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TG INTRIGUE ► fête foraine éphémère

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Leandra T. Carreirao
Kaze Faulkner
Jude Montgomery
Imogen Blum
La Doyenne
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Tu sens bien ton téléphone qui vibre dans ta poche, mais tu l'en sors pas, t'es là pour profiter de la fête et de tes amis proches, pas pour envoyer des textos et ce même s'il est fort probable qu'ils viennent de cette douce demoiselle répondant au doux surnom de Bleach.

T'écoutes donc Hyun et ta frangine parlé, que ça soit en coréen ou en anglais, pour toi, ça change rien, tu comprends très bien les deux langues et tu ne peux réprimer un petit sourire à ta soeur quand elle laisse entendre que ça lui manque. Tu risques fort d'être pareil toi dans quelque temps. Après tout, comme elle le sait et te la déjà signalé, tu t'es jamais réellement vu vivre ailleurs qu'en Corée et pourtant t'es ici en grosse partie à cause d'elle...

Hyun qui cherche des informations sur toi, pour savoir comment ta soeur te dépeins et tu laisses entendre un rire. "Oh, elle me décrit comme le petit frère parfait. Beau, intelligent, doué dans tout ce qu'il entreprend. Tu vois le truc ? Pire qu'une maman gaga de son enfant." Tu fais alors un clin d'oeil à ta soeur, preuve que tu la taquines, mais aussi preuve de votre complicité.

"Moi, je vous propose un concours, celui qui me gagne le carapuce aura droit à ce qu'il veut de moi." Autant ta soeur, tu sais qu'elle sera sage, autant tu redoutes déjà ce que pourrait te demander Hyun... Alors, tes déjà entrain d'espéré voir gagner ta frangine !

@Hyun-Do Yeo-Lee @Yura Nam-Kim

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Aucune idée de pouquoi il était là, mais il était là. Milan n'avait prévenu personne, il ne savait même s'il croiserait quelqu'un, mais ce qui était certain c'est qu'il était là. Le discours du maire ne l'intéressait pas le moins du monde, mais il avait entendu parler d'un fête foraine éphémère. Qu'on le croit ou non, il adorait les fêtes foraines. Les attractions à sensation, les coups de flippes, les barbes à papa et gaufres beaucoup trop sucrées. Mais ce qu'il aimait par dessus tout c'était le tire à la carabine, parce qu'il était étrangement très doué pour ça. Il s'y était donc dirigé naturellement, sans prêter attention au monde autour de lui. Il aurait peut être dû prévenir Tamsin, ou Ariel, ou Enzo. Mais quelque part il n'était pas sûr de rester très longtemps. Au moins comme ça, il ne lâcherait personne.
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Tu levais les yeux au ciel, agacée par la situation. Tu détestais lorsque les choses t'échappaient, lorsque tu ne tenais pas les cartes en main. Stella t'adorais jouer uniquement dans l'idée de gagner. Pour une fois, tu sentais bien que t'avais plus de retard que la plupart de ceux qui se trouvaient autour de toi. Il ne manquait plus qu'Ernesto et le tableau serait affiché au complet. Tu soupirais, plantant ton océan dans les yeux de ta meilleure amie. Tu ne pouvais t'empêcher d'imaginer des mensonges, encore, toujours plus. Tu ne pouvais t'empêcher de te penser manipuler, et tu l'savais que c'était à cause de Cosmo. C'était toujours lui, toujours à cause de lui. Il te rendait mauvaise ces dernières années, et tu le détestais. D'ailleurs, tu n'avais pas manqué de lui faire remarquer ce soir-là, devant chez toi. L'ambiance était fracassante, et l'arrivée d'une nouvelle personne se faisait. Il semblait connaître ta meilleure amie, tu le regardais avec dédain. Il était habillé avec un réel manque de goût, tu ne pouvais t'empêcher de le juger. Ton italien prenait le dessus. "Qu'est-ce qu'il nous veut lui ?". Puis le spectacle continuait lorsque Lucrezia le présentait, lorsque son regard défiait ton frère. Tu soupirais, certaines choses ne changeraient donc jamais. Tu te demandais bien pourquoi tu étais venue ici, Stella. Il semblait qu'il n'y avait plus rien pour toi. Mais tu voulais toujours comprendre, c'était plus fort que toi. Les paroles de Mila te rappelaient à l'ordre. Sectaire et en colère, ta voix ne laissait sortir que des mots italiens, ta langue maternelle. "Laissez-moi deviner, vous avez finis par copuler ?". Le ton froid, le regard gelé. La reine des éléments se givrer, au milieu de cette fête éphémère. Puis toi Stella, tu refusais d'accorder le moindre regard à ton frère, ce soir, tu préférais l'oublier. T'avais l'impression que ton monde tanguait Stella, quelque chose n'allait pas. T'étais pas assez dupe pour ne pas le remarquer, mais ton corps ne trahissait rien. Poupée de glace. Ton regard se posait finalement sur Lucrezia, guettant sa réaction. "Pourquoi tu nous as ramené un bougre de français qui ne sait même pas s'habiller ?". Tu l'avais deviné, ça aussi, Stella. Son accent le trahissait, et toi, tu voulais simplement exploser, imploser et tous les toucher. Puis même en blesser un, lui faire toucher la mort, lui faire goûter une vie condamnée. Tu voulais que Cosmo disparaisse, lui et ses problèmes. Lui qui, finalement, t'empêcherait pour toujours de voir ta meilleure amie rien que pour toi.

@Mila V. Rossi @Cosmo Cavalero @Lucrezia Strozzi @Camille Bonaparte
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Moi, je suis un mec à problème, et j'adooooooore les problèmes. Genre, pour me sentir bien, je crée des problèmes et là, j'arrive dans ce petit quatuor d'italiens, l'originalité elle-même alors que le mec demande qui j'suis, et je garde toujours ce sourire narquois sur les lèvres alors que Lucrezia me présente. Super les noms, genre c'est le rdv rital ici ? Vous me respectez pas, pourquoi j'le ferai moi ? J'ai peur de personne, surtout pas de vous. N'empêche que je fais un petit clin d'oeil à Mila quand même, elle est gentille elle. J'allais répondre quant au prénom de Lucrezia, qui pour moi se prénomme encore Romina dans ma tête sauf que la Stella là, elle me cherche hein. Je la regarde de haut en bas. Rien qu'avec ce que j'ai sur moi, je te rhabille. Alors, le camion poubelle, t'évites et tu vas vite redescendre. Oh, j'dis pas que t'es moche, juste que toi, t'es vraiment habillé comme un pou quoi... En tout cas, j'apprends des petites choses. On dirait bien que vous avez croisé des morts avec vos gueules. Alors que moi j'suis là et j'kiffe la vie. Puis, vous commencez à parler italien sauf que.. je le parle, avec un putain d'accent de merde mais je le parle et le comprends. Faut pas oublier que mon ancêtre a été roi d'Italie à l'époque, lointaine époque.



@Lucrezia Strozzi @Cosmo Cavalero @Mila V. Rossi @Stella Cavalero
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Tu sens une pression sur ton épaule et tu te retournes machinalement pour découvrir Clio de l'autre côté. Cette fille est folle et c'est pas nouveau, puisque de toute façon elle est amie avec toi. Tu l'enlaces rapidement alors qu'elle s'excuse d'arriver en retard. La musique. Tu connais bien ce virus qui la prend souvent.« T'inquiète. » que tu rétorques avec un sourire aux lèvres. T'as eu de quoi passer le temps pour être honnête. Les fêtes foraines ça manque ni de folie, ni de bouffe. L'endroit parfait pour le grand gamin que tu es. « T'en veux ? » que tu lui demandes en lui tendant la barbe à papa alors que vous vous dirigez vers le stand de tir à la carabine. Tu regardes les peluches avec cette drôle de tête à la Maverick. « La Licorne naturellement ! » ça représentait bien vos esprits marginaux et cette confrérie à laquelle vous étiez rattachés. Et histoire de choisir une peluche jusqu'au bout.

@Y. Clio Force
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La tension elle est là, tout le monde la ressent, tout le monde la sait, personne l'invente. Elle est palpable, électrique, elle ricoche dans tous nos regards sombres, ceux qui désignent coupable l'italien d'à côté. La vérité c'est qu'on l'est tous, tous condamnables. Tous coincés dans cette putain de souricière, formant un halo sinistre autour de l'étoile. C'est Lucrezia qui répond à la place de son mâle, elle prend les devants parce qu'elle nous connaît que trop bien, parce qu'elle sait que c'est ni l'endroit ni le moment à choisir pour venir se planter dans le décor, notre décor. Elle l'attire contre elle comme pour le protéger des démons qui rôdent et ses iris se plantent droit dans les miennes par pure provocation. Qu'est-ce que j'en ai à foutre moi putain de ton connard à l'accent français ? Elle a réussit pourtant. A gagner du temps. Et Mila qui laisse planer ses sous-entendus comme si on savait pas ce qui se cache derrière ses relations avec le sexe opposé. De l'hypocrisie encore. De l’hypocrisie toujours. C'est visiblement le pigeon de tout le monde, mais l'aigle de personne. Et elle répond à ma sœur pour moi, pour éviter que nos regards se croisent, que nos âmes explosent. Ouais on se connaît, ouais. - Je l'ai baisé y'a trois jours. D'autres questions ? C'est à la fois pour Lucrezia qui se permet de ramener n'importe qui, pour Mila elle-même quand elle feint l'innocence et pour Stella, pour qu'elle me déteste encore plus fort, suffisamment pour faire demi-tour et retraverser l'océan. Arrivederci, mia sorella. Je serre les dents à chacun de ses putains de mots. Stella a la voix qui sent bon l'enfance, la mienne. Mais je veux pas l'écouter parce qu'elle me laisse un arrière-goût métallique au fond de la gorge, celui de son sang. Elle grogne en italien à cause des nerfs qui lâchent, du temps dont on a manqué et qui se joue contre nous maintenant. Je sens tous mes muscles se raidir quand à la surprise générale il comprend son venin latin et se risque à lui répondre. Un peu trop fort. Beaucoup trop fort. Je peux pas la regarder, mais je peux bien t'écraser la gueule contre une machine à churros si toi t'oses le faire. On dirait bien que vous avez croisé des morts avec vos gueules. T'as même pas idée. - Si tu continues à ouvrir la tienne bastardo, on risque bien d'en croiser un de plus.

@stella cavalero @lucrezia strozzi @mila v. rossi @camille bonaparte
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Céleste n'est pas dispo et je me retrouve seule à la fête foraine éphémère. C'est sur, j'aurais pu aller avec elle voir le discours du maire mais outre le fait que j'ai envie de la laisser un peu seul avec son Floyd, je veux surtout aller voir une fête foraine. Une vraie. Bon, je ne dirais pas que c'est un rêve de gamine mais c'est clairement dans la liste des choses que je rêve de voir en vrai, même sans monter sur rien. Juste profiter de la vue. Je me balade dans les allées, espérant rencontrer quelqu'un que je connais. Ou quelqu'un qui me dit vaguement quelque chose. Au détour d'une allée, je tombe sur un écran géant. Et devant, je vois Mike avec quelqu'un que je ne connais pas. Bah il aurait du me dire qu'il venait, je lui aurait ramené son pull. Je m'approche sans y réfléchir à deux fois. Parce que c'est clairement la seule personne que je connais ici et je préfère encore jouer les incrustes que de rester toute seule. "Coucou Mike. Comment tu vas ?" Je regarde son ami qui semble bien plus vieux que nous. D'une certaine manière, il m'impressionne. Parce qu'il est plus grand donc il connaît plus de choses. Beaucoup plus que moi très certainement. "Je m'appelle Brooklyn. Enchantée. Je peux rester avec vous ? Ma meilleure amie m'a lâché pour voir le discours du maire avec son copain." Je joue la carte de la solitude pour ne pas qu'ils m'envoient bouler. Je ne veux vraiment pas passer ma soirée seule.

@Newton 'Newt' W. Spencer  @Morgan F. Jones
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Tu cherches désespérément une échappatoire mais tu sais bien qu'il n'y en a pas. Tu peux pas juste décider de partir, de tourner le dos à toute l'Italie et faire comme si de rien n'était. T'es impliquée, t'es embourbée jusqu'au cou et plus t'essayes de te dégager, plus tu finis par couler. La colère et l'agacement ne tardent pas à remplacer la peur. Tu bas la mesure de votre échange du bout de ton pieds sur le bitume, tu t'impatientes et ça ne fait que s'aggraver lorsque Mila te demande qui t'es. Son prénom t'étais revenu facilement à l'esprit, dans un énième souvenir d'une époque à présent révolue. « Romina. » tu marmonnes sans la moindre détermination. Tu veux rester cohérente face à Camille qui ne connait pas ta véritable identité. Tu regardes d'abord Stella, tu l'implores silencieusement de te couvrir sur ce coup et tu te hasardes à faire de même pour Cosmo bien que tu n'aies aucune confiance en lui. Bien sûr, tu devras t'expliquer plus tard, mais tu préfères retarder l'humiliation. Puis ta meilleure amie finit par orienter la conversation vers son frère et Mila, elle prononce à voix haute ton hypothèse et obtiens immédiatement des aveux. Tu fermes les yeux, mâchoire crispée. « Evidemment. » que tu lâches en passant ta main libre sur ton front. Y a pas à dire, ça te fait drôlement chier. Tu le détestes. Tu les détestes tous à cet instant, même Stella avec son air supérieur à l'égard de Camille. Tu sais pas ce qu'il lui prend de lui parler comme ça, ou plutôt si, tu sais, c'est du Stella tout craché. Mais tu te dis qu'elle a pas le droit de te faire ça, pas le droit de ruiner quelle que soit la relation que tu pourrais entretenir avec le français. Not cool. « Stella c'est bon ... » que tu commences à lui dire. Pas la peine d'être désagréable avec lui. Mais Camille il comprend l'italien et il sait se défendre. Tu lèves les yeux au ciel, y en a pas un pour rattraper l'autre et tu sais très bien comment tout ça va se finir. « Sérieusement ? Je t'aurais pensé plus noble que ça... » c'est bon tout le monde te saoule. Tu sais même pas pourquoi tu restes encore ici, d'ailleurs tu t’apprêtais à tourner les talons quand Cosmo décide de rajouter son grain de sel. C'est quoi cette conspiration contre toi ? A aucun moment Camille n'était un vrai date, mais dans le cas où il l'aurait été ce premier rendez-vous aurait tout simplement été un cauchemar pour toi. Tout le monde s'en fiche de ce que tu peux penser, ça a toujours été comme ça, chacun pour soi. « Toi tu lui parles pas comme ça ou je t'assures que tu seras le premier à tomber. » tu protèges ton butin et ton honneur. C'est de ta faute si Camille se retrouve impliqué dans l'histoire, c'est à toi d'éviter qu'il devienne l'un de vos dommages collatéraux.

@CAMILLE BONAPARTE @MILA V. ROSSI @COSMO CAVALERO @STELLA CAVALERO
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« Fête foraine Ephémère »
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Samedi 19 janvier

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Anton ne pensait pas se faire aussi facilement à sa nouvelle vie. Faut dire que pendant six ans, son existence était rythmée par les missions et les déploiements et il restait rarement plus de quelques mois sur le continent américain. Mais faut dire qu'en ce moment, il n'avait pas trop le temps de se poser. Entre les cours qui lui prenait pas mal de temps, son bizutage chez les winthrops, rattraper le temps avec Nate et faire de nouvelles rencontres. Il n'était pas trop à plaindre de ce côté là mais en même temps, il faisait tout pour. Aujourd'hui encore, il avait décidé d'aller se balader dans les rues de Boston. Il n'avait pas pu s'empêcher de s'arrêter dès qu'il avait aperçu la fête foraine. Il adorait cela et il flâna alors jusqu'à tomber devant le tir à la carabine. Il s'adossa contre un poteau en regardant les candidats tenter leur chance. Alors qu'un nouvel étudiant décidait de tenter sa chance, Anton ne pu s'empêcher de faire une remarque. « Un bel attrape nigaud. Faut vraiment avoir de la thune à perdre pour venir ici. » Il n'avait pas parler pour quelqu'un mais juste tout haut, pour lui-même.

@Milan A. Ogan

black pumpkin
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ça part dans tout les sens, ça claque, ça blesse, ça soulève des cadavres que personne ne voulaient faire remonter à la surface. mais les cadavres c’est lourds, ça reste jamais bien longtemps au fond des esprits. comme les mensonges, ils tiennent jamais longtemps. encore pire quand ils sont envers sa propre famille, envers des amies de longues dates. ils deviennent bancals, les cadavres se gonflent et sont prêts à exploser et en foutre partout sur les visages. - enchantée alors.. tu réveilles ma curiosité romina. t’as joué quel rôle dans tout ça ? un mauvais, forcément, au vu des pieds qui ne cessent de cogner le bitume. @camille bonaparte n’a pas sa langue dans sa poche, au contraire, il l’a beaucoup trop pendue et moi ça me fait doucement rire. tu sais pas à qui, à quoi tu t’attaques mais c’est plaisant à regarder. combat de coq, combat pas très équitable. haussement d’épaules, c’est tellement flagrant, comment vous voulez que @stella cavalero puisse continuer à jouer encore les aveugles. parce que t’avais pas envie de voir stella, pas ce soir, peut-être même jamais mais @cosmo cavalero, il te forces. il t’obliges presque à voir la vérité en face, à croire qu’il préférait te perdre que de te retrouver. mais t’es pas sur @cosmo cavalero, t’es pas sur de ce que tu veux sinon t’aurais déjà abattu tes cartes. mon regard se fige dans le tient, tu parles de ces putains de chiottes. tu parles de nous, avec ta nonchalance comme si ça n’avait pas compté là-bas. mais moi je sais. j’étais là, trop là meme et toi aussi tu y étais, en enfer avec moi. alors minimise tant que tu veux, moi je prends ça comme ma sortie de secours. je t’écris quelques mots rapidement avant de ranger mon portable. je baisse la tête, baisse les armes et mon assurance naturelle que j’abandonne un moment. - ouais.. c’est vrai. que j’assume, je relève doucement la tête. je cherche le regard de @lucrezia strozzi, puis celui de @stella cavalero juste à côté. je m’attarde sur le tient de regard l’étoile, tes opales perdent déjà en intensité. t’as vu ce qu’on est capable de te faire ? en quelques minutes ? pourquoi tu fuis pas putain. - stella.. j’te jure, je savais pas que c’était ton frère et j’ai pas osé.. je baisse les bras, lève les yeux au ciel en me pinçant les lèvres comme pour étouffer un sanglot. ouais, je joue encore, jusqu’à la mort. l’amore. - quand je t’ai vu ici, tu m’as prises de court et j’ai pas trouvé le courage de te le dire parce que je me sens pathétique.. je te lance un regard, @cosmo cavalero. y’a pas de peine, il est juste obscur comme tu l’aimes. - tu veux la vérité ? je l’ai fréquenté à milan, je l’ai aimé.. trop même. mais comme t’as dis, il en vaut pas la peine pas vrai ? ma main se pose sur ton avant bras, comme pour te retenir, pour que tu restes jusqu’à la fin. le début de ta fin. - et il m’a lâchée du jour au lendemain, sans rien me dire, comme ça.. comme vous. - voilà, tu sais maintenant. presque. encore une fois, je t’embellie la vérité @stella cavalero. je te sauve encore un peu, je nous sauvent tous.
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