Jally (+) Faut qu'on parle.

Aujourd'hui Zoé était avec ma mère pour une sortie au zoo, elle avait prévue cela depuis des jours mais avec sa varicelle on avait repoussé et aujourd'hui je me disais que c'était parfait comme ça cela me permettrait de parler avec Jamie, sa révélation la dernière fois m'avait perturbé et aussi je devais lui parler de mon retour au Brésil, pas par plaisir mais pour témoigner contre le mec qu'ils avaient retrouvé suite à mon agression, je n'allais pas être la seule à témoigner puisque j'étais une de ses nombreuses victimes. Je devais en parler à Jamie parce qu'il avait été là pour moi, il était aussi le père de ma fille donc forcément qu'il allait forcément devoir être au courant de tout ça. Je me retrouvais devant chez lui et je toquais à sa porte parce que même si j'avais vécue avec lui quelques jours aujourd'hui je n'étais pas chez moi, je souriais donc une fois chez lui et après une bise on rejoignait le salon, on était que tout les deux et il fallait qu'on parle, une fois installer sur le sofa je le regardais dans les yeux et je commençais. "On as des choses à dire il me semble.." Il fallait qu'on en parle, la dernière fois on avait couper court à la discussion et à notre baiser parce que Zoé avait eu la varicelle mais aujourd'hui il fallait qu'on parle. "Tu vois de quoi je parle??"

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La période varicelle de Zoé avait été redoutable. Une vraie torture, tellement que Sally avait sûrement décidé de te faire partager la galère. Voir Zoé fiévreuse, et se gratter en permanence, t'avait parfois même filé la gratouille, et pourtant tu n'avais pas eu ta fille tout le long de ces journées de varicelle. Quoiqu'il en soit aux dernières nouvelles, elle se portait bien mieux ces deux derniers jours. Quand Sally t'annonçait sa venue, tu ne cherchais pas vraiment à expliqué tout cela. Tu savais Zoé avec sa grand-mère, alors forcément ça changeait les motivations de la venue de Sally. Faut dire que vous aviez laissé certaines choses en suspens depuis quelques temps. Tu veux mon avis.. tu dis ça comme si je venais de faire une bêtise. Un léger sourire s'était pointé à tes lèvres sans que tu ne puisses le retenir. Pour autant tu te doutais de ce qu'elle voulait dire. Oui, je crois savoir, du moins j'espère. Oui tu espérais qu'elle parlait de votre dernier moment particulier ensemble et non d'autres choses. Tu avais eu ton lot de surprises pour ses derniers temps. T'installant sur le sofa, tu as fini par dire. Si tu te demandes est-ce que c'était simplement sur le moment, alors non, c'est pas le cas. Tu avais pensé un temps que le baiser du réveillon n'était qu'un détail vécu sur le moment mais avec le temps tu avais compris que c'était plus que ça. Puis le baiser de la nuit fiévreuse de Zoé, avait été bien moins anodin aussi.

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On devait ce dire les choses, je devais lui dire que je devais repartir au brésil, je voulais comprendre certaines choses, il savait que j'éprouvais des sentiments pour lui, il savait aussi que ma dernière relation m'avait détruite en quelques sortes et que par conséquent me lancer dans quelque chose avec lui serait assez difficile, déjà parce que j'avais du mal à y croire et parce que ma rupture était encore récente, je devais oublier totalement Aaric sinon je ne serais pas honnête avec Jamie, contrairement à mon ex j'avais du mal à faire un trait sur les gens que j'aimais, Jamie pouvait en constater vu que lui je l'avais jamais vraiment oublier bien qu'il m'est toujours repoussé. Une fois installer sur son sofa je me pinçais les lèvres, il me perturbait parce qu'il arrivait à en sourire quoi moi toute cette conversation me foutait la boule au ventre, je jalousais presque sa facilité à en parler sans aucune gêne. "Non c'est juste délicat d'en parler comme ça." Il savait donc de quoi je parlais et moi à cet instant j'avais presque envie de courir me cacher, de courir en dehors de cette maison mais j'étais adulte et fallait bien qu'on en parle et qu'on évite de faire comme ci de rien était, parce qu'il restait un homme qui me plaisait et cela me perturbait bien plus depuis sa révélation et notre baiser. "Ouais on est adulte avoir ce genre de moment pourrait ce reproduire on le sait toi et moi mais je veux savoir où tu voulais en venir, enfin tu nous voit tout les deux être un couple??" Il avait longtemps refuser cette possibilité alors si aujourd'hui il me disait que oui je serais complètement perdu.

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C'est vrai que face à elle, tu semblais minimiser la chose. Pourtant, tu te doutais que ce baiser, ces baisers l'avaient forcément perturbé bien plus qu'ils ne t'avaient perturbé. Après tout, tu étais celui qui l'avait embrassé, à ces deux reprises. Toi qui avais toujours été sur la réserve pour ne pas lui vendre ce que tu ne pourrais véritablement lui offrir. Malgré tout ça tu étais celui, qui de manière totalement inattendue faisait preuve d'initiative. A côté de ça tu savais qu'elle comme toi aviez vite vu votre relation se renforcer bien plus encore ces dernières semaines, ce dernier mois. Je ne sais pas.. ce qui est sur c'est que ce n'est pas un jeu pour moi, je veux pas que tu puisses en douter. As-tu dit sincère comme personne. Après tout depuis que tu étais revenu dans sa vie tu n'avais jamais fauté. Jamais, tu n'avais joué avec elle, jamais tu n'avais tenté le diable, même quand elle se laissait aller avec toi. Par principe certes, par amour pour votre fille encore plus, et aussi par considération pour Sally, mère de ta fille. Je sais que c'est peut-être pas le bon moment entre nous, mais c'est vrai que je ne voulais pas risquer de te voir avec un autre sans que tu saches que les choses avaient changeaient de mon côté. La page Roxie tournée y était pour beaucoup il fallait le reconnaître mais surtout il y avait les semaines passées à trois. Depuis ton retour vous vous étiez rapprochés considérablement et après le retour de Sally du Brésil, bien plus encore.

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Je savais qu'il était sincère avec moi, qu'il ne jouait pas et que s'il m'avait embrassé c'était par envie, parce qu'on c'était rapprocher et parce que peut être il penserait qu'on pourrait être un couple si tout ce passait bien, j'avais des sentiments pour lui c'est sûr mais avant tout on était des partenaires, des parents et peut être qu'il fallait que je le rassure sur ça aussi si un jour il y aurait vraiment une histoire à créé entre nous. "Non je sais que tu ne joue pas avec moi, je trouve ça tellement soudain, tu as tellement éviter pendant longtemps qu'on est un rapprochement quelconque et là le fait que tu puisse même me dire que tu me voyais autrement m'a troublée." Je savais aussi ce qui le tracassait au fond. "Et je ne te dis pas que je veux des réponses, que je veux du concret, c'est encore confus dans ma tête mais je veux surtout pas que tu pense que quoi qu'il se passe jamais je ne jouerait sur la corde sensible quand il s'agit de Zoé, qu'on soit ensemble un jour ou pas tu restera toujours le père de Zoé." Ouais enfin c'était bizarre pour le coup de lui dire si un jour où était ensemble, je m'étais tellement dit que c'était impossible que là j'étais presque gênée de lui dire ça. Quand il me fit cette autre remarque pour le coup ça me fit sourire, cela me plaisait quand même assez qu'il y est cette jalousie chez lui. "Je vois donc en gros aujourd'hui tu pourrais pas nier que toi Wheeler t'es jaloux.." Fallait bien que je le taquine pour éviter de tomber dans un gros malaise.

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Au fond que même si Sally avait des sentiments pour toi depuis assez longtemps, elle avait aussi réussi à se faire à l'idée qu'il n'y aurait jamais rien entre vous. Et ça c'était parce que tu n'avais pas voulu lui laisser le moindre faux espoir. Elle avait passé un an voir un peu plus à ressentir des choses pour toi, et toi tu as passé deux ans et demi à espérer que Roxie te reviendrait d'une manière ou d'une autre. Savoir que tu n'hésiterais pas à retrouver la belle espagnole, t'avait vite dissuadé d'écarter la belle mexicaine de ta vie sentimentale. Oui je sais.. j'en suis conscient, mais tu as bien vu que ces dernières semaines, c'était différent. Agréablement différent. As-tu ajouté, souriant. Oui votre complicité était là depuis un moment mais c'est vraiment que beaucoup de choses avaient changées. Tu n'étais pas encore prêt à lui dire toute la vérité sur ton passé amoureux, sur Roxie, et surtout sur le fait que jamais l'espagnole aurait pu t'éloigner de Zoé, et semer le trouble entre toi et la mère de ta fille. Qu'importe à quel point tu avais aimé Roxie. Ta vie avait changé et tes priorités aussi. Sally et Zoé en étaient. Tes mains passèrent sur ton visage quand elle évoquait ta pire crainte et tu as fini par dire. Comment tu peux être sure de ça ? Lui as-tu dit, comme désireux d'en parler sérieusement sans vouloir renoncer à cette possibilité que ça fonctionne entre vous. Si tu l'avais embrassé de manière si explicite à deux reprises, ce n'était pas pour rien. Tu ne voulais pas finir tiraillé entre l'envie d'essayer et la crainte que ça finisse en troisième guerre mondiale. Cela dit au milieu de ta grosse crainte, elle te chambrait gentiment et tu as simplement sourit. Peut-être un peu, oui. As-tu avoué. Oui c'était un peu de la jalousie que ne de pas vouloir être jaloux en la voyant avec un autre.

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Je ne savais pas quoi penser, même si j'avais toujours eu ses sentiments pour Jamie, j'avais aussi aimé un autre homme entre temps, je m'étais fait à l'idée de ne rien vivre avec Jamie et aujourd'hui il me troublait en me révélant tout ça, est ce que je voulais être avec lui je n'en savais rien mais je savais que je n'étais pas insensible au charme de Jamie et de savoir que je lui plaisais aussi me perturbait. "Et c'est ce qu'il ta fallu pour me voir différemment?? C'est ce qui t'as permis de te dire que je te plaisais??" Je ne savais pas où on s'embarquait, ce qu'on allait devenir l'un pour l'autre, si on allait ce laisser une chance ou pas, je ne savais rien de tout ça à l'autre actuel mais je voulais qu'il soit rassurer sur une chose dont moi j'étais sûre. "Parce que je le sais, tu reste le père de Zoé, je pourrais te détester, souffrir par t faute mais jamais je t'empêcherais de voir Zoé, peut être que nous deux on retrouvera pas cette relation qu'on as aujourd'hui si jamais sa ce passait mal mais jamais je t'empêcherais de voir ta fille, de l'avoir avec toi parce que tu m'as brisé, je sais que tu ne fera jamais de mal à Zoé." On avait terminé par en rire gentiment, c'était la première fois que cela pouvait poser problème à Jamie que je sois avec un autre homme, je lui souriais en le regardant dans les yeux et je me pinçais la lèvre avant de lui demander. "Qu'est ce qu'on fait maintenant??"

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En confiant à Sally que vos dernières semaines ensemble t’avaient été agréables, tu finissais par te rendre compte que tu la poussais à se méprendre, et que c’était dangereux. Penser que ton intérêt pour elle n’était due qu’au fait d’avoir passé deux semaines pleines avec elle, serait une erreur, et tu la poussais inconsciemment à penser ainsi. Du moins tu avais la crainte qu’elle finisse par penser de cette manière. Au fond de toi tu savais que tes adieux à Roxie t’avait permis de t’autoriser quelque chose avec Sally. La seule chose qui t’avait empêché de le faire avait ton amour pour Roxie, tout le long. « Non pas que… c’est plus compliqué que ça. Je veux dire ton séjour au Brésil n’a rien à voir avec tout ça. » Ces deux semaines avaient été superbes mais tu ne voulais qu’elle puisse penser que protecteur que tu étais, tu l’avais embrassé par pitié ou pour la consoler. Ce n’était pas du tout ça, mais tu savais qu’un jour ou l’autre tu devras lui parler de Roxie, parce que la belle espagnole avait longtemps influencé tes liens avec Sally, même en étant absente de ta vie. C’était important et il fallait en parler, un peu il semblait important de parler de la possibilité que votre tentative ne fonctionne pas, du moins si tentative il y aurait. « Oui mais pour autant on n’a pas su s’entendre sur une garde partagée et officielle… d'ailleurs on devrait pas parler de ça maintenant. » De peur de tout gâcher encore une fois. Il t’était arrivé d’en parler avec des amis essentiellement. Happy, Devan, ces piliers de ta vie. Tu ne pourrais jamais renoncer à Zoé, pourtant la dernière chose que tu voulais c’était faire la guerre à Sally. Tu ne l’avais pas voulu par le passé, et tu le supporterais encore moins aujourd’hui. Alors à sa question, tu la regardais. « Si on doit tenter quoique ce soit, je préfère que tu sois prête pour ça. Je veux pas que tu vives ça comme une pression ou comme une occasion à saisir de peur qu'elle ne se représente plus. Je peux attendre. » Oui peut-être que sa dernière rupture était trop récente, le tout couplé à son épisode brésilien, traumatisant et à la surprise causé par ton envie de vous donner une chance : la pauvre avait de quoi se poser des questions.

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Jamie avait connaissance de mes sentiments, il n'était pas arriver du jour au lendemain et il m'avait toujours repoussé, il avait toujours fait en sortes que je sache qu'il n'y aurait jamais rien alors forcément que l'apprendre comme ça m'avait fait perdre la tête, je ne savais pas pourquoi maintenant, pourquoi tout d'un coup je lui portais de l'attention, pourquoi aujourd'hui je lui plaisais et qu'il ne pouvait plus ce retenir. "Pourtant cela arrive après, je t'es parler de mes sentiments avant de partir, je t'es dis que j'avais avoué à Aaric avoir encore des sentiments pour toi et pourtant de ton côté il y avait rien." Je voulais qu'il sache que jamais je ne le priverais de voir sa fille, de l'avoir chez lui et que même si cela ne marchait pas entre nous il sera clair que si je devais m'absenter elle sera avec son père et personne d'autre. "Parce qu'il y a pas lieu d'être, on a pas vraiment besoin de papier pour définir notre lien avec Zoé, tu es son père, tu la verra autant de fois que tu le souhaitera et un papier ne changera pas ça et aujourd'hui je pense que tu peux assez me faire confiance pour savoir que je ne te priverais pas de Zoé." Je lui posais une simple question, je voulais savoir où on en était, il me plaisait toujours, j'avais des sentiments pour lui mais je n'étais pas prête pour plusieurs raisons, pourtant j'avais envie d'être avec lui. "Oui mais comment je dois faire face à mes propres sentiments??" Comment ne pas lui sauter dessus, comment résister à ses lèvres, ces questions aussi ce posaient dans ma tête sans que je puisse le dire à haute voix mais je savais qu'il comprenait ce que je voulais dire au fond.

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Tu n'étais pas prêt à lui parler des tenants et des aboutissants. C'était comme trop tôt, pourtant tu voyais bien que ça donnerait plus de sens. Toi, tu ne cherches jamais à être compris des gens. Tu te fiches pas mal qu'on te reconnaisse le mérite de bien faire les choses ou non. Quand les choses ont du sens pour toi, tu les fait sans trop chercher une quelconque approbation. Quand on s'est rencontrés je sortais d'une relation. Elle m'avait largué, et j'ai pas su tourner la page.. pendant tout ce temps. Et avec toi, dans les parages, j'aurais pu craquer, crois moi et à plusieurs reprises mais... je savais aussi que si elle me revenait ça suffirait à ce que je te fasse souffrir. Plus honnête, tu meurs. Alors marquant une pause tu as repris. Je sais maintenant que c'est fini pour de bon avec elle et que je suis passé à autre chose. Pas parce qu'il n'y avait plus aucun espoir avec elle, mais simplement parce qu'à choisir entre elle, et nous, le choix m'a paru clair. Vous c'était vous trois. Tu n'aurais pas su prendre tes distances avec Sally pour rassurer une potentielle femme dans ta vie. Et ça, tu l'avais réalisé il y a quelques mois. Peut-être, mais j'aime autant qu'on en reparle plus tard. Vous n'étiez pas d'accord sur ce sujet, et c'était la seule avec laquelle Sally arrivait à te tourmenter. Longtemps tu en avais perdu le sommeil. Aujourd'hui tu préférais laisser Zoé en dehors de tout ça pour te concentrer sur vous deux. Mélanger le tout, tout de suite n'aiderait certainement pas. Si tu es encore attaché à .. Aaric, j'aimerais que tu prennes ton temps, j'attendrai. Si ce n'est pas le cas, laisse nous une chance.. tous les deux. J'y repense sans cesse depuis l'autre soir aux urgences.

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