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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
Imogen Blum
La Doyenne
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Le choc était trop violent, ta tête a heurté plusieurs pierres en plein fouet et tu te laisses fondre lentement face à tous tes supplices. Tu ne sais pas réellement si normal d'avoir aussi mal et ton coeur s'arrête lentement de stresser. Ta main couverte de sang, dû au choc à la tête ne semble pas fonctionner correctement. Tu n'arrives pas saissir la main de Milys qui te la tend et finalement elle te l'attrape. Tu as mal aux côtés, tu as mal partout et tu serres les dents J'y arrive pas Mil' Tu as mal partout à cause du choc et cet enfoiré de mal de tête ne part pas bordel, en même temps, t'es légèrement en train de te vider de sang sur le parterre de la fête foraine. Tu finis par soupirer bruyamment avant de tousser Va te mettre à l'abri, je vais essayer de me relever seul okay ? Fierté à fond sorry Milys, mais t'es en galère pas possible et tu as mal partout, autant éviter de la retarder, tu t'en sortirais quoi qu'il arrive, t'as bien survécu aux bombes pourquoi pas à cet attentat ?


@Milys C. Musk @Milan A. Ogan
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T'as retrouvé Maverick et t'es contente d'être là, de respirer le grand air. Tu souris comme une gamine parce que c'est comme le pays des merveilles ici tous brille, il y a de la musique d'enfant, des gens qui courent au loin, des peluches, une grande roue. Le maire a parfois de bonnes idées faut croire. Tu regardes autour de toi le monde qui continue d'avancer et tu souris a Mav et tu reprends J'adore les endroits comme ça que tu reprends en faisant une pirouette sur toi même. Il te tend de la barbe a papa et tu souris pour reprendre Je peux pas je suis allergique. avant de reprendre Non je plaisante faut pas me le dire deux fois ! et t'en prends un bout, ca te colle aux doigts mais t'es trop contente. Vous arrivez au stand de carabine et il réclame la licorne tu souris amusée de toute facon je crois que toi tu souris tout le temps D'accord la licorne avant de payer le mec du stand pour récupérer la carabine et commencer a viser les cibles. Première à coté puis seconde dans le mille tu saute sur place avant de te ressaisir. T'allais tirer la troisième cartouche, t'étais prête a appuyer sur la gâchette quand tous va très vite. Un bruit sourd, t'as même pas le temps de te retourner que te voilà projetée en arrière, quelque chose heurte ton visage, probablement la carabine et tu perds connaissance avec le choc.

Tu ouvres les yeux et t'es au milieu de nulle part, il y a juste une lumière face a toi. T'appelle autour de toi, tu sais pas franchement où tu es alors que cette lumière se rapproche. Tu vois son visage et t'as l'impression de rêver, elle te regarde et te dit que tu dois te réveiller, que tout ira bien. Tu veux dire que non, que tu veux rester là toujours le même conflit : arrêter de se battre et partir ou rester, rester avec ton père, tes frères, ta vie. T'as l'impression d'être déconnectée. Mais t'as pas le temps de protester que la lumière s'en va et elle s'en va avec.

T'entends quelqu'un prononcer ton prénom alors que tes oreilles sifflent encore, t'as pas l'impression que ce soit vraiment réel. Le seul mot que t'arrives a prononcer c'est seulement Maman.. d'une voix a peine perceptible. T'essaie de bouger, tu bouges la tête et t'as mal partout alors que ta vision commence a revenir de façon très trouble tu distingue quelqu'un près de toi et tu te mets a tousser comme si ta respiration avait été coupé pourtant t'as l'impression d'avoir quelque chose dans la bouche. Tu reconnais Mav et tu comprends pas ce qu'il s'est passé, ta main attrape sa veste comme pour lui dire de rester avec toi. Tu sens plus vraiment ton corps, t'as mal partout jusqu'à ce qu'une douleur se fasse plus puissante dans la hanche droite et tu cris de douleur en sachant pertinemment que tu as mal partout mais pas a cet endroit là. Néo a ce moment là tu sais qu'il est arrivé quelque chose a ton frère sans savoir dire quoi. Tous se bouscule dans ta tête, tu comprends rien t'es incapable de vraiment parler, de vraiment bouger, t'as l'impression d'être en plein chaos et tu comprends pas comment tu sais même plus où t'étais à vraie dire tu te rappelle de rien des dernières heures.

@Maverick Tenenbaum
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Quand tu vois finalement Phiphi face à toi, tu cours vers lui, bien trop contente de le retrouver, un peu, juste pour toi. La vie fait parfois qu'on voit moins ses amis et ce fut le cas pour vous, mais ça n'enlève en rien l'attachement très fort que tu as envers lui. Un câlin en guise de bonjour et tu souris, rien qu'en sa présence. Alors qu'il te demande quelle attraction tu veux faire, puisque vous êtes juste en bas, tu hausses les épaules en ajoutant On pourrait faire un tour de grande roue ? Comme ça, on verrait Boston de tout là haut. commençons par les trucs basiques, après vous irez fait des tours en autotamponneuse ou bien du tire à la carabine. Vous vous rendez dans la file pour grimper et tu souris à sa question C'était super, Ibiza c'est vraiment une ville de fête, c'est impressionnant. Et toi, tu as fait quoi pour la nouvelle année ? Tu passes sous silence ta rupture avec Noah Ferrari, parce que ça ne sert à rien de remuer le couteau dans la plait. Tu parles pas non plus de ton rapprochement rapide et sincère avec Mael Rowan. Parce que vous êtes pas là pour parler de ça. Finalement, vous montez dans votre nacelle et t'es comme une gosse de faire un tour de grande roue. Tu tourne la tête pour regarder le paysage avant de le regarder lui Alors, j'ai manqué quoi dans ta vie ? Je veux tout savoir. Tu es de bonne humeur, enjouée et souriante, comme bien souvent. Bien loin de te douter de ce qui va se passer. Vous êtes au 1/3 de la montée, ni trop haut, ni super bas. Une détonation, sourde, tu n'as le temps de rien faire que tu es projetée en arrière, l'arrière de ta tête heurtant sévèrement la barre de fer, il y a des bruits tout autour, tu crois, mais tes oreilles bourdonnes suite au bruit de détonnation. Il y a de la fumée partout, mais tu ne t'en rends pas compte tout de suite, car tes yeux sont fermés, ta respiration est courte, tu ne comprends pas dans un premier temps ce qui se passe, tu réussi juste à bouger ta main pour tenter d'attraper celle de Phiphi, mais un violent mal de tête, t'empêche de dire quoi que ce soit, ou même d'hurler, ce qui serait normal en vue des circonstances.

@Philip Harrison
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Tu finissais te réveiller. Tu ne saurais dire si cela faisait quelques secondes seulement depuis que tu avais tourné de l’œil ou si d'atrocement longues minutes étaient passées depuis, mais lorsque tes paupières clignaient à plusieurs reprises, t'étais toujours au même endroit, contre ce sol qui faisait maintenant presque parti de toi. La fumée omniprésente, la masse tout autour de toi et l'absence visible des secours te faisait supposer que tu n'avais pas du perdre conscience trop longtemps. Tes tympans refusaient de coopérer, et tu te sentais comme emprisonné dans ton monde, comme déconnecté des autres que tu pouvais voir s'affoler d'une manière un peu plus nette que précédemment. Tu te mettais à tousser de nouveau, essayant de te calmer pour ne pas aggraver les choses, essayant de respirer comme tu le pouvais sans que ça ne te brûle les narines. C'est là que tu le sentais. Trop concentré sur les bourdonnements dans tes oreilles, tu te sentais comme privé de tes sens, même de ceux qui marchaient plutôt bien – alors t'as pas vraiment fait gaffe au début, l'esprit trop embrumé à te réveiller et à te remettre dans le contexte de ce qu'il se passait. Mais tu finissais par sentir une présence, une main contre la tienne, et tu levais ton visage pour l'observer. Un clignement, puis un second, puis tu laissais tes yeux traverser le long de ce bras, jusqu'à la silhouette à qui il appartenait. Ton cœur ratait un battement devant la vision d'horreur qui se trouvait devant toi, et malgré tes tentatives de fermer tes paupières et de les ouvrir de nouveau rapidement, l'image ne disparaissait pas. « Lara... » Tu laissais échapper faiblement, sentant tes yeux te piquer, les larmes te monter. Ça pouvait être à cause du souffre, ou simplement parce que devant tes pupilles se trouvait Lara, allongée au sol, les yeux fermés, et la poitrine complètement transpercée par une barre métallique. Malgré que tu te sentais toujours dans un état un peu léthargique et sonné, tu venais ramper au plus près d'elle, ta respiration forte, l'angoisse prenant part de tout ton être.  « Non non non... » Tu murmurais sans savoir t'arrêter, l'une de tes mains tremblantes venant se poser sur son visage – t'osais pas vraiment toucher sa poitrine malgré le sang, t'avais peur d'aggraver son cas ou d'enfoncer encore plus la barre de manière irréversible. Tu venais te placer derrière elle et tu soulevais doucement son dos, qu'elle puisse se reposer sur ton torse et mieux respirer dans cette nouvelle position. « S'il te plaît, ouvre les yeux... » Tu suppliais, deux doigts essayant de prendre son pouls au niveau de son poignet alors que ta vision se trouvait brouillée par les larmes. Elle ne pouvait pas être morte, tu le refusais.
@lara-jean kim
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ça s’appelle l’instinct de survis ou une connerie du genre. et si t’avais disparu, j’aurais pas vraiment pu te blâmer. j’aurais probablement juste balancé à qui veut l’entendre que t’étais un connard comme tous les caucasiens mais sans plus. mais t’es là alors j’suppose que je peux déjà supprimer toutes mes idées t’insultes. puis tu cries, tu fais que ça. et si j’étais pas aussi concentrée sur mes jambes, j’te demanderais probablement de ménager mes tympans déjà bien endommagés. « NON SANS DÉCONNER ? » tu l’as sens l’ironie dans ma voix ? non mais parce qu’elle est bien présente là. d’autant plus qu’en tentant de bouger les débris, à défaut de me libérer, j’ai juste eu l’impression d’être écrasée un peu plus. j’crois que je tourne de l’oeil et je ferme les yeux, cherchant à respirer calmement pour finalement sentir un poids puis un deuxième me libérer. ah, faut croire que y a de la solidarité puisqu’on vient finalement me libérer des parois tombées sur moi. mais j’bouge pas. j’bouge pas et je panique encore plus. « j’sens plus ma jambe gauche. je.. j’peux pas bouger » j’déraille, j’ai peur, j’ai mal. j’peux même pas décrire comment je me sens, c’est juste le bordel. n'importe qui me dirait que c'est normal d'avoir peur mais là, c'est pire. c'est de la terreur. de pas être capable de bouger. j'suis tétanisée en fait je crois. et j'crois que la pression lâche au moment ou tout mon corps se met à convulser. sorry ?

@mickey ainsworth
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« Fête foraine Ephémère »
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L'armée est certainement l'endroit où l'on voit des pires horreurs. Etre confrontés à des hommes et des femmes qui sont prêts à tout pour défendre leur famille, leur chef ou encore leur croyances. Ses personnes n'avaient pas peur de mourir, ils pensaient juste à tord défendre ce qui leur semblait juste. Anton en avait tuer des hommes, sans aucun remords. C'était son boulot. Il devait sauvés des ressortissants américains et qu'importe le reste. Mais là, un tel chaos, c'était tellement terrifiant. Il pouvait lire la peur dans le regard des gens, leur angoisse, leur douleur. Il devait absolument essayer de sauver et d'aider les gens. Il avait l'impression d'être dans son univers. C'était quand même assez malheureux de penser cela. Il entendit alors Milan le supplier. Anton ne pouvait pas rester ici, cela n'aiderait pas l'homme, il devait absolument trouver un moyen de le faire sortir de la dessous très vite. « Je vais chercher de quoi te tirer de là, je reviens » Il n'entendait pas grand chose mais il en avait l'habitude. Malgré les blessures, il restait sur le qui-vive. Il repéra alors deux hommes. L'un avec une blessure à l'épaule qui semblait mal en point et qu'il valait mieux pas laisser seul et un autre avec un enfant dans les bras. Il s'approcha d'eux. « J'ai besoin de votre aide, s'il vous plait » Il espérait qu'il lui répondrais favorablement. Il ne pouvait pas laisser Milan coincé sous le bloc d'acier. « Un homme est coincé sous un bloc d'acier » Il ramassa au passage des barres de fer. Peut-être que cela leur permettrait de faire levier et de ne pas trop aggraver leur blessures respectives.

@Milan A. Ogan @CAMILLE BONAPARTE @N. JUDE S-MONTGOMERY

black pumpkin
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Je sais pas quand je comprends que c'est la fin. Un basculement. J'ai beau encore prier pour les secours, prier pour que Caleb empêche tout ce sang de couler, je le devine dans son regard. Je le vois qui part. "Je t’aime Rox, mon amour. L’oublie jamais." Sa main glacée qui se pose sur la mienne. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Faites que ça soit qu'un cauchemar, je vais bientôt me réveiller, je le trouverai allongé contre moi. Mais cette odeur métallique est trop prenante, à m'en donner la nausée. L'horreur existe. Je garde le bout de tissu que Caleb m'a passé plaqué contre le visage de Jane qui hurle, la serrant de toutes mes forces. "Aime là. Avec ton cœur, pas tes poings. Putain, et …" Et... Il fait froid, la mort m'a frôlée. "CALLUUUUM !" En hurlant assez fort, je le ramènerai peut-être. Je me jette sur son corps sans vie, me cramponne à sa poitrine, passe mes doigts dans ses cheveux, plaque ma tête contre sa joue glacée. Et je pleure. J'pleure face à ce putain de cynisme : la vie m'offre le bonheur suprême pour quelques mois, et me l'arrache. Callum part et avec lui, une partie de mon coeur. Je veux me laisser mourir contre lui. C'est plus facile. On se retrouve là-haut, je prends le prochain nuage.

@Callum Fraser @Caleb Edelstein
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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RPS en cours :
00 RPs › 20/10 → 27/10
00 RPs › 27/10 → 03/11
01 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 19
NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
RPS : 136
Messages : 38483
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Kaze Faulkner
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modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze
La peur s'emparait de moi alors que j'étais couché au sol, les yeux fermés tandis que les gens me passaient dessus. Une douleur aux côtes, une douleur au visage. Je rêve ou on vient de me foutre un coup de pied à la gueule ? Grimaçant, je restais comme ça, protégeant un peu plus mon visage de mes bras tandis que j'entendais un peu plus les cris tout autour de moi. Je n'avais aucune idée de ce qui venait de se passer mais de toute évidence, c'était l'enfer. L'enfer sur terre. Mes pensées allaient vers ma petite amie qui était pas à mes côtés, avec qui je venais de limite m'engueuler à cause de son ex et que j'avais laissé aux abords du stand de tir. Et moi, je suis allongé, face contre terre, à me protéger des gens qui couraient partout. Putain, faut que je me relève, que je la retrouve et que je lui dise que je l'aime, parce que j'ai peur de mourir aujourd'hui. Peur qu'un autre truc arrive dans les minutes à suivre. Alors je finissais par tenter de me redresser mais quelqu'un arrivait au même moment pour me refoutre au sol de son pied lourd par le désespoir et la peur. Je pouvais comprendre. Alors je tentais de nouveau et c'est à ce moment là que j'entends la voix de celle qui fait battre mon cœur. Je finis alors le dos contre le sol, le regard la découvrant juste au dessus de moi et mon cœur était soulagé. Elle était saine et sauve et c'était tout ce qui comptait. « Le... Qu'est-ce qui se passe Louison ? Qu'est-ce qui vient d'arriver ? » que je demande dans la panique, à la recherche de la moindre réponse qu'elle pourrait m'apporter pour expliquer que le ciel venait de nous tomber sur la tête. Mais je n'avais pas de réponse. À la place, j'avais ses lèvres qui venait retrouver les miennes, malgré le sang qui était bien étalé sur mes lèvres et dans ma bouche. Merde, faut que je crache une nouvelle fois. « Je sais, je sais » Et ses lèvres retrouvaient encore une fois les miennes et je me délectais de cet échange avant qu'elle ne veuille qu'on s'en aille d'ici. Oui, clairement. Je n'avais pas envie d'avoir une récidive pour le coup, je ne voulais pas mourir, pas ici, pas aujourd'hui. Je voulais avoir toute une vie avec elle alors ouais, je tentais de me redresser pour pouvoir la suivre n'importe où, surtout loin de cet enfer qui s'était installé tout autour de nous. Une fois sur mes deux pieds, je me calais contre elle, grimaçant légèrement à cause du piétinement, ne sachant pas si j'avais des blessures autre que les quelques bleus qui se dessineront sur ma peau incessamment sous peu. « Je te suis, je te suis n'importe où bébé, emmène-moi loin d'ici s'il te plait » Je collais mon front contre sa joue avant de chercher toute la force que je pouvais avoir pour fuir cet endroit et aviser par la suite.
- @Louison Chamberlain
(Kaze Faulkner)




“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

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Au moment où Roxanne se jette sur le corps de Callum, c’est à la volée que Caleb récupère Jane dans ses bras. Il la tient fort contre lui, le bout de tissu sur sa bouche pour empêcher la suie de passer mais qui n’empêche pas ses cris de traverser les tympans de tout le monde. Elle hurle de peur, de froid, elle hurle ce père qu’elle a à peine eu le temps de connaitre. Et Caleb entend les mots qui résonnent de Callum dans sa tête, comme le dong d’une cloche d’église. Il ferme les yeux, il s’accroche à sa fille, il laisse Roxanne pleurer, hurler, se débattre. Mais un bruit sourd lui fait lever la tête. La grande roue est en train de lâcher, elle vacille lentement, et c’est dans leur direction qu’elle a la projet de s’écrouler. « ROXANNE. Il faut qu’on y aille ! » Il essaie de camoufler le son avec ses cris, mais rien n’y fait. « Roxanne, laisse le ! Je suis désolé mais il faut y aller ! » Elle ne veut rien entendre, elle hurle, elle est en train de criser. Alors tant pis, tant pis ça remonte des mauvais souvenirs, il lui attrape le bras avec force et la tire en arrière, il lui met Jane dans les bras parce qu’il doit récupérer Alexis. Putain. « TU COURS. POUR JANE, ROX. » Et il soulève Alexis de terre, le bras gauche sous sa nuque, le bras droit derrière ses genoux et il avance tant bien que mal, derrière Roxanne pour l’obliger à avancer. Et la grande roue s’écrase derrière eux dans un vacarme assourdissant.

@callum fraser @roxanne l. bates @alexis callaghan
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le néant total. il faisait atrocement sombre ici, atrocement froid même. je n'entendais pas, je ne voyais pas non plus. c'est comme si j'étais prisonnière de mon propre corps, d'une cage sans barreaux, d'une cellule sans porte de sortie. puis soudainement, je me sentis attrapé, soulevée. est-ce que les secours venaient d'arriver ? ça je n'en savais rien, il m'était impossible d'agir correctement et surtout savoir quelle été la personne qui se cachait derrière cette action. je me sentais légèrement mieux après quelques secondes, l'air, même si elle continuait à sérieusement me brulait les narines, arrivait à mieux pénétrer dans mes poumons endoloris. parce que oui, à chaque fois que je prenais un inspiration, même minime et peu visible par mon entourage était un vrai supplice. j'étais d'un point de vue extérieur, complètement inerte, presque morte et mon pouls était si faible qu'il était assez compliqué de le sentir à premier abord sans venir écraser ses doigts contre ma jugulaire interne. puis un relent, assez dégueulasse me brulait cette fois-ci la gorge. le sang qui s'accumulait dans mes poumons devaient vouloir s'évacuer quelque part sans quoi, je finirais noyé. comme après une bonne grosse claque, je venais à ouvrir les yeux, faiblement, toujours en y voyant flou puis laissa cet amas rougeâtre sortir de ma bouche. si seulement j'avais pût voir correctement qui était avec moi, j'aurais éviter de lui gerber en quelque sorte dessus. lorsque je respirais désormais, on pouvait entendre clairement un sifflement aiguë, preuve que j'avais du mal à contenir un maximum d'oxygène dans mes poumons et à chaque toux, encore et toujours ce sang qui tâchait mes lèvres et mon menton avant d'atterrir sur mes fringues mais aussi cette peluche durement gagnée par Minho qui était toujours avec moi, comme si je ne pouvais me résoudre à le lâcher bien qu'il était légèrement détruit par le souffle de la bombe. et encore une fois, des vertiges, les paupières et une tête trop lourde pour pouvoir les tenir droit. quoi que rapidement, je fus prise d'une autre envie de vomir, si je puis dire ça comme ça et je fini par me pencher un peu plus en arrière par le suite, me collant contre le torse de la personne derrière moi. j'avais cette impression que c'était Minho qui était là, parce que je ne sentais plus sa main dans la mienne. doucement je venais à serrer son pantalon entre mes doigts avant de papillonner des yeux, tenter de voir quelque chose de plus clair et ça revenait par parcimonie. une tignasse brune et je laissais un sourire se former à la commissure de mes lèvres. "hey..." soufflais-je en espérant qu'il m'entende avant prendre une grande inspiration, chose que je n'aurais pas du faire puisque j'en grimaçais fortement. je relevais la main qui tenait précédemment fermement Mineokki avant de la lever vers la poitrine où se logeait cette barre de fer. au moins, elle n'avait pas traversé de part en part mon corps mais je me demandais jusqu'au était-elle enfoncée ? sans que je n'arrive à le contenir moi-même, les larmes coulaient sur mon visage et par un sanglot, j'avais encore plus mal au thorax. je n'ai pas envie de mourir... pas maintenant, pas alors que j'étais en train d'entamer une jolie relation avec Minho, pas quand j'étais encore jeune et que je n'avais pas réaliser le plus grand de mes rêves, c'est à dire fonder une famille. j'avais même pas dit adieu à Yuri ou Jonah et j'allais sûrement rendre mon dernier souffle devant l'homme que je commençais à aimer.
@Min-Ho Jo
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