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Le calme après la tempête || ft. Aby

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Je savais que j'allais m'en recevoir plein la tête, et qu'elle n'allait pas forcément apprécier ce que j'avais dit. Mais j'en pensais pas un seul mot. J'avais seulement dit ça pour l'embêter et parce que je savais qu'elle ne faisait pas du tout de sport. Seulement, comme je m'en doutais, elle crut que je disais ça parce que je la trouve grosse, ou du genre, alors que je trouve qu'elle a une taille de guêpe. Et elle se vengea au plus haut point. Je reste un mec, et un italien, avec un assez gros égo. Aussi, quand elle me fit remarquer que je n'avais rien de bien alléchant au niveau de ma musculature, je ne pus m'empêcher de faire une grimace accompagnée d'une moue. Surtout la deuxième fois, parce que la première fois, je n'y avais pas prêter attention, sachant qu'elle se fichait de moi. Seulement la deuxième fois, ça n'allait pas passer. Non pas que j'allais lui faire la tête, non évidemment, j'en suis incapable, je l'apprécie trop, mais j'allais me venger, et pas avec des mots, non, je suis un sportif avant tout qu'un beau parleur. Alors je lui répondis simplement :

- Ah oui ? Vraiment ? Je me baissais alors et lui attrapa les jambes pour la porter et la mettre sur mon épaule. Elle vola presque tellement elle était fini et mince. Une vraie plume ! Je marchais donc en direction du snack où je comptais prendre mes deux sandwichs. Je ne la lâchais pas, l'empêchant de descendre, je la tenais fermement, et arrivait tranquillement jusqu'au snack. Les gens nous regardaient bizarrement, mais j'en avais rien à faire. Je m'amusais et ils n'allaient pas gâcher ça. Je m'approchais du gars, et lui commanda mes deux sandwichs, un au poulet, et l'autre thon. J'allais devoir lâcher mon amie. D'abord parce qu'elle allait finir par avoir tout le sans dans sa tête et je ne voulais pas non plus qu'elle se sente mal, et deuxièmement parce que je n'allais pas pouvoir payer le gars et manger mes sandwichs. Je la reposais donc, et tout en prenant mon manger, je lui demandais avec un grand sourire innocent :

- Alors ? T'en penses quoi ? Moi je trouve pas que tu fasses de bonnes altères, tu es bien trop légère ! Je m'excusais à la fois, et lui montrais que j'en avais dans les bras, parce qu'elle m'avais cherché, tout simplement. Si elle continuait comme ça le reste de l'après-midi, on va vraiment pas s'en sortir ! Mais au moins, on pourra toujours bien rire.
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Valentin tire une petite tête de vexé. Je souris, satisfaite, me disant que j'ai réussis à me venger rien que par les mots. Je relève tout de même mon regard vers lui espérant qu'il n'est pas trop trop vexé, car bon, soyons honnêtes, Valentin est physiquement parfait hein, puis ce n'est pas comme ci je pensais tout ce que je lui ai dit. J'l'aime bien mon grand Valentin et pour rien au monde je voudrais lui faire du mal pour de vrai. Je le regarde s'approcher dangereusement de moi, je plisse légèrement le nez me demandant ce qu'il va me faire, - Ah oui ? Vraiment ?, tout d'un coup, je me défile un peu, je me gratte légèrement la tête, " Euh non, enfin ... on peux en discuter tu sais ...." Je hoche la tête en lui faisant un petit sourire. Avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit, Valentino se baisse, il me fait directement passer sur son épaule. J'écarquille les yeux, en m'agrippant à sa veste pour ne pas basculer de l'autre coter. " VAALENTiiiiiiiN!! Fait moi descendre tout de suite ! " Dis-je en essayant de me débattre pour redescendre et en riant, car j'avoue que ça me fait un peu rire, mais je sais que si je ris, il va continuer, OR, tout le monde nous dévisage dans la rue. J'essaie encore de me débattre, mais vue sa carrure je peux toujours rêver.

Je me mets à marmonner, " Je vais le tuer". Je relève légèrement la tête et je regarde les passants qui nous dévisage. Une petite idée me passe par la tête; " AU SECOUUUUUUUUUUUUUUURS ON M'ENLEVEEEEEEEEEEEEEE, AU SECOUUUUUUUUUUUUUUUUUUURS", sauf que je me sens légèrement glisser, certainement Valentin qui fait en sorte que je me taise. "S'il te plait Valentin, fait pas descendre." Nous arrivons au snack. Je suis persuadé qu'il va me redescendre, mais encore la, il entre normal, comme ci j'étais son accessoire. Je me mets encore à rire. " Mais tu es dingue ! " Je n'ai plus le choix, je dois le mordre pour redescendre. Je lui soulève légèrement son tee shirt pou venir lui croquer le dos mouahaha. Mais pas trop fort non plus, puis il sort de sa douche, il sent tout bon, bref. Finalement il me fait redescendre. Je retouche enfin le sole et je peux vous dire que ça me fait du bien, car la tête a l'envers, ça commençais à faire bizarre.

- Alors ? T'en penses quoi ? Moi je trouve pas que tu fasses de bonnes altères, tu es bien trop légère !Je remets mes cheveux en place, ainsi que mes vêtements, parce que bon, quelques minutes sur l'épaule de Valentin, ben ... sa décoiffe. Je souris en faisant une petite moue. Comprenant que Val essaie un peu de se rattraper. " Mmh je préfère ..." Dis-je en souriant de plus belle. Bon je me rends compte que je devrais moi aussi revenir sur mes paroles, " Bon, après avoir croqué un de tes muscles, j'avoue que finalement, je reviens sur mes propos" Je souris de plus belle et je vais m'installer avec Valentin après avoir commandé un coca.
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Les réactions de mon amie me faisaient tordre de rire mais je ne devais pas défaillir. Les gens nous regardaient de plus en plus bizarre au fur et à mesure qu'elle criait. Mais elle ne devait pas être très convaincante vu que tout le monde semblait s'en foutre, ce qui me faisait rire davantage. A part mes rires incessants, je restais d'une concentration et d'un silence à tout épreuve, jusqu'à la commande de mes sandwichs. J'avais tout de même juger bon de la faire descendre à présent, à mon humble avis, elle avait retenu la leçon. Cependant, j'avais décidé de la faire descendre un peu plus tôt que prévu, puisqu'elle avait quand même osé me mordre. Trop légèrement heureusement pour que j'en garde une marque. Enfin, j'espère. Parce que sinon les gars du foot allaient me chambre royalement, surtout que je suis sensé ne pas avoir de petites amies. Et ils allaient encore me demander des détails sur ma vie sexuelle. Bien évidemment je ne leur en donne jamais, ça ne les regarde pas. Ils ne savent que rarement avec qui je couche, et ça les énerve au point qu'ils jouent parfois au détective. Pathétique. Mais bon, je ne leur en veux pas pour autant.

Une fois posée à terre, elle en déduit qu'il valait mieux qu'elle s'excuse, ou tout du moins qu'elle revienne sur ses propos, comme elle avait si bien dit. Cependant, j'avais encore besoin de la taquiner. J'allais devoir en subir les conséquences si elle décidait de se venger, encore une fois, mais il semblait qu'aujourd'hui c'était devenu notre jeu favori.

- Si jamais j'ai une trace de tes dents, je me ferais une joie de raconter à l'équipe qui m'a fait ça ... Je leur laisserai imaginer la suite ! Et ils ont une imagination débordante crois moi ...

Je lui fis un petit clin d’œil accompagné de mon sourire à moitié pervers et à moitié machiavélique, tout en entamant un de mes sandwich alors que je me dirigeais sur un banc, près d'une fontaine. J'aurais mieux fait d'aller m'asseoir ailleurs, je le sentais étrangement mal. Mais après tout, c'est moi qui ait le plus de muscles ici. Pas de quoi m'en faire.
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Valentin & Aby
En effet tout le monde se fiche de savoir si je me fais réellement enlever ou pas. D'accord, je l'admets, je suis mauvaise comédienne, mais imaginez vous si se serait réel? Bon je fais abstraction de tout cela puisque de toute façon après ma morsure Valentino me fait redescendre. Je sais qu'il à senti le contacte de mes dents contre sa peau étant donné qu'il s'est légèrement tortillé. J'ai pris un coca, je me dirige vers un banc au côté de Valentin, pendant qu'il me parle avec son petit côté pervers, vous le connaissez forcement! - Si jamais j'ai une trace de tes dents, je me ferais une joie de raconter à l'équipe qui m'a fait ça ... Je leur laisserai imaginer la suite ! Et ils ont une imagination débordante crois moi ... Je l'écoute puis je me mets à rire. Je relève mon regard vers lui, c'est d'un petit clin d'oeil et d'un sourire mi-pervers mi-machiavélique qu'il me nargue. Evidemment, je prends ses menaces un peu au sérieux. " Des menaces Spinelli? " Je passe derrière lui, et je relève légèrement son tee-shirt pour m'assurer tout de même qu'il n'a pas de trace. J'écarquille légèrement les yeux en voyant que je lui ai laissé une petite trace de mes canines. Je passe ma main sur la trace comme si elle allait s'effacer puis j'ajoute " Ooooh tu n'as rien du tout! " Ahahah, qu'elle menteuse. Je m'assoie une fois arrivé au banc.

J'aspire mon coca au bout de ma paille tout en regardant Valentin, l'avantage c'est que la morsure est sur son dos, alors dans l'immédiat il n'y verra rien. " Puis tu n'as pas intérêt à raconter un truc pareil hein, puis ..." Je prends un air presque hautain, mais ironique évidemment, car je ne le suis pas. " Ils ne te croiront pas ! Pour ne pas dire jamais ! " Je souris légèrement, c'est plus pour l'embêter à vrai dire. Je lui lance le même petit clin d'oeil qu'il m'a lancé tout à l'heure.[b]" Méfiance, ma vengeance risquerait d'être terrible surtout! "[/b]
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Le jeu de nous autres, êtres humains de nature mâle, n'est-il pas d'embêter et de mettre dans des situations foireuses le sexe opposé ?! En tout cas, ça toujours été dans ma nature, même si j'ai toujours eu beaucoup de respect pour la gente féminine. C'est sûrement parce que malgré mon côté macho, j'aime les femmes. Belle, moche, maigre, grosse, grande, petite, ... Non jamais je ne pourrais devenir une de ces espèces qu'on appelle gay ou bi. Je ne vois vraiment pas pourquoi c'est tendance d'être bi. Les gens ont de ces idées parfois. C'est juste que ce sont des gays refoulés, voilà tout. Mais je ne suis pas du genre homophobe et a craché sur les gens différents.

Tout ça pour dire que j'aime embêter Aby comme personne d'autre, parce que sûrement elle a les réactions les plus drôles que j'ai jamais connu. J'ai toujours connu la plupart du temps des gens sérieux. A part mon meilleur ami, dont j'ignore l'emplacement actuel, mais les personnes que j'ai pu rencontrer ne savait pas rire de bêtises enfantines ou immatures. Pourtant, c'est ce dont j'ai besoin parfois, surtout après un dur entraînement qui m'a cassé en deux. Heureusement qu'elle est une vraie plume cette Aby ! Sinon je serais six pieds sous terre. J'avais donc continuer à embêter mon amie, à propos de la mini morsure qu'elle m'avait faite quelques secondes plus tôt, et quand elle vérifia si je l'avais encore, je ne pus m'empêcher de rire. Elle ne m'avait pas du tout mordu assez fort pour qu'elle reste. Même un suçon ne durait pas plus d'une journée sur ma peau. Alors une mini morsure ... Quand elle me demanda sur un joli petit ton qui me fait rire si je lui faisais des menaces, je ne pus m'empêcher de lui faire l'innocent - sisi je le fais très bien - et de lui répondre :

- Moi ? Jamais ! Je suis un vrai petit ange !

Et elle me confirma que je n'avais rien. Je ne pouvais que la croire, même si je devais être encore légèrement rouge ou avoir une micro trace. Mais je m'étais mis à rire, parce qu'elle avait joué le jeu jusqu'au bout, et que c'est ce que j'aime chez elle. Je continuais de manger après avoir fini de rire, parce que mon ventre criait encore et toujours famine, quand elle répondit enfin à mes menaces. Je ne m'y étais pas tellement attendu, je croyais qu'elle n'allait pas me répondre. Mais ce qu'elle dit m'intrigua, même si elle continuait de jouer. Je ne pouvais pas passer à côté de ces éléments croustillants (a)

- Alors là ! Je ne demande qu'à voir ! ... Mais pourquoi ils ne me croiront pas ? Tu te crois trop bien pour moi ? Tu crois vraiment que je ne réussirais pas à t'avoir dans mon lit si je le voulais ?

Je la taquine, évidemment. Mais comme je l'ai dit plutôt, un mec - du moins moi - est faut pour ça. Pour enquiquiner ces gentes demoiselles. Sinon, elles se feraient bien chier sans nous, faut bien l'avouer. Et moi, que ferais-je sans mon sandwich elle ?!!
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Valentin & Aby
Quand je lui demande s'il me menace, Valentin répond aussitôt, - Moi ? Jamais ! Je suis un vrai petit ange ! Je me pince les lèvres, perplexe, je roule des yeux, l'air de dire - genre je te connais pas - . Je souris par la suite. " Evidemment, comme je suis bête, c'est pour cela que tu ne v'as rien dire à ton équipe." Je souris par la suite. Moi? Peur ? Mais non, je me méfie un petit peu quand même. Valentin continue de manger son sandwich entre quelque rire. Je souris, remarquant qu'avec lui, les moments de tristesses sont bien rare et que c'est toujours très agréable de le voir rire. Je lui explique avec ironie que quoi qu'il arrive, personne le croirait. Sa réaction est immédiate, - Alors là ! Je ne demande qu'à voir ! ... Mais pourquoi ils ne me croiront pas ? Tu te crois trop bien pour moi ? Tu crois vraiment que je ne réussirais pas à t'avoir dans mon lit si je le voulais ? Je souris, mais? C'est qu'il me cherche en plus, il veux vraiment que je me venge? Je ris quand il me demande si je me crois trop bien pour lui. Evidemment la réponse est non ! Je ris à mon tour pour sa dernière question. Je m'adosse au dossier derrière nous après avoir glissé ma boisson entre mes jambes pour la maintenir sans la faire tomber, oui, je suis très maladroite et je suis certaine que si je la garde trop longtemps dans mes mains, soit elle se retrouve sur Valentin, soit par terre. Je fais mine de réfléchir à ma réponse, alors qu'en réalité, j'ai déjà une réponse à lui donner. C'est juste pour le faire languir un peu et l'embêter.

Je ne réponds pas au début de sa phrase, car la réponse est évidente, Valentin le sait, jamais je n'oserai dire que je suis trop bien pour qui que ce soit, sauf si j'ai trois litre de téquila dans le sang. Je passe une main dans mes cheveux, en revanche je vais répondre à sa dernière question, après avoir ri. " Oh oui, je crois vraiment que tu ne réussirais pas à m'avoir dans ton lit si tu le voulais. " Dis-je toujours amusé. Quelle drôle de conversation tout de même ! Jamais je ne pensais parler d'un truc comme ca avec Val, quoi que ... Avec lui hein ! Tous les sujets y passe, mais c'est aussi ce que j'adore chez lui. En revanche, j'ai toujours le ton de la rigolade, même si je pense ma réponse, puis c'est pas comme ci Valentin en avait envie. Je le regarde manger son sandwich, puis je commence une espèce de monologue en regardant Valentin, " Euhm... ! Si j'ai envie de goûter à ton sandwich Valentin? Pourquoi pas ? Il a l'air top ! " Je souris par la suite, ben quoi? Le jeune italien à juste oublié de me proposer un bout, il faut bien que je le lui rappel, même si j'en ai pas envie ahah. Je reprends ma boisson avant de boire. Ce qui est certain, c'est que de voir Valentin me fais le plus grand bien, et surtout me fais penser à autre chose.
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Toujours en train de manger mon premier sandwich, je n'aurais pas pu rêver mieux que la compagnie d'Aby. Une jolie jeune femme prête à vous embêter quoiqu'il advienne. Je ne sais même plus qui a commencé au final, parce qu'aucun de nous deux disait amen et se laissait faire. C'était ce qui animé notre début d'après-midi et qui était déjà inoubliable. Je ne regrette pas du tout donc de l'avoir appelé et de lui avoir proposé ce petit rendez-vous après les cours. Je l'avais bien assez taquiné avec cette histoire de morsure, et je voulais arrêter de l'embêter un peu, sauf qu'elle ne me donnait pas le choix. Elle me cherchait toujours autant, et elle savait que j'irai la trouver à chaque fois. Alors quand elle me répondit qu'en effet je ne réussirais pas à l'avoir dans mon lit même si je le voulais, je lui fis un petite moue de déception. Elle en profita pour me demander de croquer dans mon sandwich. Je la regardais, septique, puis lui répondit :

- Et j'ai droit à quoi moi en retour ?

Bien sûr qu'elle aurait droit de prendre un bout de mon sandwich, même si je savais aussi que c'était pour m'embêter qu'elle me demandais ça, mais autant en tirer profit non ?! Je ne me prive jamais avec une fille, surtout quand je suis proche d'elle et que je sais qu'il n'y aucun sujet tabou entre nous. Je sens qu'elle va me renvoyer un pique et que je vais devoir lui filer mon sandwich sans rien avoir en retour, mais c'est un risque à prendre, qui au final, me fera bien rire. Je me mis alors à songer à ce que nous pourrions faire. Il y a un cinéma indépendant qui passe des films italiens en version original. Ça pourrait être sympathique. Cela nous rappellerait nos origines et elle pourrait un peu plus apprendre l'italien. Après tout c'était aussi pour ça qu'elle aimait passer du temps avec moi, pour se rapprocher de ses origines et en apprendre le plus possible. Je n'allais donc pas me priver pour continuer à être son prof particulier. Seulement, je devais d'abord finir de manger mes deux sandwich. Heureusement, j'ai presque fini le premier.
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Valentin me fait ça plus jolie moue de déception quand je lui dis qu'il n'arrivera jamais à m'avoir dans son lit. Evidemment je me mets à rire, je me pince les lèvres avant de dire " Ahww, ça te va pas cette petite tête ! " Dis-je en finissant par sourire. Par la suite je lui demande un bout de son sandwich juste pour l'embêter un peu, parce que plus tôt, je lui ai dis que je n'avais pas faim. Ni une ni deux, Valentin en profite pour me défier encore un peu. - Et j'ai droit à quoi moi en retour ? Je hausse les sourcils, puis je fais mine de réfléchir. En retour? Quelle question ! J'en ai aucune idée, alors toujours sur le ton de la rigolade, je lui réponds " Ben ... Tu auras la chance d'avoir un sandwich croqué par moi même. " Dis-je en lui offrant mon plus beau sourire. Encore une fois, c'est de l'ironie, il le sait bien. Je réfléchis tout de même plus sérieusement à ce que je peux lui offrir en retour. Je regarde autour de nous cherchant l'inspiration, puis je repose mon regard dans celui de Valentin. " Tu as envie de quoi? ", dis-je en haussant les épaules. " Mais attention, il faut que ça vaut un croc dans ton sandwich hein. "Je souris par la suite, je sais qu'en lui posant cette question, je risque un peu ma vie, ahaha, parce que bon, c'est Valentin hein !

Je repasse la paille entre mes lèvres pour boire. Je réfléchis à la suite de notre après-midi, me demandant ce que nous allons faire. Ce qui est certain c'est qu'avec Valentin, on s'ennui jamais, c'est à la fois l'ami avec qui je vais rire, mais aussi celui sur qui je peux compter. Très honnêtement, c'est bon de savoir qu'il est la pour moi. Bref, je retourne mon regard vers lui, me demandant s'il a enfin trouvé ce qu'il veut. Après avoir croisé les jambes, je balance légèrement celle du dessus, attendant la réponse de ce dernier. Bizarrement, je sens qu'il va me sortir une grosse bêtise ! Oui oui, je le sens gros comme une maison même.
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Quoi ? Cette tête ne me va pas ? Mais si voyons ! J'ai l'air d'un chien battu. Pardon, un chat battu apparemment. Ma virilité est sérieusement remise en jeu aujourd'hui, va vraiment falloir que j'arrange de nouveau tout ça. Être avec Aby est un défi perpétuel, et franchement, ce n'est pas pour me déplaire. Toujours trouvé quoi répondre, toujours chercher de nouvelles choses à faire, à expérimenter, pour s'amuser et gagner. Au final, je ne comptais jamais les points, parce que ce n'était pas une compétition entre nous, mais vraiment un jeu, parce qu'on aime ça. Quand elle me dit de choisir ce que je voulais, et que je devais faire attention que ça vaille vraiment un croc de sandwich, je saisis de suite ma chance !

- Non non non ! Ça vaut un croc dans mon sandwich et dans mon dos !! Si tu crois vraiment t'en sortir aussi facilement, tu te trompes très chère !

Haha ! Je suis carrément fière de moi ! Bien qu'elle pouvait riposter facilement, sachant que c'était parce que je l'avais porté comme un vulgaire sac sur mon épaule. Mais autant tenter ma chance, ça ne me coûtait rien. Dans le meilleur des cas, j'aurais ce que je voulais, et dans le pire, j'aurais une aprem avec mon amie dans tous les cas.

- Tu sais que j'ai souffert ce matin ... Rajoutais-je avec cette moue, cette tête, qui apparemment ne m'aller pas. Terriblement ... Mais je voulais l'embêter encore plus davantage, alors je gardais cette tête, et continuer Tu serais un véritable petit ange si tu me faisais un petit massage dans le dos !

Je n'avais plus très mal, mais un massage du dos, c'est jamais de refus. Et rien que l'idée d'en avoir un me donnait des frissons de bonheur. Je n'ai aucun doute quant aux capacités de mon amie, c'est une fille, je suis sûre qu'elle s'en sortira à merveille. Si toute fois elle accepte. Mais elle n'a pas le choix, il y a des filles qui tueraient pour avoir cette chance (a)

- Tiens ! Je te laisse l'honneur de goûter celui-là, au cas où il serait empoisonné ... Au moins je n'aurais aucun mal à t'emmener à l'hôpital si c'est le cas (a)
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Teuteuteuh ! Pas un chat ! Un chaton battu mouahah.Je regarde Valentin attendant sa réponse bien sagement, oui, car je suis sage. - Non non non ! Ça vaut un croc dans mon sandwich et dans mon dos !! Si tu crois vraiment t'en sortir aussi facilement, tu te trompes très chère ! Je me pince les lèvres, n'arrivant pas à retenir mes rire. C'est vrai que je l'ai croqué dans le dos ! Mais n'oublions pas que j'ai été mal menée par le jeune italien, porté comme un vulgaire sac de pomme de terre ! J'me sens obligé de rappliquer de suite " Pardon? J'ai comme l'impression que tu as oublié pourquoi je t'ai croqué le dos ? " Dis-je suivi d'un jolie sourire. Bref, quoi qu'il arrive j'attends sa proposition, je suis vraiment curieuse de voir la suite. Certaine qu'il va encore me faire rire.

- Tu sais que j'ai souffert ce matin ... Je plisse les yeux, toute en le regardant, ouuh, je le vois arriver, je hoche la tête .. " Euhm .. oui ..." Voilà qu'il recommence avec sa petite moue de chaton battu, je ne peux m'empêcher de rire, il est chou comme ça. Terriblement ... Je hausse les épaules, prenant un air très compatissant, attendant la suite, même si je l'ai déjà deviné. Tu serais un véritable petit ange si tu me faisais un petit massage dans le dos ! Là je ris pour de bon cette fois ci. Comment ca il me demande un massage? C'est moi qui réclame des massages généralement, bon d'accord, j'en réclame rarement, ou alors ça dépend a qui ! Mais si je lui fais un massage, il sera forcé de m'en donner un à son tour. " Hum. Reprenons, je suis déjà un petit ange & tu le sais " Je cherche mes mots, car oui ça ne fait pas très longtemps que Valentin essaie de m'apprendre l'italien, alors je trouve trois petits mots pour le charrier un petit peu " Povero piccolo gattino " Je souris, gêné & en même temps fière de moi, car je le sais, je n'ai pas vraiment le charmant accent italien, peut-être un jour ... qui sait ?

Je ne lui dis pas non, je ne lui dis pas oui. " Peut-être ... si tu le mérites vraiment .." Dis-je en regardant ma boisson, car je sais que je le cherche encore, mais c'est plus fort que moi .. - Tiens ! Je te laisse l'honneur de goûter celui-là, au cas où il serait empoisonné ... Au moins je n'aurais aucun mal à t'emmener à l'hôpital si c'est le cas (a) Je relève mon regard vers lui, l'air très choqué par ses propos. " Mr Spinelli, vos chances de vous faire masser viennes de descendre de 1oo% à 59%, bon courage pour remonter ! " Dis-je en souriant par la suite, je prends le sandwich qu'il me tend pour en croquer un bout réellement. Je mange puis retourne mon regard vers lui " Si je meurs dans quelques instants, sache que je te lègue la fin de ma boisson ..." Dis-je en prenant un air faussement dramatique ...
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