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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
La Doyenne
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Le chaos est tel qu'il en est presque beau. C'est comme une fresque de la renaissance, racontant l'un des tournants majeurs de l'Histoire de l'humanité, avec son lot de sang, de corps laissés en suspens, de visages horrifiés, de poussière et de flammes. T'en oublierais presque que c'est ta réalité. Pourtant, t'es bien dans le présent, t'es bien dans ton corps meurtris par la haine de tes congénères, spectatrice de ce qui s'apparente le plus à une scène de guerre. Balayée par le souffle de l'explosion puis par la foule, tu perds chacun de tes repères. Le sifflement dans tes oreilles persiste bien qu'il semble perdre en intensité au fur et à mesure que les secondes passent. Tes sens jusqu'alors atrophiés commencent à se remettre en marche et tu commences à entendre les voix et le fracas. A sentir la fumée et le plasma. A voir l'horreur se dessiner sous tes ambres pour soudainement entrevoir l'écroulement de ton univers tout entier. T'as beau chercher autour de toi, aucun visage ne te semble familier, leurs traits se noient dans ces larmes que tu ne saurais contenir. Tout va beaucoup trop vite. Les gens qui courent, les battements de ton coeur qui résonnent depuis ta poitrine jusqu'à ta tête, tes pensées qui s'assombrissent de même que le ciel au dessus de toi, et t'en viens à imaginer les pires scénarios. Tu l'appelles, tu pries ta bonne étoile, mais elle ne répond pas. Vos mensonges ont déclenché cette colère divine et voici venu le jour de votre jugement. Voici votre enfer. Tu trouverais un peu de réconfort en sachant que Stella ne pourrait pas y assister. T’esquisserais presque un sourire soulagé, acceptant volontiers ton châtiment si tu ne la voyait pas scintiller au loin. Tu reconnaîtrais sa lumière entre mille, surtout dans une telle désolation. Tu te rues vers, elle, tu t'accroches à tes espoirs qu'elle soit saine et sauve, mais ils ne suffisent pas et tes avant bras rencontrent rapidement le bitume maculé. Tu gémis, tu hurles de douleur comme si cette dernière avait jusqu'alors oublié de se manifester. Mais c'est simplement ton corps qui commence à réaliser. Tu tâtonnes autour de toi et tes doigts rencontrent un corps à peine tiède. Penchée au-dessus d'elle, tu effleures la chevelure brune qui recouvres son visage et tu lâches un sanglot. Non loin d'elle se trouve le corps inerte d'un homme de la même carrure que lui, puis celui d'une autre femme, puis toujours plus de monde que tu te refuses d'identifier. Tu ne remarques pas qu'ils ne sont pas habillé de la même façon qu'eux, t'es aveuglée par le sang, les chairs brûlées, les membres sectionnés, les figures déformées par la mort. Et tu pleurs Lucrezia, tu pleurs parce que tu penses les avoir perdu pour de bon cette fois. Tu pleurs car tu penses ne plus jamais pouvoir les aimer ni les détester. Toi qui rêvais de la mort de Cosmo il y a quelques jours seulement, tu désespères que cela soit finalement arrivé. Tes astres sont dans les cieux Lucrezia. Et toi t'es là à délirer, tu ignores l'éclat logé dans ton abdomen et ton carmin qui goûte sur tes genoux écorchés.

@STELLA CAVALERO @COSMO CAVALERO
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : crédit: thv1@tumblr
Faceclaim : kim taehyung
Crédits : midnight---shadow @tumblr (av)
Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 18 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 18 O4O8rlbd_o
RPS en cours :
04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
RPS : 119
Messages : 63647
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Rhys Ackerman
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165819-rhys-ackerman-kim-taehyungRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166603-rhys-ackerman-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t166159-meetsachussets-rackerman
Je n'entendais rien, j'voyais les gens qui criaient, la bouche ouverte, cherchant le moindre gramme d'oxygène pour nourrir mes poumons en détresse. Je tentais de lire les lèvres de toutes les personnes autour de moi, n'arrivant rien à entendre. C'était un sifflement infini qui résonnait dans mes tympans. La détonation a été tellement forte qu'elle m'a niqué mon système auditif. Alors je tentais quand même de chercher mon date, celle qui me faisait un peu trop vibrer. Il fallait que je la retrouve et que je la sauve. Après tout, elle était chinoise, elle aurait du mal à s'y retrouver parmi tous les américains en pleine panique. Et finalement, après avoir avancé à cloche-pied, je la retrouvais. Elle était là, à moitié ensevelie sous les débris de la cabine de la grande roue. Putain. Et elle me parlait, je tentais de lire sur ses lèvres avant que finalement, le son arrive enfin, un peu lointain. J'avais encore du mal à entendre mais j'arrivais à lire le mot “jambe” sur ses lèvres. « TES JAMBES ? » Désolé de crier, je fais pas gaffe. Je tentais alors de retirer tout ce qui se trouvait sur elle, mais c'était trop lourd. C'était juste trop lourd pour moi, je n'avais quasi pas de force, pas suffisamment pour retirer ces débris métalliques de son corps. « J'Y ARRIVE PAS, NAEUN, J'Y ARRIVE PAS » Je me tournais vers les autres à la recherche de muscles. « À L'AIDE, IL FAUT L'AIDER, À L'AIDE » que je finissais par dire avant de me tourner vers la coréenne face à moi. « DÉSOLÉ, J'ENTENDS PAS TRÈS BIEN » C'est pour ça que je crie, c'est pour ça que je n'arrive pas à réduire le débit audio qui sortait de ma bouche. Je tentais une nouvelle fois de bouger les débris et avec chance, ça bougeait un peu. Ah, c'est aussi grâce à l'aide d'un homme qui venait nous aider, m'aider. Si bien que rapidement, tout était retiré, laissant la jeune femme libérée de tout obstacle.

@Naeun Min
(Rhys Ackerman)



“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

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Ce n'était pas une bonne idée Mineokki ? Tu trouvais que ce n'était pas trop mal comme mélange des deux idées principales, à la foi joli et doux, mais voilà que cela faisait pouffer de rire Lara – comme souvent quand tu disais des bêtises ou que tu avais des idées farfelues. Pour tout avouer, tu ne pouvais pas lui en vouloir même si elle s'en moquait, car tu donnerais tout pour continuer de la voir rire et de plisser son joli petit nez de contentement. Tes yeux s'arrêtaient un instant sur son visage afin de l'observer, alors qu'elle acceptait ton idée et désignait la peluche comme votre premier enfant. Tu lâchais un petit rire amusé. « C'est parfait, Misu a toujours rêvé d'une frère avec lequel jouer. » Tu répondais dans un clin d’œil. Jouer – ou plutôt déchiqueter avec lui, après réflexion, il ne fallait mieux pas que les deux fassent connaissance. Votre discussion dérivait, le sujet devenant plus important, sur votre relation future et les labels que vous n'aviez pas encore décidés de vous poser. Tu avais été surpris par les mots qu'elle avait employée, mais t'étais entièrement d'accord avec elle au fond – tu ne te voyais pas seulement la considérer comme un flirt ou un crush. Tu l'entendais à peine parler, son souffle se perdant presque avec le vent et qui pourtant parvint à tes oreilles, et tes lèvres ne pouvaient que se soulever, des petits papillons chatouillant ton ventre de plaisir. « Moi non plus. » Tu avouais doucement – et t'aurais pu la serrer contre toi ou lui envoyer un baiser si tes mains n'étaient pas déjà prises et pégueuses. Elle venait tendre son gobelet de chocolat chaud après en avoir pris quelques gorgées, et tu acceptais son offre bien trop généreuse, venant prendre quelques gorgées sans te brûler. Ton cœur ratait un battement devant le sourire illuminé de Lara, et tu ne pouvais que le lui rendre – vous aviez sûrement l'air de deux idiots, en pleins milieu du passage, à se regarder tout sourire comme si le temps s'était arrêté. T'avais ensuite tenté d'émettre une petite hypothèse, tâtant le terrain en supposant que peut-être, bientôt, votre relation pourrait se conjuguer au présent, et tu venais hocher ta tête - enthousiasmé - à ses mots. Tu finissais ta barbe à papa, allant te laver les mains sous l'eau d'une fontaine du parc pour enlever les résidu de sucre sur ta peau, avant que Lara ne te tire vers le stand de tir et te montrer la peluche. Tu donnais ton billet au monsieur avant qu'il te l'échange contre une carabine et que tu concentres, les yeux rivés sur les ballons qui se faisaient souffler à chaque recoin de leur petit enclos. Malgré ça tu prenais ton temps, et tu finissais par pouvoir lui gagner le fameux lapinou de ses rêves. Le forain te le remettait, et après avoir déposé un baiser sur le front de l'animal en peluche, tu venais le tendre à Lara. « Il veut voir maman. » Tu disais dans un petit sourire.

Puis d'un rendez-vous tranquille avec Lara, ça se transformait en chaos. Une grosse détonation, la terre qui tremblait sous tes pieds, puis le soufflement de la bombe près de la grande roue qui te projetait à quelques mètres. Tout ce passait bien trop rapidement, et tu te sentais tomber au sol, tes mains protégeant ton visage en un heureux réflexe. Autour de toi des cris, un brouhaha incessant, mais toi t'entendais rien. Un bourdonnement sourd dans les oreilles te détachait de l'horreur de la foule, et c'était à peine si tu sentais ton cœur qui cognait comme un dégénéré contre ta cage thoracique. T'étais bien trop sonné, ta vue se troublait alors que tu tentais de lever ton visage pour observer les dégâts. Des pieds, des corps, tout était flou, te donnait mal à la tête, mal aux yeux. Tu toussais, la fumée te montant au narine, et c'était chaud, trop chaud, de l'air, de l'air, tu semblais appeler, avant de laisser ta tête s'enfoncer dans les graviers alors que tu perdais connaissance.
@lara-jean kim
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Leandra T. Carreirao

Âge : 33
Lieu de naissance : au Cap Vert, mais possède la nationalité américaine.
Quartier d'habitation / Colocation : Boston, à Beacon Hill, seule avec mes enfants une semaine sur deux.
Situation sentimentale : célibataire, probablement à terminer seule avec une entreprise pour moi. Carrière ou famille, c'est ça ?
Études / Métier : CEO de ma propre fondation d'aide aux femmes et aux démunis.
Date d'inscription : 22/04/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : elle / polaroid papers
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Faceclaim : Sara Sampaio.
Crédits : polaroidpapers
Multicomptes : sofia dunn-aguera, stevie cesarini, astoria omen
Description (1) :


these
violent delights
have
violent ends


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—                —               — 

possède un très léger accent quand elle parle › est arrivé aux Etats-Unis à ses 7 ans › ambitieuse, elle a crée sa propre fondation pour les femmes et pour leur venir en aide. › elle fait de la boxe › elle a deux enfants, Aaron et Riley › son père est décédé › elle est déterminée, sait ce qu'elle veut et où elle va › elle est récemment propriétaire et fait des travaux dans sa maison.


Description (2) :
what about us ? —
— Jude Montgomery ; ex conjoint, père de ses enfants
— Jasper Ellington ; ex conjoint, meilleur ami, relation floue
— Milo Musat ; détestable, concurrent avocat
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien
— pseudo ; lien

Warnings : religion, avortement, grossesse, racisme, vengeance, dépression, triangle amoureux.
RPS : 126
Messages : 12675
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Leandra T. Carreirao
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rédaction & design | I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/f53-meetssengerProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t119145-meetsachussets-leandracarreirao#4410277
Au stand de tir, Aaron se lance, et Jude aussi. Je souris à sa remarque en secouant la tête et Riley demande les bras de son père. Elle veut toujours faire comme lui, ça ne m'étonne qu'à peine. Ils se mettent à tirer, mon téléphone sonne, je préviens que c'est ma mère et je m'éloigne. On parle pendant un moment et je fini par me perdre loin de @N. Jude S-Montgomery un peu, tombant devant un stand de barbapapa. Je fais la queue, toujours au téléphone. ça fera plaisir aux enfants quand je reviendrais. D'un coup, un bruit, pire même, je suis propulsée vers l'avant. Ma tête heurte quelque chose violemment, quelqu'un, j'en sais rien. J'ai pas vu le temps passer, je sais pas ce qui s'est passé, tout ce que je sais c'est que les gens courent, que je suis par terre, qu'on me voit pas, que les gens me marchent dessus. Ma tête me fait atrocement mal, ma jambe aussi. "Au secours. Aidez-moi.." mais je peine à parler, ma voix n'est qu'un murmure parmi les cris. C'est pas comme ça que j'imaginais la fin de ma vie. Je pense aux enfants, j'espère qu'ils sont en sécurité, que rien ne leur est arrivé. Je pense aux enfants, avant de m'évanouir, les gens courant dans tous les sens, et sur moi.


OUT
(Leandra T. Carreirao)


Ladies always rise above, ladies know what people want
draw the cat eye, sharp enough to kill a man, you did some bad things, but I'm the worst of them. sometimes I wonder which one will be your last lie, they say looks can kill and I might try. i don't dress for women, i don't dress for men, lately I've been dressing for revenge.
Jude Montgomery

Âge : 35
Lieu de naissance : Cambridge, Massachusetts
Quartier d'habitation / Colocation : dans une maison à South Boston qu'il a entièrement retapé lui même pendant un an
Situation sentimentale : célibataire, plus vraiment intéressé à l'idée qu'on lui piétine le coeur à nouveau
Études / Métier : pédiatre et fondateur de la clinique pédiatrique et obstétrique solidaire Rylon
Date d'inscription : 28/01/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : lovebug (marie ; elle)
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Faceclaim : Penn Badgley
Crédits : kidd (avatar), moi (code profil)
Multicomptes : jackson brennan-jobs, eowyn clark & fiorella russo
Description (1) :
JUDE
Montgomery
TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 18 066c57f2667dcdfd21c3e18fa1ddcb1192d22ba8

Il est né et a grandi à Boston - On lui a diagnostiqué une leucémie lymphoïde aiguë à l'âge de six ans, il est actuellement sous un traitement expérimental et en rémission depuis quelques années - Son père est décédé lorsqu'il avait dix ans, sa mère lorsqu'il en avait 19 - Il a été diplômé en médecine pédiatrique en 2020 et a ouvert sa clinique solidaire pédiatrique et obstétrique en 2021 grâce à un financement de la mairie de Boston - Il a été accro à la drogue pendant sa vingtaine, il est clean depuis quelques années - Il a deux enfants : Aaron (12 ans) et Riley (8 ans) - Il a fait plusieurs voyages humanitaires avec médecins sans frontière pendant ses études de médecine.

Dépressif - Altruiste - Sociable
Impulsif - Pessimiste - Travailleur

Il est sujet à la dépression - Il adore cuisiner, surtout pour ses enfants - Il rêve d'aller vivre sur la côte Ouest des Etats-Unis - Il est attentionné et altruiste - Il ne compte pas ses heures, son métier est réellement sa vocation - Il est calme et réfléchit - Romantique, il est amoureux de l'amour mais a du mal à croire qu'il arrivera à trouver quelqu'un pour lui.

Description (2) : Le real ship
TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 18 7c9uMOET_o

Warnings : Mort d'un·e proche, cancer, drogue, tentative de suicide, dépression
RPS : 275
Messages : 39538
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Jude Montgomery
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rédaction & design | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t107-jude-nolan-montgomery-penn-badgleyRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t165719-jude-eowyn-jackson-repertoire-rpsProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118898-meetsachussets-heyjude
Je ne sais même pas comment je termine avec Riley dans mes bras, en train d'essayer de viser. Elle n'a même pas deux ans qu'elle veut faire comme son frère, tout le temps et dans la psychologie des enfants, c'est tout à fait normal. Je vois du coin de l'oeil @Leandra T. Carreirao  répondre au téléphone et je la laisse s'éloigner, concentré sur notre jeu. Je ne sais pas trop quand c'est arrivé, mais pas longtemps après, un gros boum se fait entendre et une grande aspiration nous propulse sur le côté. Par réflexe, je resserre mes bras pour éviter que Riley ne tombe de mes bras et je me cogne le dos contre l'entrée du stand de tir. Riley se met à pleurer et je sens la panique monter en moi quand je vois les gens courir dans tous les sens et que j'entends des coups de feu venir d'un peu plus loin. Aaron. Je cours à contre sens, bousculant des gens au passage, serrant mon étreinte autour de Riley alors que je pose une main à l'arrière de sa tête comme pour essayer de la protéger du mieux que je peux de ce qui est en train de se passer. J'ai un sifflement dans mon oreille droite et j'arrive enfin là où nous étions avec Aaron au stand de tir, mais personne. « AARON ! », que je me mets à crier. Je ne sais même pas à quel point je crie car j'ai du mal à entendre quoi que ce soit avec ce sifflement. « Aaron ?! » Je tourne sur moi même, paniqué en cherchant mon fils du regard. Je ne sais pas où Aaron est et je sais encore moins où Leandra est. Mon Dieu, faîtes qu'elle aille bien.
(Jude Montgomery)


Now I don't wanna close my eyes, see everythin' I ever done. I never got to say goodbye, I won't look back until it's gone. Everything that I try to bury and all the little deaths that set me off, I can't close my eyes.



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Suis-je réellement devenue aveugle ? Impossible. Ça devrait juste être le choc que j'ai reçu à la tête qui a provoqué ça. L'éclat de mes yeux revenaient à la normale et pourtant, je ne voyais toujours rien. J'entendais cette demoiselle me parler, mais je n'avais la force de bouger. De parler. Cependant, je réunissais quand même tout le peu de force qu'il me restait, pour lui répondre. « Je... C'est sombre... C'est... » Je fermais de nouveau les yeux et je tentais de me relever, mais je sentais toujours que ma tête allait exploser, tellement, que j'en vomissais mes tripes. À partir de cet instant, mon mal de crâne devient plus horrible. Mes paupières s'alourdissaient à nouveau et ce n'était pas bon signe. Les secours ont vite remarqué un traumatisme crânien et quelques-uns sont venus m'offrir les premiers soins pour ensuite m'installer dans une civière et me porter dans l'un des ambulanciers. J'avais certes lâché la main de l'inconnue, mais si je m'en sortais, je ferais tout ce qu'il faudra pour la remercier d'être venue à mon chevet pour s'assurer que j'allais bien. Elle ne m'avait pas laissé toute seule, alors que j'aurais pu crever, que personne n'aurait rien vu. Il faudra que je la retrouve, ou qu'elle me retrouvre, car je serais dans l'incapacité de la reconnaître. Je crois qu'il y avait encore un peu d'espoir dans ce monde de brutes. Je fusse rapidement emmenée à l'hôpital où des soins intensifs et des examens m'ont été rapidement apportés. Quant à la cause de la perte soudaine de ma vision, j'allais sûrement le découvrir à mon réveil.

OUT

@Barbara Armandin
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Même si Caprice affichait une moue triste sur son petit minois en montant sur le manège, une fois dessus, ses tracas furent vite oubliés. Miles admira avec un fin sourire sa fille, amusé avant de rejoindre Marla derrière la rambarde où il troqua son sourire contre une expression gênée suite à une annonce de la rousse. Gênée pour la simple bonne raison qu'à l'abord du sujet, il ignorait comment réagir. Leur relation n'étant que professionnelle, le sujet était délicat; et la délicatesse n'était pas le fort de Miles. Maladroitement, il l'interrogea sur son état, se sentant stupide de ne pas l'avoir fait dès son arrivée à la fête. Mais est-ce qu'il souhaitait réellement rentrer dans les détails ? « Ouaip, super » Le soupir de soulagement à la réponse brève et évasive de la rousse répondait à la question, il pouvait se passer des détails. Sa riposte fut alors tout aussi riche que la sienne, et il hocha de la tête en redirigeant son regard sur sa petite fille tout comme Marla. Il s'attendait qu'un silence gênant s'installe entre eux mais ce qui suivit fut tout sauf un silence. En une seconde, sans qu'il n'y comprenne, il se retrouvait projeter au sol avec Marla, sonné. Il lui fallut une seconde de plus pour capter la panique soudaine autour d'eux, entendre des cris résonner et son instinct de père s'éveilla derechef, il leva les yeux paniqués vers le manège et malgré sa vision un peu floue, l'ouï obstrué par un bourdonnement, le choc, son cœur s'arrêta soudainement quand sa fille n'était plus visible. « CAPRICE » Le cri de panique de Marla l'électrocuta, et es jambes le portèrent automatiquement en avant, la respiration coupée. L'attraction était sans dessus-dessous, les battements de son cœur n'avaient toujours pas repris de service jusqu'à ce qu'ils atteignent la petite fille. Au sol. Inerte. La sensation qui le traversa à cet instant était indescriptible, dire que tous les organes fonctionnels dans son corps avaient cessé de fonctionner était un euphémisme. « Non non non non non NON ! » Tout ce qui l'entourait ne l'importait plus du tout, à cet instant, seule sa fille était dans son focus. Il se jeta sur la petite fille, tremblant, épouvanté. « Caprice, Caprice, réveille-toi ! Ouvre les yeux, ma puce ! » Non, non, non, non ! Caprice ne l'écoutait pas malgré ses supplications, ses yeux restaient clos, son teint blafard. Miles perdit toute réaction rationnelle le quitter, il prit sa petite fille dans les bras, la bercer en panique, en pleurs, terrorisé. Il ne remarqua et ne sentit même pas la blessure à la jambe dû à des éclats d'objets volants; la seule douleur qu'il ressentait étant la détresse. « Non non non non.. » Pitié, faites que ce soit un cauchemar, un putain de cauchemar.

@Marla Witherspoon
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je pensais voir les espoirs voler en éclats, les mensonges exploser en vol, les amitiés, les amours.. un peu tout ça, sauf nos corps. sauf nous. pas réellement. allongée sur le bitume, le corps prit au piège sous la roulotte à confiserie. mes yeux s’ouvrent à nouveau et j’ai envie de les refermer aussitôt, je priais pour que tout ça ne soit qu’un putain de cauchemar. mais tout est réel, je le sens à la lumière qui me brûle les iris, aux pleurs, aux sanglots, aux hurlements de désespoirs qui font résonner des prénoms un peu partout dans ma tête. bordel, fermez là ! vos putain de gueules ! je supporte plus le chaos, l’anarchie, moi qui en éprouvait le besoin pourtant oppressant. ce soir, je le touche de trop près, la fin vient de m’effleurer. je tente de bouger mes jambes, je tremble, j’ai mal mais j’ai que toi en tête. toi, ma comète éteinte. à défaut de pas avoir kenzo, c’est à toi que je me rattrape. - putain.. que je siffle entre mes dents serrées, poussant la roulotte à bout de force pour m’en dégager. mon corps se cambre, mes os craquent, je sens les hématomes déjà colorer ma peau. je pousse encore, guider par l’espoir de te chercher. de te trouver. et t’as pas intérêt de crever @cosmo cavalero. je te l’interdis. t’as pas le droit de me laisser seule ici bas, t’as pas le droit de partir encore une fois. je fuis pas moi, je suis encore là cosmo, m’abandonne pas pour de vrai. fais le pour de faux, mens moi tant que tu veux mais ne me laisse pas toute seule. je pousse plus fort et me glisse vers le haut, mon dos se déchiquette et frotte le béton. mais je sens rien cosmo, je ressentirais rien tant que je verrais pas que tu souffres. que t’as mal si fort. mais que t’es toujours en vie. encore un effort, je serre les dents et ferme fort les yeux pour faire éclater le peu de force qu’il me reste. je me relève doucement, j’ai le vertige, je me rattrape à quelqu’un, quelque chose avant que celui-ci ne disparaisse. mes doigts grimpent jusqu’à ma tempe, la douleur est force et je sens le liquide carmin qui envahit la pulpe de mes doigts. je regarde par réflexe, je déglutis mon envie de gerber en regardant autour de moi. la terre tourne trop vite, les corps s’entrechoquent, le mien au milieu de la foule passe inaperçu. on me bouscule, je fais quelques pas en arrière, j’ai l’impression d’être une vulgaire balle qu’on jette dans tout les sens. et j’avance tant bien que mal, j’avance à contre sens et pousse quelques personnes sur mon passage. y’a des corps au sol, j’essaye de pas les regarder. je peux pas les regarder, sinon je m’effondre. sinon je ne bougerais plus. - cosmo.. que je murmure à moi-même, doucement. les yeux qui brillent, les perles salées viennent coller à mes cils et faire rougir mes opales. j’avance encore, je boite, je marche pas droit, je titube et l’envie de vomir grandit au fur et à mesure. - cosmo putain, réponds.. les visages passent et repassent, j’ai l’impression de te voir partout à la fois et de pas te voir du tout. ça m’angoisse, j’ai la boule au ventre qui m’empêche de respirer. t’avais raison cosmo, je suffoque quand il s’agit de toi. - s’il te plaît.. réponds.. j’implore le ciel, je prie encore quand mes yeux s’empressent de regarder partout. ils se barrent tous cosmo, moi je peux pas si t’es pas là. je préfère finir ici, crever ici. c’est ce qu’on voulait non ? crever ensemble.
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Il faisait plutôt beau en ce jour de discours du maire. Le froid était bel et bien présent, cependant, les nuages menaçant et la neige avaient laissés place à un ciel bien bleu. C'était donc le moment idéal pour sortir et profiter de la journée même si c'est avec Virgil que j'étais censée la passer. Qu'on se le dise, j'avais beau le faire chier, il était vraiment très sexy et je ne pouvais m'empêcher de le mater un peu trop. Mais je sais très bien qu'il faisait pareil et lui ne se gênait vraiment pas pour le faire. Alors que nous marchons en direction d'un manège à sensation, nous entendons une grosse exposition et nous sommes propulsés sur l'herbe. Couchée, mes oreilles sifflent et j'ai du mal à entendre. La détonation a été telle que mes tympans n'ont pas résisté. J'entends des bruits sourds et un sifflement. J'ai du mal à me lever et mes jambes tremblent beaucoup trop. Virgil... j'ai l'impression que je ne parle pas très fort...
Vi... je n'ai pas la force et mes jambes ne me tiennent plus. Je vois Virgil non loin mais je n'arrive pas à m'avancer.

@VIRGIL J. WELLINGTON

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C'est le silence, c'est le calme, le repos dans l'enfer. Le corps récupère, il analyse où la douleur se situe, il travaille alors que les yeux sont clos. Le corps se soulève, aidé par Caleb, il quitte sa zone de souffrance, puis il retrouve le sol froid. Il attends que le cœur retrouve un rythme presqu'apaisé, il hésite, il laisse à la belle au bois dormant encore un petit moment de quiétude. Vous vouliez l'enfer ? Voilà qu'on vous le sert sur un plateau, avec l'odeur de souffre, de poussière, l'hémoglobine sur vos peaux lactées. Tu commences à sentir la rouille sur ta langue, et tes poumons s'emplir de fumée. La peau se réveille, et elle n'aime pas ça. Elle aimerait dormir encore un peu, cette peau, mais la tête décide du contraire. Il faut survivre. Elle injecte une dose d'adrénaline dans les nerfs, elle remue tout ça. Allez, debout petit soldat. Elle ressent les écorchures sur les mains, les genoux, les éclats éparpillés dans la chair. Cette épaule qui ne veut plus bouger. Ce bassin écrasé qui irradie le long de sa colonne. Elle ressent tout, l'un après l'autre, elle écoute, les cris, les sirènes, les détonations, elle écoute et elle garde les paupières closes, elle appuie fort, elle veut voir les douces étoiles. Elle veut que le patriarche médaillé vienne l'enlever, elle veut qu'on la berce, qu'on lui chantonne une chanson, elle veut que le héros la sauve. Ou, donnez-nous de quoi répliquer, on déclare pas le ko sans combat, on lève pas le bras adverse si on a même pas eu le temps de rejoindre le ring. Allez, tu appuies sur cet avant bras, l'épaule cède, tu te ramasses à nouveau, en danse collé-serrée avec le goudron. Alors tu t'attaques à l'autre, tu te redresses à peine, le visage qui regarde le sol, les cheveux qui dégoulinent sur le gravier, tu tousses, tu décores le noir d'un peu de rouge, car c'est plus joli comme ça. La douleur irradie, et elle n'est plus grisante, le plaisir s'est barré avec l'humanité des auteurs. Parce qu'elle comprend, là. Elle assimile la scène, halucinne depuis son trône de reine déchue. Vous avez trouvé plus forts que vous, dans l'art de la destruction. Petits joueurs. Tu ne ris plus Lex, parce que devant toi, y a Caleb ; y a Caleb, une blonde, un enfant, un homme qui hésite. Le corps dit non, le cœur dit oui. Mais c'est pas vrai ce qu'on dit, sur le fait que l'amour ça peut sauver, c'est que des conneries. Y a des manèges, mais la magie de Disney n'y est pas, le baiser de la princesse, ses larmes, ça peut pas lutter contre le tranchant d'une faux. Vous essayez juste de jouer à cache-cache avec, pour gagner des secondes. Lex, elle essaye d'hurler aux secours, mais la voix cède parfois, et il y a trop à faire, trop loin. Le héros noir s'affère, il tend la main à l'ennemi qui n'arrive pas à la saisir. Il tombe, le Parfait à l'auréole de sang.

@Roxanne L. Bates @Caleb Edelstein @Callum Fraser
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