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Matthaël ► Please don’t shot me when i’m down

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♣ Please don’t shot me when i’m down ♣

D’un coté je voudrais l’oublier mais d’un autre je sais qu’il est la seule personne de la galaxie qui puissent faire mon bonheur...


Samedi 29 avril 2017

Enfin dans l'espace confiné de la cabine de douche, je n'ose plus bouger alors que je lui fais face. Rendu à être comme une statue de pierre, figé, incapable du moindre geste que ça soit dirigé vers lui ou non... Je le regarde juste attendant que lui fasse le premier geste et il finit par le faire, après de longue minutes. Situation plus que malaisante... Il bouge, prenant son gel douche pour me le proposer ensuite. Je suis presque déçu que ça ne soit que ça, qu'il se soit bougé uniquement pour prendre son gel douche et non pas pour moi... On en est réellement rendu là ? A agir comme des automates dans la douche à juste faire le strict minimum sans chercher à se toucher alors que comme deux cons on a décidé de prendre notre douche ensemble pour un pseudo gain de temps. Je regarde son gel douche, le prenant avant de verser une noisette dans la paume de ma main et le déposer là ou il était avant. Je fixe le peu de gel douche que j'ai en main, je sais que ça ne sera pas suffisant, mais c'est un début... Je suppose.

Je bouge alors, frottant mes mains l'une sur l'autre pour faire également mousser un peu le savon et finalement, je m'approche de lui, lui concentrer sur les taches de peinture sur ses bras. J'hésite encore quelque seconde avant de finalement faire en quelque sorte un pas vers lui, vers le nous que l'on était avant et je glisse l'une de mes mains sur son épaule, pour commencer à le savonner un peu. Mon geste est aérien, ayant peur de le déranger dans sa propre toilette et surtout, qu'il n'accepte pas que je le touche de façon intime comme ça, alors que nous ne sommes supposément plus rien l'un pour l'autre maintenant, sauf deux ex qui vont encore et encore s'éloigner... Et souffrir... J'évite d'ailleurs soigneusement de relever le regard vers son visage, me concentrant sur l'infime contact entre la paume de ma main et son épaule, même si mon geste reste réservé, tendu et vachement maladroite. J'ai peur, peur d'être repousser et de réaliser enfin pour de bon que je l'ai définitivement perdu, comme Carter me l'avait laissé entendre en me prévenant de changer de chemin pour ne pas que ça arrive...


Rei©
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Enfermé dans la cabine de verre avec lui, elle a beau être relativement spacieuse en temps normal, là, j’ai l’impression que tous mes mouvements empiètent sur son espace personnel. Il m’a tendu la main, mais y’a l’impression de malaise qui veut pas décoller. Alors même si l’espace est restreint, j’essaie de pas faire le mec envahissant, l’ex pathétique qui, même si le message était clair, a insisté pour dormir avec lui une dernière nuit. Je vous jure, je me décourage moi-même. La prochaine étape c’est quoi? Je me mets à genoux et je m’accroche à sa jambe de pantalon quand il voudra partir? Je l’enferme à la cave? N’importe quoi! Soupirant intérieurement de ma bêtise, je m’attarde plutôt à quelque chose de constructif, soit faire disparaître les taches de peinture qui parsèment mes avant-bras. Et puis, ça m’évite de baver en restant les yeux fixés sur sa personne.

Sauf que, lui n’a pas l’air d’y aller pour l’évitement et peut-être un peu trop concentré - ou perdu dans mes pensées stupides -, je ne réalise la portée de son geste que lorsqu’il pose ses mains sur moi. Retenant de sursaut, mais pas la vague de chair de poule qui passe, j’en manque un respire et relève la tête pour le regarder, sauf qu’il fuit mon regard, me coupant d’une possible compréhension de la situation. Il a décidé de me donner réellement une dernière nuit d’un « nous » avant de quitter pour de bon? Y’en a qui iront dire que c’est cruel, cependant je suis bien incapable de lui en vouloir. C’est ce que je veux de toute façon. C’est ce que je désire. J’aimerais juste que ça ne soit pas simplement pour une ultime fois.

Mes terminaisons nerveuses réagissent à chacun de ses mouvements sur ma peau, comme s’il y laissait une empreinte qui mettait un temps à partir. Mon cerveau emmagasine les sensations …et me les repassera probablement dans les pires moments où je m’ennuierai de lui, mais bon. Ha et puis tant pis! Arrêtant de faire le piquet, je pose également mes mains sur lui, visant pour ma part le milieu de son torse pour ne pas qu’on s’emmêlent les pinceaux. Et si l’idée est de le faire mousser, ça n’empêche que je suis bien incapable de ne pas le détailler du bout des doigts, réétudiant chaque traits. Il est beau et attirant. …putain qu’il me manque!

Remontant tranquillement, j’ai un vague sourire lorsque ma main pleine de mousse atteint son tatouage. Son unique pour l’instant, de ce que j’en sais. Et une copie conforme du mien. Avec une certaine tendresse, j’y appose une caresse avant de relever le regard pour croiser ses pupilles et sans réfléchir plus, je comble le vide qui séparent nos lèvres en fermant les yeux.
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Samedi 29 avril 2017

Doucement et lentement, mes doigts, puis la paume de ma main vient se poser maladroitement sur son épaule pour commencer à la savonner doucement. Je ne sais pas u tout si je fais bien de faire ça, si je ne vais pas en souffrir d'avantage ensuite... Pour lui, je ne sais pas si ça va réellement changer grand chose, mais là, j'ai besoin d'un peu de ce semblant en nous à nouveau, parce qu'il y a cette possibilité, cette proximité qu'il crée... J'affirme un peu plus mes gestes, pour faire mousser le savon d'avantage, mais surtout pour le toucher plus, parce que je veux toucher sa peau, la sentir sous la mienne encore... Par contre, s'il y a toujours une chose que je fais, c'est fuir son regard parce que je n'arrive pas à l'affronter, a cause de tout ce que je pourrais y lire... Cependant, quand il pose ses mains sur mon torse pour me rendre la pareille, je relève un peu la tête et croise alors le bleu de ses yeux, m'y perdant quelque seconde alors que je cherche à comprendre pourquoi il agit comme ça également... Je ne sais plus du tout quoi penser et pire encore quand il s'approche de moi, réduisant l'espace entre nous pour venir m'embrasser. Il me faut quelque seconde pour fermer les yeux et répondre réellement à son baiser alors que mes mains vont se rejoindre dans le creux de son dos pour chercher à l'attirer d'avantage contre moi. Et ce peux importe que le jet d'eau nous fasse la misère à nous tomber en grande partie sur le visage. Je veux juste profiter de cet instant, alors qu'il est contre moi, dans mes bras à nouveau. Une chose que je ne pensais plus possible, une chose qui ne devrait pas avoir lieu... Pour son bien à lui, mais ce soir, tout est permit... Pour une seule et dernière soirée... Alors oui, je réponds à son baiser, avec une certaine fouge, alors que j'affirme mon étreinte pour être sûr qu'il ne s'écarte pas de moi à nouveau... Cette étreinte reste identique, même une fois le baiser fini. Je garde les yeux fermés, posant mon front contre le sien et reprenant ma respiration comme je peux. Je ne dis rien. Je ne pense rien. Mon esprit est vide et bon dieu ce que ça fait du bien de profiter comme ça pendant quelque seconde avant de finalement se faire à nouveau assaillir par des pensées négatives et néfastes, des pensées que je voudrais faire taire pour de bon, sauf que ce n'est juste pas possible étant donné que tout ça, c'est ma faute... Je décale alors ma tête, pour aller dans le creux de son cou, pour m'y cacher, m'y réfugier alors que mes mains sont remonter au niveau de ses omoplates. Ce n'est plus un câlin plein de tendresse comme à l'instant, mais un câlin de désespoir, de peur,... Un câlin pour tenter d'avoir son réconfort, sa présence contre moi encore, pour ne plus me sentir seule comme tout ses derniers jours et dernières nuit...


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Et je reste là, profitant du moment, avec pour seul son le bruit l'eau et sa respiration un peu plus forte tandis que je reprends la mienne après l'avoir embrassé. J'ai peut-être forcer la donne, mais l'idée de m'éloigner a disparu en un millième de secondes quand ses mains ont glissées sur moi pour rejoindre le bas de mon dos et qu'il a répondu. Et maintenant qu'on reprends notre souffle, son front contre le mien, je garde encore les yeux fermés, ayant passé mes bras à son cou lorsque les siens ont descendus. Tout me parvient un peu plus sourd : j'ai le coeur qui fait des vrilles et qui envoie rapidement le sang à mes tempes. Je n'en ai cure. Tant que notre bulle continue d'exister même si ce n'est que très faiblement. Lorsqu'il bouge, je m'attends d'ailleurs à ce qu'elle éclate ouvrant les yeux et m'attendant à le voir partir, mais il se décale légèrement enfoui plutôt sa tête dans mon cou comme on avait l'habitude de le faire. Un soupir de bien-être m'échappe bien malgré moi et je resserre mon étreinte, mes doigts allant se perdre dans ses cheveux complètement trempés. Mes lèvres closes, je les pose néanmoins sur son épaule, près du creux de son cou, fixant le carrelage qui me fait face sans réellement le voir. Machinalement, je caresse sa peau du bout des doigts, doucement, tendrement, tandis qu'une boule se forme dans ma gorge et que mon cerveau essaie de me faire entendre raison avec sa logique droite et froide que je cherche à rembarrer depuis que je l'ai vu debout dans l'entrée.

Un nouveau soupir et je relève la tête. Je ne sais pas depuis combien de temps on est là sans bouger avec le jet d'eau sur la tête, mais il n'y a plus la moindre trace de mousse sur nos corps et avant qu'on ne vide le ballon d'eau chaude, on serait peut-être mieux de sortir. Doucement, mes mains glissent, tandis que je me défais de notre étreinte. Ma paume parcourt cependant son bras jusqu'à refermer ma main sur la sienne, emprisonnant ses doigts, tandis que je ferme la pression et ouvre la porte de verre. Tranquillement, je l'attire à l'extérieur de la cabine et ne relâche finalement ses doigts que pour attraper la serviette et la déplié, la posant sur sa tête pour ébouriffer un peu comme je le faisais parfois avant. J'arrête de réfléchir, je laisse les mouvements habituels de la dernière année me revenir et demain, je m'effondrai de douleur, mais, là, je profite. Attrapant une serviette pour moi aussi, je le laisse finir de s'éponger. Mon regard glisse sur son corps, remontant de bas en haut, mais lorsque je crois le bleu de ses pupilles, mes mouvements stoppent et je m'y perds un instant. Ça a toujours été un de mes points faibles, ça et sa manie de se mordiller la lèvre…

Secouant légèrement la tête, envoyant voleter quelques gouttes qui s'accrochaient encore à mes cheveux, j'attache la serviette à ma taille et récupère mes vêtements tachés de peinture d'une main. Je lui ai apporté des vêtements de rechange, mais moi, je n'avais pas prévu de prendre ma douche, alors j'ai rien, donc je m'habillerai dans ma chambre.

- Ce sera correct? Le questionnais-je d'ailleurs au sujet des vêtements, attendant qu'il les ai enfilé avant d'ouvrir la porte.
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Samedi 29 avril 2017

Un peu de baume au coeur, voilà ce que j'ai l'impression que cet instant sous la douche me procure, alors qu'il reste dans mes bras, collé à moi. Je ne réfléchis plus, je reste simplement comme ça, contre lui à profiter de cet instant en sachant parfaitement qu'à un moment ou un autre on bougera et on reviendra à cette cruelle et froide réalité, cette réalité que j'ai envie de fuir pour continuer de vivre ce petit moment de douceur contre lui... Je sais bien que c'est moi qui le repousse, encore et encore, mais de toute façon, maintenant, il ne doit plus avoir réellement de sentiments pour moi. Il doit juste encore être un peu attaché à ce que l'on a été cette dernière année, mais passera a autre chose dés demain... Il soupire alors et me force à ouvrir les yeux quand il se recule, coupant l'eau et m'entraînant hors de la douche. je me laisse faire, comme un gamin, parce que je n'ai pas envie de rompre ce petit contact entre nous et quand il le rompt pour prendre la serviette, je ne m'attends pas réellement à la suite... baissant la tête, je le laisse s'occuper de moi de la sorte et le fixe, me laissant aller également dans son regard dans on se retrouve à se regarder dans les yeux... J'aimerais y lire encore de l'amour, de la tendresse, mais je n'arrive pas à y lire ça... Juste de la tristesse, peut-être même de la pitié ? J'en sais rien... j'ai jamais été bon pour comprendre ce qu'il pensait au fond...

Je reste silencieux, alors qu'il s'éponge également et qu'il fini par nouer la serviette autour de sa taille... Je le regarde, le dévorant un peu du regard malgré moi, parce que j'aime toujours son corps, il m'attire toujours malgré tout ce qu'il peut y avoir entre nous maintenant. Foutue rupture à la con... Je tends alors la main vers lui, pour l'attraper par la serviette et le tirer vers moi, au risque de défaire son noeud et de le faire se retrouver à nouveau nu. mais est-ce réellement un problème ? Probablement, sachant que moi, je suis partiellement habillé maintenant, ayant juste enfilé son t-shirt et le boxer, laissant le jogging de côté. "Non." Soufflais-je quand même en réponse à sa question. Rien ne sera plus correct maintenant, même si lui ne faisait que parler des vêtements. Je suis prit d'une envie égoïste. Le retenant contre moi maintenant, je lève la main pour venir caresser son visage, saisissant son menton pour un nouveau baiser, pour capturer ses lèvres pour tenter de retrouver encore une fois ce que l'on a perdu, ce que j'ai détruit... Mais j'ai cette impression que c'est inutile... Je reste alors face à lui, après ce baiser, mon regard fixé dans le sien. Cette douche m'a fait du bien, l'alcool aussi... même s'il ne fait plus trop d'effet là... Je suis juste probablement encore un peu stone, la fatigue aidant probablement. Je continue de le regarder dans les yeux, me laissant me perdre dedans alors que je cherche à ce qu'il me regarde comme avant, alors que ma main caresse sa joue, que j'essaie de m'agripper à lui en réalité, comme à une boue de sauvetage, même si au final, je n'en montre rien. Je donne juste l'impression d'avoir fait un arrêt sur image, hormis pour mon pouce qui continue de bouger pour esquisser des caresses sur sa peau doucement.


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Il tire sur la serviette à ma taille et, de justesse, je retrape à deux mains le noeud qui se défait, lâchant mes vêtements qui retourne au sol dans un brun bruit plus ou moins mat. Je laisse entendre une exclamation qui s'apparente vaguement à un "Hey!" tandis qu'il me souffle un "Non" et là, j'ai le cerveau qui bloque. Non quoi? De quoi il parle? Je lui ai seulement demandé pour les vêtements. Soudainement docile, je suis le mouvement qu'il me fait faire, m'approchant jusqu'à me coller, essayant de comprendre ce qui ne va pas. Mon menton emprisonner dans sa main, je ne fais aucun geste pour m'en soustraire, le fixant en attente d'une réponse.

...ses lèvres sur les miennes ça peut être une solution variable aussi! Ça ne me donne pas de réponse, au contraire, mais, merde, que c'est bon! Fermant les yeux, je m'abandonne, les amarres de mon bon sens rompant une à une. Mue par habitude, l'une de mes mains va retrouver sa taille, délicatement. Geste répété tellement souvent qu'il en est devenu naturel et rassurant en quelque sorte. Aujourd'hui, il me serre de prise sur lui, comme pour m'assurer que lorsque j'ouvrirai les yeux, il ne disparaîtra pas comme c'est arrivé trop souvent pour le peu de "rêves" que j'ai pu faire ses derniers temps durant mes nuits de sommeil merdique. Mais aucun de mes rêves n'était aussi véridiques en sensations. Aussi bon. Aussi douloureusement bon.

Une boule dans la gorge, j'ouvre les yeux à retardement lorsqu'il met fin au baiser, essayant sans succès de retarder le retour à la réalité, même si ce soir, il semble accepter de la mettre sur pause pour une dernière nuit en ma compagnie. Pour me faire plaisir? Je sais pas. Je veux pas vraiment savoir. J'essaie de taire ma conscience qui me dit que demain j'aurai simplement dix fois plus mal et je me laisse aller une dernière fois, comme lorsqu'il passe son pouce sur ma joue.

Au bout d'un moment, je me détourne de ses pupilles bleus, bougeant juste assez doucement pour pouvoir poser un baiser au creu de sa paume. Une main toujours à ma propre taille pour tenir le bout de tissus, je saisis la sienne pour l'entraîner hors de la salle de bain. J'ai pas particulièrement envie d'y passer la nuit, ma chambre est nettement plus confortable. Doucement, mes doigts enlacés aux siens, je l'entraine un peu plus loin dans le corridor, passant la porte de ma chambre avant de la refermer derrière nous. Je ramasserai le bazar demain, là, j'ai autre chose en tête : encore un peu de bien-être amer. M'approchant, je viens à nouveau saisir ses lèvres, envoyant sa main liée à la mienne rejoindre le creux de mon dos, l'y laissant pour remonter en une caresse aérienne le long de son bras, jusqu'à sa nuque.
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Samedi 29 avril 2017

Je le suis sans dire un mot, malgré la protestation que j'ai pu lui laissé entendre, parce que je parlais pas des vêtements mais de notre situation. Je sais même pas s'il a comprit, je crois pas... Bien que j'espère que si quand il m'attire pour aller dans sa chambre sans plus de cérémonie et je le suis, sans rien dire, parce que j'en ai envie, parce que j'en ai besoin aussi et quand il ferme la porte derrière nous avant de venir se coller contre moi et de m'embrasser, reprenant un peu ce que l'on avait commencé dans la salle de bain, je laisse ma main glisser dans son dos, ou il la mise alors que je frissonne doucement à sa caresse. Cela faisait un moment que je n'avais plus été touché comme ça... En même temps, il n'y a plus eu personne réellement dans mes bras ou dans mon lit depuis notre rupture. Elizabeth, le plus qu'il y a eu, c'est un baiser, contre mon gré devant plusieurs Winthrops, sinon, j'ai rien cherché de plus... J'ouvre les yeux, en le regardant, limite en le suppliant du regard de me toucher encore, de continuer à me caresser alors que j'affirme ma prise sur lui, pour le coller réellement à moi avant de prendre la direction de son lit, rien à foutre qu'il ne soit pas encore en tenue pour dormir, j'y envie de me caler contre lui, au chaud, de profiter de ses caresses, de ce qu'il veut bien m'offrir. Me laissant alors tomber sur son lit pour d'abord être assis, je laisses mes lèvres parcourir son torse avant de chercher à le faire venir se coucher sur moi... Je veux sentir son poids, savoir qu'il est réellement là, que c'est pas encore un putain de cauchemar ou je vais l'entendre prononcer le prénom de Jonathan au lieu de miens. J'en ai peur, je redoute clairement ça mais j'ai besoin de vérifier. Mon regard posé sur lui... "Matthy..." Soufflais-je douloureusement, parce qu'il me manque, que j'ai besoin de lui, sauf que je n'ai plus de droit sur lui... Je ferme alors les yeux, pour venir prendre ses lèvres, tenter de chasser ses pensées et tenté de profiter pleinement de ce dernier soir... Un peu hors du temps en quelque sorte... Mon coeur, comme mon corps le réclame dans son entièreté, mais là, j'en fais déjà trop, couché sur le lit, mes mains glissant dans son dos pour y déposer des caresses...


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Une dernière nuit en dehors du temps, à ne pas se casser la tête, à faire comme si on n'avait jamais rompu ou presque. ...avant de le voir quitter définitivement, demain matin. Le plaisir ressenti lorsque mes lèvres effleurent les siennes est cependant teinté d'amertume, alors je fais un effort considérable pour faire taire ma conscience. Je sais bien que je ne fais que m'enfouir la tête dans le sable, que lorsqu'il aura disparu, je me casserai la gueule en tombant de trop haut parce que je continue de tendre vers lui. Dites de moi que je suis maso si vous le voulez, moi, tout ce que je veux, c'est lui, c'est ce "nous" que l'on avait. J'éteinds donc mon cerveau, tue les résistances venues d'un restant de logique froide et plonge à nouveau dans ce baiser, guidant sa main au creux de mon dos, remontant ensuite son bras en une caresse pour me faire un chemin jusqu'à sa nuque. Je ne compte plus les minutes ou les secondes, je profite simplement, comme si j'en avais encore le droit pleinement.

Sa peau chaude sous mes doigts, ses yeux bleus qui me fixent… je suis incapable de ne pas flanché de toute façon! Mon corps appelle le sien, comme un junkie en manque. Alors lorsqu'il bouge pour se rendre à mon lit, je me colle encore à lui, mes pas dans les siens pour deux petits mètres. Frissonnant lorsque ses lèvres se posent sur mon torse, mes mains vont se perdrent dans ses cheveux en multiples caresses, oubliant la serviette à ma taille qui tient encore par je ne sais quel miracle. Il se laisse tomber sur le dos, me retirant ainsi la faible prise que j'avais. Je n'ai pas envie de toucher les draps froids pour finalement me rendre compte que tu n'y es pas, Saël. Laisse-moi te toucher, s'il-te-plaît. Fais durer l'illusion encore un peu…

- Matthy…

Un appel léger, faible et pourtant j'y réponds sans hésitation, grimpant sur le lit, passant mes jambes de part et d'autres de ses hanches, m'installant sans honte sur son bassin et me penchant sur lui pour venir à nouveau à la rencontre de ses lèvres. Je glisse une main à sa taille, sous ce t-shirt qu'il porte, mais j'en reste sage, me contentant de caresser son flanc jusqu'à ses côtes. Je veux juste le toucher, savoir qu'il est là, emmagasiner son odeur, son goût, la texture de sa peau. M'appuyant sur mon avant-bras libre, je le pose au-dessus de son épaule, ma main retournant à sa tête pour jouer avec ses mèches. Je ne le libère que lorsque l'air vient à se faire rare, mais je ne me relève pas pour autant, allant plutôt enfouir mon visage dans son cou. Pour ne pas voir d'agacement ou tout autre dans son regard, pour profiter encore de sa chaleur et de ses caresses.
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Samedi 29 avril 2017

Dans un murmure, je le supplie en murmurant le surnom que je lui donne, ce surnom, preuve que je l'aime encore, qu'il n'est pas devenu un mec comme les autres pour moi... Il reste celui que j'aime plus que de raison. Je sais bien que je ne devrais plus éprouvé de tel sentiment pour lui, mais c'est pas possible, je peux pas juste appuyé sur un bouton et les éteindre. On peut pas stopper ça comme ça et ça fait foutrement mal. Surtout à cet instant, où j'ai l'impression de pouvoir encore plonger dans cette relation avec lui, de vivre un semblant de nous, même pour quelque heure. Ca fait mal de penser à l'après, de ce dire que je vais devoir partir, le laisser tourner la page... Je n'en ai pas envie... Mais pourtant, il faut bien que je le fasses, alors je tente de profiter de cet instant, de ses lèvres sur les miennes, de ses doigts dans mes cheveux et sur mon corps... Je me concentre sur lui, entièrement, sa proximité, son odeur qui me manquait tellement. Mes doigts glissent sur sa peau, cheminant entre ses fesses et ses omoplates pour le caresser. Je laisse mon regard rivé sur lui, pour être sur que je ne me leurs pas avec une autre personne, mais non, c'est bien lui, son odeur, son corps, ses tatouages, son souffle, ses doigts... Je soupire de plaisir de le retrouver comme ça alors qu'il se blottit contre moi, laissant son souffle rencontrer maintenant ma gorge, chose qui me fait légèrement frisonner. Sauf que je ne tiens pas comme ça, je peux pas !

Je le repousse alors, pour échanger les positions, quitte à ce que ça soit notre dernière soirée ensemble, je ne veux pas juste un câlin comme ça, je veux plus. Pas forcément du sexe, mais je ne veux pas qu'un baiser... Je change alors nos positions, pour qu'il se retrouve le dos sur le lit et moi au dessus. Attrapant son menton, je veux qu'il me regarde, je veux pouvoir me perdre dans son regard, je suis désespéré... Réellement, alors je me penche pour prendre ses lèvres une nouvelle fois, ma langue se glissant entre lèvres pour venir chercher la sienne alors que je me presse contre contre lui, mon corps réagissant tout seul pour avoir le plus de contact possible avec lui. Je l'aime, je le désire, je le veux. Sauf que je n'ai plus droit à tout ça... Sauf ce soir. Possiblement. Et encore, rien ne me dit qu'il ne va pas me repousser, parce que je suis trop intrusif, parce qu'il faisait juste preuve de pitié à me voir dans cet état minable non ? Parce que tout ça, c'est uniquement à cause de ma médiocrité qu'il se laisse faire... Qu'on en est rendu là non ? Qu'il accepte encore que je le touche et le caresse. Je suis méprisable au fond. Tellement. Je devrais le laisser s'habiller pour juste faire dormir, comme il l'avait dit, sauf que je ne peux pas, je ne veux pas et là, à cet instant, je suis tout ce qu'il y a de plus égoïste.


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Il souffle mon surnom qu'il s'est approprié depuis un an, qu'il a été chercher loin dans mon passé et qu'il n'y avait plus que lui pour m'appeler ainsi. Un part de mon cerveau le remercie, parce que s'il m'avait appeler Oliver, ça aurait tout brisé. Ça aurait posé une distance froide entre nous. Ça devrait être le cas, en fait, mais je suis juste pas encore capable de l'accepter, alors je le remercie muettement de continuer à me faire vivre ce que je sais être une soirée illusoire. Frissonnant de plaisir sous les caresses qu'il appose dans mon dos, j'enfoui ma tête dans son cou pour ne pas risquer de croiser son regard, pour ne pas risquer d'y déceler une émotion qui se ferait éclater ce rêve de verre. Pourtant le tout commence à craquer quand il me repousse. J'ai pas envie, mais qu'est-ce que je peux faire d'autre? Alors j'obtempère et fais un mouvement pour me relever, prenant appui sur mes mains. Séparé de lui, j'ai nettement plus froid. Ce sera toujours comme ça maintenant. Ça me donne l'impression que mon propre corps n'est plus capable de produire la moindre chaleur si je ne suis pas dans ses bras.

D'une impulsion, il échange nos positions et je me retrouve à me faire mordre le dos par le tissu froid. Refusant obstinément de le regarder, mes yeux accrochent son tatouage et je vacille, perdant encore de la force, aussi lorsqu'il saisit mon menton, je n'ai pas de résistance. Je finis par relever mes pupilles pour croiser les siennes. Pourtant, ce contact ne dure que quelques instants à peine avant que ses lèvres ne viennent à nouveau à la rencontre des miennes. Un gémissement, faible, mais incontrôlé m'échappe lorsqu'il glisse sa langue dans ma bouche. De plaisir, de souffrance, de "Pitié, pars pas." Son poids se fait sentir sur mon corps, bloquant quelque peu ma respiration et pourtant, je passe mes mains à sa taille, remontant dans son dos jusqu'à ses omoplates. Je m'accroche à lui, donnant ce que je peux dans le baiser pour le retenir encore un peu.
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