Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 17
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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
Imogen Blum
La Doyenne
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Une bombe ? Un attentat ? Qui avait pu commettre un tel acte ? L'être humain, qui d'autre ? Les cieux, portant avec eux une tristesse profonde en voyant l'humanité s'effondrer petit à petit. Une vaste étendue de vide, actuellement remplie d'actes irresponsables. Nous avions tous sombré dans les plus gros péchés sans nous en rendre compte, aveuglés et idiots, nous nous étions égarés du chemin que nous prenions alors qu'ils n'étaient pas si compliqués de simplement regarder droit devant nous. Les cieux nous observaient, ils nous voyaient et nous connaissaient, mais ne faisaient rien, car ceci ne faisait pas partit de leur devoir. Ils sont assis confortablement sur leurs nuages et nous regardent tout en se foutant de la gueule de la stupidité éminente des êtres humains. Certains, inquiets, pleuraient pour nous et avec nous, les larmes que nous pleurons de tous nos corps. Et en ce jour, c'était une nouvelle peine qui s'ajoutait à nos vies. Pathétique. Nous l'étions tous. L'être humain. J'aurais préféré naître une fleur, au moins, je n'aurais jamais éprouvé cette honte envers mes semblables... Je peinais à croire que l'humanité pourrait être sauvée un jour. Au contraire, elle ne faisait que s'enfoncer et m'enfoncer encore plus avec elle. Allongée donc sur le sol, le cœur lourd, j'étais comme coupée de ce monde et pendant un instant, j'aurais cru voir mes parents. J'aurais pu toucher les doigts de ma mère, juste quelques secondes de plus et j'aurais pu lui attraper la main. Juste quelques secondes avant qu'une voix ne m'éloigne d'eux pour me ramener sur terre. Je me sentais secouée dans tous les sens, le son revenait peu à peu à mes tympans et je n'aurais peut-être pas dû revenir à moi parce que ce que j'entendais, me brisait le cœur. Des cris partout. Des appels à l'aide. Des pleurs d'enfants et même dans mon état, je ne pensais pas à moi. Pourtant, j'étais mal en point. Très mal. Mais je me disais que ça aurait pu être pire, avant que je fasse un gros effort pour ouvrir les yeux et découvrir encore le néant. Le trou noir. Bordel. Je fermais de nouveau les yeux, le cœur palpitant à mille à l'heure. Je comptais les secondes avant de les rouvrir à nouveau et constater que rien n'avait changé. Je ne voyais absolument plus rien. Il y avait bien une personne à mes côtés, une voix féminine qui me secouait, je pouvais l'entendre, mais je ne pouvais voir qui c'était. « Mes... » marmonnais-je alors que la peur s'emparait de mon être, l'angoisse encore plus profonde. « Yeux... Mes yeux... Pourquoi je ne vois plus rien ?... » peinais-je à m'exprimer malgré mon état. J'avais mal partout et pourtant, seul mes yeux m'inquiétaient. La lumière ? Disparue en un éclat. Je voyais toujours le néant et je ne savais pas ce que j'avais fait pour mériter un tel châtiment. De peur, j'attrapais la main de l'inconnue tandis que le goût du sang qui coulait de mon nez, se hissait sur ma langue.

@Barbara Armandin
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Tu ne peux t’empêcher de laisser entendre un rire en aux réponses de ta soeur et tu remercies Hyun-Do d’un geste de la tête de te soutenir de la sorte. Ta soeur risque de vite en avoir marre si vous vous liguez tout les deux contre elle, mais cela t’amuse. D’ailleurs, tu proposes un petit jeu à tes deux accompagnants, un défi avec à la clef une récompense pour eux, mais surtout pour toi. Tu vois l’enthousiasme des deux prendre place et dès lors, tu te demandes bien l’idée que chacun a bien pu avoir comme désir de récompenses.

T’as néanmoins pas réellement le temps de divaguer qu’un bruit sourd et plus que significatif survint, suivi d’une lourde déflagration que vous propulse, ta soeur, ton pote et toi. Tu te retrouves à l’écart d’eux, couché sur le sol à peine conscient au début, la plaie causée par Ares à nouveau en sang à cause du choc, mais là, n’est pas le problème, t’entend plus rien. Il te faut quelque seconde pour le réaliser, pour comprendre que ce silence juste après cette explosion est tout sauf naturel. Tu regardes autour de toi et tout semble aller au ralentis pour toi, et pourtant, tu vois des gens courir, tu vois leurs lèvres bouger mais aucun son. Tu restes immobiles, comme figé, par la douleur et par ce silence trop lourd. Tu portes tes mains à tes oreilles les frottes, espérant que c’est rien, juste ton imagination, mais non…

@Yura Nam-Kim @Hyun-Do Yeo-Lee
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j’souffle, j’inspire mais j’ai l’impression que ma poitrine va exploser. ma tête est un bourdonnement et j’ai la sensation de ne plus entendre aucun son. juste un sifflement lointain. j’ai mal. je sais que j’ai mal. j’sens plus mes jambes surtout et ça, ça me fait flipper. j’essaie de bouger et la douleur augmente. non, non, non. c’est un cauchemar, un mauvais rêve dont je veux me réveiller. j’tourne la tête et j’vois des jambes, des gens qui court. puis j’entends de nouveau les hurlements. le bruit, le vacarme. j’crache du sang sur le sol et c’est mon nom que je t’entends. une fois. deux fois. puis toi. et j’tends la main comme si je cherchais à t’attraper. à avoir une certaine constance. j’arrive à saisir ta main et je m’y accroche. « j’sens plus mes jambes » vraiment. et je crois que c’est parce que y a trop de chose dessus. j’ai essayé de pousser mais ça bouge pas. et j’ai peur de ce que je pourrais découvrir dessous. de l’état des choses. « mickey.. j’sens plus mes jambes » et j’respire trop fort, et je panique et j’ai mal. « me laisse pas s’il te plaît » me laisse pas toute seule bloquée ici. t’en vas pas. j’trouve ça déjà presque miraculeux que tu sois là. les gens, ils partent en courant dans ce genre de moment.

@mickey ainsworth
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Je continue de la secouer en espérant la voir ouvrir les yeux, ou même juste bouger un tout petit peu. Ca me suffit, tout ce qu'il me faut c'est un signe de vie. J'entends les cris, les pleurs autour de moi et pourtant j'essaye de rester concentrée sur cette inconnue qui ne bouge toujours pas ! Je suis à deux doigts de laisser tomber et d'aller voir un autre blessé quand elle se met à bouger. Enfin ! Je ne retiens pas un long soupir de soulagement. Du coup j'arrête de la secouer et j'attends qu'elle ouvre les yeux, histoire de m'assurer qu'elle va bien, du moins physiquement. Elle n'a pas l'air d'avoir de blessures apparentes mis à part son nez dont du sang coulait toujours. Je fouille dans mon sac à la recherche d'un paquet de mouchoirs, j'en trouve un, je prends un mouchoir dedans et alors que j'allais le lui donner elle ouvre les yeux. Elle n'a pas l'air de savoir où elle est, ses yeux partent dans tous les sens et j'apprends par la suite qu'elle ne voit plus rien. Elle a le regard vitreux. Sérieusement elle est devenue aveugle ? "Euh..." Je ne sais pas quoi lui répondre, je ne suis pas médecin moi ! J'applique le mouchoir en papier sous ses narines et le laisse absorber le sang qui en découle tout en réfléchissant un instant. "Tu ne vois strictement rien ou tu peux détecter un mouvement ou une forme ?" Peut-être qu'un professionnel de la santé rirait en m'entendant dire ça mais j'essaye de comprendre et de trouver des solutions pour qu'elle retrouve la vue. Je la laisse prendre ma main, si ça peut la rassurer le temps que les secours arrivent. "Tu étais toute seule quand ça a explosé ?"

@Lucky Burberry
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Dans ces moments là, il n’y a plus rien qui compte. C’était comme un ras-de-marée tout droit sorti d’un mauvais film coréen qui bousillait tout et qui donnait l’impression d’un cauchemar affreux. Il y avait du sang partout, c’était rouge et noir, ça tournait dans tous les sens et une brume foncée, du souffre, du feu, quelque chose de sombre étaitn en train de monter dans les airs. Peut-être qu’ils allaient mourir intoxiqué finalement. Puis Caleb tentait en vain de maintenir les plaies de Callum, de les boucher, d’empêcher la victoire de la grande faucheuse. Parce que malgré tout, malgré la haine, c’était le père de Jane. C’était lui, depuis le début. Et tant pis s’il ne la reverrait plus, il fallait qu’il vive, parce que c’était un homme bon. Et Roxanne qui hurlait, qui pleurait. Elle était désespérée, elle était en colère et c’était normal, et naturel. Caleb sentait son anéantissement interne parce qu’elle autant que Caleb étaient conscient de ce qui était en train de se passer. Callum se vidait, son regard était lointain, mais accrocheur. Il y avait de la mort dans les yeux. Il y avait des limbes qui étaient en train de l’arracher à la vie et il tentait tant bien que mal de se battre. Et Jane qui hurlait dans les bras de sa mère, alors Caleb arracha un bout de sa chemise pour la mettre sur la bouche de Jane, histoire qu’elle respire à travers et qu’elle n’ait pas de goudron ni de cendres dans les poumons. « Tiens lui le bout de tissu ! » Il ne voulait pas hurler mais c’était le seul moyen de se faire entendre dans ce vacarme. Alors Caleb jeta un œil vers Alexis, non loin. Comment expliquer à la seule femme qu’il était en train d’aimer après Roxanne qu’avec ce qui allait arriver, elle passerait après ? Il se retournait ensuite vers Callum, une main sur sa joue, pas forcément délicatement. « Callum, tu peux pas crever merde, tu peux pas. Roxanne a besoin de toi, Jane a besoin de toi. Tu es… c’est toi son père. J’ai besoin que tu sois son père parce que j’suis incapable de l’être alors… » Il essayait de le tirer pour le remettre droit et éviter une fausse route. « Callum, reste avec nous, hé, j’vous emmerderais plus, c’est promis. Alors si tu veux ta vie paisible, reste là, pour Roxanne. Pour Jane… » Et même Caleb sentait qu’il souffrait de ce qu’il se passait, parce que le respect envers le Fraser, il l’avait eu depuis le début. Alors il appuyait toujours et encore sur la plaie, avec de la force. Sans savoir si ce qui avait été touché était vital ou non.

@alexis callaghan @callum fraser @roxanne l. bates
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Pour l’instant aucun son ne sort de ma bouche. J’ai du mal à respirer mais je suis plutôt calme, perdu avec les images que me renvoie mon cerveau. Mes oreilles bourdonne et j’entends seulement les cris des gens au loin comme si je n’étais pas au même endroit qu’eux. La moitié de mon corps est posé sur le comptoir du stand, la joue collée contre le métal froid de l’attraction. Je cligne des yeux lentement cherchant à rétablir une vision correcte lorsque mes yeux croisent ceux de Hyun, qui me parle, j’arrive à distinguer légèrement ses paroles, mais je n’ai pas la force de faire ce qu’il me demande, pourtant j’ai envie d’essayer mais cela semble difficile, j’espère avoir réussi à serrer un minimum sa main. Je commence à comprendre ce qu’il vient de se passer et un son se fait enfin entendre de ma bouche. « Ryu.. » soufflais-je. « RYU ! » je finis par crier son nom avant de commencer à paniquer mes larmes commence à couler et je sens la panique gagner mon corps. Je ne peux malheureusement pas bouger mais je commence à pleurer.

@Hyun-Do Yeo-Lee @Ryu-Jin Nam-Kim

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on ne pouvait définitivement pas te définir comme quelqu'un de discret. @Noah M. Ferrari n'arrangeait rien en pouffant ainsi. t'allais te faire remarquer c'est sûr. bien plus vite que tu l'imaginais en fait. "hey" tu arquas un sourcil. pas que tu ne veux pas le voir. tu le veux toujours mais pas avec Noah, pas ici. ton regard se posa sur ton meilleur ami alors que la main de @Milan A. Ogan se posa sur ton épaule. t'es cramée. tes joues rosissent déjà. "pas grave ! ça va merci." bizarrement Noah te tira vers lui. déclarant que vous deviez y aller. il te sauvait. vraiment. "moi aussi." t'étais froide contre toi mais tu avais tes secrets. de vie, sur tes relations et tu ne voulais pas qu'ils sortent aux grands jours. alors que Milan se tourna, vous reculâtes avec Noah. tu n'eues à peine le temps de lever les yeux au ciel à ses paroles en souriant qu'un bruit assourdissant se fit entendre. d'un coup c'est le vide. tu ne sens plus ton corps. tu n'as plus de contact avec Noah, on te pousse et tu chutes. les gens ont l'air si grands d'en bas puis ça commence. quelqu'un écrase ta main. ta tête commence à te faire mal. un autre te donne un coup dans les côtes en voulant te passer par dessus. ce n'est que le début. t'essaies de ramper après t'être retournée. t'es incapable de te lever. "noah ! noah t'es où ?" ta voix est fébrile, ta tête fait encore mal. la touchant tu comprends pourquoi. du sang s'en écoule. tu t'es ouverte en chutant. une autre personne ne te voit pas et te marche sur le dos ce qui te coupe la respiration. t'en peux plus mais tu rampes encore jusqu'à te cacher sous un stand. tu vas retourner au tir à la carabine, il le faut. il viendra là si jamais il va bien, Milan aussi. tu rampes encore, ta vision devient de plus en plus flou mais en soulevant la nappe qui te cachait tu le vois. noah. "noah ! noah ! viens !" tu commences à sortir de ta cachette, de ta main indemne tu attrapes sa main. tu veux pas le laisser tomber, il ne le ferait pas lui mais cette fois-ci ta main devenue violette affiche bien trop de rouge après avoir passé un léger coup d'oeil à ta tête. tu vas mourir, c'est sûr.
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Ne pas paniquer, surtout ne pas paniquer. Il faut respirer, essayer de se calmer, tenter de comprendre ce qu'il se passe. Y'a deux minutes il était là, au stand, riant et défiant un inconnu sympathique, croisant une vieille et agréable connaissance, et se méfiant dangereusement de l'ami qui l'accompagnait. Et puis plus rien. Un boom, le vide, le corps qui bouge sans sa volonté.... Une bombe. Ça faisait un déclic. Les oreilles de Milan bourdonnaient et sifflaient encore, il entendait les cris, mais ils semblaient lointains. Il regardait autour de lui, la poussière et la foule l'empêchait de comprendre où il était. Finalement il n'était pas si loin de son point de départ.

"Heeeeey !! A l'aide !" C'est tout ce qui est sorti de sa bouche. Tout ce qui est venu dans son cerveau; L'instinct de survie. Il voulait bouger, courir, se mettre à l'abri. Mais ses jambes refusaient de bouger. Il les sentaient, plus que bine même, elles le faisaient horriblement souffrir d'ailleurs. Coincé sous ce qui lui semblait trente tonne d'acier, il essayait tant bien que mal de sortir de son piège, en vain. Il paniquait, sa respiration devenait de plus en plus forte. On ne le voyait pas, les gens étaient beaucoup trop occupés, beaucoup trop paniqués. Il n'arrivait plus à parler, ni à crier. Ses yeux essayaient de se focaliser sur quelque chose, en vain. Et puis quelqu'un s'approchait de lui. Bordel, dieu merci ! Le garçon de tout à l'heure (Anton) l'avait reconnu, repéré. Il n'arrivait pas à comprendre ce qu'il lui disait. Il essayait de soulever à son tour l'acier, et Milan tentait de l'aider mais c'était peine perdue.

Le garçon se doutait bien qu'il n'y arriverait pas à deux. Son audition commençait à revenir, très doucement. Il comprit que son nouvel ami irait chercher de l'aide, mais l'idée d'être seul le terrifiait. Et s'il ne revenait jamais ? Et si personne ne venait l'aider ? "Me laisse pas là putain ! Je veux pas crever comme ça !" C'était pas un reproche, plutôt une supplication. Et c'était bien la première fois qu'il suppliait comme ça. En regardant le jeune homme partir, ses yeux se posaient sur le stand. Définitivement il n'avait pas atterrit très loin. Son regard se portait sur une tête blonde qu'il connaissait bien, et qu'il aperçu rejoignant le dit stand. "MILYS !!" Il criait aussi fort qu'il pu, pas sûr qu'elle l'ai entendue. Elle était en vie, c'était déjà une victoire, mais il s'en voulait de ne pas pouvoir bouger pour vérifier qu'elle allait bien. Il en était même à un point où il s'inquiétait pour Noah. Pour tout le monde en faite.

Dans son cerveau ça commençait à faire tilt. Il réalisait le chaos, les morts, les blessés..... ET murmurait, comme pour se parler à soi même. "Je veux pas mourir ici putain....."

@Milys C. Musk @Noah M. Ferrari @Anton Withaker
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J'attends et elle me serre un peu, mais pas complètement mes mains, j'ai peur pour elle bien que je la connais depuis peu. En effet mes amis, m'ont souvent fais remarquer que j'arrivais à échanger avec des nouvelles personnes, puis je pouvais les protéger si jamais ils leurs arrivaient quelque chose. Et là c'est ce qu'il se passe, j'ai seulement rencontrer Yura il y a de cela une heure et je me force à la protéger. Elle réussis à sortir un son de sa bouche et c'est Ryu, bien-sûr, j'ai pris l’initiative d'aller la voir, si jamais son frère était sauver. Mais je sors un crayon et écris sur son bras doucement. Puis je retire ma veste et lui mets sur son dos et évite la barre et je passe une main dans ses cheveux.

"Yura, je vais chercher, Ryu reste comme ça ne tu es courageuse"

Je vois un talki et je le prend et le sort de sa pochette et l'allume et le mets près de Yura pour qu'elle puisse entendre. J'emporte le second et je cherche Ryu, après avoir parcouru de nombreux pas, je lui dis que j'ai trouver Ryu. Je me pose devant Ryu puis je lui demande si il a mal quelque part, je le vois qu'il me montre ses oreilles. Je prend le talki et je dis que Ryu va bien. Je sors un papier qui traîne dans ma poche et écris et montre à Ryu , *Yura est blesser sérieusement comme toi, tu as mal autre part?*

@Ryu-Jin Nam-Kim @Yura Nam-Kim
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Il est parti et ma vision se floute. Les larmes. La peur. Peur de te perdre pour une intolérance à la stupidité aiguë. Plantée devant le stand, je fixe ton dos qui rapetisse de mètre en mètre. Je peux plus respirer, t’as embarqué tout mon oxygène avec toi. Je suffoque. J’hésite à te courir après ou te laisser souffler, mais une détonation impressionnante survient et mes jambes bougent d’un coup d’un seul. Carabine de foire à la main, je ne perds pas de temps pour rechercher la prunelle de mes yeux. C’est apocalyptique ce qui se passe dans ma tête. Si tu venais à me quitter après une dispute aussi conne, ce serait pire que tout. Je cimente mes mâchoires entre elles pour bloquer tout sanglots. Je fonce à travers la foule. La détermination se lit clairement dans mon regard, dans ma démarche, dans la violence dont je fais preuve pour me frayer un chemin. C’est pour toi que je me démène autant et je le ferais à l'infini. C’est mon coeur qui me dicte ma conduite. Il me dit que je ne suis plus rien sans toi et que je peux pas laisser une bande de fils de pute nous séparer. Dans l’agitation la plus totale, mes sens se décuplent. Je perçois tout puissance mille. Mes pupilles balaient le lieu méthodiquement et après une minute de recherche intensive sur tous les corps à terre, j’ai cet afflux de sang d'une puissance étourdissante qui réveille tout mon corps. Je t’ai en ligne de mire. Quelques personnes te piétinent. Je presse alors le pas, zigzaguant entre ce troupeau apeuré qui fuit la grande roue en feu. J’arrive bébé. Je pointe l'arme dérobée vers ceux qui se mettent en travers de ma route pour les faire s'éloigner de mon passage, quitte à passer pour une terroriste. « Bougez de là !!! » Je te rejoins enfin et m’agenouille près de toi pour te porter secours. « Hey ! » Sans finesse, je te retourne du sol poussiéreux pour t’allonger sur le dos et capter la couleur de tes yeux. Dieu merci, tu respires, t’es conscient. « T’as une femme à aimer toute une vie et tu te laisses écrabouiller aussi facilement ? C’est quoi ce merdier ? » Déposant mon arme à côté de moi, je m’abaisse un peu plus et embrasse ta bouche ensanglantée sans le moindre dégoût. Une larme coule de mon oeil et s’éclate sur ta joue. L'amour qui s'épanche. « Je t’aime putain, je t’aime, tu m’as fait peur. Pars plus jamais je t'ai dit, c’est toi que je veux, t'as toujours pas compris ? » Je peux plus m’arrêter de glisser mes lèvres sur les tiennes. Un goût de fer se propage dans ma bouche. Je bois ton sang. Je .. J’ai jamais été aussi terrifié de ma vie à l'idée de perdre quelqu'un. C'est inimaginable. On doit accomplir encore beaucoup de choses tous les deux. « Il faut qu’on aille se mettre à l’abri immédiatement, tu m’entends ? Je sais pas ce qu’il se passe, tu peux bouger bébé ? Dis-moi que tu peux .. » Dans tous les cas, si tu en es dans l’incapacité, c'est moi qui te soulèverai, je sais que j’y arriverai. Je sais que je trouverai la force de te déplacer, parce que j’ai déplacé des montagnes pour pouvoir continuer de t’aimer jusqu'à présent .. - @Pluton Westerberg
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