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See you at twilight ★ ─
w/ @Yennefer Bruckheimer
Mark était assis sur le bord de son lit où Bisou ronflait avec bonheur. C’était une sensation merveilleuse de voir ce chien qui avait passé plus d’un an en refuge si confortable et heureux, cherchant tout le temps la main de son nouveau maître pour avoir les papouilles qui lui avaient si longtemps manqué.
Son chili con carne était prêt, sur la gazinière, il n’y aurait plus qu’à le réchauffer lorsqu’ils auraient faim. Il ne savait pas vraiment ce qu’elle buvait donc avait mis un peu de tout au frigo : des bières, du vin, des softs,… Il était un peu nerveux. Normalement, quand il allait chez des filles ou que des (rares) filles venaient chez lui, il ne se passait pas grand-chose avant de passer au lit. Mais ici, il ne savait pas quelles étaient les attentes de la belle ?
Il espérait seulement que tout se mettrait en place lorsqu’elle arriverait. Qu’il ne se poserait plus de question. Comme ils allaient près de la route, Mark mit une laisse à Bisou avant de prendre sa canne, sur laquelle il s’appuyait beaucoup plus lourdement que la veille. Il avait vraiment forcé. Il était bientôt 18h et il alla s’assoir sur le grand rocher au bord de la route au troisième virage de la route qui traversait la réserve. Bisou était venue s’allonger à ses pieds, sa truffe posée sur son pied comme si elle avait peur de s’endormir et qu’il disparaisse. Probablement ce que son propriétaire précédent avait fait ?
Son cœur battait fort. Il avait eu beau essayer de tailler un peu sa barbe et de se coiffer, il avait l’impression d’avoir la pire des mines. Quant à ses fringues, il ne s’était pas pris la tête et avait mis un jeans et un pull gris. On avait beau approcher du printemps, il faisait pas encore très chaud. Heureusement que son petit chauffage tournait à fond. Plus tard, il ferait peut-être un feu de camp devant, si ils avaient envie de traîner un peu dehors.
En attendant, il ne put s’empêcher de laisser divaguer sa pensée à… et si elle ne venait pas ? Peut-être changerait-elle d’avis ? Il avait déjà été la source d’une engueulade avec son meilleur pote. Ce soir, elle dormirait chez son père. Sa maladie l’aliénait déjà assez sans qu’il ait besoin d’en rajouter dans l’équation. Il fit un peu la moue en passant sa main sur son visage. C’était lui l’adulte, c’était à lui de se comporter comme tel ; il ne pouvait pas que penser à ses envies à lui, il devait aussi penser à ce qui était bon pour elle. Mais le savait il vraiment ?
Son chili con carne était prêt, sur la gazinière, il n’y aurait plus qu’à le réchauffer lorsqu’ils auraient faim. Il ne savait pas vraiment ce qu’elle buvait donc avait mis un peu de tout au frigo : des bières, du vin, des softs,… Il était un peu nerveux. Normalement, quand il allait chez des filles ou que des (rares) filles venaient chez lui, il ne se passait pas grand-chose avant de passer au lit. Mais ici, il ne savait pas quelles étaient les attentes de la belle ?
Il espérait seulement que tout se mettrait en place lorsqu’elle arriverait. Qu’il ne se poserait plus de question. Comme ils allaient près de la route, Mark mit une laisse à Bisou avant de prendre sa canne, sur laquelle il s’appuyait beaucoup plus lourdement que la veille. Il avait vraiment forcé. Il était bientôt 18h et il alla s’assoir sur le grand rocher au bord de la route au troisième virage de la route qui traversait la réserve. Bisou était venue s’allonger à ses pieds, sa truffe posée sur son pied comme si elle avait peur de s’endormir et qu’il disparaisse. Probablement ce que son propriétaire précédent avait fait ?
Son cœur battait fort. Il avait eu beau essayer de tailler un peu sa barbe et de se coiffer, il avait l’impression d’avoir la pire des mines. Quant à ses fringues, il ne s’était pas pris la tête et avait mis un jeans et un pull gris. On avait beau approcher du printemps, il faisait pas encore très chaud. Heureusement que son petit chauffage tournait à fond. Plus tard, il ferait peut-être un feu de camp devant, si ils avaient envie de traîner un peu dehors.
En attendant, il ne put s’empêcher de laisser divaguer sa pensée à… et si elle ne venait pas ? Peut-être changerait-elle d’avis ? Il avait déjà été la source d’une engueulade avec son meilleur pote. Ce soir, elle dormirait chez son père. Sa maladie l’aliénait déjà assez sans qu’il ait besoin d’en rajouter dans l’équation. Il fit un peu la moue en passant sa main sur son visage. C’était lui l’adulte, c’était à lui de se comporter comme tel ; il ne pouvait pas que penser à ses envies à lui, il devait aussi penser à ce qui était bon pour elle. Mais le savait il vraiment ?
credits img/gif: tumblr
code by lumos s.
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