(jilann) 2019 commencera sur tes lèvres

oh si tu vas danser, je t'ai fait plaisir à boire ton truc alors maintenant, fais-moi plaisir. Et vu comme l’alcool lui était vite monté à la tête, t’aurais pas donné cher de son état si elle avait avalé les derniers shooters. Lui faire plaisir ? Mais putain, elle t’avais pris pour un bisounours ou quoi ? T’étais pas un mec qui faisait plaisir aux autres, t’étais pas un mec qui répondait aux petits caprices de la princesse. Tu faisais c’que tu voulais et… et merde, t’as beau ne pas bouger et rester de marbre, tu plisses les yeux quand elle se met à se déhancher, là, devant toi. Ses mains qui glissent le long de son corps, sa tête qui se balance au rythme des boom boom. Elle est sexy en diable. Yann ! Elle te tire, tu t’fais pas prier. Un séducteur ça doit danser. Elle pose tes mains sur sa taille, de dandine contre toi. Elle s’tourne, putain, elle s’tourne. Cette robe, son cul qui s’colle contre toi. Putain, elle est où la Jill qui se crispait quand t’avais le malheur de poser une main sur son épaule, hein ? Le regard embrasé, tu regardes la courbe de son dos, le bombé de ses fesses. Et merde. T’es un mec putain, t’es Yann, putain. Jill. que tu grognes dans un murmure à peine audible, te laissant doucement entrainer par la musique. Tu mentirais si tu disais que la brune ne te faisait pas d’effet, là tout d’suite. Tes mains glissent sur ses hanches, tu les serres surement un peu trop, mais t’as besoin de la sentir entre tes mains là. Il t’vient des idées, partir d’ici et rejoindre la camionnette, putain. Tes bras qui se pose contre son buste, tu l’entoures, la rapproche de toi, alors qu’elle est toujours dos contre toi. T’es une vraie reine du dancing, Jill. souffles-tu contre son oreille. Un regard sur l’énorme décompte, minuit sonnera dans une bonne demi-heure.
Vous continuez à danser, les minutes s’égrènent. Tu t’grilles une clope entre deux chansons avant de retourner dévorer Jill du regard. Elle t’rend dingue, ce soir. Elle s’rend surement pas compte de ce qu’elle dégage, ce soir. Soudain, la musique s’arrête et c’est l’euphorie. Les gens se mettent à compter, haut et fort. DIX ! NEUF ! HUIT ! SEPT ! Tu la retournes face à toi, un main dans le bas de son dos. SIX ! CINQ ! QUATRE ! Ton regard affamé qui plonge dans le sien, qui s’arrêtent sur ses lèvres une seconde avant de replonger dans ses yeux. J’vais t’embrasser, Jill. grognes-tu tandis que le décompte continue. TROIS ! DEUX ! Tes lèvres qui viennent capturer les siennes, avec envie. Putain, ouais, tellement d’envie. UN, BONNE ANNEE ! Te barre pas, Jill. grognes-tu en replongeant sur ses lèvres.

C'est ça que j'aime pas avec l'alcool, ça me rend trop folle, peu responsable. Et encore plus ridicule que je ne le suis déjà. Heureusement que je sais danser, car sinon, j'ose pas imaginer le spectacle. J'ai les joues rouges, le rire facile, je me déhanche, je décontracte tout ça et je m'étonne moi-même à réussir à pas perdre l'équilibre du haut de mes talons aiguilles. Yann, il se montre d'abord à l'écart, mais je réussi à le prendre au jeu. Je suis même en train de le chauffer ! Oui, je fais vraiment ça. Peut-être qu'une partie de moi a envie de le rendre dingue aussi. Puis bon, me frotter contre lui, ça donne chaud, parce que ça caille et puis, c'est pas déplaisant, moi aussi j'ai envie de le faire rougir, marre que ce soit toujours l'inverse. il prononce mon prénom mais je l'entends à peine. Puis il me complimente sur ma façon de danser. « y'a tellement de choses que tu ne sais pas sur moi. » comme mon malheur d'avoir tout perdu, mais ça, je n'ai nullement envie d'en parler ce soir. Ses gros bras viennent m'entourer et je sens mon pouls s'accélérer. Tout le monde commence à crier. Hein ? Déjà minuit ? Je me détâche de Yann et je regarde en l'air comme tout le monde, prêt à regarder le feu d'artifice. Mais mon faux-mec, il capte mon attention autrement. M-m'embrasser ? Et hop, pas le temps de paniquer, il plaque ses lèvres sur les miennes. Mais ce n'est pas comme un baiser innocent qu'on a déjà échangé au cinéma. Là, c'est bien plus que ça. J'ai cru qu'il n'allait pas me laisser respirer. « Qu'est-ce que... » j'en ai le souffle coupé. Oh mon dieu, j'ai trop aimé. Recommence. Me barrer ? Surement pas. J'accueille avec plaisir sa bouche une nouvelle fois et je me laisse porter par ce baiser. J'enroule son cou de mes fins bras et je réponds au bisou. Timidement au début, je le regarde, à bout de souffle, puis je reviens chercher ses lèvres. Sensuellement, mes doigts viennent attraper sa nuque pour l'attirer plus vers moi. Je ne sais pas combien de temps il a duré mais je n'ai plus de rouge à lèvre. Je romps ce contact mais je reste proche de lui, mon nez frôle sa joue, puis je l'observe. God, je sais pas quoi dire. Dans mon ventre, ça brûle, ça brûle d'envie, de lui. « hm t'as vu mes amies dans le coin ? » que je demande d'un air innocent en rigolant doucement. Dis-moi que non. Dis-moi que ce baiser, il était voulu, et qu'il n'est pas stratégique.

T’imagines qu’elle sait très bien ce à quoi elle joue en se dandinant ainsi contre toi, frottant ses fesses contre son entre-jambe. Et si c’est vraiment ce à quoi elle pense, autant dire que c’est plutôt efficace, carrément même. y'a tellement de choses que tu ne sais pas sur moi. C’est vrai ouais. Jill tu la connais pas, Jill est te connais pas. Vous êtes deux acteurs inconnus qui s’adonnent à la plus grosse farce du monde, la plus ridicule aussi. Deux personnes que tout semble opposer que le hasard a décidé de rassembler. Et d’assembler. Oh putain, non, ça c’est toi qui l’veut ouais. Tu veux Jill, faire qu’un avec elle le temps d’une danse horizontale, ouais. Ne plus l’imaginer mais juste la voir, la toucher, putain.

Alors c’est peut-être la façon qu’elle avait de danser contre toi, l’envie que t’as d’elle, l’alcool ou tout ça mélangé qui font que, tu l’embrasses alors que minuit résonne. Un putain de cliché au milieu de cette rue bondé de gens qui crient à l’unisson. Qu'est-ce que... Arg, ta gueule Jill. Arrête, ferma là, reviens ici. Ses jolis yeux noisettes qui te regardent alors que ses lèvres restent entrouvertes. Des mains s’enroulent autour de ton cou, ses doigts froids dans ta nuque, contact agréable. Et à nouveau, un baiser. hm t'as vu mes amies dans le coin ? Tu secoues la tête, gardant tes mains sur sa taille. Rien à foutre de tes copines. Tu rapproches ta bouche de son oreille pour y murmurer quelques mots. Bonne année, Jill. que tu souffles tout doucement avant de poser un baiser sur le creux de son oreille. Des confettis explosent de partout et tombent comme une pluie de paillettes sur la grande avenue. Elle a ce sourire sur les lèvres, ces yeux qui pétillent de contentement. Elle est belle, incroyablement belle. Les yeux légèrement plissés, tu la regarde en glissant des doigts dans ses cheveux pour faire tomber quelques confettis. T’as pas idées de c’que j’ai envie d’te faire, Jill. T’avais pensé tout haut, mais putain tu t’en foutais.

Donc on s'en fout de mes copines ? ça devient différent entre nous ? Non ! Non on peut pas se prendre à ce point au jeu. Yann qu'est-ce que tu fais ? Je préfère que tu me dises que t'es en train de jouer pour pas que je flippe. Mais d'un côté, savoir qu'il ne joue pas ce soir, ça me plait aussi. Où voulez-vous trouver la logique là-dedans ? Je suis une femme avec pleins de contradictions. Je souris comme une gamine heureuse tandis que des confettis nous tombent dessus. Je lève le nez en l'air et je m’extasie. « woaaaaw c'est trop beau, t'as vu ? ! » pauvre femme bourrée. Puis soudain, Yann il réussit à capter toute mon attention en un regard. Ses yeux, ils ont changés. Omg c'est un vampire qui a soif de mon sang. il passe sa main dans mes cheveux et je le regarde bêtement. « ah oui ? tu veux m'faire quoi ? » pauvre petite ignorante. Je m'approche de lui, je m'accroche d'un bras sur son épaule et ma main libre, je la frotte sur le coin de ses lèvres. « pardon mais t'as du brillant sur les lèvres. » je ricane. On dirait une petite fée ou non, on dirait que peter pan a fait un minou à la fée clochette.

Ouais, ses copines on s’en fout. Faut croire que là, tout d’suite, t’es pas le faux petit ami. T’es juste Yann, le gars qu’à trouvé une jolie fille et qui la veut, toute entière. Ouais, dit comme ça c’est pas glorieux, mais t’as jamais dit que tu l’étais, non ? woaaaaw c'est trop beau, t'as vu ? ! T’as les yeux rivés sur Jill qui s’extasie devant les confettis qui tombent. Ouais, j’ai vu. dis-tu de ta voix rauque dans la quitter des yeux une seule seconde. Puis tes pensées franchissent tes lèvres, t’allais pas cacher tes intentions de toute façon. Et à en juger par la façon dont avait dansé Jill près d’toi, t’espérais pas être le seul putain. ah oui ? tu veux m'faire quoi ? Joue pas les innocentes, Jill. Tu penches la tête doucement sur le côté, un sourire amusé sur les lèvres. Un tas d’trucs. réponds-tu en arquant un sourcil, posant une main à la naissance de ses fesses alors qu’elle t’essuies un peu de brillant sur les lèvres. Tu la serres contre toi, mordillant le bout de son doigt qui traîne près de ta bouche. Rentrons. Tes cinq shooters, ils sont passé depuis l’temps non ? Et puis t’façon, tu t’en fous un peu. T’es bien, en état de conduire, rien à foutre. T’aggripes les lèvres de Jill une nouvelle fois, laissant ta langue danser avec la sienne. Tout d’suite, Jill. soupires-tu les yeux fermés, ton front contre le sien.

Je me sens bien, beaucoup moins coincée, j'ai la joie de vivre. Je suis totalement euphorique. J'ai envie de danser jusqu'au bout de la nuit, et continuer à boire son poison dégueulasse si ça me rend encore plus folle. ça fait du bien de se lâcher. Et puis y'a Yann, le fait qu'on se fasse des bisous, tout ça, ça me plait, fortement. Je m'amuse à essuyer sa bouche mais il mort mon doigt. « aie ! on t'a pas donné à manger ou quoi ? » ça va, c'est pour rigoler. il m'a pas mordue à sang non plus. Je le trouve changé... et ça m'intrigue, ça devrait me faire peur mais je ressens aucun message d'alerte quand je suis saoule. Un tas de trucs ? What ? Et il veut rentrer maintenant ? Ses lèvres retrouvent les miennes spontanément et je relâche doucement sa nuque. « hein mais on vient d'arriver. » sauf qu'il me coupe, il insiste. Je passe une mèche derrière mon oreille et j'hausse les épaules. « ok mais tu veux qu'on aille où ? » je m'agrippe à son bras et je le suis, un peu déçue de partir si vite mais je me dis qu'avec lui, rien que lui, la soirée peut tout aussi bien être parfaite.

aie ! on t'a pas donné à manger ou quoi ? Tu lèves les yeux au ciel, ton sourire de con sur le coin des lèvres. Jill est pompette. Clairement, ouais. Trois shooters lui auront suffi à la demoiselle. Peu importe, toi t’es juste bien avec tes 5 shooters qui sont déjà bien redesecndu. Il t’en faudrait d’autres, plein d’autres ouais. hein mais on vient d'arriver. Putain Jill, tu voulais pas venir et maintenant tu veux pas repartir ? T’es chiante comme fille, en fait ! T’insistes, l’envie d’elle presque trop forte. ok mais tu veux qu'on aille où ? Vous retournez à la camionnette de la vente de sapin, tu t’installes et poses tes deux mains sur le volant. Chez toi, chez moi. J’m’en fou. Dis moi. réponds-tu en tournant la tête vers elle. Non, chez moi en fait. J’ai ce qu’il faut. De l’alcool, autrement dit. Y’avait rien chez Jill, rien de quoi fêter le nouvel an dignement. Tu prends la route, jetant de temps à autre des petits coups d’œil aux jambes de l’étudiante que ça robe couvrait à peine. Putain. Comment une fille aussi simple pouvait t’faire autant d’effet juste pas sa présence, hein ? T’essayais de te contenir quand même, Jill était surement pas le même genre de fille que toi, ouais. Surement que si elle l’avait été, tu l’aurais déjà attrapé dans l’arrière du véhicule, putain. Et cette idée t’rend un peu plus dingue. Faut que tu te calmes Yann, on dirait un mec en manque alors que… putain. Tu t’gares devant « ton » immeuble et invite Jill à te suivre. Bienvenue chez moi. souris-tu en posant tes yeux sur les fesses de Jill alors qu’elle rentre dans l’appartement. Enfin chez toi.. c’était surtout chez Willa ici, à part tes bouteilles dans le frigo et le placard, puis ta chambre où y’avait tes fringues, t’avais rien apporté au reste de l’appart. Tu fermes la porte et reste adossé contre elle, regardant Jill d’un air affamé. Et puis elle retire sa veste, y’a plus que cette robe qu’elle porte. Putain, au diable quel genre de fille était Jill ! Tu fais un pas vers elle, poses tes mains sur sa taille et avance avec elle pour aller la bloquer contre le mur et l’embrasse, ses lèvres goûts gloss là.

Tout va très vite, on quitte la place, les bruits festifs, on se retrouve dans sa camionnette direction chez-lui. Je me doute pas un instant de l'intention qu'il a dans le crâne. Je suis un peu à l'ouest, ma tête contre la vitre de sa portière, je manque presque de m'endormir. Je lutte pour ne pas fermer les yeux et ne pas bailler. Trop cool, je vais voir où il habite. Mon dieu, comme ça va vite ce soir, il vient chez moi, je vais chez lui, il m'embrasse comme bon lui semble. « ooh mais c'est grand. » je déambule dans son appartement, m'appuyant sur un talon puis un autre. Je retire ma veste pour la jeter sur une chaise et je me tourne vers lui. Yann me fixe, il reste près de la porte. Je m'apprête à lui demander ce qui ne va pas mais il fonce sur moi, me coince de son corps contre le mur et dévore mes lèvres. Ah eum ok. Encore un bisou, pourquoi pas, mais qu'il me laisse quand même un peu de salive hein. Mais c'est pas les mêmes baisers de tout à l'heure. Je sens sa langue, toute sa passion et... son envie ? il a l'air tout excité, ses mains se posent sur mon corps et je reste... immobile. Enfin je ne sais pas trop ce que je dois faire. « Yann. » je l'appelle en soufflant entre deux baisers, mais il continue. Merde, ça me fait de l'effet, vraiment, ça chauffe dans le bas dans mon ventre. Je comprends enfin ce qu'il attend de moi, ce qu'il voulait dire par 'toutes les choses que je vais te faire'. Je plaque mes mains sur son torse et je le repousse doucement. « stop arrête, ça va trop vite. je... j'suis... j'ai pas envie. » je déglutis et je regarde ailleurs pour ne pas le regarder. Je viens de lui mettre un stop, le genre de trucs que les mecs n'aiment pas je pense. Mais... non, merde, je me sens toute petite là.

T’avais pourtant été clair, tu pensais que le message était passé et qu’elle était d’accord. Alors ouais, t’avais fondu sur ses lèvres, incapable de rester de marbre plus longtemps. Jill, elle avait cette attraction physique, c’est un truc de fou. Elle était belle, elle avec des courbes sensuelles et des formes que t’avais envie de découvrir. Yann. Elle est raide, un piquet, la Jill du cinéma. Celle qui se crispe au moindre contact. Ses mains qui s’posent sur ton torse pour te repousser. stop arrête, ça va trop vite. je... j'suis... j'ai pas envie. T’as le cœur battant, les couilles pleines et la bite dure et elle te demande d’arrêter ? Mais, putain ! Une main contre le mur, l’autre qui glisse dans tes cheveux pour les remettre en place, tu la regarde, une expression d’incompréhension sur le visage. Quoi ? que tu souffles en laissant ta main retomber sur sa taille. Tu m’fais marcher, là ? Tu ris doucement en approchant à nouveau ton visage du sien pour l’embrasser. Mais à voir son regard un peu perdu, non, elle plaisante pas. A quoi tu joues, Jill ? C’était quoi l’idée, hein ?

Où est-ce que j'ai merdé ? Yann m'a demandé de m'habiller, de me faire belle, c'est ce que j'ai fait. Puis il m'a emmenée dans une foule de gens, m'a demandée de boire, c'est que j'ai fait. il m'a rendue comme ça, si à l'aise, si sensuelle. Je voulais pas moi, je voulais pas venir ! Je voulais même pas le voir chez moi. Je n'aime pas quand on vient spontanément déranger mon petit confort personnel. Yep, je suis une solitaire. T'avais pas encore remarqué ? Après tout ça, Yann me demande d'aller chez lui, je dis ok encore une fois, mais ça, ce qu'il veut faire non, je peux pas. Je le repousse, je tremble comme une feuille à l'intérieur et ça brûle dans ma poitrine, très fort. Je suis pris entre deux sentiments, la peur et l'excitation. il m'embrasse de nouveau mais relâche rapidement mes lèvres en voyant que j'étais plus réceptive. « et toi, à quoi tu joues ? » je lui renvoie sa question qui lui va plutôt bien tiens. Je me sens triste au fond, je ne sais pas pourquoi. Sans doute qu'il me considère comme n'importe quelle nana qu'il peut foutre dans son pieu. Nope, ça ne marche pas comme ça. « Tout à coup, tu m'embrasses sans mes copines, tu veux me faire boire, tu lâches plus mes lèvres et maintenant tu veux me sauter ! » je rage. Olala c'est l'alcool méchant que j'ai ou triste, je ne sais pas. Je le pousse une deuxième fois et je récupère ma veste. « je suis vierge okay ? vi-er-ge. alors contente-toi de simples baisers et sans la langue, et tu peux faire une croix sur le reste. parce que, franchement, je perdrai jamais ma virginité avec un type comme toi. » j'ai parlé vite, d'un ton agaçant, méchant sans doute. Mais je me sens attaquée en tant que femme, d'un côté, c'est bizarre. J'espère que Yann va pas prendre ça comme un défi, ne va pas me torturer. Je veux juste... je sais pas. Tout m'échappe, je pense que je commence à bien l'aimer ce con et tout ça, ça me fait peur. Alors si je commence à faire n'importe quoi de mon corps, je vais me perdre, je le sens.