'à l'être. Elle vient se pencher sur lui, il adora le contact qu'ils eurent à ce moment et comment aussi il put en profiter pour faire glisser sa main tout du long du dos de la belle Australienne. Du reste, il se montre aussi doux qu'elle dans le baiser, la tête fixé contre le lit, pour le moment.

Elle lui fit alors une bien belle promesse et son regard s'attisa tel un feu, tandis qu'il esquissait un petit sourire, heureux de ce qu'il entendait. Alors ça promettait et c'est exactement le genre de choses qu'il voulait entendre. Faite que cette nuit ne soit pas la dernière, se dit-il aussi. Il tend le cou, qu'il offre aux lèvres d'une Olympe attentionnée, qui prenait son temps. Bientôt, il sent les lèvres de la belle brune sur son torse, ce qui était loin de lui déplaire. Il aimait bien que les femmes prennent leur temps comme ça, qu'elle détaille ses muscles aussi. La tension montait lentement, mais sûrement, tandis qu'elle gagnait son ventre. Olympe alla jusqu'à le mordiller, ce qui le fit sourire, tandis qu'il relevait la tête pour croiser le regard de la belle et son regard à lui était clair: il l'encourageait à continuer. Il sentit les mains de la belle brune au niveau de ses jeans, il soulève alors un peu ses fesses, histoire de lui faciliter la tâche pour la suite. C'est elle qui avait le dessus, c'était à elle de décider de la suite.
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Olympe H. Jones a écrit:


J'aimais beaucoup cette leçon originale et si tout mes profs pouvaient être comme le beau mather allongé sur son lit, j'irais plus souvent en cours motivée. Et je mettrais des choses un peu plus sexy que mes jeans habituels, je viseraient les petites robes moulantes. Surtout si il font cours torse nu, les heures de droit seraient beaucoup moins ennuyeuse, ça serait tellement.. passionnant, intéressant. Mais j'suis pas sûre que je progresserais beaucoup pour mes diplômes cela dit. Avec les vieux croutons que j'ai, comme je ne peux pas les mater, bah je travaille. Comme quoi, c'est efficace pour faire travailler les élèves, de mettre des thons en profs. Enfin, il y avait pas mal de profs sexys, mais aucun pour moi, j'avais vraiment la poise..

Une fois installée convenablement sur le torse de monsieur, je me penchais pour l'embrasser, me collant à lui, en profitant outrageusement. Mais j'étais dominante de toute façon je pouvais faire ce que je voulais.. non? C'était pas ça le deal, il avait accepté tout à l'heure. Alors maintenant je profitais. Embrassant son cou doucement, je glissait ensuite vers son torse, mordillant un téton au passage, avant de glisser vers son ventre, alors que mes mains tentaient de déboutonner son jean. Quand enfin je réussis à le faire, il m'aida en levant les hanches, et je pus tirer sur son pantalon pour qu'il finisse par terre. J'avais pas vraiment réfléchis pour savoir ou il avait atterrit, mais c'était bien le dernier mes soucis, puisque pour le moment j'avais un magnifique homme en boxer à satisfaire.



Fiche by Lavender J. Trevena
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