Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(jilann) 2019 commencera sur tes lèvres - Page 4
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(jilann) 2019 commencera sur tes lèvres

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Et toi, à quoi tu joues ? Tu fronces les sourcils. Mais putain, tu ne jouais à rien du tout, t’avais même été plutôt clair sur tes intensions lorsque minuit sonnait, là bas. « Tout ce que j’ai envie d’te faire », ça comprenait pas jouer aux échecs, hein. Putain. A rien, Jill ! réponds-tu agacés en claquant la langue contre ton palais alors qu’elle s’écarte à nouveau de toi. C’est ta fierté masculine qu’en prend un coup là, t’avais jamais loupé un signal ou quoi, on t’avais jamais mis un vent comme ça. Putain, le con. Tout à coup, tu m'embrasses sans mes copines, tu veux me faire boire, tu lâches plus mes lèvres et maintenant tu veux me sauter ! Tes yeux qui étaient jadis gourmand d’elle luisent désormais d’une lueur colérique. T’insinues quoi Jill ? Que j’veux profiter d’toi ? Redescend tout d’suite, j’suis pas ce genre d’enculé compris ? que tu grognes, les mains dans les poches de ton pantalon. Putain, ouais tu baisais toi. Mais qu’avec des meufs qu’étaient d’accord pour ça. Jamais de la vie tu ferais le contraire, oh ! J’t’ai pas mis le couteau sous la gorge pour que tu boives tes shooters ! T’as frotté ton cul contre moi, tu m’as embrassé aussi Jill, et met pas tout sur le dos de l’alcool meuf, t’as bu trois shooter. Un rire moqueur sur tes lèvres alors que ses petites mains s’appuient sur ton torse pour te pousser à nouveau, son air mauvais sur le visage. je suis vierge okay ? vi-er-ge. alors contente-toi de simples baisers et sans la langue, et tu peux faire une croix sur le reste. parce que, franchement, je perdrai jamais ma virginité avec un type comme toi. Tu serres les dents, tu détestes qu’on te parle sur ce ton. Vierge. Putain, tu savais que Jill était pas spécialement sur le même level que toi côté cul, mais là, c’était carrément des années lumières. Tu t’passes les mains dans les cheveux en soupirant, une vierge putain. Un type comme toi… tu la regarde enfiler sa veste puis file jusqu’à la cuisine en râlant. Trouve toi un autre faux mec Jill, démerde toi avec tes copines. T’ouvres un placard et attrapes une bouteille de vodka, porte le goulot à tes lèvres et bois, bois.
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Peut-être que j'en fais trop ? J'sais pas. C'est la première fois qu'un mec me touche comme ça ok ? Et c'est aussi déstabilisant que plaisant. Je panique, et je m'énerve. Oui, la petite Jill a beau être timide avec un balai dans le cul, mais quand on la blesse, c'est le volcan en éruption. Yann s'explique à sont tour, je ne suis pas sûre de bien comprendre tout. il insinue que je l'ai chauffé avec la danse, et sur le coup, en y repensant, c'est vrai... on a quand même dansé proche, je lui ai donné le feu vert pour m'embrasser, alors bon, avec un mec qui a une bite à la place du cerveau, tu m'étonnes qu'il pense à autre chose. « je... je m'amusais c'est tout, c'est ce que tu voulais non ? » je prends une petite voix désolée et je détache mes cheveux pour les laisser tomber sur mon épaule. Maintenant il le sait, que je suis vierge, ma plus grosse honte. J'ai parlé trop vite, et je crois que monsieur est blessé. Lorsqu'il me lance au visage qu'il ne veut plus de ce rôle de petit ami, je fais une bouche jusque par terre et je tape du pied. « alors toi... t'es vraiment qu'un sale con. » j'ai retiré ma chaussure à talon, prête à lui lancer au visage. Mais je me contiens et je la laisse tomber par terre, m'appuyant de tout mon corps sur une seule jambe. J'ai la rage, comme une envie de pleurer... « donc c'est comme ça, sous prétexte que je ne veux pas coucher avec toi, tu fous tant en l'air... tu n'avais qu'à le préciser dès le début, au moins je t'aurais épargné ce calvaire. » yep, ça fait mal quand même. Voilà pourquoi je refuse de sortir tout court avec quelqu'un, les mecs font toujours mal.
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je... je m'amusais c'est tout, c'est ce que tu voulais non ? S’amuser. Ouais, elle s’amusait. En frottant son putain de cul contre toi, avec tout l’effet qu’elle te faisait. Elle s’amusait ! Ouais. Et puis elle lâche sa révélation comme une bombe qui t’explose au visage. Jill n’est qu’innocence, elle n’est que pureté. Et toi ? T’es tout l’inverse. T’es un mec qui prends, qui profite et qui jette. Tu changes de fille comme de chemise. Alors ouais, elles savent à quoi s’attendre avec toi, et ça t’va très bien comme ça. Pas d’accroche, ni d’attache, rien. Juste du sexe, pour le fun. Ca fait du bien, putain. Tu réagis surement comme un con, la vodka qui coule entre tes lèvres. A lors toi... t'es vraiment qu'un sale con. Elle te menace de sa chaussure qu’elle finit par lâcher au sol. Toi, tu claques la bouteille sur le bar. Jill.. que tu grognes, détestant qu’on te traite de la sorte. Un comble. donc c'est comme ça, sous prétexte que je ne veux pas coucher avec toi, tu fous tant en l'air... tu n'avais qu'à le préciser dès le début, au moins je t'aurais épargné ce calvaire. Tu portes à nouveau la bouteille à tes lèvres. T’es énervé, frustré, y’a qu’une chose qui pourrait t’détendre et Jill.. non, pas avec Jill putain. Elle est vierge, borde ! C’est pas ça, putain ! BAM, la bouteille qui claque à nouveau contre le bar. T’avances vers Jill. J’avais pas prévu ça ok ? J’avais pas prévu que ta p’tite tête de première de la classe m’exciterait autant, tu vois ? Ouais, Jill. Tu m’excites t’entends ? Tu colles ton corps contre le sien, la bloque à nouveau contre le mur. J’ai envie de toi. De te toucher, partout. De t’embrasser, partout. De te faire des choses dont t’as même pas idée. Les yeux clos, tes lèvres qui frôlent sa mâchoire, putain. Mais tu l’as dit toi-même, c’est pas un mec comme moi qu’il t’faut. Pas d’un mec comme moi pour prendre ta première fois Jill, pas un mec comme moi qui prends donner en retour. Pourtant, t’as jamais eu autant envie d’une fille au point d’y penser autant, alors t’as l’impression que cette fois, c’est différent. Un truc que tu contrôles pas. C’pas normal. Clap de fin. T’aggripes sa lèvres inférieure du bout des dents et retournes, à contre coeur, à la cuisine, finir cette bouteille de vodka. Sur l’cul, la bouteille.
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Je suis qui moi pour crier sur un mec comme une gamine à qui on a cassé son jouet ? Je suis comme ça, je veux que tout tourne dans mon sens et Yann veut que tout tourne dans son sens à lui, alors forcément, c'est conflictuel. Je me fais des idées à le voir se comporter comme ça, je le provoque comme je peux pour qu'il montre son vrai visage. Et sa révélation, ça me scotche. Si bien que lui aussi se scotche à moi. C'est quoi ce besoin de toujours plaquer son corps lourd contre le mien ? J'ai des boobs sensibles. Le jeune homme excité rapproche son visage du mien, cherche mes lèvres sans jamais les trouver. Son souffle fait battre mon coeur plus vite et je commence à avoir les joues rouges. « yann. » je tremble, de désir. Mon corps appelle le tient sans que je comprenne. Enfin si, j'ai bien saisi que tu m'excitais aussi. il s'amuse à mordre ma lèvre avant de se retirer, me laissant dans ce courant d'air froid contre le mur. Jill, faut faire quelque chose. Pour un fois qu'un mec s'intéresse un minimum à toi, faut pas laisser passer ça. Prends ton courage à deux mains ma grande. « ok, d'accord, em... montre-moi, ce que tu veux me faire. » là j'ai peur, je suis toute crispée, tétanisée même. Mais faut bien passer le cap, et je crois que le prince charmant ne viendra jamais me chercher sur son cheval blanc. Et puis Yann, je le désire, c'est une fatalité. Mais lui dire ? Pouah. il le devinera bien de lui-même, il est pas bête cet enfant. Je m'approche de lui et timidement, je capte son regard et je lui tourne le dos. Je dégage mes cheveux et je lui donne accès à mon dos où se trouve la fermeture de ma robe. Si me touche la peau, il peut sentir à quel point je commence à avoir chaud, et que j'ai peur également... car je ne m'y connais pas, je ne sais pas comment lui faire plaisir, j'ai peur de la douleur.
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Tu joues cartes sur table. Là, en frôlant sa mâchoire, tu lâches ces mots qui font changer la teinte de ses joues. Et tu mentirais si tu disais que ça ne t’excitait pas d’avantage. Mais putain, t’es pas un mec pour Jill. T’es pas le gars qu’elle mérite pour sa première fois, putain. Yann. Ton prénom qui glisse entre ses lèvres, mais tu t’retires et files à la cuisine pour boire et tenter d’oublier que Jill, tu l’aurais pas. ok, d'accord, em... montre-moi, ce que tu veux me faire. Tu t’étrangles avec la vodka quand elle s’approche de toi et dégage ses cheveux bruns pour t’offrir sa nuque, l’accès à la fermeture de sa robe. Tu pourrais y laisser glisser tes doigts, coller son corps nu contre le tien, la toucher et la sentir, puis unir ton corps au sien pour ne faire qu’un. Mais, putain. Non, Jill. dis-tu en ondulant une mèche de ses cheveux autour de ton index. Tu mérites mieux qu’un mec qui baise pour une première fois. que t’avoues en lui tendant la bouteille de vodka, où du moins ce qu’il en restait. Depuis quand ça te préoccupait qu’une fille soit vierge ou pas, putain ? Mais c’était pas n’importe quelle fille, c’était Jill.. et dans l’fond, elle était sûrement là la différence.
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Je sais pas ce qui me prend, je veux sortir tout à coup de ma zone de confort, oser les nouvelles expériences, sortir de ma bulle tout simplement et être normale. Car bon, être vierge à 21 ans ça fait tard quand même. Yann, certes il est chiant, on peut pas le nier. Mais disons qu'il est attachiant. Oui, je m'attache à ce con. A force de se voir, de se parler, et ce soir, j'ai l'impression que ça a changé, nous deux. On a rigolé ensemble, on se construit une complicité, chose que je ne pensais pas capable avec un garçon. Première dispute de faux-couple et je m'en veux déjà. Alors je lui donne ce privilège de me faire devenir une femme, une vraie, et plus cette gamine à l'imagination débordante qui croit que les licornes existent. Yann, il refuse, un non catégorique, je l'entends dans sa voix, mais calme et rassurant. Je laisse tomber mes épaules et je souffle intérieurement. Soulagée ? Oui, de savoir que ce moment allait être reporté. Mais un poil frustrée quand même. J'étais prête à lui donner cette confiance mais c'est clairement plus raisonnable. Je tourne pour retrouver son regard et il me donne la bouteille. « tu deviens plus raisonnable que moi, qu'est-ce qui te prends ? » je souris. Je regarde la bouteille et je fais une grimace avant de la lui rendre. « je me sens bête maintenant. » tu me voulais, je t'ai dit non, je t'ai dis oui et tu m'as dit non. Cherchez le sens. Je me mords la joue. Je veux au moins lui demander quelque chose. « est-ce que... est-ce que je peux dormir chez toi ? mh avec toi ? » c'est vraiment ce dont j'ai envie maintenant. Ne me laisse pas prendre un taxi pour rentrer chez moi. Laisse-moi au moins ta présence pour la nuit, dormir avec quelqu'un, ça va me changer... et puis, c'est le seul moyen que j'ai pour rester proche de toi. « promis je ronfle pas et je me fais toute petite. » je m'éloigne de lui en souriant, je retire ma veste, même si j'ai pas eu son feu vert et je me débarrasse de mes talons.
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tu deviens plus raisonnable que moi, qu'est-ce qui te prends ? Tu hausses les épaules, toi-même tu sais pas alors bon. Et putain, t’as l’impression d’avoir fait une connerie, de regretter. Tu passes le nouvel an bredouille. Enfin non, t’es avec Jill, et ça c’est chouette. « chouette », tu penses comme un ado prépubère Yann, putain. Mais t’imaginais autre chose que ta main droite pour te tenir compagnie ce soir quoi. je me sens bête maintenant. Parce que t’as eu envie que j’te déflore ? Le retour du sourire de con sur le coin des lèvres, tout n’est pas perdu. Tu fini cul sec la bouteille de vodka, t’en aurais un petit coup dans le nez d’ici quelques minutes avant autant d’alcool fort. est-ce que... est-ce que je peux dormir chez toi ? mh avec toi ? promis je ronfle pas et je me fais toute petite. Elle joue avec le jeu, Jill. Et là, on dira pas que c’est toi, ok ? Tu.. putain, tu promets rien toi. Si Jill dort à côté d’toi, c’est à ses risques et périls. Fallait pas trop t’en demander, tu restais un mec avec ses pulsions et ses envies. Et ton envie, c’était Jill. Alors merde. Si tu veux. que tu souffles en la regardant se défaire de sa veste et ses chaussures. T’as la tête qui s’met à cogner, ça y’est l’alcool arrive. Boom, boom. Tu penches ta tête doucement en arrière, une main sur ta nuque. J’vais prendre une douche, fais comme chez toi. La chambre est là bas. dis-tu en indiquant la chambre avec quelques famfreluches de Noël sur la porte.

L’eau chaude coule sur tes épaules, tu t’détend après ta dûre journée de travail – la vente était terminée mais il fallait tout démonter et tout emmener dans un entrepot où ça serait stocké jusque décembre prochain – et cette soirée.. étrange. T’y fais ton affaire, sous la douche, et t’as beau essayer de penser à d’autres nanas pour t’aider, c’est le visage et le corps de Jill qui finit par t’faire exploser. Putain. Tu t’laves, te laves les dents et enroules une serviette autour de ta taille avant de rejoindre le salon où se trouve Jill. La place est libre si t’as envie. J't'ai mis un tee-shirt à moi sur le lavabo, au cas-où.. Et toi, tu rejoins ta chambre où t’enfiles un boxer. C’est tout.
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ça y est, monsieur l'arrogant est revenu. C'est qu'il m'avait manqué ! Je réponds pas à sa réflexion, je me contente juste de rouler des yeux. Fort heureuse qu'il accepte de m'héberger, je retrouve le sourire. Mais vraiment, je me sens aussi bien que quand j'ai pris mon premier shooter qui a coloré mes oreilles. Je fais le tour plus en détail de son appartement. il y a pas mal de photos, une fille avec un garçon, sa coloc et son copain ? Est-ce que je dois aussi mettre une photo de yann et moi dans mon appart ? Pff, faudrait déjà en faire une de photo. Yann revient dix bonnes minutes plus tard, et je louche sur son corps. « envie de ? » son torse, encore mouillé, il s'est mal essuyé. Bon dieu qu'il est beau. Enfin Jill réveille-toi ! Je secoue la tête en rigolant. « pardon, je commence à avoir mal au crâne. » je m'enferme dans la salle de bain à mon tour et je soupire. Cette robe, quel enfer. J'ose pas demander à Yann de m'aider à la retirer car il va croire que je l'aguiche encore. Alors je me démerde comme je peux et je finis par me retrouver en culotte. Pffiou. Mal à l'aise d'être seins nus devant son miroir, dans sa salle de bain à lui, j'enfile le t-shirt qu'il m'a laissé, qui m'arrive jusqu'aux cuisses. Great, je peux cacher ma culotte sans problèmes. J'attache mes cheveux de nouveau, je passe de l'eau sur mon visage pour me démaquiller et je me brosse les dents, sans brosse à dents. Bah oui, j'en garde pas une dans mon sac à main. Chose faite, je quitte la salle de bain et j'essaye de retrouver sa chambre. L'entre secret de ce cher Yann. Une chambre normale vous allez me dire, mais pour moi, c'est comme découvrir sa cachette secrète. Je me sens conne, sachant pertinemment qu'il doit ramener une fille tous les soirs ici. Je le rejoins dans le lit et je me colle à lui, ma tête contre son épaule. Je sors mon téléphone. « un petit selfie pour instagram stp. » hop je demande pas son accord et je prends la photo. « elles vont pas en revenir ! » j'envoie directement à mes copines.
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L’alcool t’étais clairement monté à la tête, ça y’est. Faut dire que c’est pas spécialement recommandé de boire une demi bouteille de vodka cul sec. C’était même plutôt dégueulasse à la fin, mais l’effet était agréable, ouais. Envie de ? Prendre une douche. réponds-tu en arquant un sourcil amusé, en montrant la salle de bain du bout du doigt. Quoi, Jill ? T’as jamais vu un mec torse nu non plus ? pardon, je commence à avoir mal au crâne. C’est ça, à d’autres. Menteuse. Tu opines du chef avant de rejoindre ta chambre ou tu finis de te sécher et d’enfiler un boxer. Tu t’poses dans le lit, la tête contre le mur en attendant que Jill revienne. Et putain, quand tu la vois arriver, t’aurais peut-être mieux fait de pas accepter qu’elle dorme avec toi. Elle porte ton tee-shirt et même s’il craint ce tee-shirt, ça t’excite au possible. Et puis tu devines ses tétons qui pointent, juste là. T’es magnifique, putain. que tu lâches en soufflant. La mâchoire serrée, tu la regarde s’installer à tes côtés et poser sa tête sur ton épaule ! un petit selfie pour instagram stp. Tu tentes un sourire à peu près potable quand elle déclenche l’appareil. elles vont pas en revenir ! T’attrapes son téléphone pour regarder la photo de plus près. Fait voir la tête que j’ai.. non mais Jill ! Ok, attends. Tu passes un bras autour de la jeune femme et tend l’autre pour prendre une photo. Puis une autre : tu grimaces. Une autre : tu lui smack la joue. Une autre : tu la regarde comme si t’allais la dévorer, ne faire qu’une seule bouchée d’elle. Son sourire, sa poitrine qui se soulève à chaque fois qu’elle rit. Qu’est-ce que tu fais d’moi, Jill, putain ? Clic, une autre photo.
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Je rentre dans la chambre après m'être apprêtée et j'ai droit encore à un compliment. Wow, t'en as pas marre ? Je deviens ton obsession. Je lève les yeux au ciel en prenant place dans son lit. Omg le lit de Yann. « te fous pas de moi. » si j'avais su, j'aurais pris mon pyjama bob l'éponge. Car oui, vois-tu, je ne porte pas de nuisettes en dentelle ou quoi que ce soit. Je prends appui sur son torse en guise d'oreiller et je profite de l'occasion pour faire des photos. Yann bien sûr, n'est pas satisfait de sa tête. Moi je la trouve bien, je vois même pas la mienne, comme si j'avais d'yeux que pour toi sur cette image. « roh mais si c'est juste que t'es bourré. » d'ailleurs, bien essayé d'avoir brossé tes dents, mais tu pues toujours la vodka. Ok, je le laisse faire. Monsieur était-il un paparazzi des stars dans une vie antérieure ? Yann est à l'aise, sans doute à cause de l'alcool, il prend de ces pauses... m'embrasse la joue, me regarde comme s'il allait me bouffer et... je rigole. J'adore cette complicité, c'était comme si on ne s'était pas engueulé. « viens-là. » que je lui dis. Je l'attrape, ses belles joues rosées et je l'embrasse tendrement. Puré ça recommence, les papillons dans le ventre et le coeur qui palpite à fond. « ça j'ai le droit ? » que je souffle entre deux baisers. Je souris contre ses lèvres et je l'embrasse de plus belle d'une façon plus sensuelle. Ouah Jill à quoi tu joues ? Rien, si on peut pas passer à l'acte, laisse-moi au moins t'embrasser comme je veux. Je prends appui sur son torse, je grimpe pas dessus, mais je pose une main sur son ventre qui se contracte. C'est plus fort que moi, mon corps change de température pour lui, c'est tout nouveau et ça me plait.
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