Something new ;; Laia

Il y a une semaine de ça, avec Laia nous avons décidé de nous faire un petit week-end loin de Boston, juste elle et moi. Nous avons discuté les choix, cherchant un endroit hors de Boston, mais qui soit accessible en voiture ou en avion. Nous avons choisi Vancouver et son côté sauvage, mais tout de même proche de la ville. C'est à 4h et quelques de vol en avion, c'est plutôt pas mal, surtout que nous avons prit un vol très tôt pour pouvoir profiter de la journée. Je nous ai trouvé une belle cabane assez luxueuse en forêt, au bord d'un lac. Il est grand, avec plusieurs chambre et aussi un jacuzzi. Il y a des kayake, si on souhaite en faire. Il paraît aussi qu'on peut voir aussi des phoques, mais aussi et surtout des orques et baleines. J'espère que nous serons assez chanceux, pour en voir. La ville est seulement à 20 minutes de voiture, si nous souhaitons aussi y faire un tour. Pour le moment, nous venons d'arriver à Vancouver. Nous y avons loué une voiture et quelques minutes plus tard, nous sommes enfin à la cabane. - Ahh ouais, canon !, dis-je en sortant de la voiture. - Je sens qu'on va bien s'y plaire, j'ajoute en donnant la clé de la cabane à Laia, ouvrant par la suite le coffre pour m'occuper de nos sacs.

w/@Laia Duque

@Ludovic Halstead — Dès que nous arrivons à la cabane, je sens une vague de soulagement et d'excitation monter en moi. L'endroit est encore plus magnifique que je l'imaginais. La forêt qui l'entoure, le lac qui s'étend devant nous... c’est exactement le genre de déconnexion dont nous avions besoin. Je sors de la voiture, prenant une grande inspiration pour profiter de l’air frais. C’est apaisant, naturel, et je sais déjà que ce week-end sera mémorable. Quand Ludovic me donne la clé avec ce sourire malicieux, je ne peux m'empêcher de sourire en retour — Tu as vraiment assuré,  je dis en admirant la cabane. Tout est parfait, le cadre, l’intimité, et surtout l'idée de passer du temps juste tous les deux, loin de tout. Je m’avance vers la porte, sentant déjà l’excitation monter à l’idée de découvrir l’intérieur. Je glisse la clé dans la serrure et pousse doucement la porte, révélant un espace chaleureux et confortable. La cabane a un côté à la fois luxueux et rustique, avec de grandes baies vitrées qui offrent une vue imprenable sur le lac. Je m’arrête un instant, émerveillée par le décor. — Wow… c'est encore mieux que ce que j'imaginais. Je me retourne vers Ludovic, qui est en train de sortir nos sacs du coffre, et je sens cette vague de bonheur m'envahir. L'idée de passer un week-end avec lui, dans un endroit aussi magique, loin de nos vies trépidantes, me remplit de joie. Je dépose les clés sur la table en bois à l’entrée et me précipite pour l’aider avec les sacs. — Tu sais que je ne vais pas te laisser tout porter, hein ? je dis en riant, prenant l'un des sacs pour le poser à l’intérieur. Une fois tout déposé, je jette un coup d’œil autour de nous. — Alors, tu veux qu'on fasse quoi en premier ? Une balade autour du lac ? Ou peut-être qu’on devrait se détendre dans le jacuzzi ? Je lui lance un regard complice, déjà impatiente de profiter pleinement de ce petit coin de paradis.

Je suis content du choix de la cabane, car parfois, ça ne ressemble pas à ce qu'on peut voir sur les photos. Là, elle est juste parfaite ; luxueuse et rustique à la fois pour ce côté nature de la forêt. Nous sommes dans un lieu calme, entourés par la forêt et son lac qui se trouve devant nous. Que rêver de mieux, pour ce week-end qui se promet calme et apaisant. - Je sais, j'assure toujours, dis-je en lui faisant un clin d'œil. Les clés en mains, je lui laisse le plaisir d'ouvrir la cabane. Pendant ce temps-là, moi je m'occupe des bagages. Je fais le tour de la voiture, puis ouvre le coffre. Je sors un sac, quand Laia est de retour à mes côtés, un grand sourire sur son visage. - Si t'inquiète pas, mes muscles sont fait pour ça, je répond en pliant, pour faire ressortir mon biceps. Je ferme la voiture, puis suis Laia à l'intérieur de la cabane. Le salon est plutôt spacieux, mais ce que je remarque surtout, ce sont les baies vitrées qui donne sur le lac. - Oh woaw, je ne m'y attendais pas !, dis-je en posant le sac. - On marche un petit peu et on profite du jacuzzi ensuite ?, je lui propose en glissant ma main dans la sienne. J'ai hâte de voir un peu les alentours, mais vu le froid qu'il fait, j'ai tout aussi hâte de me retrouver dans le jacuzzi pour me réchauffer et me détendre.

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@Ludovic Halstead — Je ris doucement en voyant Ludovic jouer les hommes forts, mettant en valeur ses muscles. Il sait toujours comment me faire sourire. Mais quand nous entrons dans la cabane, c’est un tout autre spectacle qui s’offre à nous. La vue depuis les baies vitrées est à couper le souffle. Le lac scintille sous la lumière du jour, et la forêt qui l’entoure semble si calme, presque magique. Je reste un instant immobile, captivée par la beauté du paysage. Je glisse mes doigts entre les siens. L’endroit est parfait. Je sens déjà que ce week-end va être l'évasion dont nous avions tous les deux besoin. Rien que nous, la nature, et tout le temps pour profiter. Quand il me propose de marcher un peu avant de se glisser dans le jacuzzi, je sens un frisson d’excitation me parcourir. — C'est une proposition parfaite, je réponds, serrant doucement sa main dans la mienne. Je prends un moment pour savourer ce moment, profitant de la chaleur de sa main et de la tranquillité qui règne dans la cabane. — Mais tu sais, je crois que le jacuzzi va devenir ma partie préférée du week-end, je dis en riant légèrement, en pensant à la promesse de détente qui nous attend. Je me tourne vers lui, un sourire tendre aux lèvres. Je l'embrasse tendrement et je prends mon sac et le dépose dans la chambre, où un grand lit en bois rustique trône au milieu de la pièce. La lumière naturelle qui traverse la fenêtre ajoute une touche de chaleur à l’atmosphère. Tout est si paisible, si loin de la vie trépidante de Boston. Je reviens vers Ludovic, un sourire encore plus grand sur le visage. — Alors on y va ? je demande, me sentant déjà impatiente de découvrir les environs avec lui. L’idée de passer ce temps ensemble, loin de tout, me remplit d’une joie que je n’avais pas ressentie depuis longtemps.

Je m'avance vers la baie vitrée qui est immense mais surtout, qui donne vu sur le lac. Le soleil brille sur l'eau, à m'en éblouir. C'est magnifique, ça fait une réelle coupure avec Boston que je connais depuis ma naissance. Je souris quand elle accepte ma proposition, mêlant nos doigts entre eux. Une petite marche, avant le jacuzzi nous fera le plus grand bien. - Ahh oui et pourquoi ça ?, je lui demande, en la rapprochant de moi. Elle réveille ma curiosité, je me dois donc de la questionner. Je prolonge un peu son baiser, puis la suis jusqu'à la chambre avec mon sac. Je ne compte pas faire chambre à part, bien au contraire. Le lit est en bois, en plein milieu de la chambre. Vraiment, le lieu est encore plus beau en vrai qu'en photos. - Oui, allons-y !, dis-je tout en quittant la chambre. Nous quittons la cabane, pour nous rendre sur le lac. Les graviers craquent sous nos pas, tandis que l'air frais caressent nos joues. - Il fait bon, mais on sent quand même qu'on est plus en été, je ris en passant mon bras autour de ses épaules.      

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@Ludovic Halstead — La vue du lac est tout simplement à couper le souffle. L'eau scintille sous les rayons du soleil, et l'air frais qui nous entoure est vivifiant. C'est une coupure bienvenue, loin de l'agitation de Boston, et je sens déjà mon esprit se détendre dans ce cadre apaisant. Quand Ludovic me demande pourquoi le jacuzzi va être ma partie préférée, je ris doucement, me rapprochant un peu plus de lui. — Disons que… se détendre dans l’eau chaude avec cette vue imprenable et toi à mes côtés… ça me paraît être le combo parfait, je réponds en souriant, un éclat malicieux dans les yeux. — Sans parler du fait que je suis à 50% colombienne et que j'ai tendance à vite avoir froid. Le baiser qu'il prolonge me fait frissonner, et je savoure encore plus cette proximité. Tout est simple entre nous, et c’est ce qui rend chaque instant encore plus agréable. Je le suis ensuite jusqu’à la chambre, déposant nos affaires, et je ne peux m’empêcher d’être émerveillée par le charme rustique du lieu. Ce week-end promet d'être exactement ce dont nous avions besoin. Lorsque nous sortons pour aller marcher autour du lac, je sens l'air frais caresser doucement mes joues. Le craquement des graviers sous nos pas, le bruit léger du vent dans les arbres, tout est si calme, si paisible. Le bras de Ludovic passe autour de mes épaules, et je me blottis contre lui, appréciant la chaleur de son corps contrastant avec l'air frais. — On est vraiment bien ici. C’est tout ce que j’avais imaginé… et encore plus.

Laia sait déjà que sa partie préférée du week-end, sera celle du jacuzzi, ce qui a le don d'éveiller ma curiosité. - Imagine si à ce moment-là, on a la chance de voir un orque au loin, ça serait encore plus beau je trouve. - Ahhh donc en plus de ça, je devrais te réchauffer c'est bien ça ?, je lui demande, un sourire au coin des lèvres. Nos sacs dans la chambre, nous quittons très rapidement la cabane pour nous retrouver à l'extérieur et profiter du lac. Il est grand, immense même. Au loin, on peut voir des gens faire du kayak, mais aussi des bateaux. Sûrement des touristes qui espèrent voir des animaux. Mon bras autour de ses épaules, nous marchons le long de l'eau. - C'est beau et on est en bonne compagnie, que demander de plus ?, dis-je en la serrant un peu plus contre moi. Nous savourons le moment, marchant quelques minutes en écoutant le chant des oiseaux qui sont dans les arbres. - Attends, je crois que j'ai vu un truc, dis-je en l'arrêtant pour faire face au lac. - Si ! Là, regarde attends, dis-je un peu trop excité, après avoir vu l'aileron d'un orque.

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@Ludovic Halstead — Ludovic me serre un peu plus contre lui, et je me sens complètement en paix dans ce moment. La vue est sublime, le lac immense, et la fraîcheur de l’air ajoute à cette ambiance automnale qui me plaît tant. Ses paroles me font sourire. — Oui, un orque pendant qu’on est dans le jacuzzi... ce serait la cerise sur le gâteau, je réponds, amusée par cette idée magique. Lorsque Ludovic me taquine sur le fait de devoir me réchauffer, je ris doucement en le regardant. — Tu as tout compris. Je compte bien sur toi pour ça, je murmure, levant les yeux vers lui, un sourire joueur aux lèvres. Nous continuons à marcher tranquillement le long du lac, profitant du calme et de la beauté environnante. C'est rare de pouvoir s'évader ainsi, et je savoure chaque seconde de cette déconnexion. Tout est parfait — la nature, l’atmosphère, et surtout Ludovic à mes côtés. Puis, soudain, il s'arrête net, me faisant faire de même. Je le regarde, surprise, et lorsqu'il me dit qu'il a vu quelque chose, je me tourne immédiatement vers le lac. Mon cœur bat un peu plus vite alors que je scrute l'eau, essayant de repérer ce qu’il a vu. — Quoi ? Où ça ? je demande, la curiosité piquée. Puis je le vois. L'aileron, si caractéristique, fend la surface de l'eau avec grâce. Mon cœur s'emballe, et je sens une vague d'excitation monter en moi. — Oh mon dieu ! Tu as raison, regarde ! je m’exclame, ma voix à peine contrôlée par l’émerveillement. C’est un moment presque irréel. Voir un orque dans son habitat naturel, ici, au milieu de cette nature sauvage… C'est exactement ce que j'espérais en venant ici. Je me tourne vers Ludovic, les yeux brillants d'excitation. — C'est incroyable ! je murmure, mes doigts se serrant légèrement autour de son bras, comme pour m’assurer que tout ça est bien réel. Nous restons là, immobiles, à contempler cette scène magique. Le monde semble s’être arrêté, et je me sens incroyablement chanceuse de vivre ce moment avec lui.

La vue est splendide, j'aime voir la nature ainsi. C'est calme et reposant, en plus nous sommes loin des bruits de moteur qu'on peut entendre dans la rue. - Croisons les doigts, dis-je en menant le geste à la parole. - Je vais prendre mon rôle à cœur,  je ris quand elle me confirme qu'elle souhaite que je la réchauffe, quand elle aura froid. Nous continuons notre balade, profitant de la chaleur du soleil qui caresse mon visage. Je pourrais rester ici pendant des heures, ne pas rentrer à Boston. Soudain, j'entend du bruit au loin. Il me semble voir le jet d'un souffle, alors je nous arrête et préviens Laia. Un aileron sort de l'eau, ce qui me rend tout fou. - Là-bas au loin, vers le kayal rouge, dis-je en pointant le doigt vers cette direction. Je fais machinalement le geste de sortir mon appareil photo, sauf que je l'ai laissé dans mon sac. Mince, il va falloir que je garde le tout dans ma mémoire. - C'est magnifique oui !, dis-je tandis que l'orque ressort une nouvelle fois. - Hey, n'oublies pas de revenir au jacuzzi !, je cris comme s'il pouvait me comprendre. Tant qu'à faire, qu'il revienne plus tard, non ?. Hélas, on ne peut pas savoir. On a déjà de la chance qu'il soit là entrain de nager sous nos yeux, même si il est loin.

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@Ludovic Halstead — Ludovic est comme un enfant, excité par la vue de l'aileron, et cela me fait sourire encore plus. Voir cet orque en pleine nature, si majestueux, c’est un spectacle incroyable. Je suis fascinée par la scène qui se déroule sous nos yeux, et même si l’orque est loin, cela n’enlève rien à la magie du moment. Je ris doucement en entendant Ludovic crier à l’orque de revenir plus tard au jacuzzi. — J'espère qu'il va t'écouter, Je me blottis un peu plus contre lui, mes doigts serrant doucement les siens, profitant de cet instant unique. — Je crois que je vais garder cette image en tête pour toujours, je murmure, mes yeux brillant d’émerveillement. — C’est si rare de voir quelque chose d’aussi beau, et encore plus de pouvoir partager ça avec quelqu'un d'aussi beau. Je me tourne vers Ludovic, un sourire tendre sur les lèvres. Nous restons là, debout, à observer l’aileron qui s’éloigne lentement. Le silence de la nature, le bruit léger de l’eau, tout contribue à rendre cet instant parfait. — C’est exactement ce dont j'avais besoin, je souffle doucement, savourant la tranquillité et la proximité avec lui.