Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityA single rose can be my garden... A single friend my world • Denleigh - Page 5
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A single rose can be my garden... A single friend my world • Denleigh

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Allongée sur son lit, Denys à tes côtés, le serrant contre toi, c'était une façon bien à toi de lui montrer qu'il t'avait manqué. Par cette étreinte, tu montrais toute l'affection que tu avais pour lui et ajouter à tes paroles, à ta façon dont tu avais couru vers lui à l'aéroport pour te jeter dans ses bras, ainsi qu'à cette remarque comme quoi ta semaine avait été dure car il s'était absenté tout ce temps, tu pouvais pas mieux faire. Ou si tu étais bien plus douée pour exprimer ce que tu ressens par le sexe que par les mots, mais t'avait pas la force et c'était mieux d'éviter d'en arriver là. C'était mieux de garder votre relation au stade amicale et juste amicale. C'est ce que tu t'étais convaincue, malgré que oui, tu n'avais rien contre l'idée de repartager un tel moment avec le jeune homme, la première fois étant surprenante tant vos deux corps avaient comme été fait pour s'assembler. Puis, tout ça, c'était pas toi. T'avais jamais été aussi affectueuse, ni en manque d'une personne, encore moins eut peur de perdre quelqu'un. Dans ta vie les gens venaient et partaient, tu les avais jamais retenu, tu vivais avec des souvenirs, sans te prendre la tête, laissant la vie faire son court et choisir ce qui en avait été décidé pour toi. Si c'était perdre le contact avec quelqu'un alors c'était comme ça. Mais Denys, il n'en n'était pas question. Tu lui faisais donc comprendre que déjà aujourd'hui et les autres jours, il avait bien plus de ton attention que la plupart des autres personnes proches de toi. Et s'il avait pas tord, qu'il n'y a pas de limite pour montrer aux gens qu'on aime combien on les aime, la vie étant courte et incertaine, pour toi si y avait du assez. Mieux tu gardais les choses pour toi, mieux tu gardais tes émotions et sentiments et mieux tu te portais. T'étais pas le genre non plus à réclamer de l'amour ou des mots venant de tes proches. Tu savais voir en eux leur sincérité, combien tu comptes et leurs actions parlaient pour eux. Tu voyais bien ce qu'ils font pour toi plutôt que te baser sur des paroles qui peuvent être que hypocrisie. Là encore, ça faisait exception. Ton coloc n'était pas le seul à vouloir plus de preuves comme quoi cette semaine avait créé un manque de l'autre. Comparé à toi, il avait été beaucoup plus sur la réserve, alors pour échapper un peu à sa requête d'en voir plus de ton manque de lui, tout comme pour voir si lui avait vraiment manqué de toi, tu quémandais à ton tour. Aucune réponse à sa question, hormis un sourire qui voulait tout dire, tu sentis sa main sur ta joue puis ses lèvres sur ton front. C'était comme ça qu'il montrait ? Tes yeux s'ouvrirent quand ses lèvres se décollèrent de ta peau, ta bouche s'apprêtant à se plaindre, mais stopper par ses lèvres qui venaient se poser sur ta joue. C'était déjà mieux, mais pas la fin. Ton menton se releva grâce aux doigts du mather, qui s'approcha doucement de toi, son regard plantait dans le tien. Tu pouvais sentir son souffle sur toi quand il t'avoua vouloir embrasser chaque centimètre de ta peau, finissant par cette question... De nature joueuse, l'alcool accentuait tout ça et sans réfléchir un instant, tes lèvres articulèrent : montre moi avec cette voix défiante, qui fit ressortir ton accent anglais. Sobre tu étais incapable de voir tous les signaux qui étaient pourtant bien voyant, bien clignotant entre vous deux, alors avec ton taux d'alcoolémie présent, tu ne fis pas attention au regard et au ton de sa voix qui étaient sincères. Non, cette fois c'était pas une taquinerie comme vous aviez l'habitude de vous faire croire...

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Je voulais des preuves, une démo, alors que j’en avais déjà plein : son accueil, quand elle m’avait littéralement sauté dessus dans l’aéroport, l’aveu que je lui avais manqué, qu’elle réitérait encore, son étreinte, ses lèvres sur ma joue. Fallait que je sois tatillon pour en réclamer encore davantage. Peut être que de l’avoir vu proche, flirtant avec toutes ces filles ce soir  ça m’avait donné l’envie et le besoin de l’avoir tout à moi cette nuit. Alors oui, peut être pas l’avoir comme j’aimerais l’avoir, il me fallait me contenter de petits gestes amicaux… Ou pas. Mes lèvres prirent un chemin dangereux lorsqu’elle demanda à son tour une démo de mon affection. Son front, chaste, ses joues, chaste et sage toujours. Et puis c’est à quelques millimètres de sa bouche, tout contre cette dernière que j’avouais, bien moins chastement, ma soif de sa peau, que j’aimerais recouvrir de baisers tellement elle m’avait manqué. Mon regard se fit défiant alors que je lui demandais, si elle tenait réellement à ce que je lui en face la preuve. Je pensais qu’elle allait me freiner, me dire stop, mettre le hola, mais non, joueuse, yeux plantés dans les miens, elle me demanda de lui montrer. « Ok… » Mes lèvres frôlèrent les siennes, pour dévier à la dernière seconde, malgré l’envie que j’avais de les dévorer. C’est plus sagement, sur le bout de son nez que je l’embrassais d’abord. Puis mes doigts glissèrent jusqu’aux siens, saisissant sa main toujours posée sur mon ventre, l’attrapant, l’amenant à mes lèvres, embrassant ainsi avec douceur ses doigts, puis le dos de sa main, laissant  glisser mes baisers au creux de son poignet ensuite, sentant son pouls battre sous mes lèvres. Libérant mon emprise, relâchant sa main, je portais de nouveau mon regard vers le sien : « Je continue ? » demandai-je avant de poursuivre, cherchant à lire dans ses yeux si ce début de démonstration la troublait un peu, ou si elle restait toujours aussi imperturbable.

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La joueuse que tu es aimé bien jouer avec le feu et ce soir avec l'alcool c'était le cas de le dire. Parce que tu ne voyais pas que sa voix et son regard étaient sincères et pas juste taquin, tu te jetais dans la gueule du loup ouvertement en lui demandant de te montrer la suite. Tu voulais voir comment tu lui avais beaucoup manqué et à croire que t'avais pas du entendre la partie concernant tous les centimètres de ta peau qu'il désirait embrasser. Ca aurait dû t'interpeller, voire même t'effrayer, mais non, l'alcool te faisait plutôt vouloir le tester. Hé ho Ash' c'est ton meilleur pote, pas un des mecs avec qui t'as l'habitude de jouer. Mais cette petite voix tu l'entendais pas, elle était muette, l'alcool l'ayant bien endormie. Tu le vis alors s'avancer un peu plus de toi, vos lèvres se frôlant mais ne se touchant pas. Un autre bisous, cette fois sur le nez, tu libéras un léger petit rire devant ce geste, qui ne fut pas le dernier. Plutôt le premier d'une petite série. Ses baisers continuèrent sur tes doigts, le dos de ta main, puis ton poignet. Et tu ne fis absolument rien pour l'arrêter bizarrement. Surprise de le voir ainsi, si... doux, tu étais à la fois troublée. Troublée parce que tu ne t'y étais pas attendue. Parce que tu avais pas pensé qu'il le ferait. Mais aussi parce que le fait qu'il agisse ainsi te donnais peut être envie de plus ? Tu lui avais dit que tu aurais bien eut envie de remettre ça, la dernière fois avait été si incroyable que tu aurais pas hésité une seconde si ça n'avait pas été Denys, si c'était pas ton meilleur ami... Rien t'avais dérangé jusqu'à présent de coucher avec des amis, de très bons amis même, mais avec lui, allez savoir, tu te l'interdisais. Tu voulais pas prendre le risque de devenir juste un plan cul, de perdre votre complicité et cette putain de crainte, de peur, te bloquait complètement. Tu te mordis la lèvre inférieure, sans même t'en rendre compte alors qu'il te demandait s'il devait continuer. Oui ? Non ? T'étais partagée pour le coup. Comme tu veux murmuras-tu simplement, un sourire au coin des lèvres, lui laissant tout le loisir de prendre la décision. Ainsi c'était plus simple, ainsi tu avais pas à choisir et tu ne mettrais pas sur ta faute. Tu laissais Denys être le plus sage de vous deux, parce que c'était bien le cas non ? C'était lui qui était le moins volage, le plus posé en amour, le plus sérieux avec les filles, le moins joueur.

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Je jouais avec le feu. Enfin le pire c’est que je ne jouais pas. En fait je luttais, je luttais contre mon envie dévorante de l’embrasser, de me saisir de ses lèvres, je luttais tellement mais c’était magnétique : tout m’y ramenait. Peut être que d’être lovés l’un contre l’autre dans ce lit n’aidait pas, peut être que notre grammage avancé y était pour quelque chose, peut être aussi que l’éternel côté joueur de la demoiselle la poussait à ne pas me freiner… Sauf que moi, j’avais en épée damoclès au dessus de ma tête les sentiments que j’avais désormais la certitude d’avoir pour elle. Alors à quoi ça allait me mener ? Quelques instants de bien être à parsemer sa peau de baisers et un retour ensuite à la réalité, mis devant le fait qu’elle ne désirait pas ça, qu’elle ne désirait pas plus, que ce n’était qu’un jeu pour elle. Et pourtant, incapable de ne pas tenter le diable, je me lançais. Luttant donc contre l’appel de ses lèvres, dirigeant d’abord mes lèvres vers le bout de son petit nez, lui tirant ainsi un rire amusé, c’est ensuite sa main qui fut l’objet de toute mon attention, et mon regard replongea dans le sien. Un petit changement s’y était opéré : est-ce que j’en avais trop fait ? Est-ce qu’elle m’avait percé à jour ? Je ne repris donc pas d’emblée ma démonstration, non. Je pris le temps de lui demander si c’était ce qu’elle souhaitait. Et elle me laissait le choix.  C’était un supplice. Les rennes entre mes mains, la décision était toute vue : j’avais terriblement envie d’elle. « Tu me stoppes quand tu auras eu assez et que tu seras complètement convaincue d’à quel point tu m’as manqué… » soufflai-je alors, avant de repartir à la conquête de sa peau. C’est au creux de son cou que ma bouche se perdit en baiser, s’abreuvant de sa peau, s’enivrant de son parfum, alors que mes doigts voyageaient jusqu’à son chemisier, ouvrant habilement les boutons. Pivotant ensuite légèrement de sorte à me retrouver au dessus d’elle, sa chemise étant désormais ouverte et l’accés libre à mes baisers, mes lèvres entamèrent une audacieuse descente, de son cou vers son buste, le rebondi de sa poitrine encore cachée par un élégant soutien-gorge blanc, et puis son ventre, finement musclé, parfaitement plat, m’arrêtant ensuite à la lisière de son pantalon, au niveau du fermoir de ce dernier… Je relevai alors les yeux vers elle, guettant sa réaction…
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A force d'être joueuse et de jouer avec le feu, tu finiras par te brûler les ailes. Comme ce soir a ne pas le stopper. A le laisser poser ses lèvres sur toi, parsemant des baisers sur ta peau. Il fait ça bien en plus, peut être un peu trop bien même. Perturbée, tu ne sais pas quoi répondre. Continuer ? Arrêter ? T'es entre les deux. Tu veux voir jusqu'où tu lui a tant manqué, mais tu devrais pas. Tu lui laisse le choix, de te montrer encore ou de se contenter de ça. Et tu t'es bien plantée d'avoir envisagé de compter sur Denys pour être sérieux. Parce qu'il se satisfait pas de sa démonstration déjà conséquente. Il reprend ses baisers et cette fois ils sont bien moins chaste que les précédents. Au creux de ton cou, il dépose un nouveau baiser et cette partie tu la crains grandement. Tu mords ta lèvres inférieure, te cambrant légèrement, alors qu'une de ses mains déboutonnent ton chemisier. Trop focalisée sur ses lèvres dans ton cou c'est à peine si tu captes sa main et ton chemisier complètement ouvert, ton soutien gorge en pleine vue sous ses yeux. Dans l'euphorie du moment, tu ne fis rien pour l'empêcher. Depuis votre coucherie t'avais rien fait et autant te dire que là il venait de bien te chauffer comme il fallait... Pauvre toi, gourmande de la chair humaine et d'un tel contact, tu étais si faible malgré que ce soit Denys. Alors les yeux fermés, tu le laissas descendre dans ton cou, sur le haut de ta poitrine, puis ton ventre, bougeant de gauche à droite par moment sous les baisers qu'il appliquait. Ailleurs, tu étais partie loin de la réalité, de tes barrières que tu avais mise concernant votre relation qui devait rester amicale et juste amicale. C'est quand il stoppa les baisers, au niveau du haut de ton pantalon, à la limite des conneries, tu rouvris les yeux et son regard bleu azur plantait sur toi, te fit reprendre tes esprits. Okay, okay, j'ai comprit dis-tu presque haletante devant les baisers qu'il avait déposé et cette flamme en toi qu'il avait éveillé. Si seulement tu savais que cette occasion aurait été la dernière avant une longue série de semaine d'abstinence, tu aurais surement pas arrêté le mather dans ses actions. Tu lui fis signe de remonter à toi alors que bon sang t'en avais pas envie. Là, tu aurais voulu qu'il continue et à nouveau remettre le couvert, mais non, tu te l'étais interdit. Entre vous, ça ne serait pas sexuel. T'es un tortionnaire lui répondis-tu plus que sincère. Il savait s'y prendre le Zacharias pour perturber et un peu trop à ton goût.

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Chaque baiser était savamment calculé. Mon souffle effleurant d’abord sa peau, et lorsque je la voyais réagir, par un frémissement, le contact de mes lèvres se faisait alors plus appuyé. Et peu à peu, la descente s’entama, une fois le chemisier blanc de la demoiselle ouvert, offrant un champ plus large d’action plus large à mes baisers qui glissèrent alors le long de son corps. Je souris en la sentant gesticuler, petite marque montrant que tout ce petit jeu ne la laissait pas indifférente. Le pire dans l’histoire étant que ce n’était pas un jeu pour moi. C’était vrai, elle m’avait manqué à ce point. Un mot. Un geste. Un signe de sa part et j’étais prêt à lui prouver encore plus. Seulement, je la savais aussi sous l’emprise de l’alcool, et même si j’avais moi même trop bu, je n’étais pas ce genre de gars, alors ne voulant pas abuser de la situation, je me stoppai au niveau de son pantalon. Relevant les yeux vers elle, lui demandant si elle désirait que je continue ma démo, elle rouvrit ses paupières et l’azur de ses yeux accrocha les miens. Elle avait compris. Le stop, qu’il me fallait pour arrêter là, même si ça me coûtait de renoncer à sa peau. Je remontais doucement alors qu’elle s’amusait à me qualifier de tortionnaire, je fondis alors dans son cou en répliquant : « T’as encore rien vu… » Mais cette fois, pas de baiser, pas de tentation, juste des gros smacks et mes mains qui courraient sur ses côtes dans un même temps pour venir la chatouiller. Torture par guilis… Histoire de changer l’ambiance, de faire passer le trouble, de chasser toutes les idées que le goût de sa peau avaient eu le don de faire naître en moi…  Je finis ma séance de supplice en la relâchant finalement : « J’arrête promis. » Et tendant le bras jusqu’à ma table de chevet, je saisis la télécommande de ma télé pour proposer : « On se mate la fin de fast and furious ? Vu que tu t’es endormie comme une loque la dernière fois… » Bon, j’avoue, j’étais plutôt le premier à avoir sombré et c’était davantage moi qui avais besoin de revoir la fin du film mais bon…
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Hj : on archive ?
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Joueuse, tu avais voulu voir combien tu lui avais manqué et cela avait impliqué de nombreux baisers, déposés un peu partout sur ton visage puis ton corps. C'était ton meilleur ami mais ça n'empêchait pas que tu appréciais chaque geste quand ses lèvres se posaient sur ta peau. Il avait beau être ton meilleur ami, tu avais beau t'être posée une limite avec lui, c'était impossible de nier ce que tu ressentais à cet instant. Cette chaleur qui envahissait ton corps, ton pouls qui s'accélérait et cette envie de plus. Envie que tu décidas de stopper en le voyant trop près de ton bas ventre. Il valait mieux éviter les conneries. Avec un peu de regret, tu lui fis comprendre que tu avais comprit et donc qu'il pouvait arrêter là sa démonstration. Ce qu'il fit, dieu merci. Il remonta à ta hauteur et tu ne te privas pas de lui dire à quel point c'était un tortionnaire. Oui il s'avait si prendre pour rendre fou, aucun doute là dessus. Et apparemment tu n'as rien vu encore selon le mather. Tu le regardes, regard inquisiteur, pour savoir ce qu'il va faire. Des smacks, tu ne vois pas venir ses mains qui s'agitent sur tes côtes pour venir te chatouiller. Non, c'est pas du jeu dis-tu en te débattant et morte de rire. T'es chatouilleuse, alors là l'ayant pas vu venir c'est pire. Finalement il s'arrête de lui même, sans que tu aies besoin de lui demander ou de le supplier. Télécommande en main, tu lui lances un regard quand il parle de votre dernière soirée avant son départ pour le Mexique. Oui, oui, on y croit. La prochaine fois je prends un selfie à tes côtés pendant que tu dors, preuve que tu es le premier a flancher. Il savait très bien que c'était lui qui avait rejoint Morphée en premier, mais ça te faisait rire cette taquinerie. T'installant confortablement, passant ton corps sous la couette du jeune homme, tu restas à ses côtés, prête à regarder le film et à t'endormir ainsi, paisiblement, une fois de plus.

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