A&A ∆ Don't burry me, don't let me down.

Nah, j’m’attendais pas à ce qu’il fasse quelque chose d’absolument divin, même si ce serait un plus qu’ce soit vraiment bon. Tout c’que j’voulais, c’était de voir mon mari se donner pour me faire plaisir, rien de plus. Et la cuisine me semblait être un bon point de départ, puisque c’est l’une des rares choses dont il a de la difficulté. C'est toi la patronne. Oh, il se rapprocha de moi en retirant sa serviette. Vraiment ? J’suis la patronne ? Je me mordis la lèvre inférieure en posant mes mains sur lui alors qu’il me guidait. Ça me plait. Je souriais et le regardai s’éloigner pour enfiler le tablier. J’allais profiter à fond de ce moment, j’le sens. J’allais m’asseoir sur une chaise haute derrière le comptoir en ne le quittant pas des yeux. Tu m'fais vraiment faire n'importe quoi sérieux. J'reviens j'vais chercher mon téléphone. Je hochai la tête et me pinçais les lèvres. J’espérais vraiment qu’Anastasiya et Kenny ne rentrent pas, j’étais un peu seule assise dans la cuisine et… nue. Ce serait assez étrange comme situation, mais bon. Quelques temps après, Andy revint à la cuisine avec son téléphone. Bon ben... me reste plus qu'à trouver ce qu'il me faut Courage !Qu’est-ce que je pouvais bien faire moi, durant ce temps-là ? Mon mari s’apprêtait à me faire la cuisine et je ne pouvais tout bonnement pas rester là à regarder. Il fallait que je trouve quelque chose pour l’encourager, ou pour le déranger… Hum. J’étais déjà toute nue, j’sais pas ce qui pourrait le perturber encore plus. Surtout que là… pour le coup… c’est lui qui me rendait toute chose.

Ptain, déjà, j'allais faire la cuisine à Apple. C'était un grand pas en avant et là on innovait dans notre relation hein, parce que j'avais Ô grand jamais fait ça. Mais en plus à poils sous le tablier ? Grande première, j'avais encore jamais cuisiné nu comme un ver, quoi. Me voilà donc dévêtu sous le tablier, posant le portable sur le comptoir après avoir regardé ce dont j'avais besoin et ouvrant les placards pour en sortir les ustensiles nécessaires, puis les oeufs, le beurre, la farine et compagnie. On se concentre Andy, c'était pas comme si Apple me regardait avec attention, toute aussi nue que moi -sinon plus, elle avait pas de tablier elle- au comptoir à côté de moi. J'en connais une qui doit se faire mille et un films en ce moment. Ah ça... Elle devait très bien nous imaginer faire l'amour dans toutes les positions dans cette cuisine. Je lui lançai un regard en coin et me reconcentrai sur ce que je faisais, me tournant vers le four pour le mettre à préchauffer et montrant mes fesses au passage huhuhu. J'espérais bien que la vue lui plaise en tout cas. Moi ça me faisait terriblement bizarre mais... Dans un sens, j'me sentais dévoré du regard par Apple et c'était bien loin d'être désagréable, au contraire, j'adorais ça et ça me mettait même plus à l'aise, paradoxalement.

Il préparait ce dont il avait de besoin pour réaliser la recette, et je le regardais faire sans le quitter des yeux. J’aimais déjà cette sorte de pouvoir que j’avais sur lui rien que par le fait qu’il veuille me faire plaisir… et j’imagine qu’il se sentait comme ça en général quand je décide de réaliser ses vœux, comme tout à l’heure par exemple. J'en connais une qui doit se faire mille et un films en ce moment Je quittais mes pensées et me redressai d’un coup. Moi ? Me faire des films ? Pfft foutaise ! Oh, ce ne serait pas ses fesses ? ME GUSTA (tribute to you) je me penchais sur le comptoir pour me rapprocher un peu plus, pour mieux voir m’voyez ? Je me mordais la lèvre et croisais les bras sur mon ventre. T'as de belles fesses. Je sentais d’ailleurs les papillons dans le bas de mon ventre et ce n’était franchement pas cool. Mon corps pourrait au moins essayer d’attendre qu’il commence à cuisiner, hein ? Non ? Pff. Je levai les yeux pour essayer d’me rafraichir les idées, mais sa coiffure en bataille me donnait encore plus envie d’mourir. Bon, le plan tombe à l'eau, j'y arrive pas. Je me levai et allai le rejoindre de l’autre côté du comptoir. Impossible que je le regarde faire sans mouiller la chaise, alors j’allais l’aider. Dis-moi quoi faire, j'serai ton assistante ! Je lui souriais en luttant très fort pour ne pas lui sauter dessus… encore.

A peine je lui tournais le dos pour mettre le four à préchauffer que le premier compliment tombait déjà, m'arrachant un sourire. Je me tournai vers elle avec un sourire en coin, haussant les sourcils. Tu les aimes comment ? Un peu, beaucoup, passionnément ? Fouillant les tiroirs en lui montrant encore et toujours mes fesses, je finis par trouver mon bonheur : une bonne tablette de chocolat noir. Et c'est en me retournant que je vis Apple descendre de son perchoir en me disant que son plan tombait à l'eau et qu'elle y arrivait pas. T'arrives pas à quoi ? demandai-je avec un sourire provocateur aux coins des lèvres. Ben ouais, elle avait voulu que je la chauffe avec une tenue pareille et je comptais bien tenir mon rôle à la perfection... Et j'avais pas l'intention de lui rendre la tâche facile, elle allait regretter de me faire cuisiner à poils. Mon assistante ça me va, répondis-je en cassant les œufs dans le saladier. Alors approche-toi tu vas m'aider pour la pâte... Je jetai un nouveau coup d'oeil à mon téléphone pour m'assurer des doses puis fis signe à Apple de venir se mettre à ma place. Je versai le sucre sur les oeufs et vins me coller dans le dos d'Apple, plaquant bien mon torse, et mon bassin contre ses fesses, mes lèvres à côté de son oreille. On est bieen comme ça. J'aurais besoin que tu me mélanges ça, avec tes doigts de fée. Embrassant sa joue, je donnai un coup de bassin à peine perceptible et la contournai pour préparer le moule à gâteau.

J'avais l'intention de lui faire regretter de m'avoir provoqué comme ça... Enfin regretter... Pas tellement. Finalement elle en profitait tout de même plus qu'autre chose, mais je voulais pas totalement être à sa merci non plus. La faire attendre, espérer et regretter d'avoir demandé un gâteau qui serait long à chauffer. Quoique, y avait bien moyen qu'on s'occupe tous les deux pendant le temps de cuisson ! Je sentis les frissons sur ses bras quand je fus collé à elle, réaction qui me plaisait énormément, évidemment. Mais il était au passage compliqué pour moi aussi de garder mon sang froid, puisque j'en avais tout autant envie qu'elle. Je finis par m'éloigner pour aller beurrer et fariner le moule. En me retournant, je vis Apple les doigts dans le plat qui me demandait ce qu'elle pouvait faire à présent, si bien que je ne pus retenir un rire... qui s'éteignit assez rapidement quand elle se frotta contre moi. Je me mordis les lèvres en baissant les yeux jusqu'à ses fesses et les remontai bien vite ; ne pas céder, ne pas céder. On va rajouter ce qui manque. M'approchant d'elle, je lui tendis le fouet. Tiens, ce sera quand même plus facile qu'avec tes doigts, aussi doués soit-ils... Haussant les sourcils, j'attrapai la farine et la levure chimique pour le verser progressivement dans le saladier qu'Apple remuait, profitant qu'elle soit concentrée sur le saladier pour doucement défaire les noeuds de mon tablier. Pas complètement, juste assez pour pouvoir me permettre de l'enlever rapidement plus tard... Je l'admirai de haut en bas. Tu sais que t'es terriblement sexy quand tu fais la cuisine toute nue ?

Bah oui, je l’avais pris au mot moi ! Il m’a demandé de mélanger tout ça avec mes doigts… c’est c’que j’ai fait. Maintenant j’en avais plein la main, mais ça ne pouvait pas être aussi pire que ce que j’avais entre les fesses tout à l’heure. Je me plaçais devant lui et m’assurai de bien me frotter contre son bassin, m’accoudant au comptoir : il avait fait exprès pour me faire envie tout à l’heure, avec son petit coup sur mes fesses… et bien maintenant j’allais lui rendre l’appareil ! On va rajouter ce qui manque. Il me tendit le fouet et je riais en le prenant. J’avais très bien compris qu’il se foutait de ma gueule avant même qu’il m’le dise : Tiens, ce sera quand même plus facile qu'avec tes doigts, aussi doués soient-ils... Je remuais le mélange alors qu’il déversait les ingrédients doucement dans le pot. Eh bien… il s’y connaissait déjà vachement plus que moi en cuisine n’empêche. J’étais déjà curieuse de savoir c’que ça donnerait au final, même si je ne doutais pas que ce sera fait avec amour… beaucoup d’amour hum. Tu sais que t'es terriblement sexy quand tu fais la cuisine toute nue ? Je me mordais la lèvre. J'peux t'retourner le compliment... Tes fesses, surtout, arg. Et pis la coiffure en bataille… N’en parlons pas aussi, hein. Je me mordais la lèvre rien qu’en l’imaginant me prendre sur le comptoir et secouai la tête pour me sentir de mes pensées. Le mélange prêt, je levai les yeux vers mon mari en essayant de chasser mes pensées coquines. J’attendais d’autres indications, en glissant mon pied sur l’un de ses mollets en remontant doucement, le sourire aux lèvres… Nope, incapable de chasser mes idées cochonnes, tout compte fait.

La voir remuer le mélange comme ça, toute nue... Ben moi j'me rinçais l'oeil quoi. Elle agitait le fouet dans le saladier et moi, je bavais sur son corps entier en mouvement, sa poitrine et ses fesses. Damn it. J'aurais du lui donner une autre tâche un peu moins sex à lui faire faire, le gâteau était loin d'être prêt et j'avais déjà terriblement envie d'elle. Pff. Faible, j'étais un homme faible, ni plus ni moins. Je détournai les yeux quand elle me renvoya le compliment, bien décidé à ne pas me laisser aller, à ne pas lui céder, et entrepris de sortir des casseroles pour faire chauffer le chocolat au bain-marie. Je pris une grande inspiration en sentant le pied d'Apple remonter le long de mes mollets, baissant automatiquement les yeux vers mon bassin. Babar devait rester couché. Je lançai un regard de tueur à Apple avant de me mettre à rien, remuant encore et toujours le chocolat avec le beurre. Arrête tu me dconcentres, le chocolat va cramer si tu continues. Attrapant son poignet, je l'attirai vers moi pour plaquer mes lèvres contre les siennes et l'embrasser fougueusement, quelques secondes seulement avant de reporter mon attention sur le chocolat qui fondait. Mmh ça sent bon. J'vais m'occuper de toi pendant que le gâteau sera au four. D'ici quelques minutes, en gros. A son tour de passer à la casserole. Bon mine de rien la cuisson était pour 20-25 minutes, ça allait être rapide comme partie de jambes en l'air, mais terriblement nécessaire, là. Oui c'était devenu une nécessité, je DEVAIS lui sauter dessus, sinon j'allais perdre les pédales. C'est MA femme, la plus belle, toute nue à côté de moi qui n'attend plus que moi.

J’étais en train de craquer de mon côté et j’espérais que lui caresser les mollets m’aiderait à le faire céder… Mais non. Arrête tu me déconcentres, le chocolat va cramer si tu continues. Mais mais mais… seeeeexe ;__; Je baissais les yeux vers Babar et remarquai qu’il n’était mêêême pas au garde à vous –du moins ne semblait pas l’être, du mieux que j’peux voir avec le tablier hum-, pfft, c’est quoi j’suis pas désirable ? Il m’attrapa par les poignets et m’embrassa avec fougue, avant de retourner au chocolat. Oké……. Ouais mais non. J’étais frustrée, j’en voulais plus et j’étais déterminée à le faire céder quitte à me jeter dessus. J'vais m'occuper de toi pendant que le gâteau sera au four. D'ici quelques minutes, en gros. D’ici quelques minutes ? Je le regardais faire la cuisine en serrant les cuisses et tirait la tronche. Aahh, je n’avais pas l’air d’une gamine à bouder, non non. Je me glissais alors dans son dos et glissais mes mains sur son ventre en descendant de temps à autre au bas de son ventre… J'attends, alors... Je glissais encore mes mains plus bas, lui caressant l’entrejambe.

J'avais hâte d'en finir avec ce fichu gâteau pour pouvoir m'occuper d'Apple comme il se doit, luttant contre moi-même pour garder le contrôle de mon corps qui n'aspirait qu'à se coller contre Apple. D'ailleurs cette dernière vint se coller moi en me disant qu'elle attendait, mais elle faisait tout pour me pousser à bout, me caressant le ventre et descendant ses mains à mon bas-ventre pour me caresser l'entre-jambe. Uuugh réaction immédiate de l'engin. Je pinçai les lèvres en scrutant mon bain-marie, tâchant de ne pas le quitter des yeux parce que si je cédais, c'était fini pour moi. Je m'autorisais néanmoins à profiter des caresses de ma femme, quand bien même... ça me faisait vraiiment bizarre dans la mesure où elle avait encore une main pleine d’œuf et de sucre, hum. T'es pressée, dis-je sans la regarder pour autant histoire de ne pas craquer. J'avais des frissons qui me parcouraient l'échine et je crispais mes doigts sur la cuillère alors que je touillais le chocolat, enfin devenu liquide. Aaaaameeeeen j'allais pouvoir passer aux choses sérieuses. Éteignant le feu, je pris la casserole et me tournai vers Apple en la repoussant jusqu'au comptoir, l'y plaquant alors que je versais le chocolat dans la pâte, le souffle court. Je remuai, versai le tout dans le moule, l'enfournai dans le four. C'est parti, 25min rien qu'Apple et moi. Je me tournai vers elle, tirant sur le tablier pour le retirer. Tu vas regretter de m'avoir chauffé autant toi. Et le sourire aux lèvres, je m'approchai d'elle.