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Chat échaudé craint l'eau froide

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Sa femme semblait bien plus légère et Paris s’en sentait soulagé. Il faut dire qu’il avait passé la journée à réfléchir sur quoi dire, quoi faire pour faire revenir le sourire sur son visage. Il n’avait jamais cru possible que le soir-même, il devrait batailler ferme pour qu’elle ne revienne pas sur la cérémonie de leur mariage. Heureusement tout s’était terminé de façon légère. Le Dunster pour une fois, se félicitait d’une de ses colères car au final, cela avait permis à Summer de lâcher prise et surtout de s’exprimer enfin sur ce qu’elle lui cachait. Bien sûr, il avait sous-estimé sa détresse morale mais ça, il n’y pouvait rien. Sa sensibilité était à cent lieues de la sienne. « La prochaine fois, je sais pas, explose mais ne retiens pas les choses pour toi. J’aime pas quand tu es dans cet état-là.. Au départ, j’avoue que te voir me coller avait un côté sympa surtout le matin » lâcha-t-il avec un petit clin d’œil en faisant référence à toutes les fois où ils avaient fait l’amour car Paris était du genre à partir au quart de tour quand elle se transformait en koala. « Mais après, ça m’a inquiété et j’avoue que j’étais un peu jaloux… bon okay carrément » soupira-t-il, conscient qu’il avait mal réagit surtout à cause de sa jalousie. Paris essayait de travailler sur sa colère mais bien souvent, il se ramassait la tronche en beauté. C’était à se demander s’il y arriverait un jour ou l’autre. Qui sait, peut-être que l’armée arriverait à tempérer ses ardeurs. En attendant, il comptait bien continuer à prendre soin d’elle comme à présent. « Un petit extra ? Dis m’en plus » rétorqua-t-il avec un grand sourire séducteur alors que ses bras entouraient sa taille fine. « Cette nuit, je vais tellement t’épuiser que tu feras de beaux rêves » s’exclama-t-il en la soulevant dans ses bras afin de l’asseoir sur le comptoir en lui interdisant de bouger.

Surtout ne t’énerve pas s’enjoignait-il au calme tandis que Summer était incapable de se mettre d’accord avec elle-même quant au plat avec lequel, elle voulait commencer. « Sérieusement bébé ?! » râla-t-il avant de prendre une grande inspiration. « Tu sais quoi ? on va tout réchauffer en même temps histoire que tu puisses piocher dans chaque plat… par contre je te préviens, si tu me piques des nems ou mon poulet ananas et mon riz cantonnais… je demande le divorce » la menaça-t-il l’air sérieux. Quoi ? Il commandait toujours la même chose lui, ce n’était pas pour rien : il kiffait ça et hors de question qu’on vienne jouer les pique assiettes. Monsieur ne partageait pas quand cela parlait de nourriture, il était bien trop gourmand pour cela. Paris récupéra les différents plats et commença à tout réchauffer. Au bout de quelques minutes, il attrapait sa femme en la soulevant d’un bras, l’autre portant les plats pour mieux grimper dans leur chambre. « Ce soir, c’est au pieu… » dit-il pour s’expliquer. Il adorait diner au lit car bien souvent, le dessert suivait rapidement !

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« un paiement en nature pour le livreur » lançais-je mutine, pour répondre à cette histoire d’extra que je réservais à Paris « payé double bien évidemment » rajoutais-je avant de rire doucement. Suite à cela, c’est une humeur bien plus joyeuse et légère qui me caractérisait pour le reste de la soirée : Paris avait réussi à me faire cracher ce que je me tuais à taire tout au fond de moi, et même si je me sentais encore un peu coupable d’éprouver de la colère à l’égard de Bonaventure, j’avouais tout de même que cela m’avait du bien d’extérioriser mon ressenti. Paris n’avait vraiment pas tort, il fallait que je vide bien plus facilement mon sac dans ma vie, que j’accepte de dire merde quand ça me chante, et que je reconnaisse dans le même temps que je ne suis pas plus avantagé qu’un autre pour maintenir ma vie, celle de mes proches, et tout ce qui m’entoure sur une chemin sans encombre que j’aurais décidé…il y a des aléas, des hauts et des bas il faut savoir composé.

C’est avec cette pensée que dès à présent, je souhaitais profité de ce qui me restait le plus cher, ce qui était bel et bien solide et qui m’apportait tout le bonheur du monde : mon mari. MA famille. Ashlynn n’était pas là, mais le cœur pensait à elle…et cette soirée allait s’annoncer plus que bonne. Enfin … si j’arrive à me décider sur quoi manger en premier !!!

« Quoi ? Attend, ce n’est pas rien, je ne dois pas choisir n’importe comment. Parce que si je commence avec le plus copieux – mais le meilleur – dès le départ, j’avais avoir du mal à manger le reste, mais je vais être frustrée parce que je n’aurais pas pu tout goûter !! » Voilà pourquoi je me prenais autant la tête. Mais Paris, tout aussi radical et expéditif que d’habitude (pas expéditif dans tous les domaines, je vous rassure !), avait fini par perdre patience et trouver une solution simple : tout faire chauffer. Je passais outre sa menace concernant SES plats favoris que je n’avais pas le droit de toucher –enfin… « passais outre »… je bougonnais tout de même que moi aussi j’aimais les nems et que j’en voulais un peu – et fut surprise par les intentions de Paris, qui aussitôt après avoir pris les plats chaud du micro-ondes, venait carrément me prendre à bout d’un seul bras, pour nous emmener dans la chambre. Je souriais fièrement ! Oui, fièrement : je me sentais fière d’être la femme d’un homme aussi volontaire, aussi puissant que lui, et j’en venais même à lui faire la remarque « Tu sais que ça a beau être très… « homme-des-cavernes-qui-prend-sa-femme-comme-un-morceau-de-sanglier-sur-son-épaule », j’adore quand tu me portes avec aisance comme ça ! » Je venais lui déposer un bisou sur sa joue, passant mes bras autour de ses épaules pour m’accrocher un peu plus à lui, et je venais mordiller le lobe de son oreille de manière séductrice pour mieux lui sussurer « T’es d’un sexy quand t’es comme ça…. » Rha mon beau et grand bûcheron !!! Je ne m’en lasserais jamais !


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« Tu sais comment motiver les livreurs toi » rétorqua-t-il avec un petit sourire en coin. Sa femme savait très bien le prendre par les sentiments. Par moment, on lui soufflait qu’il avait perdu ses couilles le jour où il était tombé amoureux. Dans ces moments, le Dunster adorait rétorquer une chose : oui, c’est elle qui les tient et elle sait très bien y faire merci. Il se fichait bien que ses connaissances ne comprennent pas comment il avait pu passer du quetard de service au mari fidèle et heureux en ménage. Paris savait très bien comment il avait réalisé cet exploit : il avait simplement trouvé la bonne personne avec qui partager sa vie. Sa grand-mère disait souvent que lorsqu’on trouve chaussure à son pied, tout devient plus facile et le ciel s’éclaire. Elle avait raison car à présent, il n’avait plus à se réfugier dans les étoiles car il avait simplement besoin de regarder à ses côtés pour voir le sourire étincelant de sa femme. Summer était devenue son refuge, son étoile et il comprenait chaque jour davantage qu’il n’avait plus besoin de fuir dans l’espace pour se sentir libre et en sécurité ; Rentrer à la maison lui suffisait à présent. Bon pour le moment, il avait surtout envie de la fesser pour qu’elle se décide enfin pour le plat qu’elle souhaitait qu’il lui réchauffe en premier. « Raaah il y a que toi pour te lancer dans un débat culinaire » grommela-t-il avant de jouer les hommes des cavernes en décidant de tout réchauffer d’un coup pour mieux l’attraper et la caler contre sa hanche. Elle ne pesait pas plus lourd qu’une plume pour lui vu les charges qu’il était habitué à soulever lors de ses séances de musculation.

« Tu sais comment obtenir ton nem toi » soupira-t-il avant de rigoler. « Et je parle bien de nem hein… sinon, ce serait vraiment pas flatteur pour junior » lâche-t-il comme connerie alors qu’il manquait de se vautrer en loupant une marche. « Bébé… tu sais que je t’aime mais si tu continues comme ça, on arrivera pas en un seul morceau à l’étage » râla-t-il alors qu’elle lui mordillait le lobe de l’oreille. C’est que monsieur était très sensible à ce niveau-là et croyez-moi : ce n’était pas pratique de marcher avec une érection ! Heureusement pour lui, il avait encore un peu de contrôle sur ses hormones et c’est en un seul morceau -et sans tension genante, qu’il put relâcher Summer sur leur lit avant de poser le plateau contenant tous leurs mets au milieu du lit. « Ambiance romantique ou pas ? » demanda-t-il à cette dernière car il savait combien elle appréciait quand il y avait une petite mise en scène. Par moment, Paris aimait la taquiner sur son côté « théâtrale ».


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On montait l’étage, et manque de chance pour Paris, j’avais choisi ce moment pour le titiller un peu en jouant avec le lobe de son oreille, sachant pertinemment l’effet que ça lui faisait. Je riais d’ailleurs de sa réaction, rétorquant du tac au tac concernant junior et la comparaison du nem « Ah non, vu la taille, le terme rouleau de printemps aurait été plus juste…et si on avait mangé mexicain : un burritos XXL ! » rajoutais-je contente de mes conneries. Faut vraiment pas me lancer sur la nourriture je crois.

On arrivait  enfin à la chambre, non sans avoir tenté à nouveau quelques petites séductions en mordillant son oreille et son cou, et finalement je me laissais tomber sur le lit, a genou pendant que Paris posait le plateau. Je me redressais un peu sur le lit, réfléchissant au ton que l’on donnerait à cette soirée, et c’est convaincue que je répondais « Romantique ! …les bougies sont dans le tiroir, juste là » déclarais-je tout en pointant du doigt le tiroir du haut de l’une des commodes de la chambre. De mon côté, je plaçais ci-et-là sur le lit, les différents plats, cherchant le poulet ananas de Paris afin de lui mettre de son côté, ainsi que ses nems, pendant que moi, je cherchais les raviolis vapeurs, et les beignets aux crevettes. « Oh, on aurait dû prendre le catalogue du mariage. Je voulais te montrer une idée de composition de fleur pour les tables… » Commençais-je à dire, laissant en réalité mes pensées s’évader à voix hautes. « Oh et…j’ai toujours pas eu de réponse précise de ma mère, quant à sa venue pour le jour-J. Comme d’habitude, elle dévie la conversation quand je l'ai au téléphone. » là encore, une pensée tout haute, et une autre à la suite, alors que je ne tardais pas à m’emparer d’un beignet au crevette pour croquer dedans « tfa mère a ffrien dit chuur le fait gu’on lui déposait Affhlynn un chour plus tôt gue cha garde habitvelle ??» mes mots s’étouffant par le beignet, tandis que je regardais Paris allumer les bougies à mesure qu’il les avait sorti un peu partout dans la chambre.


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Paris avait un sourire jusqu’aux oreilles tandis que sa femme s’amusait à comparer son pénis à de la nourriture. « Bébé, fais-moi plaisir, la prochaine fois que tu as junior en bouche, évite de penser à de la nourriture, ça me ferait de la peine que tu mordes dedans » avoue-t-il avec un petit rire. Pour l’heure, il avait de la chance, elle le prenait pour une sucette mais si elle s’imaginait un rouleau de printemps, il pouvait d’ores et déjà se mettre à la recherche d’un mini cercueil pour enterrer junior dans un cimetière. Oui, hors de question que de l’incinérer !! Paris avait le feu au cul concernant Summer mais pas le moins du monde envie d’assister à la crémation de junior. Depuis quand il faisait mentalement l’éloge de son sexe ?! Décidément, il avait grandement besoin de vacances. Sa seule consolation était de se dire que Summer était très douée avec ses doigts, sa langue et… pense à ta grand-mère en string Maconahey sinon tu finiras jamais de grimper ses marches.

Arrivé dans la chambre, il lui proposa de transformer l’ambiance en quelque chose de plus romantique la sachant adoratrice de ce genre de choses. C’est qu’il était prêt à tout ce soir pour lui redonner définitivement le sourire. « Okay » répondit-il en ouvrant le fameux tiroir pour mieux disposer les bougies dans la chambre. Il aurait bien voulu les allumer mais il avait laissé les allumettes à la cuisine. « Je dois descendre de tout de manière pour aller chercher de quoi allumer les bougies. Tu as besoin que je remonte autre chose ? » demanda-t-il avant qu’elle ne se lance dans des pensées concernant le mariage. Lui, il souriait, simplement heureux de voir qu’elle était à nouveau dans la partie avec lui. « Ta mère est une casse-couille sans vouloir te vexer. Au pire, on lui gardera une place à la table de gosses » hausse-t-il les épaules, faisant peu cas de sa belle-mère. Il préférait John, largement -même si ce dernier s’était tapé sa mère durant de longs mois. Un souvenir qu’il préférait éviter de se remémorer. « Euh… tu peux arrêter de faire ta portugaise ? Parce que j’ai absolument rien compris » se moqua-t-il gentiment en se penchant vers elle pour déposer un baiser sur son front. « Finis ta bouche, je vais chercher le book et les allumettes » dit-il avant de se précipiter en bas. Il en profita pour enlever son T-shirt pour se mettre torse nu. Quoi, il faut pas se salir hein ?! « Me revoilà ! » s’exclama-t-il en lançant le bouquin sur le lit pour mieux se dépêcher d’allumer les bougies afin de pouvoir la rejoindre sur le lit.

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L’idée de mettre ma mère sur la table des enfants me tentait bien, ça la ferait bien chier en plus, mais je secouais la tête, ayant une tout autre idée « Naaann…on va lui envoyer un doggy-bag avec les restes du repas du mariage...Le LENDEMAIN » insistais-je d’ailleurs sur ce dernier mot pour bien sous-entendre que j’en étais à un point que je n’attendais même plus après la présence de ma mère à ce mariage. Oh dans le fond, je ne trompais personne – Paris encore moins – en lançant que le fait qu’elle ne viendrait pas ne me faisait ni chaud ni froid. J’étais atteinte émotionnellement : que ma mère ne vienne pas était le signe le plus CLAIR sur le dédain qu’elle avait pour moi. Et sans que je sache ce que j’avais vraiment pu faire de mal dans toute mon existence, pour mériter une telle indifférence. Mais bref : tout ceci n’était pas à l’ordre du jour. Qu’elle aille se faire voir ! Ce soir, ce serait détente, bonheur et repas chinois. D’ailleurs je ne me laissais pas abattre, mangeant déjà un beignet tout en parlant à Paris, ne finissant même pas ce que j’avais dans la bouche. Ce qui eut l’effet imaginé : j’étais inaudible. Je gloussais tout en avalant comme je pouvais mon beignet, amusée par Paris qui ne me tenait pas plus rigueur de mon comportement vorace. « Pfffardon » articulais-je avant de m’éxécuter et de terminer ce que j’avais dans la bouche pendant que Paris lui partait prendre allumette et catalogue.

Quand il revenait dans la pièce, c’est comme si une vague de chaleur l’avait accompagné. Monsieur m’offrait une vue des plus plaisante qui faisait toujours son petit effet même après plus d’une année passée à lorgner sur son torse puissant, ses muscles bien dessiné, et son envergure réconfortante. « OOOuuuhhh….mais je sens que je vais avoir faim d’autre chose moi, si ça continue » lançais-je avec une pointe d’amusement, même si dans le fond on sait tous les deux que je suis sérieuse et qu’il va arriver un moment où je vais finir par lui sauter dessus….ou lui sur moi, peu importe en fait ! « T'es trop beau mon cœur ! mais tu le sais déjà, hein ?! » Je lui adressais très vite un clin d’œil en accompagnant cette phrase, et le catalogue atterrissait sur le lit. Avant de lui reposer ma question de toute à l’heure à propos de sa mère, je feuilletais les pages pour retrouver le modèle de fleurs qui m’avait tapé dans l’œil. « Tiens, regarde. C’est celles-ci ! Qu’est-ce que t’en penses ?? Je trouve que c’est pas mal cette petite touche de violet dans le bouquet, parmi tout ce blanc. D’ailleurs, si ça trouve, on pourrait mettre ce violet foncé un peu partout ailleurs ? Pourquoi pas sur ton costume, ou dans le bouquet que j’aurais ? » Proposais-je imaginant déjà le mouchoir violet sombre dans la pochette de costume de Paris, ou encore sur les manches de sa chemise ?

Finalement, après qu’il ait donné son avis sur la question, je réitérais ma question à propos de Grace et Ashlynn, bien que ma main cherchait déjà à mettre la main sur un ravioli vapeur « Oui donc, tout à l’heure, je te demandais : Ta mère n’a rien dit sur le fait qu’on lui dépose Ashlynn un jour plutôt que sa garde habituelle ? Elle n’a pas tiqué ? » je ne savais pas si Paris avait été honnête avec sa mère sur les motivations qui l’avait poussé à lui demander de prendre Ashlynn pour la soirée.


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« Ma femme jouerait-elle les rebelles ? Attention Madame Maconahey, vous êtes très sexy quand vous jouez les mauvaises filles » se moqua-t-il gentiment. C’était bien une des rares fois où Summer ne prenait pas en compte sa mère au point de vouloir simplement lui envoyer un doggy bag comme si sa présence n’était pas vitale. Dans le fond, il savait qu’elle serait peinée de son absence tout comme Paris craignait que son père n’assiste pas à ses noces. Ces derniers temps, Lawrence ne donnait pas signe de vie, laissant son fils dans le doute. Nouvelle mission ? Problème personnel ? Il n’était sûr de rien et tout cela lui pesait même s’il admettait qu’il devait s’estimer chanceux de connaitre la vérité sur ses origines. Néanmoins, il espérait que Summer puisse avoir ses deux parents présents et il était prêt à conquérir le dragon une nouvelle fois s’il le fallait pour qu’elle bouge ses fesses -autant vous dire qu’il ne laissera jamais rien ni personne causer du tort à sa femme.

Paris avait rapidement laissé sa portugaise en herbe pour retourner au rez de chaussé afin de s’outiller pour allumer les bougies mais également prendre le catalogue afin qu’elle puisse lui montrer l’arrangement floral qu’elle souhaitait. Au moins, ce genre de sujet le passionnait ! « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles… Je voulais simplement éviter les tâches » plaisante-t-il car bien évidement il savait l’effet qu’il n’allait pas manquer de provoquer chez sa Dunster préférée. « Tu peux continuer à me le dire tous les jours, mes chevilles sont encore à une grosseur raisonnable » répondit-il avec un clin d’œil tout en continuant d’allumer les bougies afin de plonger leur chambre dans une atmosphère bien plus propice à l’amour. Summer n’en avait pas conscience mais la voir aussi volubile concernant leur futur mariage -ou remariage techniquement ; le rassurait. Elle semblait ne plus faire cas de son désir d’annuler cette cérémonie. Qui sait, un pas dans la bonne direction ?! « Je pense que tu as fait un bon choix. En plus, ce sont des fleurs de saisons donc on ne devrait pas en avoir pour trop cher… Par contre, hors de question que je m’habille en violet » grommela-t-il n’ayant pas compris qu’elle parlait sans doute uniquement de mouchoir de poche. Il faut dire que monsieur n’y connaissait rien en mode… Il avait des circonstances atténuantes ! Le jeune homme termina par s’installer sur le lit, s’allongeant sur le côté, retenu par son avant-bras. « Non, je lui ai dit que tu avais besoin de calme et elle n’a pas cherché à en savoir plus. Autant te dire que ma mère t’apprécie beaucoup pour qu’elle mette sa curiosité maladive en sourdine » dit-il en lui tendant un nem. « Tu l’as mérité celui-là »

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« Disons que j’en ai marre de m'époumoner avec la même question à chaque fois que je l’appelle, et de faire chou blanc. » j’haussais des épaules en disant cela, faisant mine que tout ceci ne m’atteignait pas…mais en fait, j’avais surtout envie de hurler contre ma mère que si elle ne voulait pas venir, elle n’avait qu’a simplement me le dire, et après cela elle pourrait aller au diable ! Mais bon : a chaque appel, la corde sensible revenait ; celle du « va pas trop la secouer, papa l’a laissé tomber, elle doit être si bien qu’elle ne le laisse croire »…et forcément, je ravalais ma colère et laissais couler sur ses silences. Mais sincèrement ? je ne suis pas sûre que je tiendrais bien longtemps à cette comédie.

Surtout que j’avais à cœur de faire de ce mariage, un instant parfait. Oh oui je sais, il y’a à peine 20 minutes j’avais annoncé que je voulais tout annuler, mais…il ne s’agissait que d’un moment de faiblesse de ma part, un doute, une peur que tout ne se déroule pas comme prévu. Mais finalement, je m’étais raccroché au fait qu’il n’y avait besoin que d’une chose pour que ce mariage soit parfait : Que Paris soit là. Devant moi. Et qu’on se dise oui une nouvelle fois (et qu’on s’en souvienne cette fois !) Voilà tout ce qui importait !! …ça et la déco ! J’en perds pas une, je le sais !

« Mais non, tu vas pas t’habiller en violet ! Ce serait carrément une faute de goût que de te ramener avec un smoking violet…non je pensais plutôt au mouchoir de poche, ou encore au revers de manche de la chemise de smoking. Juste quelques touche ici et là, tu vois ?! » Lui précisais-je avant de re-regarder la composition de fleurs suggérés par le catalogue « Je suis contente que ça te plaise en tout cas !! Je trouve que ça rendrait trop bien sur le style de table qu’on a imaginé la semaine dernière… » Les arrangements de ce genre, on les faisait au compte-goutte, quand on avait le temps. Entre des devoirs, le boulot, les couchers de la petite, les soirs ou Ashlynn était en garde chez l’un de nos parents…n’importe quel petit instant nous servait à se centrer sur notre objectif du mois de juin : le mariage. Alors on pourrait penser que cela casse notre rythme de couple insouciant ? Oui c’est vrai, ça pourrait….si tant est qu’on est été un jour un couple insouciant !! Etre parents ne nous octroie pas ce genre de droit. Et ce n’est pas plus mal dans un sens, parce qu’au moins, Paris et moi prenons ce projet de mariage au sérieux ! Autre question alors qui pourrait pointer le bout de son nez : parler mariage, penser mariage, organiser mariage…est-ce que tout ceci ne engouffre pas dans un quotidien déjà pépère ? Est-ce qu’on en encore le temps de faire autre chose que d’organiser ce mariage ?? Hey, franchement, la réponse n’est-elle pas prévisible quand on a en face un Paris Maconahey en époux ? Est-ce que l’on peut oser croire qu’avec un type pareil en face de moi, la seule chose que j’aurais envie de faire c’est de PARLER/ORGANISER un mariage ? NNNaaaaannn…..il suffit de voir ce que je vois, là, maintenant ! Il est en train de s’allonger sur la lit, se tenant sur un coude, et bien qu’il me réponde avec sérieux, moi tout ce qui m’accapare c’est la vision de son torse qui se contracte sous ses mouvements, de la lumière tamisée qui se reflète sur sa peau, et de la posture offerte qu’il peut avoir en cet instant.

Je me mordais tout simplement les lèvres en fixant son buste, tentant tout de même de donner l’impression d’écouter ce qu’il me dit. Je crois avoir compris un truc comme « sa mère m’aime bien »…et c’est très bien ! J’hochais la tête machinalement sans lâcher le point que je fixais depuis tout à l’heure, jusqu’à ce qu’un nem pointer devant moi ne me ramène à ma réalité. « Ooohhh Merci, c’est gentil ! » déclarais-je en tentant de reprendre un peu de sérieux et de fourrer mon nez dans le plateau de raviolis « tu veux un raviol’vapeur ? Ils sont troopp bons ! » Lui assurais-je avant de croquer dans le nem avec plaisir « rhoooo ceux-là aussi ils sont trop bons !! T’as été les chercher où au fait ? Celui de d’habitude, ou tu as tenté celui qu’on a vu la dernière fois en passant en voiture ? » et pour éviter de lorgner à nouveau sur le torse puissant de Paris, je feuilletais à nouveau les pages du catalogue, ne cherchant rien de précis si ce n’est un peu de contenance !


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« Je peux en parler directement avec ta mère tu le sais… Il te suffit de me le dire et je fonce tête baissée comme à mon habitude » lui proposa-t-il. Il était certain qu’avec ou sans sa permission, il s’immiscerait dans cette histoire afin de lui permettre d’avoir ses deux parents à ses côtés pour ce genre important. Il était hors de question que ce mariage soit dans l’esprit de Summer, un regret ou une déception. Paris voulait que ce jour reste parfait à la fois dans sa mémoire mais également dans la sienne. La dernière chose qu’il souhaitait, c’était bien de garder en tête, le regard triste de sa femme le jour J. Ce sujet fut toutefois rapidement expédié pour un autre : le choix de l’arrangement floral ainsi que le costume du Dunster. « Tu me rassures parce que je me voyais franchement pas porter du violet » grommelait-il dans sa barbe avant de sourire. « Tu sais très bien que tu as un gout exquis en matière de décoration. Il suffit de voir ce que tu as réussi à faire dans cet appartement » la complimenta-t-il en se rappelant de l’ambiance bordélique et masculine des lieux. Il faut dire que l’étudiant n’était pas un féru de décoration. Pour lui, un tableau était joli mais il n’allait pas se dire : non, ça ne va pas avec l’ambiance du salon… Ce n’était franchement pas sa cam mais Summer avait réussi à donner de la chaleur aux lieux, à donner une âme à cet appartement. Voilà pourquoi il n’avait aucun doute quant à ses goûts pour le mariage et la suivait aveuglément sur la question. En réalité, Paris était étonné de tout ce qu’il y avait à préparer pour un mariage si bien que par moment, le couple passait toute une soirée à parler uniquement d’un détail. C’était hallucinant tout ce qui se tramait en coulisse. Pour lui, c’était on ne peut plus simple : des invités, un couple, une église et une fiesta… Pas plus pas moins. Oh comme il s’était gourré sur toute la ligne.

« Non merci, j’aime pas ces bestioles-là » refuse-t-il en secouant la tête. Lui, quand il mangeait chinois, ça se limitait à des choses basiques comme des beignets de crevettes, des nems et son traditionnel plat : poulet à l’ananas/riz cantonais. Monsieur ne changeait jamais d’un iota sa commande. « Je suis resté fidèle à notre bon vieux traiteur, j’avais pas envie de te rendre malade ce soir en prenant le risque d’aller ailleurs. J’ai joué la carte de la sécurité » répondit-il en croquant dans un nem pour mieux gémir de plaisir. Pour le coup, il le faisait exprès histoire de titiller sa femme !

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L’idée que Parsi aille demandé à ma mère m’avait effectivement effleuré l’esprit pendant un moment. Mais je crois que cela aurait voulu dire pour moi que j’avais jeté les armes trop tôt. Et puis une part de moi voulait que ma mère me dise « OUI, je viens » à moi et à personne d’autre ! C’est vrai quoi : je suis sa fille, et quand sa fille lui demande d’être présente à son mariage cela devrait être normal qu’elle réponde PRESENTE !! « Je sais, et je te remercie de te proposer mais…enfin…je pense que je vais encore tenter ma chance et puis… » Et puis…et puis quoi ? ça fait 1 mois que je lui dis que j’attends la réponse de son faire-part pour le mariage, et ça fait un mois qu’elle me dit que soit elle a oublié et s’y atèle, soit elle change de sujet…peut-être que, finalement, je devrais me résoudre à ce que ce soit Paris qui lui demande. Je réfléchissais à tout ça, avant de froncer un peu le nez et d’accepter l’aide de Paris « Bon tu sais quoi ? Cette fin de semaine je l’appelle et si elle reste toujours sans réponse, j’abdique…tu auras carte blanche avec elle » et c’est sur ces bonnes paroles que je me concentrais sur le bouquet après cela, lui expliquait comment je voyais les touches de violet apparaître ci et là dans la décoration ou même nos vêtement, souriant aux remarques de Paris sur son refus total de porter un smoking violet ! ENCORE HEUREUX ! Je souriais ensuite joyeusement, tout en roulant des épaules, toute fière face au compliment de Paris concernant mon gout pour la décoration et ce que j’avais réussi à faire de cet appartement « Merci, mon cœur !! Mais tu sais que pour le prochain appart, je compte bien à ce qu’on s’y mette à deux pour la déco !! Parce qu’ici, il a fallu que je mette ma patte afin d’exister dans cet appart tu vois ? Tu l’avais avant qu’on se mette ensemble, il était TOI, avant d’être NOUS….alors que le prochain... » Pas la peine de continuer mon raisonnement, Parsi avait sans doute très bien compris ce que je voulais dire ! Et puis c’est sympa de décorer ensemble. C’est une belle façon de découvrir jusqu’où nos gout peuvent fusionner, et là où ils ne le pourront justement jamais !

J’aurais bien voulu me concentrer sur des détails comme ceux-ci en ce moment même, d’ailleurs ! Mais malheureusement, entre la posture de Paris et ses gémissements, ça devenait un peu difficile de rester de marbre. Au départ, j’avais réussi à dévier mon regard, ou tout du moins j’avais tenté de calmer mon esprit en me concentrant sur la nourriture et le catalogue que je feuilletais mais…mais entendre Paris se délecter d’un nem de cette façon, c’était bien trop pour continuer à feinter l’ignorance. Je tournais la tête en sa direction, arquant un sourcil alors qu’il gardait sa posture allongé détendue, mâchant sans discrétion son nem dont la moitié lui restait encore en main. Et alors qu’un sourire malin se dessinait sur sa bouche fermée, moi je secouais la tête avant de lui dire « T’as fini ? Tu crois que j’ai capté ce que tu essayais de faire ?? » Lui demandais-je avant de poser le morceau de nem qu’il me restait sur le plateau repas, et de repousser le catalogue ouvert, un peu plus loin sur le lit pour mieux m’allonger en position latérale, juste à côté de Paris, mimant clairement sa posture pour mieux le fixer « Tu sais que je pourrais très bien en faire autant moi aussi ?? » Déclarais-je d’un air mutin, tandis que d’une main, je venais tranquillement défaire lentement et délicatement, les premiers boutons de ma chemise…juste assez pour laisser entrevoir mon décolleté. « D’ailleurs en parlant du traiteur : tu ne me laisseras vraiment pas goûter à ton poulet ananas ?? » un autre boutons fut défait, faisant paraître la couleur bleu nuit d’un soutien-gorge.


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