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Colombe & Alek• J’arrivais très bien à comprendre les personnes ayant des complexes. C’est vrai, je suis l’un d’être parfait physiquement. J’aime pas mon nez, il est pointu, et puis, mes yeux, je les trouve trop petits, je ne sais pas, j’ai l’impression d’avoir juste deux petits trou en plein milieu du visage ou l’on a balancé deux yeux et voilà. Alors oui, je comprenais bien ce que Colombe aurait pu ressentir, mais, ce que je trouvais étrange, c’est qu’elle a un corps parfait, un corps dont beaucoup de femme pourrait être envieuse. De belle forme, un visage angélique, des cheveux parfaits, sans avoir besoin de maquillage pour être belle, et, c’était ça que j’aimais chez elle. Alors je lui avais demandé, j’avais essayé de comprendre pourquoi elle avait remis un drap sur son corps après qu’on est fait l’amour. Elle aurait dû être fier de ce corps, personnellement, je serais une fille, j’aurais aimé avoir ces formes. Bref, elle venait de baissé la tête, et, d’une petite voix, elle me répondit. « Je ... Je sais pas... J'ai jamais montré mon corps comme ça... » Bon, en même temps, c’était normal. Avant que l’on couche ensemble, elle était encore vierge, et puis, elle n’était pas nudiste, elle ne se baladait pas tous le temps à poil non plus, et, même si elle a fait du mannequinat, elle n’a pas fait de photo nue, alors c’était normal. Passant ma main sous son menton, je lui relevai le visage pour y déposer un doux baisé. Je me devais de la rassurer, je me devais de l’aider à ne plus être complexé par son corps. Alors, la serrant un peu plus contre moi, je caressai ces cheveux tout en lui répondant. •
« Mais Colombe, ton corps est parfait ! Sérieusement ! T’as tout ce qu’il faut ou il faut, y’a plein de filles qui aimeraient avoir ton corps, je t’assure ! Et en plus, t’as la peau toute douce ! »
• J’avais lâché un petit rire lorsque j’avais terminé ma phrase, j’avoue que la dernière partie n’était pas utile, mais, je ne sais pas, j’avais envie de détendre un peu l’atmosphère, ce que je voulais c’est qu’elle soit fier de son corps. Bon, j’avais pas non plus envie qu’elle s’exhibe devant tout le monde, faut pas rêver non plus, j’suis le seul à pouvoir le toucher. Ouais, j’étais un peu jaloux, mais bon, d’un côté, c’est normal. Mon regard plongé dans le sien, je me laissa porter par ces beaux yeux et la chaleur de son corps dans un monde parallèle, un monde où il ne reste que nous. •code by biscotte
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