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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
Imogen Blum
La Doyenne
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Je venais d'avoir la peur de ma vie sans savoir que ce qui allait suivre, allait être bien pire que je le pensais. Faisant alors volte face pour voir qui était cette fameuse personne qui venait de toucher mon épaule, je constatais un visage inconnu. Ce dernier s'excusa de m'avoir prise pour une autre et traça son chemin. Je n'ai eu le temps d'en placer une qu'il était déjà partie. Haussant alors les épaules, je reprenais alors mon chemin quand le malheur se produisit. Ce bruit qui m'obligea à crier de toutes mes forces alors que je fusse projetée vers l'une des nacelles de la grande roue, ma tête venait de prendre tout le choc et les vitres m'explosaient au visage. Je retombais lourdement au sol. J'avais l'impression d'étouffer, l'air me manquait. Du sang commençait à me sortir par le nez et je ne voyais presque plus rien. C'était flou. Je n'entendais plus rien non plus, ou alors que des bourdonnements. C'était la panique, et je me demandais si c'était la fin. Ce n'est que lorsque les secours arrivaient, que je perdis connaissance, incapable de bouger, incapable de voir, c'était le néant, le trou noir. Ma tête allait juste exploser.
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« et c’est pas demain la veille que tu mettras quoi que ce soit dans mon cul » juste histoire qu’on soit clair. non mais parce que clairement, ça n’allait pas arriver. ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais. et puis soudainement, tu sortais des baguettes de ta poche arrière m’en tendant une paire devant mon air amusée. « t’es sûr que c’est pas toi le mongole ? » j’secoue la tête récupérant mon cadeau et.. je note qu’en vrai, tu sais parfaitement d’où je viens et que t’as fais l’effort de prendre des baguettes métalliques. tu marques des points mickey, de plus en plus à chaque fois. « on peut pratiquement tout manger avec des baguettes du moment qu’on sait s’en servir. » sauf les liquides mais le liquide ne se mange pas donc bref., j’range les baguettes avant de t’attraper par le bras. « avant les churros, j’exige un tour en grande roue. » remember ? avant même qu’on se voit la toute première fois, c’était ce que j’avais réclamé alors j’attendais pas plus longtemps pour te trainer dans la queue. et je ne cessais de papoter attendant sagement notre tour. assez pour qu’on se retrouve tout devant, en lice pour la prochaine nacelle. et d’un coup, c’est la tempête. un bruit d’explosion qui nous pète au visage, des hurlements qui surgissent de partout, les miens aussi. j’ai le corps lourd, projeté je ne sais où et l’incapacité de bouger. ce qui semble être des morceaux de la cabine du gérant de l’attraction recouvrent mes jambes m’immobilisant. c’est ça la fin ? sûrement.

@mickey ainsworth
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est-ce que logiquement ce n’est pas à la femme d’être en retard ? si. mais les transports en commun ont choisit de déroger à cette règle et je m’impatiente alors que le bus est arrêté à un énième feu rouge. foutu travaux. j’sais qu’en plus, elle va râler et me rabâcher pour les six prochains mois mon retard, vive misha. et j’souffle de mécontentement en descendant, franchissant les derniers mètres pour entrer dans le lieu emménager pour l’occasion. pile au moment où mon téléphone sonne affichant une photo de la rousse la plus jolie qui soit. et j’décroche pour entendre sa voix et le pique qui vient avec. « tu fais rencard avec personne d’autre que moi » j’râle alors que je tente d’apercevoir ta chevelure dans la foule. « t’es où ? » j’continue d’avancer présageant que t’es probablement proche d’un stand de bouffe avant que le cauchemar ne commence. ça se bouscule, ça hurle, j’en perds mon téléphone alors que ça siffle dans ma tête et j’me retrouve à quatre pattes à tenter de remettre la main dessus. « MISHA T’ES OÙ PUTAIN ? »

@Misha Hayes
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Les mains dans les poches et attendant de savoir ce que voulait faire Newt -parce que y avait quand même l'embarras du choix dans cet endroit- je sursautais soudainement lorsque quelqu'un, une fille, m'adressait la parole. Je plissais les yeux en la regardant. Je la connaissais ? Comment elle m'avait appelé ? Mike. Mike, Mike... Mon frère ! Merde. «Ah pas de Mike ici, désolé.» je lançais en haussant soudainement les sourcils, tournant les yeux vers Newt avec un petit sourire amusé. «Oh mais j'suis con...» je me reprenais soudainement. J'avais pas l'habitude qu'on me confonde avec mon frère, c'était encore vachement récent pour moi -quelques mois seulement- alors j'avais jamais connu ça. Bordel, ça aurait été tellement plus simple de vivre ça depuis mon enfance histoire de pas avoir l'air con comme ça. «Je-Je m'appelle Morgan. Mike, c'est mon frère en fait. Problème de jumeau.» je disais en tendant ma main pour qu'elle la serre. Brooklyn qu'elle s'appelait ? Je connaissais une Brooklyn, la meilleure amie de Céleste. Je l'avais jamais rencontré, seulement entendu parler. Bon ça devait pas être elle. «C'est drôle ça, ma meilleure amie m'a aussi lâché pour aller voir le discours avec son mec.» j'expliquais avant de ricaner, tournant la tête de nouveau vers Newt. «Désolé. Mais tu peux rester avec nous quand même. Hein Newt ?» je demandais à mon meilleur ami en lui donnant un petit coup de coude. «J'te présente Newt.» je disais avec un sourire. «Et du coup t'es ici toute seule ?»

@Newton 'Newt' W. Spencer @Brooklyn Macfarlane
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J’écoute Hyun avant de rigoler à sa question. Ce que je pensais de mon frère, pas vraiment compliqué comme question mais plutôt longue à donner une réponse parce que j’avais tellement de chose à dire sur lui. Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit puisque Ryu s’empressa de répondre à ma place. « Ça va les chevilles ? » dis-je en haussant un sourcil faisant style de ne pas du tout être d’accord avec ses paroles. Je me tourne vers Hyun, un sourire aux lèvres « En fait c’est totalement ça ! » avant de lui faire un clin d’œil. « Fait attention que la maman gaga de son enfant ne te botte pas les fesses ! » dis-je en croisant les bras en me stoppant devant le stand de tir face à la grande roue. Ryu nous proposais un défi avec Hyun. Me mettant face à l’ami de mon frère le pointant du doigt « Toi t’a aucune chance ! Toi et moi ça va être la guerre. » plissant mes yeux pour le défier du regard. J’étais mauvaise joueuse, j’avais tendance à bouder lorsque je perdais faisant des réflexions à tout va, j’avais donc intérêt de gagner. Me retournant vers le stand pour payer la première partie, je  n’eus pas le temps de finir ma phrase auprès du vendeur qu’une explosion venait de retentir. Projeter contre le stand, mon corps venait de se plaquer contre le rebord de l’attraction en métal. J’avais ma tête qui marchait au ralentie, et je n’arrivais à rien. Des flashs de la nuit où j’avais assisté au meurtre de mon amie venaient simplement défiler dans ma tête du au choque des deux événements, je n’étais plus là, mon esprit était ailleurs seulement mon corps était ici. Je ne ressentait pas encore la douleur dans le bas de mon dos où un objet était planté dans celui-ci venant s’encastrer dans le stand de tir face à moi.

@Hyun-Do Yeo-Lee @Ryu-Jin Nam-Kim

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Tu observes Camille se détourner de vous, impuissante. Comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? C'est simple, les 4 coupables se trouve autour de toi et tu peux aisément t'inclure à eux. T'aurais jamais du l'impliquer dans vos histoires, t'aurais même pas du jouer avec le feu en cachant ton identité dès le départ. Pourquoi tu fais ça Lucrezia ? Pourquoi tu dois toujours te retrouver dans les pires situations, les pires complots ? Tu t'es trompée d'époque, t'es pas née au bon moment. T'aurais du voir le jour au XVIème siècle, à l'époque des Médicis dans une Florence rythmée par les trahisons, les empoisonnements, les alliances et mésalliances. Tes mensonges y auraient rencontré un franc succès. Mais t'es à Boston en 2019, sur la scène d'un cauchemar en préparation. Le tien ne fait que commencer et Mila l'illustre de ses paroles envenimées. En quête de rédemption, elle vous offre un scénario auquel t'es beaucoup trop sensible. L'histoire de la fille qui s'est faite abandonner par Cosmo, celle qui l'a trop aimé et qui s'en est mordu les doigts. Ton histoire. T'essayes de pas porter la main jusqu'à ton coeur que tu peux entendre se briser une énième fois sous ta poitrine. T'as la confirmation que t'as jamais été spéciale, ni à ses yeux à lui, ni aux yeux du reste du monde. T'es soudainement plus la seule à avoir vécu ça, t'as plus le monopole de la souffrance et ça te blesse d'autant plus. Comment t'as pu être aussi conne ? Aussi conne que toutes les autres, toutes ces filles qui risquent d'un jour faire leur apparition dans vos vies avec leurs lots de drames et de déceptions, comme c'est le cas de Mila. T'y crois Lucrezia, tu ne doutes pas d'un seul de ses mots, à tel point que tu ne vois pas les failles dans sa toile. T'étais bancale et Mila n'a eu besoin que d'une toute petite pression sur ta forteresse pour que ses murs s'écroulent et toi avec. Et t'es bien la seule à la croire. Stella est loin d'être dupe, elle ne se laisse pas berner, elle démonte les arguments de l'italienne un à un. Tu ne sais plus qui croire, quoi penser. Tu portes tes mains à ton visage, t'essayes de t'isoler du chaos autour de toi pour y voir plus clair dans ta tête. Mila ment, mais quelle est la limite entre le vrai est le faux ? Tu peux pas t'empêcher de penser qu'il y a forcément une part de vérité dans ses paroles, mais tu ne parviens pas à distinguer laquelle.

Et soudain, tout bascule. Un bruit fracassant, un souffle chaud qui te balaye immédiatement au sol. L'instant d'après, tu rouvres les yeux, tu ne vois plus rien autour de toi. T'arrives tout de même à entendre des hurlements malgré le sifflement dans tes oreilles. Ton regard rivé sur un ciel de poussière, tu mets quelques secondes à réaliser. Tu te redresses juste à temps pour éviter que quelqu'un ne te marche dessus. Tu chancelles, tu tousses. Tout ton corps n'est que douleur et tu gémis tant à cause de la souffrance que ta propre désolation. L'idée de t’ausculter ne te vient pas à l'esprit car face à cette scène de chaos, tu ne penses qu'à une chose. « STELLA ? » que tu hurles dans la fumée. Les bras tendus vers l'avant, t'essayes d'avancer à travers la foule qui s'emballe. Tu ne vois plus personne, ni Stella, ni Cosmo, ni Mila. Tu viens de quitter un enfer pour un autre, et dans celui-ci t'es totalement seule.

@CAMILLE BONAPARTE @MILA V. ROSSI @STELLA CAVALERO @COSMO CAVALERO
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Imogen Blum

Âge : 24
Lieu de naissance : Londres, Angleterre.
Quartier d'habitation / Colocation : Centre ville de Boston.
Situation sentimentale : Célibataire.
Études / Métier : 5ème année de finance, économie et marketing à la Harvard Buisness School. Elle pose pour des cours de modèle vivant nu deux fois par mois.
Date d'inscription : 12/12/2017
Pseudo & Pronom(s) IRL : genius loci (elle/she/her)
Icon : TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère - Page 14 QrzCI6YD_o
Faceclaim : Ellie Bamber
Crédits : pretty-nympheas (av) awona (code s) endlesslove (bann bal) soeurdelune (ic)
Multicomptes : ethel (daisy edgar jones) edwin (tom blyth)
Description (1) :
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IMOGEN BLUM
can buy myself flowers
talk to myself for hours


Caractère d'une enfant que l'on a façonné dans le fer. Imogen ne laisse rien au hasard, tout comme elle ne laisse rien transparaître de sa vie ou de ses émotions. Jamais en danger, jamais en dehors des sentiers battus. La jeune femme, n'ayant connue que cela, préfère se contraindre à ce qu'elle est plutôt qu'à s'imaginer en rebelle. De toute façon, elle n'aurait aucune idée de comment faire pour entamer une révolution.

Ses journées sont indéniablement occupées par ses études et l'entreprise familiale. C'est le cœur de ses conversations quand elle côtoie sa famille. Chacune de ses journées commence tôt, pas une séance de yoga, de méditation ou même de footing. Quand elle sort, ce sont souvent dans des lieux chics. Elle aime particulièrement faire les magasins - toujours dans des boutiques luxueuses. Elle est souvent chez elle quand elle n'est pas sur le campus. Bien qu'elle pose pour des cours de dessin de nu, elle ne pratique pas. Néanmoins, elle apprécie une visite au musée de temps en temps.

Description (2) :
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Warnings : Harcèlement scolaire durant l'enfance, éducation rigide, personnage froid
RPS : 89
Messages : 26606
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Imogen Blum
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t165868-imogen-blum-ellie-bamberRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155579-imogen-ethel-edwin-repertoire-rps#6943452Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t172602-imogen-edwin-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t165905-meetsachussets-immyblum
« Donc ton conseil en tant que babysitter est de lâcher le monstre assoiffée de sucreries en elle pour la mettre k.o... je prends note super babysitter ! » Je riais à sa remarque, rien à faire de passer pour une mauvaise babysitter. Dans le fond, le plus important, c'est que Caprice m'appréciait vraiment, c'est tout ce qu'il comptait. Et là, aujourd'hui, il valait mieux la laisser vivre et s'épanouir. Naturellement, c'est vers moi que la demoiselle se tournait pour faire quelques manèges. Le carrousel n'étant pas vraiment mon délire, je lui proposais de le faire seule et de l'accompagner dans les manèges un peu plus.. sportif. J'étais même certaine que Miles allait accepter de venir avec nous dans la maison hantée. Peut-être même que c'est lui qui sera le plus flippé des trois, qui sait... Je laissais les deux s'éloigner pour aider Caprice à se mettre en place et faire un choix cornélien concernant sa monture. Pour ma part, je m'appuyais à la rambarde, mon regard balayant la foule jusqu'à ce que Miles revienne dans ma direction. Je n'allais pas pouvoir faire de photo de sa fille, comme promis, étant donné que mon portable ne faisait que rendre l'âme jour après jour depuis mon plongeon dans la mer. Je ne m'attendais pas à voir son visage changer de la sorte. Mes propres joues devant rouges en sentant le malaise s'installer. Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ? Je... « Oh.. » Je détourne le regard. Okay. « Enfin j'veux dire, tiens.. prends le mien ! » Je pinçais mes lèvres en le regardant à nouveau et en acceptant son téléphone, activant l'appareil photo et en le pointant vers Caprice en souriant. « Tu- tu vas mieux au fait ? » Mes yeux s'arrondissent, définitivement pas prête pour cette question. J'veux dire.. J'étais là pour Caprice, j'étais étonnée que ça l’intéresse tant que ça dans le fond, surtout avec les histoires qu'il y a eu dans son meilleur ami et moi. « Ouaip, super » que je dis sans grande conviction. En pleine forme comme il peut le voir. Je me concentre à nouveau sur les photos, répondant aux coucous de Caprice jusqu'à ce qu'une déflagration nous propulse à terre. Je pousse un cri de surprise, mais mon cri se mêle à tous les autres. Un bourdonnement dans mes oreilles m'étourdit, j'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe, surtout en voyant la panique s'activer autour de nous. « CAPRICE » que je me réanime à plein poumon en me redressant tant bien que mal pour courir vers l'attraction en compagnie de Miles. La chute a ravivé la douleur dans mes côtes et mon cœur se met à tambouriner d'une vitesse folle lorsque je monte sur le manège toujours en marche et retrouve la petite inerte sur le plancher.

@Miles Hohenstaufen
(Imogen Blum)



i'm not that innocent ••

you see my problem is this i'm dreaming away wishing that heroes, they truly exist

 
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Comment est-ce qu'elle ose rigoler de la mort comme ça ? Non mais moi je suis une super chochotte de fou.  « rigole pas avec ça. » je sais que la mort, la sorcellerie tout ça c'est ton kiffe, mais pas le mien aha. On s'installe enfin dans une nacelle et elle se moque de mes lèvres. « c'est le froid, j'ai mes lèvres trop sensibles. » what ? Je viens vraiment de dire ça ? A peine on décolle du sol qu'un bruit terrible se fait entendre. Tout va vite. Une bombe, une foule en folie, la nacelle qui tangue, des bruits de verres qui partent en éclat, tout va trop vite. Par réflexe j'attrape Phoebe pour la protéger mais je me retrouve à perdre l'équilibre, aveuglé par les morceaux de verre au visage. Je me sens tomber. Je me retrouve sur le sol, sur le dos, embroché par une barre métallique de la nacelle au niveau de mon épaule, à dix centimètres du coeur. Je perds du sang, mon t-shirt perd son éclat pour devenir rouge. Je vois rien, je m'entends plus respirer. Juste des bruits d'horreur et des gens qui me piétinent. Je perds connaissance. - @Phoebe Rowan
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plus la nacelle monte, plus je peux voir la globalité de la fête foraine. à peine tu réponds, que déjà j'attaque, sourire aux lèvres, à guetter la foule en espérant voir ton mètre quatre-vingt six bridé qui dépasse tout le monde. « et si j'fais un rencard toute seule, techniquement c'est personne d'autre que toi, non ? » sourire idiot, j'me penche à la vitre quand je crois reconnaître une silhouette qui ressemble à la tienne. « t'as qu'à me chercher ! » l'air goguenard, j'ajoute, le sourire dans la voix : « moi je te vois en tout cas. » et je suis sur le point de te dire de lever les yeux, quand brutalement, ma tête heurte la vitre, mon téléphone m'échappe, et je tombe de mon siège, assourdie par un bruit dont je ne trouve pas la provenance. etourdie les premières secondes, je me redresse pour retourner m'asseoir, et sur le moment, j'réalise pas. j'réalise pas ce qui vient de se passer, jusqu'à ce que je voie le chaos en contrebas quand je baisse les yeux par la fenêtre. les gens affolés, des corps çà et là... et pourquoi est-ce que j'ai l'impression d'être plus proche des stands tout à coup ? le calcul peine à se faire dans ma tête, jusqu'à ce que je voie les flammes et la fumée au niveau de la roue. tae... tae t'es où ? jai les oreilles qui bourdonnent encore, et ma main cherche mon téléphone pour le récupérer là où je suis tombée. les premières secondes, j'entends rien. puis sa voix me parvient, de plus en plus clairement. je soupire de soulagement, jusqu'à ce qu'il me demande où je suis. c'est seulement là, que je réalise ma position. là que je bredouille, la panique montant graduellement : « je... » respire, misha. respire. je ferme les yeux, alors que j'arrive enfin à dire, difficilement : « tae.. je suis dans.. la roue... »

@Taehyun Park
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C’est compliqué, de jongler, arranger, apaiser, tout ce qui se bouscule sous la peau cicatrisée. Tu vois, j’y arrive pas, à faire semblant, à faire comme avant. Ça transparaît, ça déborde de mon attitude. J’ai juste le venin qui s’est réparti dans tout le corps maintenant, c’est encore pire. J’peux pas y échapper. Elle n’est que malice, quand elle souffle un : « Je la trouve belle comme ça, moi. » Elle mérite pas d’être lessivée, on mérite pas d’être blanchis, oubliés dans le tambour d’une machine. Je veux que tu te rappelles l’électricité, les nerfs tirés à l’extrême, et de mes lèvres sur les tiennes. Alors je t’entraines vers ce qu’on connaît, j’t’éloigne des jeux d’enfants, j’attire vers ta nouvelle réalité. Ce qui nous rassure, notre douce violence. Sauf que moi qui voulait me blottir dans le confortable, tu m’en sors en m’arrachant de ma bulle, tu m’replonges dans l’eau brûlante. « Là. » Répète l’amazone, un espèce de sourire insondable aux lèvres. Elle-même, elle sait pas ce qu’elle en pense. Enfin, si, elle sait, elle sait exactement ce qu’en pense sa carcasse, et c’est ça le problème. J’regarde même pas le score, j’m’en fous du chiffre, je veux voir si tu serres le poing, j’veux voir si tu vas mettre tout ce que t’as dans ces phalanges. Elle se penche vers Il. « Il a l’air vraiment méchant ce clown. » Si seulement t’avais besoin d’une autre motivation. Et, quand y a l’impact, que ton poing revient, que tu le récupères, hissée sur la pointe des pieds, j’impose de ma main sur ta nuque, tes lèvres sur les miennes ; avant que le score ne s’affiche. On s'en fout de ce score. Y a le cœur qui s’enflamme, elle s'approche, elle prend sa dose, elle en veut encore, et, quand elle s'écarte à peine, pour dire surement une phrase pleine de sens et d'intelligence, c'est le reste du monde qui refuse. C'est les cris de joie qui se muent en terreur, c'est l'odeur de fin du monde, c'est le bruit de détonations qui brouillent le corps, les oreilles qui sifflent, c'est Lex projetée au sol, arrachée aux bras masculins. C'est obscur, elle se bat contre des fantômes, prise dans ce tourbillon où l'esprit n'est pas équipé pour comprendre, pour absorber ce surplus d'adrénaline, pour intégrer l'horreur. Sa carcasse n'est que douleur, ta guerrière ne sait plus où elle sait, ce qu'elle sent, ce qu'elle ressent, ne sait plus ouvrir les prunelles, ne sait plus où elle a mal, tant la douleur envoie des signaux de partout dans son pauvre corps. Les signaux s'entrechoquent, le sang boue, l'esprit tente de rallumer la machine, et voyant la panique générale, décide de tout éteindre. Rideau.
@caleb edelstein
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