Yes , yes , yes , ici il n'y a pas de soucis - Nathan.

Le caleçon lui allait comme un gant et c'était une chose qui était à présent bel et bien réglé. Mais là, nous avions un autre problème entre les mains et ça n'allait pas être très simple à le régler, surtout dans un temps rapide. Elle venait d'ailleurs de m'avouer qu'elle m'aimait bien, ce qui me fit rougir. « Moi aussi je t'aime bien Spinelli. » Je ne voulais pas cacher mes joues même si j'étais entrain de rougir et faut dire que le baiser qu'elle me renvoyait n'arrangeait pas vraiment les choses. C'était si pétillant, si beau que j'avais l'envie de remettre mes lèvres au contact des siennes mais je me tenais à garder la petite distance qu'elle venait d'installer après m'avoir enlacé durant le baiser. Elle me disait que j'étais entrain de la rendre folle et cela me fit vraiment sourire. « Pourquoi est-ce que je te rends folles doudoune ? » Je continuais de lui caresser le dos d'une main et surtout du bout de mes doigts, tout en me laissant tomber pour finir allonger sur le lit.

Elle me disait que je la rendais folle. Bien sûr, je lui avais demander pourquoi et elle me répondis pour commencer que c'était dû à ce surnom débile que je lui donnais. Cela me fit sourire, au moins, je n'étais pas le seul à paraître débile avec le surnom qu'elle me donnait. A présent, elle voyait ce que ça donne. « On est deux à être fous alors. » Je m'étais laisser tomber sur le lit comme un gros phoque et elle avait fait de même pour s'approcher de moi et de me caresser la joue du bout de ses doigts en me disant que je n'avais plus intérêt de courir et de me balader nu dans les couloirs. « Pourquoi ne puis-je pas me balader ainsi dans les couloirs ? » Je lui fis un sourire avant de lui toucher le bout du nez avec le bout de mon index puis de lui sourire tout en laissant une main dans son dos à lui caresser tendrement celui-ci.

Elle en venait presque à me crier dessus sur le fait que je sois sorti tout nu tout à l'heure. Elle justifiait cette petite remise en place pour me dire qu'elle ne voulait pas que quelqu'un me voit habillé comme ça, du moins, nu comme je l'étais lors de ma sortie de chambre. « Tu veux pas partager, tu veux me garder rien que pour toi... tu es égoiste Spinelli le sais-tu ? » Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, à la fin de mes paroles, elle venait me déposer un court baiser à nouveau sur les lèvres. Puis elle avait attrapé l'une de mes mains et y déposait un petit baiser également dessus. Puis, on fut assez étonné d'un énorme bruit, de cris d'animaux, etc... elle venait me dire que les fous étaient rentrés à propos des étudiants. « Entre nous ou eux.. les fous, je pense plus que c'est nous. » Je lui souriais avant qu'elle ne me dise qu'elle aimait que tous les jours soit comme celui-ci, ce qui me fit sourire puisqu'elle avait en effet passé la journée en ma compagnie. « Avec moi.. que tu aimerais que tous les jours soit aussi beau ? » Je lui fis un petit sourire avant de lui déposer un petit baiser sur le bout de son nez puis de venir la serrer contre moi dans mes bras, sentir sa présence me faisait un bien fou au fond de moi.

Elle semblait ne pas vouloir que d'autres personnes me voit dans mon plus simple appareil, ce qui veut dire à poil. Elle semblait être égoiste et quand je lui posais la question, elle me disait que oui, elle pouvait être égoiste. Je lui fis un petit sourire et réagissait immédiatement.  « Faut un peu penser aux autres des fois. Mais ne t'inquiète pas en ce qui me concerne, tu ne m'a que pour toi. » Je lui avais ensuite dis qu'elle était folle et moi que j'étais un petit fou mais elle me disait de pas la mettre dans la même case que moi et qu'elle n'était pas folle et d'ailleurs loin d'y être. Puis elle ajoutait que c'était bien les journées avec moi quand je lui avais demander. « Tu n'es pas folle ? Ha bon, je croyais. » Lui dis-je avec un sourire aux lèvres en lui tirant la langue, j'aimais la narguer et aussi la chercher mais de façon amicale. Puis elle venait à me renifler de façon bizarre, me disant que je sentais le lapinou. Mais c'était quoi ce truc, sur le coup, je la regardais vraiment bizarrement avant de la regarder droit dans les yeux. « Et tu aime cette odeur de lapinou ? Elle te fait te rendre comment cette odeur ? » Je lui avais posé la question tout en la regardant droit dans les yeux et de frotter mon front contre le sien puis de finir par le poser sans bouger et de la fixer droit dans les yeux.

On parlais du fait que l'un sois plus fou que l'autre. En fait, on est chacun fou à notre façon, pas plus l'un que l'autre mais à des degrés différent. Ce qui me fit sourire c'est qu'elle me disait qu'à côté de moi, elle n'avait pas autant de folie, ce qui me fit sourire puisque je pensais tout le contraire. Bien vite, elle parlait de mon odeur... de lapinou, cela me faisait sourire même si c'était étrange. Elle venait me dire qu'elle ne savait pas ce que cela lui faisait mais bien vite je me retrouvais couché sur le dos avec la jeune fille assise sur mon torse. Elle venait se pencher devant moi pour venir me déposer un long et tendre baiser langoureux. Je ne refusais pas un tel baiser de sa part et le prolongeait jusqu'à ce que je n'avais plus de souffle. Elle venait alors me dire que mon odeur la faisait agir comme ça. « J'espère sentir tous le temps ainsi alors... toi qui te disait refroidi.. tu n'en as pas vraiment l'air en fait. » Je lui fis un grand sourire tout en la gardant sur moi mais en la faisant s'allonger et je venais positionner mes deux mains dans son dos pour lui caresser tout du long tout en la maintenant droite et en équilibre couché sur moi.