[HOT] Comme une tigresse, t'as les crocs || ft. Olivia

Dimanche soir. J'étais au bureau en train de faire mes dernières révisions avant le lendemain. Je n'avais pas bosser du week-end et fallait bien que je m'y mette un peu. Je n'étais donc pas sorti de ma chambre de l'après-midi et j'avais bossé à fond. L'inconvénient depuis que je ne suis plus en sport majeure, c'est que j'ai bien plus de choses à réviser, mais je préfère ça plutôt que d'aller aux entraînements tous les soirs. Maintenant ce n'est qu'une fois par semaine et je n'ai plus autant de matchs. Mon entraîneur avait été déçu quand je lui ai annoncé que le sport passait en mineure pour moi. Mais bon, ce n'est pas comme si j'arrêtais totalement le foot us. Je commençais par avoir un creux alors j'avais sorti les chips que je gardais pour ce genre d'occasion et n'en mangeais que quelques unes pour finalement craquer et descendre jusqu'à la cuisine de la maison et me faire un bon gros sandwich au poulet, et une clémentine. Sûr que là au moins je serais calé pour encore quelques heures. Je n'avais pas pris de bière, j'étais fier de moi (a). Mais quand je suis remonté, devant ma porte se tenait une belle blonde que je reconnaissais sans mal. Je souriais avant même qu'elle ne m'aperçoive. C'était Olivia, une jeune femme que j'avais rencontré intimement pendant le Summer Camp et j'étais bien heureux de la revoir. On attend quelqu'un peut-être ?

Olivia avait passée une semaine de merde, autant ce le dire, la visite de son ex-fiancée ne lui avait fait aucun bien. Pourtant, à une certaine époque, elle n'aurait demandé que ça qu'il revienne à ses pieds pour l'aider, pour l'a ramener vers un autre chemin, mais pas là, non, là, elle avait accumulée trop de colère pour vouloir le faire. Elle ruminait chez elle, passait ses soirées à boire et fumer pour penser à autres choses et en se beau dimanche soir, elle se dit que cet apollon de la plage pourrait bien lui faire penser à autre chose de bien des façons et surement, qu'après coups, il voudrait peut-être même jouer au thérapeute avec elle. Enfin, elle finit par enfiler une paire de jeans et une blouse noir un peu transparente, sans oublier ses fidèles talons hauts, allez savoir pourquoi, Olivia aimait bien ce genre de soulier, qui pourtant rebutaient bien d'autres jeunes femmes. La jeune femme navigua entre les résidences de toutes les maisons avant de tomber devant celle de Valentin. Elle cogna, personne ne répondit et elle reste devant la porte un moment, avec l'espoir de le voir apparaitre. Quand elle entendit sa voix, elle sourit, doucement, elle finalement pouvoir penser à autre chose que ce crétin. « oui, un bel étalon que j'ai rencontré sur la plage. » Elle lui fit un clin d'oeil, quand elle était dans tout ses états, Olivia avait tendance à vouloir sauter sur les gens qui l'excitait, mais elle n'allait pas faire ça en plein milieu d'un couloir.

Quand elle me répondit qu'elle attendait un bel étalon, je n'ai pas pu m'empêcher de rire, parce que même si je savais que j'avais du charme parfois, je n'arrivais pas à me dire que j'étais à ce point-là comment elle me décrivait. Même si ces derniers temps je prenais de plus en plus de muscles. Il me semble bien qu'il vit ici ... Je lui rendis son clin d’œil et lui ouvrit la porte de ma chambre sans pour autant y entrer en premier Après vous charmante demoiselle ... Ça me rappelait notre aventure dans la mer de l'appeler comme ça, je savais qu'elle aimait bien ce genre d’appellation alors autant en profiter pour lui faire des compliments, surtout qu'elle les méritait bien. Même si après tout, je ne connaissais toujours pas bien grand chose d'elle. Je rentrais donc à sa suite tout en continuant de gober mon sandwich.

Quand olivia tombait en mode séductrice, rien ne l'arrêtait et elle aimait bien complimenter les gens, alors bien sur qu'elle allait complimenter Valentin après ce qu'il lui avait fait vivre sur la plage. Quand Val était arrivée devant elle, elle avait eu un doux sourire et elle c'était relevée, bien droite. « Eh bien tant mieux, j'ai pas attendu pour rien alors» Elle lui fit un clin d'oeil, elle appréciait Valentin, pas seulement pour son talent au lit, il la mettait en confiance, sans trop qu'elle ne sache pour toi. Il la dit passer devant lui, en l'appelait demoiselle, elle aimait bien être traité comme ça, qu'elle fille n'aimait pas ce genre de chose. « Merci bien » Elle se tourna vers Valentin qui mangeait encore son sandwich, mais Olivia avait besoin de décompresser et c'était pas un Sandwich qui allait l'arrêter, de toute façon il n'en restait pas tant que ça. Olivia prit les choses en main, elle savait ce dont elle avait besoin et voyait mal Val l'en empêcher. Elle prit son sandwich et le déposa sur le comptoir. « Tu pourra le manger plus tard non. » Elle lui it un clin d'oeil et s'approcha dangereusement pour mettre ses mains sur ses hanches et elle l'embrassa. Sans détour, sans fioritures, elle l'embrassa avec vigueur, elle voulait quelque chose c'était clair, elle parlerait après, là tout de suie, elle le voulait lui et dès se premier baiser elle s'abandonna et rien d'autre ne vint à son esprit autre que l'homme devant elle.

Alors que je venais de fermer la porte derrière moi et que j'étais à la moitié de mon sandwich, voilà qu'elle me fit savoir que je pourrais toujours le manger plus tard. J'eus un petit air surpris de voir à quel point elle entrait vite en matière. Au moins elle savait ce qu'elle voulait et pourquoi elle venait me voir. Ce n'était certainement pas moi qui allait la repousser. Elle vint alors m'embrasser directement et je répondais à son baiser qui se voulait des plus désireux. J'attrapais son visage de ma main libre et l'embrassais de plus belle tout en l'agrippant par la nuque sous ses longs cheveux blonds. Je rompis un instant le baiser et posais mon sandwich sur la commode qui se trouvait à mes côté Au moins, tu ne passes pas par quatre chemin toi ! Dis-je dans un petit rire. J'attrapais ensuite sa main et la fit venir jusqu'à mon lit où je m'asseyais et la fit s'asseoir sur moi.

Biensur qu'olivia était directe, surtout dans ce genre de circonstances où elle n'en pouvait plus et qu'elle avait la rage au ventre. Elle avait besoin de distraction et Valentin en était tout une. Il avait répondu à son baiser, comme elle l'aurait souhaité et ça lui fit du bien. Elle passait sa langue doucement sur sa lèvre quand il se sépara un moment. « c'est moins long d'en prendre qu'un. » Elle lui fit un clin d'oeil et se laissa emporter par le jeune homme pour se retrouver assise sur lui. Elle l'embrassa, sauvagement presque, sensuellement, elle le voulait plus que tout, ses mains posées sur ses joues, sa blouse était ressortie de ses pantalon d'elle-même, flottant doucement sur l'air. Elle n'avait pas envie de passer des heures à le chercher, elle enleva doucement le chandail de val et continua de l'embrasser.

Je souris de nouveau face à sa réponse comme quoi c'était bien plus rapide de prendre qu'un seul chemin pour arriver à ses fins, et je ne pouvais qu'être on ne peut plus d'accord avec elle. Je l'avais ensuite entrainer jusqu'à mon lit où nous allions reproduire le plus grand des pêchés qu'on avait commis ensemble sur la plage la dernière fois. Ça allait être bien moins exotique, mais le plaisir était toujours là et ça serait bien plus simple de le refaire autant que l'on voulait. Et je m'en foutait si on dérangeait mes camarades toute la nuit parce qu'ils ne se gênent pas eux non plus parfois (a). Elle se mit à retirer ses vêtements ainsi que mon t-shirt. Aucun doute sur le fait qu'elle avait envie de moi, vu la façon dont elle m'embrassait. J'avais l'impression qu'elle allait me bouffer. Je l'aidais ensuite à retirer ses derniers vêtements tout en la caressant et agrippant ses belles formes chose qui m'excitait davantage. Je finis par retourner la situation et la faire s'allonger sur mon lit alors que j'étais cette fois-ci sur elle, toujours tout en l'embrassant comme un sauvage.

Olivia avait besoin d'autre chose, avait besoin de se sentir désirer, apprécié, voulu. Elle voulait un corps chaud et un regard tout aussi embraisé, elle avait trouver ça chez Valentin. Elle se fichait bien du fait qu'elle soit particulièrement direct, elle savait ce dont elle avait besoin. Olivia avait commencer à dénuder Valentin et il fit de même, elle l'embrassait, doucement par moment, vigoureusement par d'autre, elle ressentait ses mains sur son corps et ne pourrait demander mieux. Il finit par la faire basculer sous lui, alors qu'ils étaient maintenant tout les deux nus. Elle passait ses mains sur son corps, sur ses fasses rondes et s'amusait à effleurer son sexe déjà rempli de désir. elle avait un sourire aux lèvres, pour une fois cette semaine. Elle se colla contra lui, peau contre peau et présentement, elle ne pensait à rien, tout simplement, elle était bien.

Il m'en fallait peu pour être à point pour ce genre de chose, encore plus avec elle. Non pas que je suis facilement en rûte non ... Enfin, si peut-être, j'avoue, mais quand une belle femme comme ça se jette sur vous, c'est on ne peut plus normal j'ai envie de dire, surtout pour un italien comme moi. En plus elle s'amusait avec mon engin, chose qui m'excita davantage, et qui m'empêcha de faire monter encore plus le désir. A quoi bon, vu qu'il semblait déjà être à son plein ! Du coup ce fut chose facile, qui coula de source quand je rentrais en elle pour la faire gémir de plaisir. J'avais cette impression d'être un objet sexuel mais c'était bien la première fois, et ce n'était pas du tout désagréable comme sensation.

Olivia utilisait Valentin présentement et alors ? dans des circonstances pareil, c'était plus que de mise pour une jolie Mather comme elle. Et puis, Val n'avait pas l'air de se plaindre, mais pas du tout même. La jeune femme s'amusait, à passer ses mains sur son corps chaud, jusqu'à effleurer son engin même, sans aucune gêne et avec beaucoup d'envie même. D'instinct, elle c'était cambré, alors l'entrer en elle de Valentin ne fut pas complexe et elle poussa un petit gémissement. Olivia passa ses belles jambes au tour de la taille du jeune homme en bougeant son bassin doucement. La belle blonde approcha le visage du jeune homme pour l'embrasser doucement, mais sensuellement, elle le désirait, elle avait besoin de sentir son désir et d'évacuer le siens.