red line, arrêt park street ► spectateurs et soutien

Enfin, il arrive, il était temps, mais soudainement un bruit sourd se fait attendre. Je m’avance pour regarder, rien à part une odeur de brûlé et quelques flammes. Bon voilà, je n'alliais sûrement pas aller au match. J’allais bien voir la suite, j’espérais que cela n’était pas trop grave. J’étais légèrement paniqué d’un coup, j’espérais qu’il avait personne que je connais dans ce train. Même a cela, c’était vraiment pas bien pour les autres, si j'aurais plus les aider, je l’aurais fait. Je fit alors des vas et viens, la, je ne savais plus quoi faire maintenant. Pris de colère, je crie aussitôt pour ensuite me faire mal a ma cicatrice dans mon dos avec ma main. J’étais terriblement en colère d’un coup, j’espérais que ce n’était pas le train de quelques-uns de mes collègues qui se rendait là-bas, qui a supposément frappé l’autre train. Je viens aussitôt me mettre à genoux au sol contre un mur. Je fonds aussitôt en larmes tout cela me rappelles de bien mauvais souvenirs.

Tu es content lorsque tu vois ta meilleure amie arriver vers toi. Et évidement, tu la serres dans tes bras, comme à chaque fois. " Moi ça fatigué ? Je ne vois pas du tout à quoi tu fais référence. " dis-tu juste avant de bailler. " Oui, c'est super ce qu'on a fait, mais Asia voulait faire quelques dernières petites retouches " Ce qui est normal en soi, après tout c'est la maman et elle va passer beaucoup de temps dans cette chambre. Lorsque tout à coup, tu entends ton prénom. Relevant les yeux pour voir qui t'appelles, tu aperçois Scarlett non loin. " Hey Salut ! " tu ajoutes accompagné d'un signe de main, tout juste avant de te concentrer sur ton amie. " Sinon... toi qu'est-ce que tu fais.... " Tu n'as pas eu le temps de terminer ta phrase qu'un long cri strident se fait entendre au loin. " Wô c'est quoi ? " Et des bruits encore plus inquiétants s'ensuive. T'es comme paralysé, impossible de faire quoi que ce soit.

@Peyton Lodges @Scarlett R.-Strudwick

On s'est donné rendez-vous avec Aidan. Pas un rencard hein, oh non, surement pas haha. Monsieur avait râlé car j'avais passé la soirée avec ma meilleure amie plutôt que lui. Et en plus, on s'est bien éclatée. Ben quoi ? Cela fait du bien de temps en temps de se retrouver entre gonzesses. Et tandis que j'entendais le métro au loin arriver, un autre bruit, horrible, celui de la mort vient me percuter les oreilles et j'assiste de loin à l'horreur de la scène qu'on ne pense voir que dans les films...

(( IN ))

sourire aux lèvres, tu ranges ton téléphone dans ton sac à main... t'attends l'arrivée du métro. celui où reyna se trouve. une journée entre 'mère et fille'. des journées que tu chéris tant depuis des années. avant de vous considérer plus comme mère/fille, vous étiez surtout pour l'une et l'autre, une soeur. et puis plus t'as grandis, plus t'as eu envie de responsabilités. et ça a commencé par, devenir la tutrice légale de reyna. reyna, c'est ton bébé, celle qui te rend fière de toi même. son éducation, c'est en partie toi qui l'a faite ces dernières années. donc ouais, t'es fière. l'attente commençait à se faire longue... jusqu'à ce qu'un bruit d'explosion provenant du tunnel retentit... bruit sourd. puis de la fumée... et la panique, des cris d'horreur, de terreur provenant de ce fameux tunnel et provoque la panique instantanée sur le quai du métro. t'es figée sur place quelques secondes, puis panique à tour, courant à droite à gauche, jusqu'à ce que t'aperçoive @Daryl Nicholson, ton collège. t'accours vers lui, poussant quelques personnes violemment sans t'en rendre compte... - DARYL ! - t'attrape sa manche au vol, tire dessus. détresse qui se lit dans tes yeux, qui transforme ta voix d'un naturel doux... - ya... ya ma fille dans ce métro Daryl... ! tu sais ce qui se passe ? - paniquée, tu te rends pas compte qu'il est là comme toi et qu'il n'en sait peut-être pas plus, mais t'as peur.

@reyna weiss comme ça tu vois bb
@Daryl Nicholson

J'étais ce type de gars qui aimait pas tellement attendre. J'étais impatient de prendre le métro, surtout que je n'avais pas l'habitude de prendre ce transport en commun. Une rousse (@Scarlett R.-Strudwick ) à côté de moi me prévenait qu'il arrivait bientôt. « Il y a probablement un problème avec une des voies. » répondais-je en la regardant brièvement. Ils pouvaient fermer une voie pour des problèmes mécaniques, c'était chose courante d'après ce que j'avais lu dans les journaux. Puis, un bruit sourd se faisait entendre qui provenait des tunnels. Je laissais tomber mon bras le long de mon corps, fronçant les sourcils alors que je regardais les autres personnes présentes. Certains commençaient à paniquer, se jetant de gauche à droite sans trop savoir où aller. J'apercevais une jeune fille ( @Jules Abernathy ) qui se penchait un peu trop vers l'avant pour tenter de distinguer quelque chose. Immédiatement, j'attrapais son bras pour la tirer vers l'arrière. « J'te conseillerais de rester loin des rails. » disais-je, en guise de réponse sur l'odeur de brûler. En même temps, avec tous ces agitations elle aurait pu se faire bousculer et tomber.  

IN

Tout était arrivé si vite que je n'avais pas eu le temps de vraiment réalisé. J'avais attrapé ma moto pour essayer de joindre l'endroit que Mark m'avait indiqué et où devait se trouver Katja. Mais la circulation était tellement dense qu'on ne pouvait même pas avancer en moto. J'avais fini par laissé cette dernière sur le bas côté avant de rejoindre la zone à pied. Un flux de personne semblait sortir de la station tandis que je pris le contre pied de la situation. La zone n'était pas bloquée... Pas encore. Jouant des coudes, je me fis un chemin à travers la marée pour arriver jusqu'au quai. La panique accentuait mon mauvais pressentiment... Une fois en bas, je m'approchais de la foule observatrice, espérant en savoir plus sur la situation.

IN
3h45 de route, c'était la distance entre New-York et Boston. Charly, il était partit hier avec les déménageurs, sans le dire à Carter. Charly, il était trop énervé pour rester calmement à New-York et attendre vendredi. Aujourd'hui. Jeudi soir, la maison était aménagée principalement. Il y avait pensé des heures, jusqu'à aujourd'hui. Jusqu'à savoir l'horaire de journée de sa fiancée pour l'attendre là, sur le quai de gare, à son arrêt. Mains dans les poches, il observe ce qui l'entoure légèrement nerveux de revoir Carter après une longue semaine, après la grande nouvelle. Un bruit strident fait crispé les muscles du blond, sourcils qui s'froncent. Les cils battent longuement, attendant que le bout du métro sorte du couloir, rien. Une jeune femme (( @Jules Abernathy )) se penche légèrement au-dessus des rails, un homme vient la tirer pour qu'elle revienne sur le quai. Les gens s'bousculent, la panique les gagnent. Les gens crient et Charly, il respire pour voir s'ils ont raisons de dire que ça sent le cramer. o u i . Est-ce que c'est le métro de Carter ? Le silence se fait, Charly il enfonce les mains dans ses poches, penche la tête vers ses pieds. Il tente de garder une respiration normal, remonte les yeux vers la personne à sa droite "c'quoi l'nom de la dernière gare ?" Parce que Charly, il va s'y rendre via la route il s'en fou. Mais les gens paniquent visiblement, Charly, il parle dans l'vide.

ça se bouscule sur le quai, les curieux qui cherchent à comprendre, les fuyards qui déjà, ont compris qu'ils n'auraient jamais leur train. sauf que juliette, elle se doute qu'on est pas dans le classique problème de transport. y a quelque chose qui va pas dans tout ça, et c'est alors qu'elle semble distinguer des flammes au milieu de la fumée qui émane des tunnels, qu'un homme ( @Zakhar Kovalevski ) la tire en arrière, l'éloigne des rails. poupée qui se dégage délicatement, sourcils froncés, puis regarde autour d'eux. il n'a pas tord, elle pourrait facilement faire une mauvaise chute. « ouais.. » qu'elle murmure simplement, avant de reporter son attention sur un blond ( @charly a. standall ) qui demande quel est le nom du dernier arrêt avant celui-là. « Charles/MGH. » qu'elle répond simplement en tournant les opales vers lui, les yeux bruns qui dévient et s'arrêtent sur un jeune qui, tout excité, filme la cohue en se vantant auprès de ses copains de pouvoir le poster sur instagram. pathétique. et elle donne un coup dans le portable, la gamine. regarde l'objet rebondir sur le quai pour tomber sur les rails, haussement de sourcils devant les protestations, les cris et les insultes à son encontre. « c'est dangereux de rester au bord des rails, j'y peux rien. » qu'elle dit simplement, la brune. enfonce les mains dans les poches de sa veste pour se tourner vers les marches qui mènent à la sortie. « ils attendent quoi pour intervenir ? »

Charly, il tente de rester calme. De ne pas paniquer. Mais, il demande à l'inconnu non loin qui ne répond pas. À la place c'est celle qui était penchée au-dessus du quai un peu plus tôt (( @Jules Abernathy )). "Merci." Il pivote pour prendre la sortie quand il entend quelqu'un parler de flamme. Là, Charly il n'arrive plus à calmer son coeur de débattre dans son thorax. Il s'arrête, bat des cils. Carter est dans un des wagons. Sa respiration s'active. Donc si des flammes ont été vues, c'est qu'aller à l'autre quai ne sert à rien. Le métro est dans le tunnel, le dernier bout qui menait à ce quai-ci. Charly, dans un coup d'panique il attrape le bras de la brune qui s'dirigeait vers la sortie "attendez ! Mademoiselle.." L'inquiétude qui s'lit très bien dans les prunelles dorés du blond ; "est-ce qu'il y a un moyen d'accéder à cette partie-là du tunnel ?" La question est sérieuse, trop sérieuse. Charly, il va y accéder coûte que coûte.

Traînant sur les réseaux sociaux, tu viens à l'instant de voir que ton mec a posté une photo de lui dans le métro, accompagné de son amie Cornelia. Un sourire vient alors prendre place sur tes lèvres alors que tu lui envoies rapidement un message. "amuses-toi bien mon amour" et tu continues de faire un peu ta fouine. Tu n'as pas reçu de retour, mais tu te doutes bien qu'il ne doit pas capter du réseau dans le métro. Ce n'est que lorsque t'entends ce bruit assourdissant que tu daignes lever le visage. Tout le monde se bousculent pour se rapprocher des rails, sourcil dressé vers le haut, tu ne comprends rien à ce qui se passe. T'entends cependant quelques personnes crier et les propos alarmants qui sortent de leurs bouches, attirent ton attention. Tu paniques déjà sans vraiment en connaître la raison. Ce n'est que lorsque toi aussi tu te frayes un chemin vers les rails, que tu constates l'ampleur des dégâts. Tes yeux s'écarquillent, ta mâchoire pend et sous le choc, tu sembles t'accrocher à une personne pour ne pas flancher. Tu vois clairement quelques flammes danser à travers cette fumée. orion, leilah, cornelia... Garde ton calme Chanel, si ça se trouve, ils n'ont rien. « Mais merde ils attendent quoi les secours ! » cri que tu ne peux contrôler. Faut juste pas que tu craques maintenant, faut juste pas que tu t'imagines les pires scénarios possibles. Tu inspires, expires. T'as le cœur qui bat tellement vite, que t'arrives plus à tenir en place, une part de toi voudrait laisser tes jambes courir jusqu'à eux et t'assurer qu'ils vont bien, mais une autre t'interdit au risque d'empirer la situation et de faire quelque chose d'irréfléchi... Tu pries alors de toutes tes forces pour que rien ne leur soit arrivé...