(demi) blow a kiss, fire a gun, we all need somebody to lean on

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we all need somebody to lean on
crédit/tumblr → w/@demetria o'meara

J’y compte bien. Ça ne serait pas toi si tu me laissais gagner. T’es le genre de fille qui n’abandonne pas, alors j’attends de voir. "On sait jamais, si j’fais pas gaffe. Troubles de l’attention, tu te souviens?" Peut-être que j’insinuais que j’pourrais t’inviter à nouveau, qui sait? "Tant mieux, j’aime les femmes qui savent ce qu’elles veulent." Et je frôlais tes lèvres, pour au final te tirer à nouveau dessus et m’échapper. Viens me chercher si tu veux ta récompense. Sinon, j’saurais que tu n’en veux pas et on sera fixés. Mais à peine quelques minutes après, tu me rattrapais. Vu ton poids plume, t’étais bien plus agile et rapide que moi alors ça ne m’étonnait pas. Tu me tirais dans le dos et je lâchais mon arme, levant les bras en l’air comme quand la police attrape le méchant dans les films. Je me tourne ainsi, sourire aux lèvres à tes mots. "J’ai jamais dit que j’allais la jouer à la loyale." Regarde, déjà j’t’invite à un truc comme ça alors que t’as encore des bleus de partout. Je plisse un peu les yeux à la suite de ta phrase, tentant de deviner si c’était vrai ou pas. Parce que le truc, c’est que si tu décidais que c’était fini pour ce soir, ça le serait. T’étais pas une meuf qu’on pouvait faire changer d’avis, ça, je l’avais compris. Quand mon arme retrouvait ses fonctions, tu me tirais à nouveau dessus pour la désactiver, même si elle gisait toujours sur le sol. J’avance, un pas, deux pas vers toi. Je continue jusqu’à ce que le bout de ton arme heurte mon estomac. Je passe deux doigts sous ton gilet de protection et te tire contre moi pour plaquer mes lèvres sur les tiennes, cette fois sans aucune hésitation. J’crois que t’as gagné.

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« ah, maintenant tu utilises des excuses » mais je crois que ça ne me gênerait pas en vrai si tu m’invitais vraiment. à plusieurs reprises. je sais pas pourquoi mais, j’aime bien passer du temps avec toi. j’veux dire que.. j’ai attendu la fin de la journée avec impatience à partir du moment où j’ai reçu ton message. et t’as raison, j’ai limite agis comme une adolescente à répondre à tes sms alors que j’aurais dû travailler. « tu vas être servi alors » que je rétorque d’un sourire alors que tu me l’a met soudainement à l’envers. c’est sûrement pour cette raison que quand je te rattrape, je me décide à ne pas la jouer loyale non plus. « vrai. » t’as jamais dis que tu serais correct. et c’est parce que je ne l’ai pas dit non plus que malgré ton arme à terre je tire une nouvelle fois. juste histoire d’égaliser les deux coups de traître que t’as pu me faire. toi, tu la récupères même pas, tu te contentes d’avancer vers moi jusqu’à ce que la seule séparation soit l’arme que je pointais sur toi. mais t’arrêtes pas là, c’est tes doigts qui viennent glisser sous mon gilet me tirant dans ta direction et je décale ma main me laissant faire sans rien dire. puis tes lèvres entre en collision avec les miennes me donnant enfin ce que j’avais cherché quelques minutes plus tôt. les gamins continuent la partie autour de nous, tirent sans qu’on réagisse et j’crois que je suis beaucoup trop accaparée par l’échange que l’on est en train d’avoir. si bien que la fin de la partie est annoncé et qu’on est toujours là, à s’embrasser à en perdre haleine.

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"C’est pas une excuse, c’est un vrai problème tu sais?" Bon ok, dans ce cas précis, c’est peut-être bien une excuse. Que veux-tu? J’ai du mal avec cette idée de date et de sérieux. Mais j’veux pas arrêter de te voir, parce que j’m’amuse bien avec toi jusqu’à présent. Y’a pas un seul moment passé ensemble qui m’a gavé. Et j’crois que c’est pour ça que finalement, quand tu me rattrapes, je baisse les armes, je capitule, je te laisse me tirer dessus. J’m’en fiche, t’es venue me chercher, c’est tout ce que j’attendais. De toute façon, j’savais très bien que j’sortirai pas gagnant de cette partie. C’était juste pour le plaisir de te donner un défi à relever et qu’on se détende un peu, qu’on se voit hors de chez nous ou de la salle de sport. Et j’suis là que pour toi moi, alors je t’attire sans hésitation contre moi pour réunir nos lèvres. C’était pas de l’hésitation tout à l’heure, simplement un peu de provocation, un peu de taquinerie pour voir si tu serais prête à me courir un peu après. Te tenter un peu, pour te donner envie. C’est un baiser avide qui s’en suit, comme si y’avait plus rien autour de nous. Et techniquement, il y a bien vite plus rien. Partie terminée, les lumières qui se rallument et moi qui me recule un peu pour reprendre mon souffle. On fait quoi là? À s’embrasser sans rien derrière? On n’est pas un couple, on n’est pas censés faire des trucs comme ça. Et pourtant, c’est moi qui l’ai fait. C’est moi qui suis venu t’embrasser. Merde. "Tu crois que ton équipe a gagné?" Qui sait, peut-être que les gens dans mon équipe étaient balèzes en fait. Oui parce que bon, j’comptais pas sur moi pour les faire gagner. "Viens, faudrait pas manquer les résultats, on saura pas qui  de nous deux aura eu le droit à sa récompense." Je me penche pour ramasser mon arme et te tire par la main jusqu’à l’accueil où se dressait le tableau des résultats. Et sans grande surprise, ton équipe avait remporté la partie, avec toi à leur tête. "J’crois bien que la victoire te revient ce soir…" Tu gagnes donc un deuxième date, mais visiblement pas mon corps sur le tien, puisque c’était censé être ma récompense ça. D’un côté, j’trouve que t’es à moitié perdante. Je retire mon gilet, rends les équipements à l’organisateur, passe ma main dans mes cheveux pour les remettre vers l’arrière. "Si t’es fatiguée, on s’arrête là. Sinon, j’me souviens que tu m’avais proposé un verre. Ou une bouteille de whisky, au choix." J’avais pas oublié. Encore faudrait-il que tu veuilles prolonger la soirée. C’était toi qui avais un job et qui y étais toute la journée. Moi, j’faisais rien, j’étais en vacances, j’avais tout le temps du monde pour récupérer.

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et je m’en fiche en fait. je m’en fiche que ce soit terminé et qu’on soit toujours là. je me fiche qu’on ne soit pas censés faire ce genre de chose toi et moi. parce que ouais, s’embrasser de la sorte, comme ça, ça ne nous est pas vraiment destinés. mais j’crois que j’arrête de réfléchir à chaque fois que tu me touches et c’est difficile de mettre de l’ordre dans mes idées quand tu m’embrasses comme ça. sauf qu’il faut bien que le moment s’arrête et c’est toi qui recule me laissant un léger arrière goût. j’voulais pas que tu cesses moi mais.. pour une fois, je ne réclame pas. « haut la main même » j’reste confiante jusqu’au bout de toute façon. et si par malheur c’était la tienne ayant remporté la partie, j’aurais au moins la satisfaction que ce ne soit pas grâce à toi. et t’sais le plus étrange ? c’est les gestes que t’as envers moi. le fait que tu prennes ma main pour m’entraîner jusqu’à la sortie comme si j’étais pas capable d’y aller toute seule. je m’en plains pas hein ? mais je trouve juste que ça rajoute un peu plus d’étrangeté dans tout ça en fait. bref, face au tableau, j’pouvais pas retenir le sourire victorieux qui venait étirer mes lèvres alors que tu disais à haute voix ce que j’étais déjà en train de lire. « c’est le talent tu vois » j’te fais même une révérence pour palier à mes mots avant de rire. donc, j’ai le droit à un second date.. est-ce que j’ai aussi le droit à une nuit torride ? visiblement, de ton point de vue c’est mon droit de le réclamer, j’reste du coup confiante de ce côté là. bref, j’retirais l’équipement relâchant finalement mes cheveux qui tombaient en cascade sur mon dos avant de reporter mon attention sur toi. « ça peut être un verre qui se transforme en bouteille » qui sait ? ce ne serait pas la première fois que j’arriverais au boulot avec la gueule de bois de toute façon. et y avait rien que des litres d’eau ne pouvait pas aider à surmonter. « j’te laisse me guider, on va où tu veux » mais j’retiens que dans les prochains jours, tu me dois quand même un nouveau date.

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On sort de la salle de jeu après ce baiser qui me laisse un goût de trop peu, pour voir sur les écrans que ton équipe avait gagné, avec toi en tant que meilleure joueuse. Tu m’étonnes. "Le talent?" Le travail, j’aurais dit. T’as littéralement été formée pour ce genre de traque, de course-poursuite, de chasse à l’homme. Donc ouais, j’étais pas étonné. Et du coup, j’gardais en tête que je te devais un deuxième date. Un vrai cette fois, pas un truc déguisé? On verra. Tu retires l’élastique qui maintenait tes cheveux et je te regarde faire, peut-être un peu trop. Donc j’décide de reprendre la parole pour t’inviter à continuer cette soirée. Ou alors d’en rester là, au choix. À ton choix. Et à mon plus grand plaisir, tu décides de poursuivre encore un peu la chose. "J’connais un bar sympa qui est à un pote à moi, mais j’pense que si on prévoit de se taper une bouteille, vaut mieux qu’on aille directement chez toi." Ça servait à rien d’aller au Lord Hobo pour payer deux-trois verres, tout ça pour retourner chez toi entamer une bouteille. "T’as encore celle qu’on a entamé l’autre soir? Faudrait qu’on la continue." C’était notre bouteille ça. "Puis… On sera plus tranquilles chez toi." que je souffle au creux de ton oreille dans un petit sourire. "Ça te va comme programme?" Si t’as mieux, propose, je suis preneur également.

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un vrai date. j’retenais d’ailleurs qu’en vrai, tu ne m’avais pas reprise quand j’avais dis ce mot. à croire que c’était ce que tu avais en tête depuis le début mais que tu n’avais juste pas osé le formuler à haute voix. peu importe. dans tous les cas j’avais tout gagné aujourd’hui. aussi bien la partie que la suite de la soirée. « tu t’invites chez moi ou dans mes draps ? » que je répondais d’un sourire alors que tu continuais. « elle n’a pas bougé de place » quand j’étais seule, j’allais boire dans un bar. histoire de faire moins pitié que si je m’enfilais une bouteille de whisky toute seule dans mon salon. et je frissonnais à tes mots dans le creux de mon oreille souriant de plus belle. « ça me semble parfait » du coup, une fois à l’extérieur je t’entraînais jusqu’à ma voiture garé non loin avant de prendre la direction de mon chez moi. le truc cool avec l’été, c’était le peu de circulation en ville. ça nous permettait de rentrer rapidement sans se prendre la tête dans les bouchons quotidien. bref, je déverrouillais la porte d’entrée, entrant à l’intérieur avant de te laisser faire de même pour finalement fermer derrière nous. lumière allumée, j’ouvrais directement le placard à alcool sortant la bouteille et deux verres puisqu’il était là le but de l’invitation. te tendant le tien, je faisais trinquer le mien contre avant de prendre une gorgée. « donc, si tu me parlais de toi ? je connais les détails mais j’veux en savoir plus. apprends moi qui tu es maxwell » t’avais des infos personnelles sur moi, j’ai bien le droit à en avoir en retour.

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"Les deux." Et c’est même pas une question en fait. J’ai arrêté avec les questions, maintenant, j’essaye de prendre ce que je veux, quand je veux. Et t’as l’air d’être une meuf qui aime quand on est cash, alors je joue la carte de l’honnêteté. J’m’invite chez toi pour la bouteille, mais j’espère bien finir dans tes draps. Ou sur ton canapé. Ou sur ta table. Peu importe en fait tant que j’finissais contre toi. Le programme te convenait alors tu me guidais jusqu’à ta voiture pour conduire jusqu’à chez toi. Seule la musique brisait le silence et je bougeais parfois la tête ou les jambes au rythme de celle-ci. Une fois arrivés chez toi, tu allumais les lumières, fermais la porte derrière nous et te dirigeais directement vers un placard duquel tu sortais la fameuse bouteille. Tu verses deux verres, on trinque machinalement sans raison et on boit chacun une première gorgée. Et tu me demandes de te parler de moi. J’suis pas trop doué à ce jeu. "Elliot Maxwell, Timothy de son deuxième prénom mais il ne figure même pas sur mes papiers. Triple-nationalité, française par ma mère, américaine par mon père et australienne par naissance. J’ai eu 24 ans, je suis en relations internationales à Harvard, j’étais en sixième année cette année mais je l’ai pas eue, et j’hésite à changer pour le journalisme à la rentrée. J’ai une soeur, enfin c’est ma demi-soeur mais j’la considère comme ma soeur à part entière. Je vois plus mes parents depuis décembre de l’année dernière. J’ai déménagé à Boston quand j’avais dix ans. Je sais piloter des hélicoptères et surfer. Et… j’sais pas. Demande-moi ce que tu veux savoir." Vaut mieux que tu poses des questions sur ce qui t’intéresse potentiellement, plutôt que je ne blablate sur des trucs dont tu t’en fous.

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j’pars du principe que c’est donnant donnant. et j’sais pas, si tu commences à me poser des invitations par ci et par là, je me dis que je préfèrerais apprendre à te connaître un peu. parce que du coup, j’ai l’impression de rien savoir sur toi. rien hormis ce que tu as pu mettre dans ton dossier d’inscription pour les cours de boxe et du coup, j’trouve ça très surfait au final. ton nom, ton prénom, ta ville de naissance. je me dis que je voudrais des choses plus concrètes en fait. plus intimes ? ouais, j’sais pas. et ouais, quand tu me parles de toi, tu restes dans le surfait en fait. les trois quarts des infos que tu donnes, je les connaissais déjà. je pianote de mes doigts sur le bar ne cessant de t’écouter et quand finalement tu te coupes, je me mords la lèvre. « t’es pas doué pour parler de toi, hein ? » parce que ouais, t’as l’air mal à l’aise à cette idée. et le discours que tu m’as tenu, c’est typiquement tourner autour du pot pour ne pas aller dans les confidences. « dis moi ce que tu préfères faire, ce que tu détestes. si tu pouvais changer un truc dans ta vie qu’est-ce que ça serait, ton plus grand rêve, le truc qui t’as rendu le plus heureux.. » des trucs plus intimes en fait. qu’on connaîtrait pas si tu ne le racontais pas. j’prenais la direction du salon, toi sur mes talons pour prendre place sur le canapé. virant mes chaussures, je m’asseyais en tailleur avant de te regarder à nouveau. « si tu préfères ne rien dire, c’est pas grave » j’cherche pas non plus à te mettre dans une position que tu ne veux pas.

Tu me demandes de parler de moi et j’te balance quelques infos en vrac. J’sais pas trop ce que tu veux savoir donc c’est pas évident en fait. "Ça se voit tant que ça?" Ouais, visiblement, t’as remarqué que je ramais un peu. Dis-moi toi, ce que tu veux savoir. Ça sera plus simple. Okay donc tu veux des trucs plus… personnels? "Hm… Ce que je préfère faire, c’est surfer. C’est la meilleure sensation au monde à mes yeux. Mais c’est compliqué, à Boston. Du coup j’ai remplacé cette passion par l’hélicoptère quand j’avais à peu près 16 ans." Mais j’viens de te le dire ça tu vois? "Je déteste…" Vas-y, faut que je sois honnête? "Les meufs qui me prennent pour un con à retourner avec leurs exs." Voilà, au moins c’était dit. "Je déteste aller en cours aussi, je m’ennuie à mourir et j’arrive pas à me concentrer." Mais ça doit te paraitre futile, toi, les cours ça doit remonter quand même. "Si je pouvais changer quelque chose dans ma vie… j’sais pas. Éviter de me jeter dans la gueule du loup à chaque fois. Faire les choses trop vite. Et sinon, un évènement en particulier, le déménagement, mais j’avais dix ans, c’était pas de mon ressort de m’interposer." J’étais qu’un gamin. "Mon plus grand rêve? Ça va sonner cliché et nul mais… être heureux. Genre, réellement. Avoir aucun souci, être en paix avec moi même. Et ensuite être en paix avec les autres. Et puis, j’vais me répéter mais, c’qui me rend le plus heureux, c’est d’être en Australie." C’est chez moi là bas, et y’a pas un seul jour où j’y pense pas. "C’est déjà un peu mieux?" Pour le fait de parler de moi j’veux dire. C'était brouillon mais j'ai essayé de me souvenir de tout ce que tu m'avais demandé.

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« t’es un peu comme un livre ouvert. » j’esquisse un sourire mais.. c’est vrai. je sais pas si tu t’en rends compte mais c’est comme si on pouvait absolument tout lire sur ton visage en fait et ouais, c’est pas difficile de capter que c’était pas le genre de truc que t’aimais faire. bref, j’ai essayé de te donner des directions pour que tu me parles un peu plus de toi et.. si j’pensais que t’allais préférer ne pas répondre, au final, tu te livrais. et j’crois qu’à chaque fois, t’en revenais à ça. à ces filles qui t’avais fais du mal, qui t’empêchait d’être heureux, qui avait du te briser le coeur plutôt deux fois qu’une. alors pendant que tu parlais, je posais ma main sur la tienne, comme ça, dans un automatisme et souriais quand t’arrivais à la fin. « c’est mieux. promis, je te laisse souffler maintenant » j’crois qu’on doit y aller petit à petit, ne pas tout livrer d’un coup et.. j’sais même pas dans quelle direction on va alors j’reste encore un peu sur mes réserves. j’aime passer du temps avec toi, je t’aime bien toi mais.. j’ai vécu mes échecs, t’as vécu les tiens et j’sais pas vraiment si on passe au dessus du plan cul ou pas. peut être pas. j’sais pas. et je préfère ne pas me poser de question. j’crois que j’ai toujours eu trop peur des réponses. quand je veux, je prends. quand je ne sais pas si je peux obtenir, je reste en retrait parce que j’ai du mal avec le « non » en réponse. « tu mérites mieux qu’être un second choix » j’te le dis. parce que de ce que je découvre petit à petit, moi j’trouve pas que tu mérites d’être relégué en second plan et les filles qu’on partagés ta vie sont sûrement des idiotes.