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Chat échaudé craint l'eau froide

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Summer,

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Paris laissa Summer peser le pour et le contre quant à sa proposition. Pour le coup, il comprenait très bien ce qu’elle voulait vis-à-vis de sa mère. Il n’était pas aussi bouché concernant les sentiments d’autrui. Certaines de ses expériences personnelles lui permettaient de comprendre sa femme comme par exemple le rapport enfant/parent. Combien de fois aurait-il aimé que sa mère assiste à des concours de danse ou des matchs de hockey simplement pour l’encourager ? Trop souvent. Le Dunster avait cessé de les compter car il avait rapidement compris que sa mère était trop stone pour avoir le courage de bouger ne serait-ce qu’un orteil. Aujourd’hui, elle était sevrée et grapillait petit à petit l’affection de son fils mais également sa confiance. Il était heureux qu’elle assiste à son mariage et comprenait non la frustration ainsi que la tristesse de sa femme. Une raison de plus pour prendre les choses en main quitte à agir en sous-marin pour que Maman Wingfield annonce à sa fille qu’elle serait de l’aventure. « Tout ce que tu voudras bébé… Je veux juste que tu sois heureuse, complétement » répondit-il avant de l’embrasser délicatement.

Sans même le vouloir, le futur ex-étudiant se retrouvait mêlé à la future décoration de leur futur appartement. Il lui tardait de déménager car les lieux étaient devenus vraiment trop grands et trop onéreux pour le couple. « Mais j’y connais rien… la dernière fois tu t’es foutu de ma gueule quand j’ai décoré l’appartement de mes sims car c’était sans queue ni tête » râla-t-il. Oui, Paris avait voulu tester une partie de Sims 4 mais il avait rapidement lâché l’affaire tant ce n’était pas son truc. Par contre, son nouveau jeu de Dragon, là, il y passait clairement trop de temps au point de faire sonner son réveil la nuit car il y avait un event où il voulait absolument le dragon. Enfin, ce n’était pas la question du jour de toute façon.

Paris s’amusait pour le moment à jouer avec les nerfs de sa femme en se présentant torse nu. Il adorait sentir son regard sur lui, de la voir perdre pied petit à petit. Tous les petits signes annonçant que peu à peu le désir grimpait en elle, il les savourait pour mieux les graver dans sa tête. Toutefois, il éclata bien vite de rire quand elle lui demanda s’il avait fini de jouer au con avec elle et qu’elle avait très bien saisi le sens de tout son manège. « Raah c’est pas drôle, je suis devenu trop prévisible » s’amusa-t-il à dire. « Ah oui ? Je suis curieux de voir ça » reprit-il en la couvant du regard, ses yeux plongeant sans le vouloir dans son décolleté. Il se voyait déjà plongé son visage entre ses seins… Grand-mère en string II ! « Ah non ! Là tu as pas le droit de me réclamer mon poulet à l’ananas… Ce n’est clairement pas du jeu !! J’y mets mon véto » rigole-t-il, complétement hypnotisé par la couleur de son soutien-gorge. « Ou alors une bouchée… »

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Paris,

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Je ne pouvais que sourire aux réflexions de Paris concernant son gout pour la décoration d’intérieur : c’est vrai que la dernière fois que je l’avais vu à l’œuvre c’était sur les Sims4 et j’en avais été désespérée. Même avec du beau contenu personnalisé, il avait réussi à rendre son appart aussi peu chaleureux que les premiers papiers peint fourni dans les premiers opus du jeu ! « Nan mais, ne cherche pas d’excuses : on décorera ensemble et puis c’est tout. On commencera par des trucs pas trop compliqué, comme la couleur des murs, et puis…oh tiens : on ira chercher de nouveaux meubles ensemble !! Ça va être cool. Notre premier CHEZ NOUS ! » Je m’extasiais déjà, sans imaginer un seul instant comment ceci pourrait se tramer à la sauce Paris Maconahey…

En attendant, c’était sur le mariage que l’on devait se concentrer. Enfin, là encore, les choses étaient peines perdues : personnellement, je n’arrivais clairement pas à me concentrer avec un Paris torse nue, à la posture d’une gravure de mode allongé sur le sable. Non franchement, c’est trop me demander. Et puis il sait l’effet que ça me fait, c’est bien pour ça qu’il en profite. Sauf que si il veut jouer à ce petit jeu, on va être deux à jouer finalement ! Je lui faisais d’ailleurs savoir « Je sais que t’es curieux de voir…donc…je te donne un aperçu » le tentais-je, tout en défaisant les premiers boutons de ma chemise. Je voyais ses yeux dévier de leur trajectoire pour plonger dans mon décolleté et je souriais de satisfaction alors que je déboutonnais un peu plus ma chemise, jusqu’à la naissance du soutien-gorge. Et LA, dans ce moment le plus propice, alors que Paris n’a pas de défense, je me lance : je quémande du poulet à l’ananas alors qu’il n’aime pas le partager. Je sais, c’est sadique ! Mais j’adore ça…ça me plait de voir sa tête dans des moments pareils, de le voir se tordre dans sa réflexion quant à savoir si oui ou non il doit céder à ma demande. Ce n’est pas tant que je veux de son poulet à l’ananas, mais c’est juste pour lui prouver que moi aussi je peux l’avoir par les « sentiments » quand je veux. Forcément au début, Paris rechignait : ce n’était pas juste, pas fair-play ! « NON AU PARTAGE DU POULET A L’ANANAS » devait sans doute être scandé par la voix militante dans sa tête. Et de mon côté ? bah j’insistais, sans l’aide de mot : Je défaisais le dernier bouton de ma chemise, tirant sur cette dernière pour la dégager de la ceinture de mon jean, et ouvrait les pans pour laisser une vu imprenable à Paris. Et alors qu’il concéda à une unique bouchée de son poulet (la c’est la voix militante de MA tête qui hurle « VICTOOOOIIIRRREEEE !!! »), je prenais la main libre de Paris dans la mienne pour la guider droit sur l’un de mes seins emprisonnés dans son tissu bleu nuit, plaquant sa paume directement et volontairement dessus ! « Juste une seule bouchée ?? tu es vraiment sûre que je n’aurais le droit qu’à une seule et unique bouchée ??? »


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Summer,

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Paris avait grogné concernant le fait d’aller faire du shopping. Ce n’était clairement pas ce qu’il préférait faire dans sa vie. Il avait même tendance à être grognon, critiquer tout ce qui bougeait et surtout tout ce qui trouvait le moyen de toujours marcher à deux à l’heure ou à ne pas faire attention où leurs pieds les menaient. Oui, le Dunster détestait les endroits blindés de monde et surtout de s’entendre toujours demander : jeune homme, vous pouvez m’attraper ça comme vous êtes si grand. Si vous saviez le nombre de fois où il avait envie de dire : NON, DEMERDEZ-VOUS. Le hic, c’est que Summer avait un faible pour les vieilles dames et dans ces cas-là, il n’avait même pas le temps de répondre qu’elle s’en chargeait elle-même en indiquant qu’il se ferait un plaisir que de les aider. Tu parles mon neveu… il faisait ça uniquement pour avoir une récompense comme la dernière fois où ils avaient fini par bloquer l’ascenseur d’un magasin pour qu’elle puisse lui montrer toute sa reconnaissance envers cet acte de pur héroïsme. Bon, je m’égare…. Finalement, il vit la chose sous un angle nouveau. « D’accord ! On peut faire ça à mon retour du voyage Winthrop » décida-t-il tout d’un coup pressé d’être à ce fameux jour. Bien sûr, cela ne pouvait que dire une chose : il avait quelque chose en tête.

En parlant de ça, il n’était pas le seul parce que Mme Maconahey avait bien décidé de jouer de ses charmes pour lui voler son précieux poulet à l’ananas. Au départ, il tenta de jouer les grands garçons, résistant à son charme diabolique mais son petit démon à l’épaule droite commençait déjà à lui susurrer toutes les choses qu’il pourrait être intéressant de lui faire subir. « Rouquine… je te déteste » rigola-t-il alors qu’elle achevait de l’allumer en attrapant sa main pour la poser sur son sein. « Tu te rends compte que tu te vends pour une bouchée ? » la taquina-t-il alors que ses doigts se glissaient entre sa dentelle et sa peau pour venir caresser son sein, effleurant du bout des doigts son téton qui s’irrigea à son contact. « Il va m’en falloir un peu plus… on parle quand même de mon poulet à l’ananas » insista-t-il en pinçant cette petite pointe rosée entre son index et son majeur. « Où est-ce que tu es prête à aller pour mon plat ? » demanda-t-il d’une voix légèrement rauque.

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Paris,

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Pourquoi soudain tant d’anticipation de la part de Paris ? J’avais vraiment réussi à le convaincre de faire du shopping en à peine une phrase ?? Je le regardais du coin de l’œil, le sondant un peu tout en clarifiant la situation « T’es sérieux ? Tu veux faire les magasins avant même qu’on est l’appartement ? » Surtout que ce qui était bizarre, c’était qu’il y a une seconde à peine il s’était mis à grogner, signe de son mécontentement. « Tu te rends compte de l’inutilité du truc ou pas ? » lui redemandais-je avant de rajouter « à moins que tu y voies un intérêt à faire les magasins, que moi je n’ai pas encore capté ?? »

Bien sûr, je n’avais pas bien saisi ce qu’il avait en tête, vu que moi j’étais bien plus concentré sur mon petit jeu du moment. J’étais clairement en train de me servir de mes atouts pour une bouchée de son plat. Et alors qu’au départ, je trouvais cela amusant, maintenant que Paris reprenait le contrôle de la situation, ce n’étais plus aussi fun. Je me pinçais les lèvres pour refreiner un gémissement de plaisir alors que Paris faisait mumuse avec ce qui se trouvait sous mon soutien-gorge. Il était en train de rajouter- en plus de son affront – qu’il allait lui falloir bien plus qu’une simple palpation pour troquer son poulet, ce qui pour effet de me redresser un peu, et de chercher à me débattre, malgré la manière si experte qu’il avait de me titiller. « Nan bah écoute, tu sais quoi ? Moi, c’est plus qu’une simple bouchée de poulet qu’il me faut pour plus qu’un p’tit pétrissage de poitrine à la volée. » Je lui rendais gentiment sa main, et me redressais en position assise et chemise ouverte, et réarrangeait la position de mon soutien-gorge en cachant au mieux ma propre frustration à l’idée de dire non à un autre contact de Paris sur ma peau, même à la volée. « Et puis t’as raison, ça faisait un peu trop prostituée comme façon de faire ! » ajoutais-je « Non mais franchement… donner un sein pour une bouchée de poulet » marmonnais-je, « Qu’est-ce que ça aurait été pour des nouilles sautées et canard laqué ! » continuais-je dans ma lancée avant de reprendre une certaine contenance (surtout pour donner le change) et me ruer sur l’un de mes plats en lot de consolation, jetant un œil à … « Ah bah, hey : y’en a en plus du poulet dans ces nouilles là….donc je vais faire avec ça ! »

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Summer,

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« Baaaah…. » lâcha-t-il un peu à court d’argument. En même temps, elle n’avait pas tort, c’était un peu con d’aller faire les magasins avant de connaitre les dimensions de leur futur appartement mais en même temps, Paris était vraiment motivé à trouver le plan de travail pour sa future cuisine car il avait des exigences : ni trop haut, ni trop bas et suffisamment large pour qu’elle puisse s’y étendre sans avoir un couteau ou une spatule dans le dos. C’est que monsieur Maconahey pensait à la sécurité et au confort de son épouse en toute circonstance. « Histoire de faire une première sélection, de voir si on a des coups de cœurs, une inspiration… » trouva-t-il L’ARGUMENT pertinent de toute sa vie. « Et puis, rien ne nous empêche de flâner dans les magasins hein, c’est pas interdit, ça s’appelle même du lèche vitrine ! Je t’en bouche un coin hein ? » ajouta-t-il avec un grand sourire.

Sourire qu’il perdit rapidement quand Summer se mit en tête de jouer de ses charmes pour obtenir un peu de son poulet à l’ananas et qu’il échoua lamentablement… Enfin il avait quand même réussi à la traiter de prostituée sans même le vouloir. Bonjour monsieur j’ai pas de tact songea-t-il en grimaçant. « Bébé, j’ai jamais dit ça… on faisait que jouer » râla-t-il en faisant la moue, se voyant privé de Ben & Jerry’s par sa seule faute. « J’éviterai de répondre à ta question bien que je suis certain que tu aurais pu être très convaincante pour ton canard laqué » ajoute-t-il avant de lever les mains en l’air en signe de reddition. « Mon poulet à l’ananas est meilleur… tu es sûre que tu veux pas y gouter ? » insista-t-il tout penaud car il avait les doigts qui le chatouillaient et pas que ça si vous voulez mon avis. Il alla même jusqu’à lui agiter la petite boite du traiteur sous le nez. « Même pas une bouchée ? Contre un baiser ? C’est moi qui offre » reprit-il en bombant le torse pour mieux faire jouer ses muscles pectoraux. Là pour le coup, c’était lui qui se prostituait pour avoir son câlin crapuleux.

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Paris,

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L’argument de Paris concernant le shopping lui faisait marquer un point. C’est vrai qu’il n’y avait rien de mal à aller faire un premier tour de repérage. Mais bizarrement, je continuais de le regarder avec un air suspect, avant de finalement hausser les épaules et d’accepter son point de vue « Okay Mr le prévoyant, on ira donc faire quelques vérifications…c’est juste étonnant de ta part, vu que tu n’aimes pas faire les magasins ! » rappelais-je avant de finalement m’appliquer à jouer un jeu de séduction avec Paris

Malheureusement pour moi, je ne gagnais pas du tout à ce petit jeu. Pourtant ca partait bien au début, je menais la danse, mais dès que Paris avait pris de l’assurance, en prenant possession d’un de mes seins, je ne contrôlais plus rien. Pire encore, je donnais l’impression de vendre mon âme, mon corps ou je ne sais quoi d’autre pour une bouchée de pain. Du coup, j’avais fini par me redresser, arrêter ce jeu et m’intéresser à mon plat plutôt qu’au reste, au grand dam du Dunster. « Je sais que t’as pas dit que j’étais une prostituée. C’est moi qui le dis. » Assurais-je tout en fouinant, et en marmonnant tout un tas de chose pour juger mon comportement. Je lançais un regard peu amusé à Paris, feintant un demi-sourire, l’air de dire « ah-ah, très drôle », puis me vengeais sur mon propre plat qui lui aussi contenait un peu de poulet. « Nan c’est bon, je ne voudrais pas te priver de ton poulet, une cuillère ça fait quoi ?…10 grammes. Ce serait 10 grammes de moins pour toi…trop dur » ironisais-je tout en enfournant une bouchée de mes nouilles sautées au poulet dans ma bouche et de mâcher lentement. Seulement, quand Paris m’offrait un baiser contre sa bouchée de poulet à l’ananas, j’avoue que je réfléchissais à son offre. Je pivotais à nouveau la tête en sa direction, plissait le regard comme si j’étais de scanner physiquement Paris pour m’assurer que son offre ne comportais aucune arnaque. « Je ne sais si l’offre est flatteuse : tu vends ta bouchée contre ma bouche, ou tu vends ma bouche contre ta bouchée ? » ça semblait être la même, mais non. J’avalais les derniers morceaux que j’avais en bouche et m’essuyait cette dernière avec une serviette, avant de me tourner un peu plus vers Paris. Je le regardais de tout son long, et vu son sourire de crapule, sa façon de bomber son torse, de jouer avec ses pectoraux…dur de ne pas plier. Il en était même à passer ses mains derrière sa tête, s’en servant comme d’un oreiller, ce qui avait pour effet de bander en plus les muscles de ses biceps. Je fronçais le nez, grimaçais fermant fortement les yeux comme pour m’empêcher de céder à la tentation « T’es vraiment pas fair-play Paris, je te jure que ce n’est pas cool » lui disais-je entre mes dents, tout en rouvrant les yeux et y voir toujours cet air de vainqueur sur son visage. « Rho et puis merde… » Lançais-je, ne m’excusant même pas pour le gros-mot que je n’utilisais que lorsque je ne contrôlais rien. Je cédais à la tentation : les mais accrochant ma chemise je tirais sur les pans pour l’écarter complètement et la retirer, sortant mes bras des manches avec hâte, tout en me redressant à genou sur le lit « T’as gagné ! Je suis ta prostituée ! Donnes moi le nombre de bouchée que tu veux, et prends-moi ! » concluais-je en riant. Et finalement je me jetais sur lui, m’écrasant contre son corps pour venir picorer les lèvres, tout en continuant de rire « J’aime pas jouer avec toi... » lui avouais-je tout en embrassant sa joue gauche, puis sa joue droite. « Tu gagnes tout le temps, c’est chiant ! » puis finalement, je descendais dans son cou, puis bien vite sur son torse pour venir embrasser toutes les parcelles nue de sa peau. Vous imaginez la suite : on a mangé froid….bien plus tard, une fois bien affamés, entre session « make-out » et éclats de rires !


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