Le Pékin pas express - feat : Travis, Sev, Oly, Elia

Հ Où : La havane à Cuba
Հ Rappel :Alors : l'hôtel organise une expédition dans la capitale de Cuba. Sauf, qu'au moment de rentrer quelques personnes ont manqué la navette ( et le chauffeur n'a pas pris la peine de compté). En plus de ça, ils n'auraient pas pris leur téléphone et serait donc coincé là bas. A savoir, que l'anglais est compris par certains habitants, mais qu'il vaut mieux parlé espagnole. En plus de ça,ils n'auraient pas énormément d'argent sur eux donc ils devraient de débrouiller pour trouver un moyen de rentrer. :D

feat les retardataires Հ Pékin pas express

10 heures L’hôtel avait mis en place une petite expédition qui avait pour but de visiter la capital de Cuba autrement dit La Havane. Moi qui n’avais rien de prévu aujourd’hui, j’avais décidé de prendre la navette. En plus d’être gratuit, ça me permettrait de me changer les idées et de m’éloigner un peu du luxe que m’offrait le summer camp. J’avais mis plusieurs mois à économiser mon argent pour ses vacances. J’avais donc besoin d’un retour à la réalité.

Arrivé sur place, je trouvais l’endroit magnifique. Le décor changeait des villes auquel j’avais été habitué depuis mon arrivé à Harvard. J’étais venu seul et j’avais crus apercevoir Olympe pendant le trajet. Depuis le bal nous étions en froid. Aussi, j’avais préféré l’ignorer. Surement, qu’elle aurait fait la même chose. La journée c’était bien déroulée. J’avais visité de nombreux endroits, flâné dans les échoppes. Vers 17 heures, je décidais de me poser sur la terrasse d’un café. La navette passait nous chercher à 18 heures, j’avais largement le temps. Enfin, ça c’est ce que je pensais. Ma mère avait trouvé le moyen de m’appeler à ce moment-là. ( Dieu la facture de téléphone u.u ) Les minutes défilaient, ainsi, que ma famille au bout du fil. Après avoir raccroché avec ma sœur, je jetais un coup d’œil à ma montre. Merde. Il était 17h45 ! J’avais quinze minutes pour aller à l’endroit du rendez-vous. Après avoir déposé quelques sous sur la table, je me mettais à courir. Hélas, même un bon athlétique ne pouvait atteindre l’endroit en si peu de temps. Essouffler, j’arrivais au lieu-dit tout en voyant au loin la navette s’en aller. En plus de ça, mon téléphone n'avait plus de batterie. Il venait de rendre l'âme. « Merde ! »

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Soirée, plage. Plage, dîner, soirée. Shopping, plage, soirée, plage, .. Mes vacances commençaient à devenir légèrement monotone à mon gout, du genre un peu trop plate. Non pas que je n'aime pas mon nouveau train de vie de fille qui s'amuse, au contraire, cette liberté je l'adore. Mais quand j'ai vu dans le hall de l’accueil une pub pour aller découvrir la capitale Cuba, je n'avais pas hésité une seule seconde. Non seulement ça me ferait sortir, mais en plus c'était un endroit où j'avais été étant jeune, avec mes parents et mon grand frère, alors ça me rappellerais de bon souvenirs. Surtout que j'avais eu un flirt avec un beau cubain ici, un vrai régal, alors logiquement je savourais les souvenirs en marchant dans la ville, pas pressée, je redécouvrais l'endroit à un rythme de touriste retraité un peu, m'arrêtant dans plusieurs boutique, achetant avec le peu de sous que j'avais pensé à prendre quelques cartes postales.
J'étais venue sans mon sac à main, je n'avais donc pas mon téléphone, et pas d'heure, mais je comptais trouver des horloges dans la ville, sauf que je n'en avais presque pas vu, et quand j'avais regardé l'heure, pensant qu'il me restait encore du temps, je découvris qu'il me restait.. à peine trois minutes pour rejoindre le bus. Passant du mode farniente au mode pressée, je me mis à pousser les gens dans la foule, ne voulant surtout pas me retrouver coincée ici sans argent, seule, dans un pays dont je ne connaissais malgré tout que les endroits touristiques. Alors que j'arrivais au point de rendez-vous, je découvris que j'étais seule, et les main sur les cuisses, je soufflais, cherchant à trouver mon souffle après une course dans la ville. « Merde ! » J'entendis du bruit derrière moi, et je me retournais, reconnaissant cette voix. Merde alors, Wyatt, je n'avais même pas vu qu'il avait pris le bus avec moi ce matin.. si il y avait bien une personne avec qui je n'avais pas envie d'être coincée ici c'était lui, vu le froid total entre nous. Bon, je connaissais le numéro de l'hôtel, on pouvait toujours les appeler pour qu'ils rappellent le chauffeur, sauf que moi je n'avais pas mon sac à main. « S'lut. Tu as un téléphone ?» Je n'allais pas la jouer bavarde hein, faut pas rêver. Soudain, je vis quelqu'un arriver à son tour, et je lui posais la même question.

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Une expédition à Cuba, plus précisément dans la havane, ouais ça m'avait intéressée. J'étais là pour profiter de l'été, m'amuser mais aussi pour visiter puisque j'en ai l'occasion. Je m'étais préparée pour cette journée, portant un simple short et un débardeur avec des chaussures plates. Il faisait chaud et autant avoir le moins de vêtement possible sur le dos. J'avais profité de la journée pour me balader par ci par là. J'avais pris mon appareil photo avec moi pour avoir des souvenirs et quelques sous ainsi que mon téléphone portable. Dans la journée j'avais dépensé la plupart de mes sous dans des petits cadeaux pour offrir à mes parents, des amis ou bien Matys. D'ailleurs je l'avais laissé à l'hôtel pour l'occasion entre les mains de mon frère. Je prenais des photos par ci par là quand je me rendis compte que l'heure approché. Je me rendais au lieu dit pour retourner à l'hôtel mais je me perdis un peu. J'avais le sens de l'orientation mais je ne savais plus par où j'étais passée tellement j'avais marché dans tous les sens. Je demande mon chemin à plusieurs personnes qui m'indique parfois le bon endroit, parfois ne savent pas, parfois se trompent ou bien ne comprennent pas puisque l'espagnol et moi c'est pas trop ça. Je connais la langue mais mon vocabulaire n'est pas très rempli. Je commence à stresser puis j'arrive enfin là bas quand je vois un jeune homme avec une femme et la navette au loin. Non ce n'est pas elle ? Je prends alors mon souffle car oui j'avais couru sur les dernières minutes pour arriver à temps. C'est bien la navette pour .. pour aller à l'hôtel .. Casa Marina ? demandais je au jeune homme et la femme quand je reconnus Olympe. C'était juste pas possible qu'on part sans moi, sans nous quand même. Elle me demanda si j'avais un téléphone. Sortant le mien de ma poche j'avais plus qu'une malheureuse barre. Oui mais je sais pas s'il va tenir. Je montre alors mon écran avec l'unique barre de batterie qu'il reste.

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Aujourd'hui, j'étais allé dans la capitale de Cuba grâce à l'hôtel qui avait décidé d'y organiser une expédition, je n'avais jamais vu la ville et c'était pour moi l'occasion de voir autre chose. J'avais commandé mon taxi le matin même mais le service me disait que c'était trop tard pour une réservation alors il ne me restait qu'une solution : la navette. Pour être honnête je n'avais jamais eu l'occasion de prendre ce transport, même quand j'étais gosse, j'avais un taxi pour m'amener à l'école. Mais bon une navette c'était pas vraiment différent si? Il y avait juste beaucoup plus de personnes, c'était un "Géant Taxi", mais c'était drôlement moins cher. Le trajet c'était donc bien passé, et j'avais vu Elia dans la navette que j'avais connue en boîte. Durant la journée j'avais trainé dans les rues afin de dénicher LA bonne photo et pour être honnête j'étais assez content car j'avais réussi à avoir quelques clichés étonnants. Mon faible espagnol m'avait permis de discuter avec la population locale rencontrée dans un café retiré de la foule. J'aimais être proche des habitants d'une ville, voir la culture et pas seulement les magasins pour touristes. Il était 17H30, il fallait que je retourne au point de rendez-vous de la navette afin de rentrer à l'hôtel, surtout que je m'étais éloigné de la ville afin de capturer dans mon appareil des endroits peu fréquentés. Je marchais tranquillement quand sur ma droite, se trouvait un café magnifiquement beau, et il illustrait la culture cubaine à merveille, je ne pouvais pas manquer ça. Je regardais ma montre, il était presque 18h, j'avais tout de même le temps, le bus pouvait attendre quelques minutes. Je sortais donc mon appareil, et clic clac c'était dans la boite, en plus avec le couché du soleil c'était parfait. Je continuais à marcher, quand une fois arrivé : plus personne, pas de navette, rien. Elle était donc là la différence entre le Taxi : la navette n'attendait pas son client. Il y avait deux jeunes femmes et un homme qui avaient également loupés la navette, je me tournais vers eux en souriant "Ah, je ne suis donc pas le seul à avoir loupé la navette" . Pour l'instant je n'étais pas très contrarié, on allait bien trouver une solution... Puis j'étais pas un stressé de la vie fallait le dire, eux par contre semblaient peu rassurés.

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Cuba, la havane, ca a moins, ca le changerait de sa Floride habituel. Jusque là, le Summer camp l’avait juste ramené chez lui, alors quand il avait entendu parler de l’expédition, il avait sauté sur l’occasion. C’était comme un nouveau monde ; beaucoup parlait en espagnol, les paysages, tout, lui plaisait. D’accord, il ne parlait pas plus de deux trois mots d’espagnol, il aurait du écouter son frère quand il lui avait dit d’y faire plus attention à ce genre de cours, mais tant pis. C’est ainsi, qu’en demandant l’heure, il avait cru qu’il lui restait du temps.
Contrairement aux autres, c’est en marchant, les mains dans les poches, que Travis rejoignit le lieu du rendez vous. Cependant, il eut à peine le temps de voir la navette se barrer sans eux. Ba tiens, c’était sympa ça, laissez nous tous dans la merde, c’est pas bien grave ! Grommelant, il s’approcha du groupe, reconnaissant Olympe au passage, qu’il salua d’un geste de tête. S’ils ne se haïssaient pas autant qu’avant, ce n’était pas non plus les meilleurs amis du monde pour le moment, il fallait le dire. Ils semblaient tous regarder leur téléphone ou déplorer leur absence. Il ne pouvait rien dire ; il ne l’avait pas prit. Ou plutôt, le dernier qu’il avait volé, il ne l’avait pas encore réglé pour lui appartenir complètement, donc, inutilisable tant qu’on pouvait le tracer.
« Eh ba, au moins, on est pas tout seul comme des glands, c’déjà ça.»

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A peine avais-je dis ses mots qu’une autre jeune femme me demandait si j’avais un téléphone. Je tournais la tête et me retrouvais face à Olympe. Eh merde, y manquait plus que ça. Elle avait l’air carrément froide avec moi. J’en concluais donc, qu’elle n’allait pas faire le premier pas pour arranger les choses. J’allais lui répondre quand une autre jeune femme arrivait. Elle commençait à nous parler en espagnol, ce qui me fit légèrement sourire malgré la situation. Puis, elle comprenait qu’on était dans le même pétrin et répondait à la question d’Olympe. Il ne lui restait qu’une barre de batterie. Je sortais le mien avec l’espoir qu’il soit plein, mais comme je le craignais, il c’était éteint. Merci maman u.u. « Le mien est à plat. » La seconde suivant, deux autres mecs arrivaient. On était combien à avoir loupé la navette ? Je répondais à ce que venait de dire les deux arrivants. « C’est clair, que c’est mieux d’être plusieurs que de se retrouver seul. » Je ne savais pas comment on allait trouver un moyen de rentrer ici. Surtout que c’était dur de communiquer avec des gens qui parlaient anglais. « Quelqu’un parle espagnol ici ? » En disant ses mots, je réalisais que je ne m’étais même pas présenté. « Au faite, moi c’est Wyatt. »

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Le jeune homme avait son téléphone à plat apparemment, on était donc pas sortie de l'auberge. La navette était partit sans nous et les téléphones on pouvait pas compter sur eux, génial. "Ah, je ne suis donc pas le seul à avoir loupé la navette" Je reconnus immédiatement Sevastian, je l'avais connu en boite lorsque j'étais sortie avec Snow. sacrée soirée et c'était la première fois que je le revoyait. Le monde est bien petit. Un autre jeune homme arriva « Eh ba, au moins, on est pas tout seul comme des glands, c’déjà ça.» Oui c'est déjà ça c'est sur mais je devais rentrer, je pouvais pas rester ici moi. J'étais pas aussi calme que lui pouvait le paraitre. Le premier jeune homme qui était avec Olympe quand j'étais arrivée, nous demanda « Quelqu’un parle espagnol ici ? » « Au faite, moi c’est Wyatt. » Devais je dire que moi oui ou bien devais je me cacher ? Je suis loin d'être excellente dans cette langue mais je connais un peu et moi c'est Elia dis je en regardant Sevastian. Ouais je voulais voir s'il me reconnaissait ou non. Vous avez pas vu une cabine téléphonique dans la journée par hasard ? J'en avais pas vu pour ma part mais avec quelques pièces on pouvait peut être appeler l'hôtel pour qu'on envoi une navette nous chercher. Mais les cabines téléphoniques ce font rare de nos jours.

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Bon, ça m'apprendra à trainer dans mes souvenirs tiens, je n'avais gagner que un retard au bus, et donc je l'avais loupé. Mais je n'étais pas la seule, vu que j'avais entendu la vois de Wyatt dans mon dos rapidement. Bon, c'était pas le genre de personne avec qui j'aurais aimé rester seule ici, mais au moins je n'étais pas seule .. Il n'avait pas l'air décidé à réchauffer un peu le froid installé entre nous depuis le bal, alors je n'allais pas faire le premier pas à mon tour, c'était dommage qu'on se fasse la gueule ainsi pour plus grand chose, mais hors de question de mettre ma fierté de côté. Heureusement pour briser un silence devenu gênant, Elia arriva, et je lui demandais si elle avait un téléphone, elle me tendit donc le sien mais me dit qu'il n'avait presque plus de batterie, et en effet dès que je tapais un chiffre sur l'écran pour joindre l’hôtel il devint noir dans mes mains. Je soupirais, lui rendant. Ce n'était pas la peine d’espérer joindre l'hôtel sans nos portables. " Bon, va falloir trouver autre chose alors.. "
Je vis ensuite deux types arriver, dont l'un que je connaissais, mais avec qui je n'étais pas forcément très amie. Ni très ennemie. " On est pas tout seul comme des glands, on est 5 paumés dans cuba, c'est vrai que c'est mieux. " Ouais, l'optique d'être coincée ici ne me mettais pas de bonne humeur, alors bon je n'allais pas sauter de joie parce que nous étions 5 à avoir loupé le bus. " Moi c'est olympe. Et je ne parle pas beaucoup espagnol, désolée Wyatt. Je sais dire quelques mots seulement. " Je m'étais présentée pour une seule personne en fait, puisque Elia, Wyatt et Travis connaissaient mon nom.. Je regardais Elia, haussant les épaules : " Je crois en avoir vu une , mais impossible de te dire où, mais si on cherche bien on doit pourvoir en trouver une. "

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On était maintenant cinq, un dernier homme venait d'arriver, il avait plutôt l'air détendu comme moi. Personnellement j'avais oublié mon téléphone alors je ne pouvais pas vraiment les aider, aucuns n'avaient de la batterie, bref pour le téléphone c'était mort, il fallait trouver une autre solution pour nous sortir de là. L'un se présenta, il s'appelait Wyatt, et il y avait une certaine Olympe. Lorsque Elisa prononçait son nom, elle me regardait et je lui rendais un sourire pour lui faire comprendre que je me souvenais de cette soirée bien arrosée. Je me présentais donc à mon tour et je répondais à Wyatt qui voulait savoir si quelqu'un savait parler espagnol. Moi je m'appelle Sevastian, et je parle assez bien l'espagnol... enfin bien j'ai un espagnol scolaire, de quoi avoir une discussion basique, après je peux pas parler de trucs compliqués, pour ce qui est des cabines j'ai pas du tout regardé, désolé, mais on doit sûrement pouvoir trouver un téléphone dans un café ou quoi, non? Souvent, il y avait des téléphones dans les cafés, mais à mon avis il fallait payer or je n'avais plus du tout d'argent sur moi puisque j'avais pris le strict minimum, je n'aimais pas trop les souvenirs et ça me semblait pas indispensable de prendre de l'argent... j'avais surtout peur de me faire voler mon sac avec mes papiers dedans alors, si ce n'est mon appareil, je ne prenais rien, c'était beaucoup plus simple... enfin là, j'aurais mieux fait pour le coup de tout prendre. Je me tournais vers Elia histoire de détendre un peu l'atmosphère car ils semblaient vraiment stressés tous. Comment tu vas? Je suis content de te revoir... bon les conditions sont pas tip top mais c'est déjà ça lui dis-je en souriant.

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Travis n’était pas stressé, il avait déjà vécu bien pire que ça, et il avait toujours eut dans la tête l’idée qu’on pouvait se sortir de tout. Du coup, être juste abandonné avec d’autres dans une ville où parler allait être difficile, ca n’était pas vraiment un cas à devenir fou à ses yeux.
Il roula des yeux vers le ciel à la phrase d’Olympe. C’était pas le moment, tout simplement.
« Commence pas, Olympe.»
Il l’avait dit calmement. Après tout, c’était pas non plus le moment de régler une nouvelle fois leurs compte. Ils avaient déjà été capable de passer au dessus le temps du bal et même de s’entraider, alors fallait juste réussir à refaire de même. Alors qu’au bal, s’ils avaient pu se bouffer la tronche méchamment, ils l’auraient fait avec plaisir. Le jeune Wyatt qui se présenta demanda alors si quelqu’un parlait espagnol. Deux semblèrent se proposer. Les idées fusaient déjà pour partir de la ville et rejoindre l’hotêl. Cabines ? D’accord, ca pouvait toujours se trouver, mais le téléphone allait surement leurs blablater en langue inconnue, tandis que dans un café ou quoi, au moins, ca marchait normalement.
« Travis. Et ouais, ca doit bien se trouver, de toute façon.»

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