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TG INTRIGUE ► happy hour au 21st amendment

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Sofia Dunn-Aguera
La Doyenne
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j'me masse les tempes douloureusement poussant un soupir. c'est toi qui m'a traîné ici, remember ? moi, j'ai râlé pendant une heure parce que j'aurais préféré rester tranquillement dans mon lit à regarder une émission pourri à la télévision mais suffisait que t'uses de deux sourires et de trois mots doux pour que je te suive n'importe où. puis t'avais raison, j'pouvais pas rester enfermée chez moi tout le temps. « j’vais au toilette, je reviens » j’pose mon téléphone sur la table avant de me redresser. et j’ai à peine le temps de faire quelques pas que c’est l’anarchie. des gars qui débarquent, des coups de feu qui sont tirés dans tous les sens et des cris qui retentissent sous l’effet de la panique. et j’le vois ce canon braqué sur toi comme si t’étais le prochain sur la liste. j’le vois et je bifurque mon corps faisant rempart, encaissant le choc à ta place. j’ai le temps de capter ton regard juste avant de m’écrouler sur toi.

@victor multrier
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Est-ce que c’était ça, la paix ? Tout tournait parfaitement, et ils avaient appris à s’apaiser. Alors même si c’était leur première sortie en public et qu’il avait forcé Camila à venir, il était heureux qu’elle soit en face de lui. « Ok bébé. » Il embrassait sa main avant qu’elle ne se lève pour aller aux toilettes, mais un bruit monstrueux se fit entendre. Victor se leva d’un coup, et des hommes cagoulés entrèrent dans le bar, irruption ravageuse d’une avenir qui promettait d’être chaotique. Un canon en face de lui, un hurlement, le cœur de Victor qui est en train de s’arrêter à cause de la terreur et… le regard de Camila, face à lui, qui pivote pour prendre le décharge à sa place. Dans son dos à elle. Et Victor a à peine le temps d’ouvrir sa bouche qu’elle s’écroule sur lui. Alors il tombe en arrière avec un poids mort sur son corps et du sang partout sur son visage, ses vêtements, son corps. Celui de Camila. La vitre en verre qui explose et des éclats viennent s’éparpiller sur son visage, des dizaines de coupure qui ornent son faciés. Deux sangs mêlaient l’un à l’autre. La main dans le dos de sa petite-amie pour espérer tamponner la plaie, arrêter l’hémorragie. Il ne pensait à rien. Rien du tout. Juste à son cœur qui était en train de se glacer. La seconde d’après, il pivote pour mettre Camila sous lui, mais une rafale de balle se fait entendre, dont une qui vient éclater le mollet de Victor. Il n’a même pas le temps d’hurler douleur que c’est déjà terminé. Les hommes s’en vont, et une odeur nauséabonde de mort plâne dans tout le bar.

@camila wildingham
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Je m'attendais à tout sauf à ça comme annonce. J'ai du mal à montrer que je suis heureux pour eux. En même temps ce n'est pas mon fort d'exprimer mes émotions. Oui je suis rempli de bonheur pour Beau et Willa et j'ai surtout hâte de faire le super tonton. Ne trouvant pas les mots pour décrire la joie que je ressens je les félicite naturellement, avant de les prendre dans mes bras, d'abord Willa puis Beau. "Je vous souhaite que du bonheur Beau" que je glisse dans l'oreille. Puis un bruit assourdissant résonne dans le bar. S'en suit des hurlements, des vitres qui éclatent un mille morceaux, des gens qui courent partout probablement pour éviter des balles. Chose qui n'épargnera pas mon corps. L'une d'entre elle vient se loger dans mon ventre. La douleur se répand aussi vite que le sang qui s'étale sur mon t-shirt. Affaibli je n'ai plus la force de me tenir debout. La chute est inévitable. Ma tête qui se fracasse contre le sol. Allongé sur ce sol froid où je continue à perdre du sang mes paupières se ferment. C'est le black out complet.

@Beau Griffith @Willa Cavendish
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Tu finis par t'asseoir sur le bar alors que ton frère et toi, vous êtes tranquillement en train de parler d'une bière ou d'un verre de whisky. Echanges compliqués mais tu arrives à lui faire commander une simple bière et un verre de jus pour toi. Rien de bien méchant. Tu diriges ton regard sur Kale. Et bien sur, le moment où tu allais parler à ton ami, un bruit de tir et une odeur de feu se résonnèrent rapidement dans le bar. Tes yeux se fermèrent automatiquement, tes mains sur les oreilles à la détonation et tu essayas de te protéger par ton frère. Des bruits sourds qui te brisèrent les tympans au sens figuré, s'abattirent dans le bar et tu tombas à la renverse trop rapidement pour le voir. Tu te retrouvas alors derrière le bar, la tête contre le sol alors que tu gémis légèrement de douleur, t'as mal à la tête et tu as sans mal aussi à la colonne vertébrale vu que tu es tombée dessus. Chaque bouteille du bar se firent explosés une à une par les tireurs et le liquide entier, mélangé aux éclairs de verre se laissèrent tomber sur toi. Tu restas, mains sur tes oreilles avec les yeux fermés pour éviter de voir quoi que ce soit. Puis le silence. Un silence difficilement tenable. Un silence rempli de tristesse et de destruction. Puis, tes larmes se laissèrent couler sur tes joues, bien que tout ton corps soit sujet aux blessures des différents bouts de verre, un allant même se planter droit dans ton mollet, mais tu ne ressentais rien, plus rien du tout, tu étais paralysée devant la terreur. Et ta voix qui essayait d'appeler ton frère ou Kale, impossible de savoir ..

@Kale Manning @Jakarta Lannister  @Nova De Glücksbourg @Clary Bushnell
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et dans ma tête j’imagine ce que tu vas me dire. que je suis bête. que j’aurais pas dû faire ça. que j’aurais pas dû m’utiliser comme un bouclier. je sais que tu vas me le reprocher et puis peut être même que tu m’hurleras dessus pour avoir fait ça. et j’imagine toute la scène dans ma tête alors que le liquide chaud se répand sur mes vêtements, mon corps, toi. y a du verre partout qui explose et j’ai pourtant l’impression que les sons sont déjà loin. comme si j’assistais pas vraiment à tout ça. ça brûle quand je me retrouve sur le sol, toi qui tente probablement de protéger ce que tu peux et les balles pleuvent à nouveau. comme un écho infini. puis le silence. des gémissements, des pleurs mais un silence pesant. j’ai les mains pleine de sang, mes cheveux blonds qui virent au rouge et la seule chose que je constate dans tout ça, c’est ton visage. les coupures et le rouge qui en perle. « vi..vic » j’ai l’impression d’avoir la bouche emplit de sang, le goût métallique qui donne la nausée et le regard qui se fait vitreux. « je ne veux p.. pas mourir » pas maintenant, pas comme ça, pas quand j’ai choisi de me battre. et pourtant, j’ai l’impression de sentir la fin. peut être que finalement, j’étais pas capable de survivre à tout.

@Victor Multrier
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Je voulais juste attendre Hunter moi, rien d’autre. Je ne voulais pas être ici de base, je m’en cogne de ça. Je suis dehors, comme un con, j’attends dehors, parce que je me dis que comme ça, je peux le voir arriver et lui gueuler dessus. Mais à la place de ça, à la place de le voir lui, je vois l’horreur. C’est à peine si je peux réaliser la chose, je tombe. Je m’écroule au sol, je sens une blessure, je ne sais pas où, à la jambe. Au ventre, je sens que je tombe, je sens que je me vide, je me vide de tout. Je suis écroulé parterre vers la porte, j’ai les yeux qui s’abaissent, je sens mon corps d’un poids si important, que j’arrive pas à faire un geste. Je suis paralysé, je n’arrive pas à parler, je n’arrive pas à hurler. Je tourne mon visage, je tente d’examiner les gens, je tente de trouver de l’aide. Je panique, je panique à l’idée de mourir, alors que j’ai toujours été proche de la mort. Mais c’est différent, je suis seul, j’ai personne. J’ai froid, j’ai du sang partout, j’ai les pupilles éclatés. Ma conscience s’effondre. Et j’arrive à juste à hurler. « A L’AIDE, A L’AIDE ! » Et cette voix dans ma tête qui me dit qu’elle ne veut pas mourir, qu’elle ne veut pas mourir.

HJ: Si quelqu'un veut être proche d'ares parce qu'il est solo le pauvre XD
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Il s’en veut déjà. Il n’aurait jamais insité pour qu’elle vienne ici, il n’aurait jamais du la forcer. Elle avait eu raison depuis le début. A cause de lui, tout le bonheur qu’il avait réussi à mettre en place pour Camila et pour lui était en train de voler en éclat. C’était horrible. Des hurlements de douleur, et les yeux de Victor qui coulait tout simplement sans se rendre compte que c’était des larmes autant de désespoir que de douleur. Et Camila qui suppliait de ne pas mourir en regardant Victor droit dans les yeux. Il trainait son corps en s’aidant de sa jambe valide, l’autre était complètement détruite à cause de la balle qu’il venait de recevoir. « Tu vas pas mourir bébé, tu vas pas mourir… » Il tente de chercher le point d’entrée de la balle et de faire pression. Merde, c’était un médecin non ? Il mit sa main dans le bas de son dos. Les reins. Putain, il espérait que la moelle épinière n’était pas touchée, et il enlevait son pull à une vitesse folle pour rester en tee-shirt. Il appuyait dans le dos de Camila. Il espérait presque qu’elle s’évanouisse pour ne pas supporter la douleur qu’elle devait ressentir. « Bébé, j’suis là, ok ? Je… j’vais t’aider. J’suis docteur Victor, rappelle toi, je t’aime, je t’aime. » Il était paniqué. Autour de lui, du sang, des pleurs, des cris. Et du flou. C’était les larmes qui n’avaient pas décidé de s’arrêter.

@camila wildingham
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c’était risible non ? passer autant de temps à chercher à mourir pour au final vouloir vivre quand ce n’est plus possible. et j’ai peur. j’ai terriblement peur. tu le vois dans mes yeux que je suis terrifiée ? probablement. j’veux que tu me sortes d’ici, que tu fasses quelque chose, je ne veux pas mourir victor. et tu me traînes sur le sol pour m’emmener dans un coin. ça fait un mal de chien. j’peux imaginer la traînée de sang derrière moi mais dans le fond, ça se mélange avec les autres, pas vrai ? « d’acc..d’accord » je te crois. j’ai confiance en toi. mais j’hurle quand tu touches, les poings qui se serrent et les larmes qui roulent. touche pas, s’il te plaît touche pas. c’est ton pull qui vient servir de compresse et je suffoque. ça brûle, ça m’arrache la gorge de souffrir autant. ma main s’accroche à ton avant bras alors que ma poitrine à de plus en plus de mal à se soulever. j’en peux plus. chaque inspiration, chaque geste est une douleur. « adopte charly s’il te plaît. sors là de là-bas » que je te souffle. on sait jamais ce qui va se produire. « j.. je t’aime » je sais que tu le sais mais je te le répète. je t’aime. plus que tout. et même si ça s’finit mal, j’ai besoin que tu saches que c’est grâce à toi tout ça. grâce à toi que j’ai de nouveau envie de vivre et d’être heureuse.

@Victor Multrier
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Je venais d’arriver et j’avais pris place avec Laura, nous parlons d’un peu tout autour de notre verre et notamment de ce nouvel an que nous avons passé et qui s’est avéré relativement mouvementé, seulement à peine le temps de s’installer et de boire notre verre qu’une explosion se fait entendre et les vitres explosent. Je reçois quelques débris mais rien de bien grave. Je regarde la jeune femme « Tu vas bien toi ça va ? » Les gens s’affolent mais moi pas spécialement, j’ai l’habitude de ça dans la rue et très vite le bar se fait prendre d’assaut, j’avoue que je n’avais pas pensé à ça. Le bruit sourd des balles ne cesse de raisonner, finalement la prière de Jade a dû être entendue. Il faut que l’on se protège le plus vite possible car là c’est l’anarchie et on est voué à mourir comme des bêtes en abattoir. Je pourrais sortir mon flingue mais c’est clairement inutile là, ce serait prendre un risque de toucher des innocents. Je saisis une table ronde qui se trouve non loin et je la mets sur le sol. L’impact des balles sur cette dernière est violent et je force Laura à se cacher derrière quitte à ce que je sois à découvert à moitié. Les minutes de l’attaque se font longue et lorsque c’est fini, je prends mon portable pour envoyer un message à Jade. Moi je n’ai rien, enfin je crois. Soudainement je suis pris de picotement et je regarde mon corps pour voir une grosse tâche de sang au niveau de mon foie, j’ai été touché mais pas grave je n’y prête pas attention même si c’est de plus en plus douloureux et que je viens poser ma tête contre le rebord en du comptoir

@Laura Basaïa
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Les hommes en noir sont partis, ils ont prit la poudre d’escampette et voilà qu’ils avaient laissé le chaos envahir Boston. C’était un moment atroce, et là, il demandait presque à tous les dieux de les sauver. Il n’était pas croyant, mais dans ces moments là, on se raccrochait à ce qu’on pouvait. Il finit par tirer Camila dans un coin, en restant appuyé que sur une jambe. Il sent déjà l’autre qui ne répond plus. Tant pis. Il y a plus important que son mollet. Il s’appuie contre un mur et allonge Camila sur sa cuisse valide. Il embrasse son front plusieurs fois, tant pis s’il est plein de sang et elle aussi. « Non, non, on l’adopter ensemble ok ? Ce sera notre fille. Les secours vont arriver… » Et il espère entendre une sirène au fond, ses larmes qui ne cessent de tomber couler. Putain, il ne savait même pas qu’il était en larme, c’était pitoyable. « Je t’aime. Je t’aime. » Il caressait ses cheveux, il regardait les yeux vides de Camila qui était en train de partir. « J’te jure, on va vivre une putain de vie. Et j’prendrais ton nom à toi quand on va s’marier… » Il respirait mal Victor. « On va avoir trois enfants, dont Charly qui va grandir parce que j’vais trouver un remède. » Il appuyait sur sa plaie, pour ne pas que le sang s’écoule plus. « Et tu vas nous dessiner la maison de nos rêves, en campagne, loin des crasses de la ville. » Et il ne pouvait pas imaginer une vie sans elle. Elle était trop importante, trop précieuse. C’était la femme de sa vie. Et il était en train de la perdre.

@camila wildingham
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