Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 15
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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
Imogen Blum
La Doyenne
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putain de bordel de merde, t’es où ? j’pourrais hurler encore et encore jusqu’à avoir une réponse. et je joue des coudes dans la foule affolée espérant tomber sur toi. réponds moi putain misha. j’vois une rouquine que j’attrape par le bras, qui me regarde avec ses grands yeux, terrorisée. mais c’est pas toi. je m’en fous si c’est pas toi. et j’repars dans cette chasse alors que j’entends finalement ta voix. « tu.. » je lève les yeux vers la plus grande des attractions et j’vois la fumée, les flammes et surtout, les nacelles qui vacillent. non. t’es pas là-dedans. t’es pas là-dedans.  « tu bouges pas. tu bouges surtout pas. » tu restes à ta place et tu gesticules pas. tu fais aucun geste qui pourrait précipiter quoi que ce soit. « bébé, tu respires. ça va aller. » j’en sais rien. j’sais pas. j’ai moi même le souffle qui s’accélère. j’peux pas approcher et j’vois rien d’autre que ces foutus nacelles qui menacent de tomber. « t’es dans laquelle ? respire et dis moi dans laquelle tu es. j’suis là d’accord, j’vais venir te chercher. » je sais pas comment mais j’ferais tout. tout et n’importe quoi.

@Misha Hayes
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Est-ce qu’il pouvait exister homme plus heureux que toi, à cet instant ? La main dans celle de Roxanne, votre petite Jane dans la poussette qui tendait les bras vers les énormes peluches que vous croisiez le long de l’allée. Tu commençais 2019 en homme heureux. T’aimais Roxanne, indéfiniment. Des projets pleins la tête, des envies de fonder une famille unie, heureuse. Vous trois, peut-être un jour quatre ? Est-ce que tu lui dirais, un jour, que t’as envie d’un deuxième enfant ? D’être là avec elle, pour elle. Vivre ça du début jusqu’à la fin. Tu l’aimes, ta Roxanne, plus que tout. T’as encore un peu de barbe à papa, là. que tu ris en glissant tes lèvres sur celle de ta copine pour manger le sucre qu’elle allait sur le coin de sa bouche. La grande roue, juste là, à côté de vous. A côté ce manège que Jane réclame et vers lequel vous vous dirigez. Mais l’explosion retentit. Imprévue, soudaine. Le choc. La foule en délire. Des hurlements, des débrits. Ton corps, projeté par la force de l’explosion contre le camion de l’attraction voisine. Ton bras qui craque dans le mouvement, ta tête qui se cogne violement au sol. Un caillou. Roxanne ! que tu cris en portant ta main à ta gorge, souffle coupé. C’est chaud, ça coule. Du sang. Tu tousses, t’as mal. Roxanne. Un souffle.
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Les chiffres défilent à une vitesse folle, et il n’a même pas le temps d’apprécier son record que la chaleur du corps d’Alexis contre le sien vient à nouveau de le prendre par surprise. Elle cherche la même sensation que ce soir de Noël, cette étincelle qui défonce tout et qui embrase un feu naissant, et elle le trouve. Caleb glisse la main dans le dos de la huitième merveille du monde pour l’approcher un peu plus et ils dansent ensemble de leur charme pour se donner entièrement à l’autre. Mais de courte durée, ce baiser se voit interrompu par un choc monstre. Il y a cet appareil dont il vient d’exploser le record qui s’écroule et qui écrase Alexis. Des débris d’un jeu de pince non loin vient lui entailler le visage, des plaies ouvertes, surement une arcade dans la chute qui le projette en arrière. Le souffle coupé, il a du mal à reprendre sa respiration. De l’oxygène pénètre enfin dans sa cage thoracique et il court vers Lex. « Lex putain ! LEX. » Il tâte son pouls, elle en a toujours un. Et dans un hurlement de rage, il soulève la machine de quelques centimètres pour libérer le corps d’Alexis qui s’y trouve coincé. Des mouvements de foule tentent de le faire basculer mais il soulève Alexis pour tenter de la mettre à l’abri. Il avance, il évite des gens. Et là, dans la pénombre des fumées monstrueuses qui les entourent, il repère deux têtes qu’il connait par cœur. Avec Alexis, sur le dos, il court comme un dingue pour poser la guerrière qui a perdu connaissance sur le sol. Il voit Jane dans la poussette qui hurle. « Roxanne ! Ca va ?! » Il voit que Jane va bien, elle pleure, c’est tout. Puis il voit le regard terrifié de Roxanne qui se dirige vers… Callum ? Alors Caleb change de comportement, il se dirige vers l’homme qu’il n’aimera jamais pour tenter de repérer d’où peut venir cette hémorragie. Il enlève sa veste et fait pression quelque part, il a vu ça dans les films, il n’en sait rien. Il tente tant bien que mal de le maintenir en vie. C’est le père de Jane, non ? Alors il allait le sauver, malgré la colère et la rage, malgré l’amour qu’il lui porte, à ses deux femmes, malgré tout. Il tente le tout pour le tout.

@alexis Callaghan @callum fraser @roxanne l. bates
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Le tire à la carabine, ouai ça semblait une bonne idée. Pas la peine d'être quinze, et puis s'il gagne une peluche, il pourrait toujours s'en servir pour draguer quelqu'un. Y'aura bien un groupe de nana pas loin, non ? Il n'y avait pas beaucoup d'attente, seulement quelques personnes devant lui. Milan savait se servir d'un fusil de chasse, il avait apprit étant plus jeune avec son père. Pour ce qui est de la carabine, c'était presque pareil, non ? Il y'avait deux petite files, parfait, le jeune homme ne perdit pas son temps, avançant rapidement après les perdant. Il payait le forain, s'emparant d'une des carabines avant d'être interrompu. "Un bel attrape nigaud. Faut vraiment avoir de la thune à perdre pour venir ici. "

Il se tournait vers le jeune homme (Anton), lui souriant."Et pourtant t'es là..." Il ressorti son portefeuille, invitant le garçon à venir à côté de lui. "Ca tombe bien j'en ai largement à perdre de la thune, voyons voir ce que tu sais faire sur un attrape nigaud !" Il serait presque agréable aujourd'hui ! Bonne nouvelle. Il s’emparait de l'engin, visant tant bien que mal. Loin d'être parfait, mais Milan réussi tout de même à toucher les trois quarts des cibles, plutôt pas mal. "Peu mieux faire... Va falloir que je me refasse la main !" Il se tournait vers l'étudiant, (Anton) se décalant légèrement. "Je t'en pris, à toi !" Avant d'entendre un très léger "Oh non" sur sa droite.

Il n'avait absolument pas prêter attention au monde autour de lui. Il était seul aujourd’hui, il voulait simplement faire un tour, pas forcement se taper la disuct' après tout. Il tournait la tête intrigué, apercevant une frimousse qu'il ne connaissait que trop bien. (Milys) "Hey Milys !" Il souriait à la jeune fille. Il lui avait sauvé la vie un jour, et depuis la jeune femme faisait une fixette. Oui, il le savait, elle était pas vraiment discrète mais ça le faisait bien rire. Ca le flattait même. Et puis on peut pas dire qu'elle n'était pas attirante. Alors peut être qu'il en jouait légèrement. " Je t'avais pas vu, désolé ! Tu va bien ?" Il ponctuait sa phrase en posant une main sur son épaule, posant le regard sur le jeune homme derrière elle.(Noah) Il n'était pas sûr que Noah saurait le reconnaître, mais lui avait bien largement entendu parlé de lui avec celui qu'il considérait comme son grand frère, Enzo.  Il adressait à Noah un très sobre "Salut...." avant de reposer son attention sur la blondinette. (Milys) "Je suis content de te voir..."

Il se tournait ensuite rapidement vers son nouvel ami. (Anton) "Alors champion, tu t'en sors ?" A peine eut-il le temps de finir sa phrase qu'une détonation les perturbèrent. Milan fut projeter en arrière, un instant dans le flou total. Ses oreilles bourdonnaient, sifflaient. Il s'était retrouvé à terre, rempli de poussières. Il n'entendait plus rien, tout semblait flou. Merde, qu'est-ce qu'il venait de se passer ? Il n'avait pas le temps de comprendre quoi que ce soit. Tout autour de lui lui semblait étranger, il n'arrivait pas à comprendre où il était. Mais sa jambe lui faisait un mal de chien. A vrai dire, il n'arrivait pas à la bougée. Il essayait de se redresser tant bien que mal, observant qu'il s'était retrouvé les deux jambes coincés sous un gros bloc d'acier. L'arcade ouverte, l'ouïe toujours morte, les jambes bloquées et douloureuses. Au moins, il les sentaient..... Son cœur se mit à battre à une vitesse encore jamais atteinte. Il regardait autour de lui, incapable de parler, de crier, sous le choc, espérant reconnaître une visage quelque part dans ce bordel.

@Milys C. Musk @Noah M. Ferrari @Anton Withaker
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qu'est-ce que j'fais ? qu'est-ce que je fais ? chaque fois que je baisse les yeux, c'est pour voir plus de blessés, plus de chaos. et y a ce silence par lequel tu me réponds, le temps que l'information fasse son chemin de ton côté aussi. que tu réalises que non, j'suis pas en bas. et quand j'me dis qu'y a cinq minutes encore, j'étais là où y a tous ces corps, j'ai le myocarde qui s'emballe et part en vrille. pas bouger. ça j'peux faire, j'suis littéralement statufiée depuis que je me suis roulée en boule sur mon siège. j'lève les yeux pour voir la nacelle au dessus de la mienne, mais j'arrive pas à voir les passagers. j'arrive pas à voir si tout le monde va bien, comme si j'cherchais à me rassurer. et à nouveau, mes yeux qui scrutent le sol, en quête désespérée de ton visage intact. « j'te vois pas... pourquoi je te vois pas ? » ma voix se brise, mes mains se serrent autour du téléphone. tu me dis de respirer. et j'essaie. j'essaie désespérément j'te le promets, mais j'crois que je fais une crise de panique. « tu vas bien ? d..dis moi que t'as rien. » dis moi que tu fais pas partie de ces gens qui ont été touchés. mais t'as l'air d'être en état de dire des bêtises. comme évoquer l'idée même de venir me chercher là haut. « non ! » Je me redresse d'un coup, si bien que la nacelle tangue. aussitôt, je me recroqueville à nouveau dans le coin de mon siège. « je bouge pas, je respire, tout ce que tu veux mais je... j't'en supplie, n'approche pas. » et j'pense que tu peux clairement entendre aux sanglots dans ma voix que j'suis terrifiée, là. plus pour toi que pour moi. j'pourrais pas y survivre s'il arrive autre chose alors que t'es là, en bas. « je.. je vais pas bouger, et tout ira bien... » il faut que tout aille bien. de toutes façons, là où je suis, sauter n'est pas une option hélas.

@Taehyun Park
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tout était parfait. l’intonation de ma voix, les mimiques, le regard abattu. tout. mais t’es pas si conne @stella cavalero et moi, je suis perturbée trop facilement par la comète. alors je fais le faux pas, celui de trop et tout explose. toi la première, t’as balayé tes traits enfantins, ton regard naïf et tes airs de poupée fragile. il n’en reste plus rien, je vois la colère foudroyer ma silhouette de ton regard. je peux aussi sentir l’humiliation dans ta voix, celle de t’être faite berner par une parfaite inconnue à l’accent chantant. je vois que tu t’en veux @stella cavalero, atrocement d’avoir été si naïve. et si t’es pas capable d’affronter ce minuscule petit mensonge, d’encaisser cette misérable miette de mensonge.. alors comment tu feras pour avaler le reste de l’iceberg ? regarde @cosmo cavalero, regarde ses réactions et imagine toi quand elle saura le pire. t’as gagné stella, t’as repéré la faille mais j’ai plus d’un tour dans mon sac. tu m’enchaînes, tu te lâches contre moi à défaut de pas pouvoir le faire contre les autres. contre eux tous autour de toi, qui ont tout autant de raisons que moi pour recevoir ta colère. pour mériter ta haine. mais je te laisse faire, défoules toi, j’ai trop vécue pour m’effondrer au moindre haussement de voix. - t’as raison. je t’ai menti. sur toute la ligne. - je savais pas au début, je te le promet, je savais pas. je jure, droit dans les yeux, sans aucun remord. - je l’ai su après avoir emménagé, après l’avoir revu lui et par hasard en tombant sur ton instagram ! un regard rapide vers la comète. toujours muette, les mots sortent de ta bouche mais ne veulent pas dire grand chose. tu t’avances pas trop, tu t’imposes pas vraiment. tu préfères regarder de loin, sans trop te mouiller pour applaudir ta lâcheté encore une fois. - tu voulais quoi stella ?! hein ?! que je vienne te voir comme une pauvre meuf en pleurnichant, la queue entre les jambes parce que je me suis faite prendre pour une conne par ton frère ? j’hausse à mon tour la voix, je suis à deux doigt de ne plus faire la distinction moi-même entre le vrai et le faux. - tu crois que ça a été facile pour moi de te mentir ? bordel stella, j’ai juste pas eu le courage de te raconter mon pire échec sentimental.. encore moins quand j’ai su que c’était ton frère. les mots s’enchaînent, la voix déraille à la fin à force de m’époumoner. celle de @cosmo cavalero retentit, soulignant la fameuse colocation dont je venais d’être virée. - molto bene stella, je viendrais récupérer mes affaires ce soir. que j’abandonne en te foudroyant du regard. comme si c’était toi qui m’avait trahie, comme si c’était moi la victime dans cette histoire. - eh merde ! j’me casse. que je grogne, laissant les cœurs s’envenimer dans mon dos avant de tourner les talons.

j’ai le temps que de faire quelques pas que la terre tremble sous mes pieds. que la détonation vient brûler mes tympans à quelques secondes d’écart. mon cerveau se coupe automatiquement, j’entends plus rien. ni les hurlements, ni les cris de SOS, ni les âmes qui lâchent. j’entends plus rien, je tombe juste au sol, les bouts de verres qui se plantent dans ma peau rigide. je sens rien, je sens pas la douleur, la vision est floue et mes yeux ont du mal à rester ouvert. la fumée qui m’étouffe, qui brûle aussi et je tousse encore et encore sans pouvoir m’arrêter. je suis à terre, je sens mes os se broyer, mon corps faire des vas et viens au milieu des pieds qui fusent tout autour de moi. sur moi parfois aussi. je prends des coups, des sales même pour me retrouver éjecter quelques mètres plus loin. j’entends des bruits sourds qui me font vibrer le crâne, j’ai un putain de mal de tête. elle m’a l’air tellement lourde que j’peux à peine la révéler, juste de quoi ouvrir les yeux quelques secondes et voir une roulette qui se renverse dans ma direction. je lève les bras, réflexe naturel pour me protéger de sa chute. elle me tombe dessus de plein fouet, m’arrache un cri enroué. je tousse encore, je comprends plus rien et tout tourne autour de moi. les cris deviennent de plus en plus lointain, les paupières s’alourdissent et c’est les ténèbres qui prennent places rapidement.
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De la barbe à papa sur le coin des lèvres ? Je suis sûre qu'il dit ça que pour me voler un baiser. Un baiser sucré et plein de rires. Après en avoir bavé toute ma vie, je suis absolument heureuse. Auprès de l'homme que j'aimerai toujours. Avec ma princesse, notre princesse. Plus elle grandit, plus elle lui ressemble. On se dirige vers la grande roue, je les regarderai depuis le sol, toujours pas tout à fait remise du Space Mountain. Jane elle est trop pressée de monter sur le manège de la mort, c'est une intrépide notre fille, elle aura jamais peur de rien. BOUM. Le souffle de l'explosion nous balaie, je me fais projeter en arrière, traîner sur le sol. Ma tête protégée par le rembourrage de ma capuche. Un hurlement, celui de Jane. Je me relève, titubante, un peu secouée par le choc mais bien vivante, je me jette sur la poussette. Jane hurle. Je la sors du landeau, m'accroupis, son crâne contre ma poitrine, je la protège de ma tête. "Chuuuut. Chuuuut." Ma poitrine s'agite de soubresauts, je tremble de partout. Soudain je tourne ma tête, me dévisse le cou. Je fouille la place des yeux. L'explosion a soulevé un épais nuage de poussière, pourtant j'arrive à le voir. Callum. Contre un camion de forain. "CALLUM !" Un hurlement strident. Un truc qui défonce les tympans. Je m'élance vers lui en courant, m'accroupis dans la poussière près de lui, mes mains qui viennent encadrer son visage. Je tremble de partout, mon visage maculé de sang, de bave de larmes. "Tu... ça va aller, ça va." J'ai le menton qui tremblotte, je vois son regard rouler. Je passe ma main derrière sa tête, la ressors toute brunâtre. Non, non. "Quelqu'un ! A l'aide !" Des hurlements de partout, je sais pas si on m'entendra, personne peut nous entendre. "A l'aiiiiide !" Sauvez-le, sauvez-moi. "Roxanne ! Ca va ?!" J'me retourne, mais je reconnais déjà cette voix. Caleb se rue sur Callum, j'me recule, tétanisée. Il retire sa veste, appuie sur la plaie, tout pour arrêter ce sang, tout ce sang. Jane court vers nous en pleurant, elle se réfugie dans mes bras, je lui cache les yeux, je veux pas qu'elle voit ça, je veux pas qu'elle voit ça. Et moi, j'ai ce regard impuissant pour Caleb qui tente de ranimer l'homme que je pourrai jamais supporter de perdre.

@Callum Fraser @Caleb Edelstein
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T'es pas du genre méchant en soit, mais bon, t'es un connard insupportable et bien sur, tu soupires. Elle veut jouer à ça alors vous allez jouer à ça. Ton regard la fixe une seconde avant de finir par froncer les sourcils en voyant qu'elle regarde derrière elle. Ton regard la suit et tu viens viser chaque personne de cette fin de fil avant de soupirer Quoi ? T'as plus envie de jouer et tu veux qu'on bouge. Parfait moi aussi ! Mais son petit oh non de tout à l'heure laisse présager autre chose. Effectivement, un branleur que tu ne connais ni d'Adam, ni d'Eve qui se point jusqu'à vous pour discuter surement avec vous, mais, il pose sa main sur son épaule. Et ton regard fixe Milys dont tu entoures le bras entièrement à la taille pour la rapprocher de toi. Hors de question qu'un taré la touche ou autre. Quoi que. Mais bien sur quand il te parle, tu as ce regard froid et cette tête d'italien énervé, autant dire que tu vas le frapper si il s'approche trop de ta meilleure amie T'as fini ? Par contre on y va en fait lâches-tu froidement comme si tout cela te caractérisait et tu finis par reculer avant de soupirer. C'est un taré lui encore, je t'avais dis qu'il y avait que des tarés ici prononces-tu avant d'entendre des bruits bizarres et d'un coup un boom. Plus rien. Tes yeux s'ouvrent, tu es par terre, un mal de tête violent grogne et tu ne finis par gémir légèrement de douleur quand tu essayes de te relever. Milys ! Milys !!prononces-tu lentement mais impossible pour toi de savoir où elle est, ta main se porte à ton mal de tête et elle est rouge, rouge vif surement dû au choc, mais Milys a disparu


@Milan A. Ogan @Milys C. Musk

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Cet acouphène permanant qui résonne dans ta tête. Tu n’entends plus que lui. Comme si le monde autour avait été mis en sourdine. Biiiiiip. Il résonne, toujours, présent. Tu peines à respirer, comme si deux mains faisaient pression sur ton poitrail. Tu... ça va aller, ça va. Sa voix etouffée qui te parviens. Rox, mon amour. Les mots qui restent bloqués dans ta gorge, ta bouche entre-ouverte. J’ai mal, Roxanne. Fait quelque chose, aide-moi. Ca brûle là-dedans, j’sens que ça va mal tourner. Ton cri, qui résonne, un coup de l’eau conte tenu de toutes les horreurs qui nous entourent. Ca va aller. Mots hachés que tu prononces difficilement. T’as les paupières lourdes, ça tourne là-haut. Un frisson qui t’parcours tout entier. J’ai froid, Roxanne. Et puis, Caleb ? Qu’est-ce que tu fais là ? Tu m’aides. Sauve moi Caleb, j’t’en supplie. Ta veste qui s’enroule autour de moi, qui serre. Grimace sur mon visage, mes dents serrés. Ca change rien. Ca coule toujours derrière ma tête. Putain de caillou de merde. La vue qui se brouille, les cris qui s’étouffe de plus en plus. Légèreté qui t’enrobe, euphémisme quand on sait combien t’as mal. Tu tousses, une larme qui roule. Est-ce que j’vais mourir ? Aidez moi, putain.

@Roxanne L. Bates @Caleb Edelstein @Alexis Callaghan
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Tout allait trop vite, les phrases s'entremêlaient, les esprits s'échauffaient, les tensions palpitaient. Camille piquait, tu ne voulais pas répliquer, beaucoup trop absorber par la suite qui était entrain de se passer. Tu l'voyais s'en aller, c'était pas plus mal, qu'il se casse, personne ne souhaitait le voir autour de cette tablée. Et le discours larmoyant de Mila qui t'agaçait, ses failles et tes lames. Tu t'étais fait duper, Stella, et toi tu n'aimais pas tellement ça. La reine sortait les flammes de l'enfer, t'étais pas la femme de Lucifer puisque c'était toi, la reine des enfers. Elle ne savait pas sur qui elle était tombée, parce que toi Stella, t'étais pas du genre à te laisser achever. T'en avais vécu des choses, ça ouais, et tu t'étais toujours relevé. Ils essayaient de te blesser, seulement ils ne se rendaient pas compte qu'ils ne faisaient que te fortifier. T'étais ses larmes, ses regrets, son jeu malfamé. Tu voyais plus clair, Stella, tu voyais bien qu'au fond d'elle elle était animée par l'animosité. Tu soufflais, c'était donc ça, la ressemble que tu avais aimé. Toutes les deux des femmes abandonnées, des femmes que la vie n'avait pas épargné. Seulement tu te disais bien que ce qui vous différenciez, c'était votre honnêteté. Tu ne répondais même pas à ses hostilités, parce que tu savais que si tu avais été à sa place, les billets t'auraient sauvé. Tu t'mettais même à douter de sa richesse, elle en avait profité. Ouais, et maintenant tu l'savais. Tôt ou tard, elle payerait, Stella, tu t'en assurerais. Et tu la laissais partir, partir sans l'appeler, sans chercher à la voir se retourner. Tu la tuais de tes yeux bleus, sans regret. Tu te retournais vers ton frère, lui lançait un regard amer. Il gâchait toujours tout, il était toujours mêlé aux histoires qui partaient toujours de travers. Tu te demandais s'il n'était pas l'unique chose qui t'apportait que du malheur, Stella. C'était bien à cause de lui qui était parti que tu t'étais retrouvée seule lors de ce cambriolage. Tu l'détestais, c'était même déraisonné. Et tu t'en allais, toi aussi. Tu t'échappais, loin d'eux, loin des mensonges qu'ils souhaitaient te faire avaler, qu'ils aillent se faire voir.

Et ça détonnait, Stella. Un bruit sourd s'emparait de tes tympans, les cris s'élevaient derrière le son strident qui sifflait. Si l'angoisse n'était pas la note qui émanait à l'unisson de la foule, on aurait pu penser qu'une musique chavirait les coeurs. Seulement ce n'était que la terreur, et le souffre que tu humais te rappelait cette odeur qui te donnait un haut le coeur. Tu tombais au sol, Stella, et tu humais le metal rouge des corps. L'angoisse prenait ta tête, elle la tourmentait, elle te retournait. Tu t'en souvenais encore de ce que ça faisait, et tu pensais que tu n'aurais plus jamais à t'approcher de loin ou de près à ces douleurs. C'était pourtant différent, Stella, mais tu sentais ton coeur s'effondrer. Les échos des balles tirées par le passé ricochaient sur un présent bien marqué. Tu t'étais écroulée, par la peur, par les souvenirs, par la douleur. Tu ne savais pas où tu étais blessée, totalement déboussolée. Les larmes montaient, mais t'étais incapable de les écouler, ou même de crier. Tu te faisais écraser, ici, sur le sol qui était bien loin du marbre de ton passé. Tu sentais encore le liquide s'écouler, tu t'en souvenais parce qu'il venait te hanter lors de nuits où tu voulais t'apaiser. Il te semblait entendre au loin ton prénom, mais seul les coups d'une foule agités venaient s'échouer contre toi. Tu n'osais plus bouger, tu ne comprenais pas ce qu'il venait de se passer. Était-ce une mauvaise blague, Stella ? Les tumultes de ton passé t'enchaînaient, ton corps s'atrophiait. Tu murmurais, cela ressemblait à SOS qui finirait par s'échouer. Seulement, la plage était vide, et le message n'avait jamais été intercepté. Un prénom, un seul et unique mot. Tu l'avais déjà hurlé, par le passé, mais il s'était avéré que seul l'absence avait répondu présent. "Cosmo", que tu tentais.

@Cosmo Cavalero @Mila V. Rossi @Lucrezia Strozzi
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