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Grimper sur le dos de mon guide de la soirée me valut quelques taquineries sur mon poids… De quoi regretter ma gourmandise de la veille, ou peut être même les bières de la soirée. On disait bien que la bière faisait prendre du ventre non ? Mais le mather se servit de cette confession sur mon abus de crème glacée pour réclamer une séance de sport en ma compagnie. « Je sais pas si tu pourrais suivre mon rythme… T’es un peu gringalet, puis regarde t’arrives même pas à me porter pendant plus de 500 mètres. » répliquai-je en riant avant de lui tirer la langue. Il me taquine, je le taquine. Donnant donnant avec moi. Son numéro m’amusa ensuite et je descendis de son dos pour le contourner et venir me placer devant lui. Les talons étaient définitivement à oublier selon le jeune homme. Je venais ensuite sceller nos lèvres, rien à voir avec le bouche à bouche qu’on nous apprenait en cours de gestes d’urgence bien sûr, c’était un prétexte vous l’aurez compris… Ses mains se posèrent alors sur mes hanches, me faisant avancer à reculon en me proposant de finir les quelques mètres qui nous séparaient de l’entrée ainsi. Petit rire de ma part. « C’est vrai que ça fait beaucoup moins mal aux pieds… » Enfin, ça faisait surtout beaucoup de bien aux lèvres. Et ça avait le don de me donner des papillons dans le ventre. Je pensais moins à mes petits orteils meurtris dans mes escarpins trop hauts. Et après quelques pas, l’entrée de ma confrérie était rapidement atteinte. « Je te propose pas d’entrer parce que j’ai ma coloc qui est là… » J’imaginais que Bambi se poserait trop de questions si elle me voyait débarquer avec un garçon dans notre chambre. Mes lèvres vinrent se poser doucement sur sa joue et je lui soufflai ensuite : « Merci de m’avoir raccompagnée jusqu’ici Aaron. Et de m’avoir guidée ce soir. Ca m’a fait du bien cette soirée… » ajoutai-je, avec sincérité. « Tu vas réussir à rentrer ou je t’appelle un taxi ? » demandai-je ensuite, petit sourire moqueur au coin des lèvres, référence à son cinéma d’épuisement à cause de mon énorme poids…
Hj : on finit et on s'en refait un au bal après ?(Invité)
Toutes les occasions sont bonne à prendre pour reoir la jolie blonde. Comme une séance d'un cours particulier ou d'un cours de sport. Un cours de sport avec lui ? La blague. Il est sportif, enfin, dans le sens où ça ne lui gêne pas de faire su port, ce n'est pas un flemmard. Il continue d'aller à ses cours de boxe, le seul sport qui le passionne mais disons qu'en ce moment, c'est le désert, parce qu'il a bien du mal à gérer son temps. Dans quelques semaines, les choses vont revenir à la normale, il le sait. J'ai une excuse.. je me rattraperai, pour la prochaine fois. Voilà, donc muscle-toi, Aaron et tu pourras faire ton beau, auprès de la belle. Elle finit par descendre et de se placer face à lui. L'attrapant pour qu'elle se rapproche davantage, il prolonge le baiser mais tout en avançant. C'est une manière d'avancer jusqu'à la Cabot House. Une manière bien agréable, qui le fait sourire. Finalement, ils arrivèrent devant la maison des roses et c'est ici que leur chemin se sépare. Un sourire amusé s'étire face à ses paroles, alors qu'il hoche la tête. Il comprend mais, de toute manière, il préfère faire les choses bien. Non, il ne sera pas sauvage avec la jeune femme. Restons raisonnable et n'allons pas déranger ta colocataire.. qu'il reprit d'un sourire en coin, peut être même, plein de malice. Il ne dit rien, à ces quelques mots. Le plaisir fut partagé. Tout est dans le regard, il n'y a pas besoin d'en rajouter davantage. Elle fut une surprise à sa soirée. Parce qu'il ne s'imaginant pas que la soirée prendrait cette tournure. Parfois, les imprévus sont appréciable et agréable. Je vais réussir à rentrer, mon dos s'est allégé. Non, il ne peut pas s'en empêcher, il en rit légèrement d'ailleurs alors qu'il se rapproche d'elle pour déposer un baiser sur sa joue. Tu es aussi légère qu'une plume. C'est moi qui te remercie pour cette soirée. D'un léger sourire, il se décale pour la laisser partir. Il attendit qu'elle rentre, totalement, dans la maison avant de partir, à son tour.