Anastasiya & Alekseï ✝Love the way you lie

A & A ✝Love the way you lie.

Honoré était passé pour lui apporter le petit déjeuné au saut du lit, cette petite attention eu l’effet escompté, car effet, cela mit de bonne humeur la Russe, le sourire sur le bord des lèvres, elle profita de cette venu à l’improviste pour passer un petit moment avec le jeune homme. Leur relation était assez complexe. En effet, ils s’aimaient bien, passaient de bon moment ensemble mais une certaine attirance les attachée l’un à l’autre sans pour autant venir le dire clairement. Peut être pour ne pas gâcher cette si belle amitié ou bien tout simplement parce que la Russe devait se marier dans l’année à venir avec son rival de toujours histoire que cette course au trône ne se fassent pas et que tout deux soit au pouvoir sans prise de bec. Bien entendu, ils subissaient la décision de leur parents mais au fur et à mesure ils avaient à se connaître et à s’entendre. Qui l’aurait cru ? Alekseï venait de rentré et c’est-ce qui déclencha le départ prématuré de son ami. Les deux jeunes hommes ne s’entendaient pas vraiment, le pourquoi , Anastasiya n’en savait rien. Allant raccompagner Honoré à la porte, elle la referma après quelques minutes pour se retrouver face à la tornade Russe, ne comprenant pas son comportement, cependant elle n’avait pas réellement envie de lui parler ce matin . Terminant son café et son croissant gentiment offert par Honoré, elle alla sur la terrasse pour fumer une cigarette tranquillement. De bonne humeur elle n’avait pas forcément envie de se prendre la tête, c’est pourquoi elle préféra lui dire carrément qu’elle avait passé un tee-shirt à son ami suite à un petit accident. Serrant son petit peignoir en soie noir autour de sa taille elle pencha la tête en arrière pour pouvoir lui parler. Au fait, j’ai passer un de tes tee-shirt à Honoré il a eu un petit accident ce matin, j’espère que sa te dérange pas , fin je te le remplacerait de toute façon tracass Se remettant droite, elle plia ses jambe contre elle, posant ses pieds sur la chaise.

♕ Anastasiya & Alekseï ♕

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Et une nuit de plus chez une fille en plus, 3 mois que j'étais ici et elles défilaient. La veille avait été bien arrosée, très bien même, une tournée en boite et 10 minutes après j'étais en compagnie d'une fille bien allumeuse, bien déchirée, elle semblait conne mais était bonne, je voulais baiser, disons le clairement et sans gêne alors j'allais profiter de ce pot de peinture pour la soirée et il en va de soit, pour la nuit. Son réveil sonna, le truc que je détestais quand je m'étais pris une cuite et que j'avais sniffer deux ou trois rails, je ne suis pas accro mais de temps en temps ça fait du bien et vu que Nastasiya n’est pas dans les environs, j'en profite. Elle l'éteignait direct et me disait qu'elle devait aller bosser, un samedi matin, elle était folle mais c'était ce genre de fille très à cheval sur leur études, la moindre mauvaise note et c'est la déprime assurée. Elle me demandait de partir, genre moi on me vire ? Elle s'est cru où elle mais je dois dire que j'avais pas vraiment le choix, c'était chez elle après tout, je tirais la gueule lui faisant comprendre que j'aimais pas cette idée, elle le voyait et semlait peinée, elle ne voulait pas que je parte mais elle n'avait pas le choix, je pourrais la faire rester et encore la baiser mais un autre jour, je sortais alors de chez elle, il était sur qu'on allaient pas se revoir, j'aimais pas qu'on me parle comme ça, me donner des ordres et me dire qu'il y avait pas d'autres options, elle avait été une conquête, une partenaire de baise mais rien de plus, qu'elle aille bosser ses cours, et qu'elle m'oublie le plus vite possible. Je puais la clope, l'alcool et le sexe, ces trois odeurs qui étaient devenu les officielles depuis tout ce temps, j'étais à pied, les résidences étaient à quelques rues d'ici, heureusement pour moi et mes pieds, j'aurais vraiment été dégouté si c'était à l'autre bout de la ville enfin passons. J'arrivais chez la duchesse de Russie, je finissais ma clope et j'entrais sans frapper, sans sonner, c'était chez moi après tout, enfin disons ça comme ça, je la voyais avec un mec, Honoré, lui et moi c'était pas du tout ça, j'avançais droit, il passait juste à côté de moi et Ana qui le suivait, je tournais la tête, elle refermait la porte derrière lui Il faisait quoi ici ? Genre normal quoi ! j'étais énervé, sans trop savoir pourquoi, j'aimais pas ce mec il tournait trop autour de l’héritière au trône, bref, elle passait à côté de moi comme si elle ignorait mes paroles, elle finissait son café et son croissant puis allait sur la terrasse, je la suivais après avoir retiré ma veste et elle était là assise sur la chaise, la tête en arrière à me parler. Bah si ça me dérange ! bordel c’est mes fringues quoi, surtout pour lui quoi, tu fais chier dès le matin putain... elle avait pas à passer mes affaires comme ça pour dépanner, encore moins à Honoré, le mec avec qui ça le faisait pas du tout. Je sortais dehors, sur la terrasse, m'adossant à la rempart Je m'amuse pas à donner tes fringues aux filles qui viennent ici... car oui des filles venaient ici, passer la nuit dans mon lit et partir au matin avant le réveil de la blonde sinon ça péterait car depuis quelques temps, elle n'aime pas trop ça.

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Tandis que son ami lui rendait visite, Alekseï arriva sans crier garde, sans frapper , sans rien du tout. Certes il habitait ici lui aussi, mais c’était son appartement avant tout , un peu de respect ne faisait pas de mal et cette situation commençait à l’agacée. Honoré et Alekseï n’avaient pas l’air de s’apprécier grandement c’est pourquoi décida de partir précipitamment. Bien entendu, elle le raccompagna à la porte tentant de savoir ce qui venait de se passer. Pourquoi , soudainement , une ambiance fébrile venait de s’installer dans l’air cependant elle n’eut aucune réponse. Fermant la porte un peu attristé de ne pas savoir, sa curiosité n’ayant pas était satisfaire, il passa devant le duc sans un aucun mot, sans aucun regard. Elle n’aimait pas ce qu’il était en train de faire et Honoré n’avait pas été le premier. Depuis un certain tant il agissait d’une manière assez différente, limite il voulait la faire chier à longueur de temps. Sur la terrasse elle termina son café ainsi que son croisant alors qu’il lui parlait. Il me semble que c’est encore chez moi, j’ai le droit d’inviter qui je veux j’y crois pas. Tu me saoules Soufflant d’exaspération, elle s’alluma une clope tranquillement alors que le Russe s’énervait seul à côté. Peut être pour en rajouter une couche, la princesse mentionna le fait qu’elle avait passer un vêtement du duc à son cher ami Honoré - ironie - Sa réaction ne tarda pas à venir comme elle l’avait présager. A croire qu’elle le connaissait par cœur. Ca va no stress je t’ai dit, je t’en achèterais un autre et le même quoique si tu veux mon avis, il était pas top. Je fais chier dès le matin , c’est pas moi qui gueule là dit-elle le plus tranquillement possible tout en fumant sa clope. Elle n’allait pas perdre ses moyens face à lui, pas encore, cependant ce qu’il venait de dire ébranla sa soudaine sérénité. Ca va c’est pas pareil , vu le nombre de fille avec qui tu couche j’aurais déjà plus de vêtement. Putain tu peux pas t’en empêcher, je sais pas ça en devient dégueulasse. dit-elle complètement dégouté de son attitude. Ecrasant sa clope, elle attrapa un magazine de mode, comme pour se concentrer sur autre chose Après il me sort que ça le dérange que j’invite des pote ici, si tu savais comme je m’en contre fou. Je fais ce que je veux

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J'entrais comme si de rien n'était, je ne prenais pas la peine de frapper ou de sonner, je considérais son appart comme le mien alors j'allais pas faire comme si c'était pas le cas même si d'un certain point de vue, ça peut l'être. Et en entrant, je vis Honoré, le gars avec qui ça le faisait pas du tout, pourquoi ? Il lui tournait trop autour, j'aimais pas ça, je savais pas pourquoi mais dès que je le voyais lui ou un autre, j'aimais pas et je le lui faisais savoir comme maintenant en lui demandant ce qu'il faisait ici mais aucune réponse, elle se contentait de refermer la porte une fois le winthrop sortit, puis de passer devant moi sans un mot, j'aimais pas ça mais elle le savait, évidemment. Elle allait sur la terrasse s'asseoir et finissant son café et croissant elle me montrait bien que c'était encore chez elle, mais je m'en foutais royalement Arrête cette excuse, ça va un temps quoi ! j'étais énervé, j’aimais pas qu'il lui tourne autour et la voilà à me dire qu'elle lui avait donner un de mes t-shirts à cause d'une petit accident, elle se prenait pour qui pour faire ça, ok c'était chez elle mais là c’était ma chambre, mes fringues quoi ! Je gueule car tu savais que ça allait me faire chier de l’amener ici et de dire que tu lui as filer un de mes t-shirts, oui j'avais raison c'est toi qui fait chier venant d'elle je savais qu'elle était capable de tout pour me faire chier et ça marchait plutôt bien, je comparais ce fait à celui des filles que je ramenais dans mon lit et c'était son tour de hausser la voix. De quoi c'est dégueulasse ? C'est humain et je profite puis je pourrais surement te faire le même coup, après tout t'as de la thune, t'en racheter c'est pas une barrage..ï je souriais légèrement alors qu'elle prenait un magazine de mode, elle faisait ce qu'elle voulait ? S'en foutait ? Oh non tu fais pas ce que tu veux... lle était plongée dans les articles oubliant et ignorant ce que je disais mais je m'approchais, prznant son livre d'une main et le jetant par terre J'aime pas qu'on m'ignore alors tu arrête tes conneries.. je la regardais droit dans les yeux, elle m'énervait beaucoup et encore je pensais mes mots, histoire de pas choquer..

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Oh ça va tu sais très bien ce que je veux dire, c’est toi qui est venue , j’étais tranquillement ici, et putain fallait que tu ramène ta fraise. Anastasiya commençait à lâcher prise, il avait réussit à la mettre hors d’elle. Tentant de reprendre ses esprits, elle se rendit sur la terrasse pour prendre un bol d’air, chose qui lui fait le plus grand bien. Elle s’apaisa peu à peu jusqu’à ce qu’il vienne et qu’il commence à mal lui parler. Et ça tu peux pas le dire plus calmement, non faut toujours que monsieur gueule, c’est pas possible ça dit-elle en écrasant sa cigarette durement dans le cendrier. Ne tournant pas son visage vers lui, elle l’ignora avec perfection. Mais vas’y amuse toi à faire ça , amuse toi. отъебись ( va te faire foutre) attrapant un magazine, elle décida de ne plus l’écouter ou du moins de ne plus lui répondre. Se plongeant dans un magazine, elle le laissa s’énerver seul. Mauvaise idée apparemment puisque ce dernier attrapa son magazine pour le jeter au sol, énervé. Elle savait qu’il n’aimait pas qu’on l’ignore cependant, à l’heure qu’il est , elle s’en foutais royalement. Se levant d’un bon, elle lui fit face, serrant les poing. C’était intolérable Non mais ça va pas dans ta tronche, t’as perdu l’esprit. ça main se leva et elle lui donna une claque avant d’attraper son magazine et retourner à l’intérieur pour aller se prendre un verre d’eau dans la cuisine américaine de l’appartement.

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J'avais pas le choix tu le sais très bien, crois moi je serais rester là-bas sinon..ï les tensions s'installaient déjà alors que je venais juste d'arriver, elle allait sur la terrasse pour souffler un peu, je dois dire qu'elle devait en avoir mal que je gueule tout le temps mais je suis une forte tête, un gueulard, un vrai connard. Enfin elle souffla peu de temps, j'arrivais aussi pour encore lui gueuler dessus, je savais faire que ça avec elle, que ça la soule ou non ça m'était égal, je gueulais si je veux avec toi je peux rien dire calmement tellement tu me casses les couilles чертовски сука дерьмо -putain de pétasse de merde- j'étais vraiment énerver, la preuve je parlais en russe et quand je parle en russe à part avec mes parents, c'est mauvais signe, elle savait me mettre en rogne et je savais la mettre hors d'elle, juste à évoquer le sujets des conquêtes et c’est bon. Elle le prenait mal, soulée, elle aussi en arrivait au russe, je souriais ironiquement отъебись ? T'es sérieuse.. marrante va ironie accompagne-moi, elle lisait son magazine, elle m'ignorait, faisait comme si j'étais pas là, je détestais ça, vraiment, je lui faisais comprendre en jetant son magazine par terre, elle se levait et m'en décollait une, les gros yeux, elle avait oser ? Je crois qu'il y avait des limites à pas dépasser, elle était sur la marge. Elle allait dans la cuisine, boire un coup, je me frottais la joue, avant de la suivre Je meurs d'envie moi aussi de t'en foutre une ... mais je veux pas payer l’hôpital... je mourrais d'envie c’est vrai mais jamais j'ai tapé une fille, c’est un de mes principes Franchement mais ramène plus honoré ici où j'te jjure qu'il a plus de tête... .

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] Quand on veut on peut ! T’aurai pu acheter l’appartement voisin et expulser l’autre ou je ne sais quoi ou bien même renoncer tout simplement. Tu vois pas là que tu es en train de gâcher nos deux vies ! Il était certain que la duchesse y allait fort en cet instant, mais elle n’en avait rien à faire c’était certain. Tout simplement parce qu’elle trouvait son attitude minable et intolérable. Il gueulait, comme à sa plus grande habitude et la princesse fit des blablabla accompagné du signe de la main approprié c’est-à-dire comme un moulin à parole. T’es qu’un minable Ivanovitch. Ouai ouai c’est ça je suis un pétasse si ça te fais plaisir à croire que tu sais dire que ça dit-elle en criant. En effet elle se foutait de lui ouvertement. La duchesse commença à s’exprimer en Russe ce qui était mauvais signe, tout comme lorsqu’elle appelait quelqu’un par son nom de famille , il l’avait mit à bout. Oui je suis sérieuse, tu sais très bien que quand je dis quelque chose je le fais, alors si tu veux tenter mais je t’en pris mais après vient pas pleurer quand les représailles tomberont croisant ses jambes l’unes par-dessus l’autre, elle ouvrit son magazine d’une manière à lui faire comprendre qu’elle ne l’écoutait plus mais ce dernier lui arracha des mains pour le jeter au sol . C’était la goutte de trop ! Brusquement, elle se leva pour faire face au jeune homme et sans crier garde elle lui mit une claque. Une bonne claque. Prenant ses affaires et sans un regard ou bien même une parole, elle retourna à l’intérieur de l’appartement pour se rendre dans la cuisine et se prendre de quoi se désaltérer. Buvant tranquillement, elle le regarda s’énerver avec nonchalance lui dire qu’il avait envie de la frapper aussi Mais je t’en pris , frappe moi , je m’empresserait d’aller voir les journalistes pour dire que mon futur mari me tape tu seras hors jeu mon chéri dit-elle fièrement, elle n’allait en aucun cas se laisser marcher sur les pieds . Honoré vient quand il veut j’espère que c’est bien rentré dans ta tête, y’a un bon feeling entre lui et moi dit-elle en laissant entrevoir ses sous vêtements plutôt sexy sous son peignoir avant de le refermer lui laissant le loisir d’imaginer ce qui aurait pu se passer entre lui et elle. Bien entendu rien ne s’était passé mais elle voulait l’énerver tout simplement parce qu’il la faisait chier.

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C'est la première idée qui me venu tu peux me croire ! mais disons que j'étais obligé, par nos parents.... si tu vois ce que je veux dire... et tu gâche parfaitement ma vie je te rassure je commençais à l'énerver, ça se voyait, elle y allait fort direct et je répondais fort direct, j'en avais marre, plus de 18 ans qu'on se frittent sans arrête pour un oui ou pour un non, cette idée d'avoir le cul sur le trône ça nous possède, et on fait tout pour y arriver, se jeter des crasses, s'envoyer des piques à longueur de journée et tout faire pour écarter l'autre de cette course au trône de Russie. Elle allait sur la terrasse, histoire de prendre l'air et de souffler face à mon comportement qu'elle ne comprenait pas forcement et je dois l'avouer, que je ne comprenais pas très bien non plus. Je suis peut-être minable mais toi tu es la reine du pathétique, toujours là à lever tes mains en l'air à faire des gestes, à dire continuellement de la merde, tu bave souvent pour rien, je suis minable Kataïeva mais toi pathétique.. une pétasse pathétique ouais elle m'avait vraiment souler, je gueulais dès que j'étais arrivé juste à cause de ce pauvre type qui était chez "nous", elle parlait en russe, elle aussi ? Je l'avais vraiment poussé à bout Quoique tu me fasse, si je tombe je me relèverai car grâce à toi je deviens plus fort, et je pourrais t'écarter encore plus pour cette place sur le trône, ce sera toi qui devra faire attention... et là elle faisait genre de m'ignorer, croisant ses jambes de duchesses, lisant son magazine de mode, je détestais ça, elle le savait, le fait qu'on m'ignore me rendait légèrement colérique, je ne me faisais pas prier, je lui arrachais le magazine des mains pour le jeter par terre, j'étais sur d'avoir son attention avec ça. Elle se levait me disant que ça n'allait pas que j'étais pas bien puis je reçu une grosse bonne gifle, elle retournait à l'intérieur, dans la cuisine boire un verre d'eau, je la suivais et une fois prêt d'elle je lui disais que ça me démangeais de lui en foutre une aussi mais elle avait raison, tout serait finit, et je voulais pas alors j'allais m'abstenir Raison de plus pour pas oser... je vais me retenir et juste te gueuler dessus et te pourrir la vie sans te toucher je souriais avec provocation, assurance, arrogance et fierté, tout ça dans un sourire et je ne fut pas le seul à provoquer, elle me montrait ses sous-vêtements en me disant qu elle feeling passait bien avec Honoré et qu'il viendrait quand il le voudrait, c'était le truc qui fit déborder l'eau du vase T'es sérieuse, vous avez baisés ? Нет, но я не верю в это, черт черт .. Я сбился ад!!!!! -non mais j'y crois pas, putain va te faire foutre.. je me casse bordel !!!!!- je prenais ma veste, je la regardais Au final c’est toi qui est dégoutante... va crever disais-je avant de claquer la porte en sortant, je m'asseyais à côté contre le mur, interdit de fumer mais je m'en foutais, j'avais besoin de décompresser et d’essayer de ne plus m'imaginer Honoré baiser Anya, elle me dégoutait alors qu'avant qu'on baisent, qu'on se soient rapproché, ça n'aurait fait aucune différence, mais là c'était différent sans que je comprenne pourquoi.

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Blablabla, je pensais que t’avais des couilles, mais en fait non tu n’es qu’un fils à papa , tu sais pas dire non ? Vas’y fait ta vie et lâche moi La pression semblait monter en puissance au fur et à mesure des secondes. Leur haine mutuelle commençait à monter encore et encore. Cette situation commençait réellement à la peser que cela en devenait absurde, elle avait l’impression d’avoir affaire à un gamin de 5 ans qui n’aime pas qu’on touche ce qui est censé lui appartenir. Tu vois pas que t’es un gamin capricieux et après tu oses dire que c’est moi qui suis pathétique. C’est le comble. Mes gestes c’est si jamais tu comprends et encore je vois que ça fonctionne pas, faut te parler comment ? Tu veux que je te fasses un dessin peut être ?! Ouia si tu veux je suis une pétasse aussi .. C’est bon tu veux continuer , t’as encore d’autre mot en stock ? Quoi que ça m’étonnerais … étant donné que t’es assez limité La situation s’envenimer de plus en plus à croire qu’ils avaient perdu tout deux leur self contrôle. J’ai en aucun cas peur de toi si tu savais t’es genre le grain de sable qui me barre le chemin c’est tout ! . L’ignorer était la meilleure des solutions, il n’aimait pas ça, elle le savait mais en cet instant elle sen fichait royalement. Ce mec n’était était complètement ingérable. Chose qui confirma ses pensées lorsqu’il jeta son magazine au sol. Sans attendre, la duchesse répliqua et parti dans la cuisine. Mon dieu, elle ne serait donc jamais tranquille chez elle ? A croire que non puisqu’il la suivait encore une fois. Mais t’as vraiment que ça à faire, me suivre , laisse moi respirer un peu dit-elle les sourcils froncés tout en buvant son verre d’eau gorgée par gorgée. L’envie de tout lui recracher dans la tête lui vint à l’esprit surtout en l’entendant. C’est bien t’as trouvé ça tout seul ? Ah non laisse moi réfléchir tu répètes encore ce que je dis Il se faisait un malin plaisir de la provoquer s’en était certain mais elle n’allait pas se laisser faire de la sorte c’est pourquoi elle répliqua dans le même langage que lui, dans la provocation en lui montrant ses sous vêtement et en insinuant qu’elle avait couché avec Honoré. Ouai mais contrairement à toi ce mec ne baise pas les filles, il leur fait l’amour, tu vois la différence entre vous deux dit-elle avec un sourire, le laissant parler dans le vent un certain moment Oui c’est ça vas’y casse toi ça me fera de l’air un peu quoi que t’en brasse assez en parlant pour rien dire Le suivant jusqu’à la porte elle le regarda en faisant des oui oui de la tête Oui voilà je suis tout aussi dégoûtante que toi oh mon dieu ça me fait tellement mal ce que tu dis , tu viens de me briser le cœur dit-elle en faisant semblant d’être peiné et d’essuyer des larmes qui ne coulèrent pourtant pas . Fermant la porte à clé derrière lui , elle souffla un bon cou et souria encore plus en voyant les clés du Russe à l’intérieur autrement dit il était enfermé à l’extérieur et il pouvait crever pour qu’elle ouvre. Passant prêt de la chaîne stéréo elle mit la musique à fond histoire de ne plus l’entendre et alla sous la douche pour décompresser. Ce mec la rendait complètement dingue.

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Tu sais très bien que si c'était le contraire, t'aurais pas pu dire non, et oui j'ai des couilles tu les à bien vu la dernière fois...t"inquiète pas je fais ma vie, tu pourris juste la mienne c’est tout ça se gâtait là, elle avait hausser la voix, tout comme je l'avais fait en entrant, et ça continuait encore sur la terrasse là où elle aurait pu souffler et redevenir calme mais moi dans le coin, elle ne le pouvait pas Oui je suis capricieux mais je vois pas en quoi c’est pire qu'être pathétique, t'as toujours eu ce que tu voulais , moi aussi et tes geste ça fonctionne pas on dirait une attardé qui a vraiment besoin d'aide et me parle même pas ça fait mal à la tête, dessine pas, c’est pas ton talent et oui j'ai d'autres mots en réserve mais je veux pas que tu pleure alors pétasse sera la limite... je crois que c'était une violente dispute qui se faisait mettre en place, la première depuis bien longtemps et encore je crois que c'est la seule aussi violente Pour le moment t'as pas peur mais si je veux que tu ai peur je ferais tout pour, c’est dangereux pour toi de me faire des menaces, si je veux que tu disparaisse tu disparaitra crois moi j'étais capable de tout pour avoir ce trône, tout comme elle je le savais c'est pour ça que cette course est si dur et acharnée car aucuns de nous veut abandonner et surtout aucuns de nous ne lâchera l'affaire. Elle m’ignorait avec ce magazine, je détestais ça, je le lui faisais savoir en lui arrachant le mag des mains et le jetant par terre, elle répliquait par une gifle et allait dans la cuisine se déshydrater mais elle n'allait pas se débarrasser de moi comme ça, je la suivais Tant que ça peut te faire chier... oui j'ai que ça à faire et je lui disais que ça me démangeais de la frapper mais elle avait raison, elle pourrait en parler aux médias et ce serait foutu pour moi cette place du trône Moi aussi je t'aime je rigolais avec ironie, je cherchais pas à répliquer encore mais quand elle montra ses sous-vêtements en parlant d'un bon feeling avec Honoré, j'enrageais, c'était le mec avec qui sa passait pas du tout mais alors pas du tout Arrête bordel ! elle continuait dans la lancé, je l'avais fais chier et provoqué, c'était maintenant son tour et j'en avais plus que mal, j'allais me casser d'ici, je gueulais le lui disant et elle faisait genre Mais ferme ta putain de gueule ! juste avant de claquer la porte elle se foutait de moi, j'en avais plus que marre, elle m'avait poussée à bout, je claquais la porte et je m'asseyais contre le mur juste à côté, une clope à la bouche, je l'entendais fermer la porte à clé, à ce moment je tapotais ma poche comme un con, les clés étaient à l'intérieur et pour combler le tout elle mit la chaine stéréo à fond, histoire de plus m'entendre si jamais je devais gueuler encore. Je finissais ma clope en moins de deux minutes, j'en avais besoin pour décompresser puis je me relevais, l’écrasant par terre, je frappais à la porte mais aucune réponse, j'insistais plusieurs fois mais toujours rien, je voulais juste mes clés, rien de plus Anya bordel ouvre... aller ouvre... j'arrêtais ça servait à rien alors j'allais faire quelque chose que j'allais regretter mais je m'en foutais, je me reculais et d'un coup, d'un seul la porte d'entrée s'ouvrait en retombant sur le sol, le bruit fut assez entendant, disons cela comme ça, je soupirais, mais j'entrais reprenant mes clés sur le meuble d'entrée et je vis la russe juste devant moi, du genre pas contente mais pas contente du tout, j'avais bien dit que j'allais le regretter.

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