TOPIC DE GROUPE ► Bal de Thanksgiving

Si on me voyait on verrai de la fumé sortir de mes narines avec des joues toutes rouges, comme un taureau dans un mauvais dessin animés. Quel connard pensais-je, heureusement je m'étais retenus de ne pas lui en retourner une. En sortant des toilettes je levais la tête pour retrouver Capucine, mais pas moyen de la trouver. Tant mieux, une clope puis direction le bars, il me fallait un remontant. Je traversais la salle d'un pas rapide afin d'obtenir un verre de scotch un truc bien fort. La salle était bondée, un certain nombres de personnes étaient installés au bar,je demandais au serveur de me servir. Avant de tourner la tête et de voir une chose surprenante une dinde. Qu'est ce que pouvait bien foutre une dinde ici?? Ca sent le pari à plein nez. Mais ça me redonnais un peu le sourire. Je prenais mon verre pour me rendre au côté de cette belle dinde, elle semblait manquer d'accompagnement, s'il fallait je m'occuperai de faire la farce. Un p'tit peu de bouillon, pour vous accompagner La situation était tellement improbable que j'en oubliais Wayland.

@Mala Tenenbaum

Tu regrettais pas d'avoir fais venir ta nouvelle grande copine à ce bal. Ouais, nouvelle grande copine. En ce moment, vous êtes presque comme cul et chemise vous deux et franchement, t'apprécies beaucoup sa présence dans ta vie pour vouloir que ça change. Marla, t'aime trop la taquiner, lui faire rougir ses petites joues et la faire glousser. Pas que d'ailleurs... mais bon, passons. Ce qui est bien, c'est qu'au moins depuis votre nuit ensemble, ça n'a rien changé. Non pas qu'elle aurait pu s'attacher ou quoi, pas dans ce ce sens... mais peut-être installer un malaise, une gêne... non même pas et tu trouves ça cool. Vous ne faites même pas comme ci rien ne s'était passé. Bref, c'est le top pour toi et t'as vraiment envie que ça dure. Autant que vos petits ébats. Alors ouais, tu la veux ta petite lettre. Tu lui a dis bien trop de mots mignons pour ne rien vouloir en retour hein. Et là, quand elle balaye la salle du regard, tu lui demandes, sourire aux lèvres si elle chercherait pas son grand brun, tellement elle est éprise de ce type. Sauf que c'était surtout plus une boutade qu'autre chose. Tu suis son regard quand tu vois sa mine se décomposer. Le grand brun il est là et il est un peu - beaucoup - trop proche d'une petite brune, trop mignonne ceci dit. Et là, t'es figé. Non pas que ça te fasses quelque chose à toi aussi, parce que t'es ni amoureux de la petite brune ni de miles... mais t'es plutôt dégoûté pour ta petite marla - ah bah... il... est là. - que tu dis sourire pincé, ricanant légèrement jaune, tentant de détendre l'atmosphère, mais ouais non elle a pas envie de rire et s'excuse en partant à l'extérieur prenant au passage un petit verre. Et toi, évidemment, tu peux pas la laisser seule dans cet état... tu préfère la suivre, voulant t'assurer qu'elle ne fasse rien de grave ou même qu'elle sache que t'es là pour elle et au pire, si elle veut rester seul, tu reviendras à l'intérieur. Et une fois dehors, tu te places à côté d'elle - Tu veux que j'te ramènes chez toi ? - Tu sais pas trop quoi dire dans ces situations là. Compliqué. Surtout sachant à quel point elle aime ce mec et à quel point tu sais que rien ne pourra apaiser sa peine à cet instant.

@Marla Witherspoon

( Tenue de dinde ) Tu étais tranquillement au bar entrain d'essayé de boir ton verre, tu dis bien essayé car tu n'avais pas pensé une seule seconde qu'avec tes cuisses de dinde tu n'allais pas réussir a porter ton verre à tes lèvres. Autant quand tu avais accepté le pari, tu t'étais dit que même perdante ce serait drôle mais en faite c'était plus chiant qu'autre chose. Déjà pour te déplacé c'est une horreur mais pour boire, tu ne peu carrément pas, d'ailleurs ton verre se renversa sur ton costume alors que tu essayais de le boire. « Putain mais qu'elle connerie ?! » pestas tu. Si tu pouvais même pas te saouler pour oublier la gênance ça allait être compliqué. Quelqu'un se posta pas loin de toi et te regardait avec une légère insistance. Tu te tournas vers lui de tout ton corps car juste la tête c'était salement compliqué. Il te proposa un bouillon surement en référence au costume. «  Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée, je ne sais pas me servir de mes pattes ! Mon premier verre c'est renversé. » Tu baisses les yeux vers ton corps , la trace ne se voyais pas trop mais ça collait. « Par contre si tu arrives a assembler trois pailles ensembles, je veux bien prendre un vers avec toi. » où alors ce serais une nouvelle catastrophe. « Mala enchanté ! » Tu lui tendis la main mais tu fis tomber deux verres qui se trouvaient sur le bar vers l'intérieur. «Oups ! Je suis une dinde maladroite.  » Tu gloussas légèrement, valait mieux rire que pleurer.  

@Lukas O. Spritz

IN

Tu souffles une dernière fois, écrase le mégot sous ton talon. Fumer te détend et t'as bien besoin de te détendre. T'as contacté Tiago plus tôt dans la journée, la première fois depuis bientôt deux ans. Très longue absence, beaucoup trop longue mais nécessaire. T'avais besoin de réparer ton coeur, rassembler ce qu'il te restait, essayer de rendre le tout harmonieux, cacher les pièces manquantes, celle que tu lui as donné et que tu ne reprendras jamais. Il ne te les rendra jamais. Mais t'en as pas besoin, tu veux t'en persuader et Tiago va t'aider. Tu commences à grelotter. Il faut dire que t'as pas choisi la robe la plus couvrante non plus. Trois pas et t'es de retour à l'intérieur, chauffé par les corps dansants. T'en cherches un en particulier et tu ne tardes pas à le trouver. Arrête de réfléchir Eddie. T'avances, dix secondes plus tard tu te retrouves à côté de Tiago. Tu souris. Étrange mélange de joie et d'anxiété. T'as peur qu'il ait changé, peur qu'il ne veuille pas de toi. "Salut." Tu sais pas si il t'entend avec la musique mais t'hausses pas le ton. Il se rapprochera plus près de toi. "Je suis vraiment contente que tu sois venu. Ça fait tellement longtemps." Trop longtemps. T'aurais dû le contacter plus tôt. Tu commences à culpabiliser. "Pas de cavalière pour ce soir ?" Tu préfères pas, t'as jamais été très partageuse.

@Tiago Olsen

Quelques heures auparavant tu as reçu un message de Eddie. Tu comprends pas pourquoi elle fait de nouveau surface mais tu ne peux pas ne pas voir de quoi il en retourne. Tu n'as rien a perdre dans cette histoire. Elle arrive avec un grand sourire alors tu lui réponds avec le même. salut la revenante. en effet tu lui fais savoir que cela fait un moment que tu n'as pas eu de ses nouvelles. Vous avez flirtez longtemps ensemble même si tu savais qu'elle était en couple et du jour au lendemain, tu n'as plus eu de nouvelles. Très longtemps, deux ans. que tu précises. En deux ans rien n'a changé dans ta vie, tu es toujours un homme célibataire sans attaches. Tu te plais a te dire que tu es un électron libre. Pas de cavalière. Dans ces soirées je préfère venir seul. et puis tu regardes a droite a gauche histoire de voir si quelqu'un semble l'attendre. et toi un cavalier peut être Adriel? cette question n'est pas innocente tu veux savoir où elle en est et pourquoi elle t'as envoyé un SMS.
@Eddie Mayle

dans cette mascarade qu'ils jouent tous les deux, elle a presque envie de se perdre, juliette, de se dire qu'y a un peu de vrai ici ce soir. dans les regards qu'ils s'échangent, dans les plaisanteries qui glissent, mais couvrent un fond de possessivité, de jalousie. « je préfère quand tu me glisse un ou deux mots à moi. » sourcils qui se haussent, regard fixe, la gosse se veut féline, enterre les pensées noires derrière une nouvelle pièce de théâtre. s'accroche à la veste, son diable s'est mis sur son 31. mains qui retombent le long de son corps frêle, elle hausse une épaule, lippes qui se soulèvent en un sourire bref. « t'as l'air de croire que c'est aussi facile que ça. » et peut-être que ça l'est, au fond. peut-être que ce soir, quand les paillettes retomberont et que les lumières s'éteindront, elle se faufilera sous ses draps, au creux de ses bras. puis y a la question qui se pose, alors qu'il balaye l'assemblée, celle gardée sous silence jusque maintenant parce qu'elle avait jamais besoin d'être soulevée. jules, elle s'éloigne de l'entrée, à reculons, toujours sans lui tourner le dos, jamais. « comment est-ce que tu veux que je te présente ? » quel mot poser sur ce "nous" qui s'est créé malgré eux sur la plage ? « colocataire ? ami ? » tête penchée sur le côté, évasive, elle demande un peu plus bas, un brin timide « autre chose ? » qu'il demande, adriel, et juliette, elle obéit.

@Adriel Worthington

"Tu mérites ses fleurs Rosie, je ne reviendrais pas sur ce qui c'est passer, car effectivement, je suis au courant, mais j'aurais aimer le savoir de toi et pas de quelqu'un d'autre. Enfin oublions et passons une agréable soirée ensemble."

Je vois son ex essayer de la rendre jalouse, de la regarder et au même moment je l'embrasse sur la joue. Je souris en voyant que ça l'agace et le voir tourner la tête. Je reste près d'elle et regarde autour de moi la décoration en plus approfondis.

"Ils ont bien travailler pour la décoration, vraiment magnifique. Et il faut dire que tu embellit la pièce. Dis moi tu voudras bien danser avec moi si tu veux bien? Au fait question, je sais que ça me regarde sûrement pas, mais pourquoi tu es venu aux urgences? Tu vas bien? Tu n'es pas malade?"

Je la regarde inquiet, car oui je l'ai vu quitter les urgences, pendant que j'y étais pour me rendre a faire les visites tranquillement et je dois l'avouer que j'ai peur. Alors si elle a quelque chose, je veux savoir.

Doucement je prends sa main pour lui dire que je suis là si besoin.Et qu'elle peut compter sur moi, c'est toujours comme ça quand tout vas mal, en effet quand je lui prends sa main c'est pour lui montrer que je suis là.

"Je suis peut-être qu'un étudiant, mais je n'ai pas peur, souviens toi pourquoi la peur n'est plus là. Enfin...un psychologue, m'a dit que si jamais j'ai peur un jour, cela pourrait mal se passer, le cerveau est vicieux"

@Rosie Reynolds

Deux ans. Deux ans de pure souffrance et de travail sur toi. T’étais renfermée, aigrie. Heureusement que tu n’as pas contacté Tiago. Tu voulais pas qu’il voit à quel point une seule personne pouvait te détruire de l’intérieur, et de l’extérieur. Les points de suture sur ta lèvre inférieure tu t’en souviens encore. Le temps passe trop vite et t’es pas encore totalement guérie. Tellement pas que quand il prononce son nom tu te raidis instantanément. Toi même t’as pas osé le dire pendant tout ce temps de peur de compromettre ta guérison . Tu secoues vivement la tête. « Pas lui, ne prononce plus son nom, s’il te plaît. » Il est un peu ton vous savez qui. Ressemblances frappantes, le nez en moins. « Je suis venue avec Djamel. Mais je sais pas où il est parti.» Aucune importance. Tu veux juste être avec Tiago. Pas avec un autre, surtout pas avec lui. Tu laisses traîner ton regard sur le blond, pansement malgré lui. « Tu m’as manqué. » Et c’est la vérité.  

@Tiago Olsen

Visiblement elle te répond plutôt rapidement pour de ce qu'il s'agit de Adriel. Et cette réaction tu l'as connais bien, c'est celle d'un ego de femme blessé. Tu en déduis qu'elle n'est plus avec et que cette fois-ci, le terrain est libre. Toutefois tu n'es pas un jouet et encore moins un pansement. Elle est venu avec Djamel, elle a donc un cavalier mais elle t'as envoyé un message. Tu en déduis qu'elle te préfère pour passer du temps, quel chance que tu en es a revendre. Je t'ai manqué ? Ou t'as besoin d'oublier ? Peu importe tu attrapes sa main et l'emmène sur la piste pour commencer a danser tout les deux. Tu m'as manqué aussi. que tu es obliger de l'avouer. Tu as eu bien d'autre femme depuis avec qui tu as jouer au jeu du chat et de la souris mais comme toujours quand le chat à fini de jouer avec la souris, il l'abandonne a son triste sort. Mais Eddie est rester quelques part dans ta tête.
@Eddie Mayle

IN

mais, quand tu plonges dans son regard, est-ce que c'est vraiment elle que tu regardes ? t'aimes à croire que oui, te convaincre que t'as besoin d'elle et de sa douceur qui te ramène en arrière. dangereux placebo. un autre sourire, presque satisfait quand elle délimite son territoire. les mots, t'en as jamais eu trop alors tu préfères les utiliser à bon escient. pour elle. pour refermer le piège. pour vous enfoncer un peu plus dans vos mirages éphémères et peut-être que finalement, ça suffira. parce que ça l'est, jules. facile. évident qu'une fois le rideau tombé, c'est encore elle que tu rejoindras, à pas feutrés jusqu'à venir blanchir ses nuits. toutes ses nuits. y'a ce besoin viscéral d'être ensemble, combler le vide, panser l'absence. faire semblant, un peu. savourer, beaucoup. ta belle s'écarte et t'en loupes pas une miette, t'as le regard qui s'accroche à sa démarche insolente et l'incisive qui se plante dans ta lèvre quand il glisse sur ses courbes déjà familières. divine jules. elle questionne de sa voix faussement innocente mais toi, tu t'en fous. qu'est-ce que tu veux que je sois ? n'importe qui, n'importe quoi. qu'elle te cache ou qu'elle te révèle, tant que tu la possèdes. qu'elle t'appartienne, même dans l'ombre, qu'elle suffise à faire taire les murmures de tes démons. un pas en avant pour te rapprocher du vide. j'peux être n'importe qui, ce soir. ce soir. encore un pas et tes doigts qui viennent chatouiller sa paume, la soulever faire tourner ton jouet sur lui-même. jolie toupie s'en va danser et quand elle s'arrête, tu la ramènes doucement contre toi. tu peux tout être, caméléon trop habitué à inter-changer les masques, brouiller les pistes. murmure entre les mèches, mensonge sur fond d'vérité. ou peut-être que j'veux tout être. mais, la fin restera toujours la même. juliette, sur le carreau.

@Jules Abernathy