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Elle t'affirmait sans plus attendre que les idées de suicide ou n'importe quelle connerie n'aiderait en rien à régler les soucis et que tout aille mieux dans ta vie. C'était peut être pour ça que tu avais été voir sa soeur, celle de qui tu étais proche et qui te changerait ces idées noires de ta tête. Je ne ferais plus aucune connerie. Tu ne lui avais pas du tout avouer connaître sa soeur, pas aussi bien que ce qu'elle pouvait le penser. Pourtant, il n'y avait pas plusieurs princesse de Norvège, tout s'arrêtait très vite, mais tu avais gardé ce côté mystère et ce n'était pas vraiment plus mal, sauf que Nova en question semblait le prendre tout de suite moins bien. Je ne voulais pas que tu t'éloigne, quand on s'est rencontré et nos premiers moments, ce coup de foudre, je n'y ai pas penser, je n'y étais même pas au courant, ça c'est fait si vite... et sans regrets. Sauf que visiblement, ça avait rallumer une flamme au sein des soeurs, tu étais encore un autre sujet de conversation et d'embrouille, mais cette fois, entre les deux princesses. Je veux pas créer une guerre entre vous, avec elle tout est très claire et il n'y aura aucun écart de conduite. Si elle n'accepte pas notre relation, c'est son problème, mais je ne te perdrais pas pour quelqu'un d'autres. Nova te faisait même part de ces inquiétudes, du moins, tu prenais cette question comme ça. Elle se demandait bel et bien si vous alliez retrouvé votre relation du début, où tout était si beau et si rose entre vous. Il y aura toujours des hauts et des bas, tant que je te rend heureuse, je m'en fiche, c'est tout ce qui compte à présent et j'espère vraiment pouvoir retrouver ce comte de fée que l'on vivait oui ! Tu ne t'attendais même pas à sa réaction, celle de lever ton menton de sa main, pour venir te dire clairement de te taire, de l'embrasser tout simplement. C'était un ordre, pire que ça ce n'était pas possible, sauf à l'armée. Tu en rigolais avant de t'approcher d'elle, de t'agripper à ces vêtements qu'elle portait pour venir la plaquer contre toi, ne plus laisser d'espace entre vos corps et de venir dévorer ces lèvres une nouvelle fois, celle dont tu raffoles et desquelles tu es si fou.
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