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I need answers • Denleigh

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Il doit partir pour le boulot. Tu avais complètement zappé ce détail. Tu savais qu'il devait aller au garage, tu connais ses horaires, mais ça t'étais sortie de la tête après tout ça. Puis t'avais pas envie de mettre un terme à vos retrouvailles. Tu voulais pas qu'il parte maintenant, si bien que la déception se fit sentir aussitôt par le "déjà" que tu exprimais. Tu le retrouvais et vous étiez dans un parfait cocon avec votre joint et vos bières. Pas question de casser tout ça. Tu le suppliais donc de rester et qu'il appelle son patron pour lui dire être malade. Il est humain alors c'est possible et son patron comprendra bien. Il a l'air d'être intéressé vu le motif qu'il te sort pour son patron. Alors tu sors des bons arguments, en plus, en montrant vos petits pêchés et tu proposes même un marathon, lui laissant le choix de la série ou des films. Il cède un peu plus, tu le vois à son visage que ça le tente grandement. Il va craquer hein ? Tu rajoutes donc une couche final en lui proposant de le payer. Normalement ta présence vaut largement le fait de rater une journée de travail, mais t'es pas à quelques dollars près et c'est pour la bonne cause. Tu éclates de rire devant son commentaire. Un BON gigolo le reprends tu. Désormais tu peux le confirmer vu que t'as testé la marchandise... Pour le final, tu lui fais les yeux doux. T'es quand même en train de le supplier à mort et de lui proposer de le payer pour rester à tes côtés, il peut pas refuser non ? Ou si. Il refuse, mais avec une autre proposition. Tu arques un sourcil en examinant son air. Est-il sérieux où il essaye de te faire passer l'envie ? Pour de vrai ? Genre ton patron dira rien que je squatte pendant que tu bosses ? Ou il compte te faire passer sous le bureau de son patron pour que celui ci ne dise rien ? -> Je suis une Strauss moi, je ne traîne pas dans ce genre d'endroit. Je me salis pas les mains dis tu en imitant limite ta soeur, te souvenant de la fois où elle est venue chez les mathers avec des gants de l'hôpital sur les mains. Puis tu exploses de rire. Si tu penses que ça t'attirera pas de problèmes je viens. Mais attention, je risque d'être celle qui trouve la panne dans la voiture. Et tu plaisantes pas. Les voitures c'est ton dada et tu y touches sans problème. D'ailleurs, tu te demandes si Denys sait que tu fais des courses illégales. Vous en avez jamais parlé il te semble. Tu finis alors ta bière d'une traite et tu te lèves pour récupérer tes habits un peu partout. Je trouve pas mon soutif, essaye pas de le garder en souvenir. Taquine, tu ne changeras pas, et pas avec lui. Tu enfiles ta culotte, ton legging à nouveau puis tu mets ton haut sans soutien gorge. Il t'en faut un avant de partir c'est sur mais tu ne trouves pas celui dégrafé par Den'.

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Elle parlait, abatant ses cartes tour à tour pour me tenter, sur la voie de l’absentéisme, et j’avoue que ça marchait plutôt bien, j’hésitais de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle me propose même de me payer, l’argent que j’aurais gagné au taf, suggérant même de doubler la somme. Idée farfelue, qui me fit marrer. J’avais clairement besoin de mon salaire, même si mon frangin finançait mes études, je devais payer tout le reste et je ne voyais absolument pas Priape payer mes notes de bar ou encore ma conso de chichon. Donc j’avais besoin de cet argent, mais pas de là à ne pas survivre à une soirée non rémunérée et pas de là à accepter la thune de ma meilleure amie. Ca aurait été d’autant plus bizarre qu’on venait de partager un moment intense elle et moi, ce qui ferait de moi… …un gigolo. Un bon apparemment. Mon rire résonna alors que je secouais la tête, flatté again, mais je n’avais pas forcément envie de me relancer sur cette discussion, d’en reparler parce que, je savais que ça ne tenait à pas grand chose pour que j’en ai de nouveau envie… Je terminai finalement, non pas par refuser catégoriquement, mais en proposant une autre option : qu’elle vienne avec moi au garage. « Je vais trouver une excuse. T’inquiète, il dira rien. » Fallait pas croire, j’avais plus d’un tour dans ma manche. Puis comme j’arrivais en retard quasi tous les soirs, j’étais devenu le pro pour inventer des bobards. Des travaux imaginaires, des embouteillages fictifs, des contrôles de police etc. « Enfin, si jamais ça te dit de découvrir où je bosse hein… » Je ne la forçais pas, j’avais juste moi aussi envie de prolonger ce moment avec elle, et puis lui faire découvrir cet endroit, qui faisait parti de mon quotidien, de mon univers, ça me ferait plaisir. Elle tenta alors de refuser en imitant une bourgeoise maniérée et je me mis à pouffer de rire : « On dirait mon ancienne coloc, arrête ! » me marrai-je alors, en sachant très bien que cette comparaison à Hippolyte, qu’Ash détestait cordialement, n’allait pas lui plaire. « Tu vas m’aider alors, c’est parti. Mais te fais pas embaucher à ma place, j’ai besoin de mon job. Je serais obligé de vraiment finir par faire gigolo sinon. » plaisantai-je alors que la blonde vantait ses compétences en mécanique. En fait, ça ne m’étonnerait même pas qu’elle dise vrai. Elle avait des ressources miss Strauss. Canette vidée. Joint écrasé après une dernière taffe, je me levai partant à la pêche au fringue. Jean remis, je relevai la tête pour voir Ash se rhabiller également, mes prunelles détaillant un instant la demoiselle qui retirait mon T shirt pour enfiler ensuite son haut, sans soutien gorge puisqu’elle ne remettait pas la main dessus et m’accusai d’ailleurs de vouloir le garder en souvenir. « C’est pas le premier soutif que tu m’offrirais… » répliquai-je alors, référence à celui qu’elle m’avait filé à la soirée ruby X cube, et en me forçant à détourner les yeux. Je ne voulais pas qu’elle capte mon regard. Je remis ensuite mon T shirt, attrapai mon blouson : « On y va ? T’es prête ? »

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Tu avais tenté plusieurs choses : le supplier, l'amadouer avec le joint et les bières, lui proposer de le payer et lui faire les yeux doux. Ça fonctionnait mais à moitié. Il était tenté mais l'appel du travail était plus fort. Pas car il ne voulait pas rester plus avec toi mais car il a besoin de ce travail. Tu comprenais. Toi t'as pas besoin de travailler, tu claques juste le fric de ton père comme bon te chante, mais Denys n'était pas dans ton cas alors tu pouvais pas râler. De plus, il trouva une alternative afin que votre moment se poursuive. Comment refuser de la sorte ? Pas certaine que son bosse accepté de t'avoir au garage, tu lui faisais part de tes doutes. Rassurée quand il avoua que le patron ne dira rien, tu n'avais aucune raison de refuser. Sauf celle de te la jouer eliot et que traîner dans un tel lieu soit trop crade pour toi. Foutaise ! Tu jouais la comédie, imitant ta soeur et tous les autres snobinards. Tu savais être une femme, classe, sexy, sensuelle, mais aussi un petit bonhomme à fond sur les voitures. Quand il évoqua Hippolyte, son ex coloc, ex amante et ta pire ennemie, tu lui mis une claque sur l'épaule, fronçant les sourcils. Bon, il avait pas tord, étant eliot ce genre de remarque lui correspondait bien mais tu l'aimais pas et tu interdisais Denys de parler d'elle. Elle avait disparu du jour au lendemain d'Harvard et tant mieux. Tu finis par accepter en le mettant en garde sur tes compétences mécaniques et avec les voitures. Ce qui te fis rire quand ton meilleur ami te demanda de ne pas lui piquer sa place. Promis, je te donnerai tout le mérite. Les mains en l'air puis la main droite sur le coeur, tu prouves ta bonne foie. Tu t'habilles alors en rattrapant chaque vêtement éparpillés dans sa chambre. Il manque juste ton soutien gorge. Une taquinerie parfaite pour Denys, qui te répond en te rappelant la rubi-x cube. Sacré soirée. Tous les deux prêts, tu lui fais oui de la tête avant de lever ton index. Si tu veux pas que ce soit moi qui finisse en gigolo, vaut mieux que je mette un sous vêtement, à moins que ton excuse à ton patron soit de lui exposer ma poitrine ? Tu rigoles et tu vas vite dans ta chambre, tu attrapes un soutif et l'enfile. 2 minutes top chrono t'es dans le salon. Tu chopes le bras de Denys et vous prenez direction la sortie du loft. Tu le suis jusqu'à sa voiture. Prête à découvrir où il bosse, comment il bosse et à quoi ressemble vraiment ses heures au boulot. Ça pourrait paraître ennuyant d'aller à son travail mais pas pour toi, au moins vous partagez quelque chose, au moins tu es avec lui, au moins tu le retrouves. Parce qu'il t'a bien trop manqué ces dernières semaines et tu t'es sentie bien trop vide sans lui. Désormais, toutes minutes sont bonnes à prendre.

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 Ca allait rendre ma soirée au taf bien plus fun, d’avoir Ash avec moi. Et puis, au moins, les mains dans le cambouis et avec mon bleu de travail plein d’huile de moteur, j’allais surement moins avoir l’esprit à divaguer sur ce que nous avions fait un peu plus tôt, alors que si on restait là, vautrés dans le lit, à boire et fumer, j’étais prêt à parier que le jeu de l’arrachage des fringues allait recommencer. Du moins que j’allais avoir envie, de mon côté, de le recommencer… Ce n’était pas envisageable, de n’était pas ce qu’elle voulait, et le calumet de la paix signifiait bien un retour à la normale entre nous alors… C’était son tour d’hésiter, de jouer les précieuses, récoltant mes moqueries au passage et une comparaison avec son ennemie et mon ancienne coloc, aka Hippo. « Aïe ! » rigolai-je en m’écartant alors qu’elle me frappait suite à mes mots. Ash plaisantait, le garage, les voitures, le cambouis, ça ne semblait pas l’effrayer elle me promettait même des talents cachés. Son aide me serait précieuse, peut être que j’allais finir plus tôt ainsi ? Mon rire résonna lorsqu’elle m’assura qu’elle m’accorderait tout le mérite de ce qu’elle entreprendrait. « Enfin, si tu fais des conneries dis pas que c’est ma faute par contre. » Je tenais à ma place quand même. On se rhabillait, un vêtement manquant à l’appel et non des moindres et la jeune femme fila donc récupérer un soutien gorge dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, nous étions dehors. Direction le parking, on embarquait dans ma caisse. Je démarrai, le moteur toussa un peu avant de s’enclencher. Puis je pris la route bien connue qui menait à mon lieu de travail. Mon auto radio grésillait, je donnai un coup dessus avant de m’excuser : « Ca déconne un peu en ce moment… » Bonjour, Denys, le mécano qui a une caisse pourrie c’est moi. « Tu sais que lors de mon premier jour de boulot là bas, mon premier dépannage, ma première cliente, c’était une de mes exs ? » racontai-je alors, les mains sur le volant, roulant en direction du garage, plus très loin désormais.

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T'as vraiment cette impression de l'avoir retrouvé et ce sourire qui est présent sur tes lèvres ne te quitte désormais plus. Comblée, tu as retrouvé cette partie manquante de toi, alors tu peux être que rayonnante. Et c'est le cas. Tu ne cesses de sourire, de rire, de taquiner et ça c'est signe d'une Ash' au top de sa forme. Tu sais que tu dois tout ceci au jeune homme et tu regrettes clairement pas d'avoir finalisé son plan et d'avoir couché avec lui. Déjà c'était génial, symbiose parfaite, puis ça avait vraiment enlever tout éloignement de vous. C'était à nouveau normal et tu en étais heureuse. Si bien que tu acceptas de le suivre au garage dans le but de passer plus de temps avec lui. Dans le but de rattraper le temps perdu des dernières semaines. Des regards, des rires, des taquineries fusent entre vous comme avant ta plaisanterie et tout le reste. Il te reste deux trois trucs à apprendre sur moi Den'. Tu n'allais pas faire de conneries, t'étais débrouillarde à ce niveau là. Tu aimais le shopping, tu étais une pro pour faire griller la carte bancaire, mais tu avais aussi passé beaucoup de temps dans ton adolescence avec des mecs, apprenant ainsi le mécanisme des voitures, quoi trifouiller et tout le tralala. C'est comme ça, grâce à tes amis garçons que tu avais prit goût aux voitures, à la vitesse et aux courses. Tu le suis donc après avoir enfilé un soutien gorge. Tu grimpes dans sa voiture et celle ci n'est pas si contente. Le moteur fait un bruit tandis que l'auto radio c'était impossible d'entendre un son en sortir avec tous les grésillements. Il s'en excusa, ce qui te fit rire. T'excuses pas, on est pas en rencard. Sauf si tu me fais le coup de la panne, je vais me poser des questions dis tu en riant. C'était un classique le coup de la panne, combien de fois on te l'avait fait ? Tu ne comptais plus. Et c'était d'autant plus drôle quand tu proposais au mec de vérifier le moteur, affirmant t'y connaître. Comment casser un coup, appelé Ashleigh Strauss. Il te raconte ensuite une anecdote tandis que vous prenant enfin la route. C'était qui ? Je la connais ? Curieuse, comme toujours. T'as combien d'exs Denys, je veux dire ex ex avec qui tu t'es mis en couple, pas que tu as couché avec. Il est comme toi, il vole de filles en filles, de droite à gauche, mais à ta différence tu sais que ça lui est arrivé de se poser, de tomber amoureux, et t'as envie de savoir combien de fois ça lui est arrivé. T'as envie de savoir pourquoi désormais il est pas posé avec une nana, pourquoi il préfère être ainsi. Oui il a Gabrielle en tête mais il ne la connait pas depuis dix ans non plus. Alors combien de temps est-il resté avec une fille le plus long ? Pourquoi ça s'est terminé ? T'as envie d'en savoir plus sur lui, sur son passé. Sur tout.

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« Il me tarde de les découvrir… » soufflai-je alors avec un sourire amusé, quand Ash soulignait que je ne savais pas encore tout d’elle. Pour l’instant, et malgré nos caractères différents, j’avais su apprécié chaque découverte que j’avais pu faire sur elle. La dernière en date, son physique sublime, sa sensualité, les courbes parfaites de son corps, la… Non, ne pas se lancer dans de telles pensées. Je me stoppai moi même mentalement, parce que le fil rouge pour la suite était clair : ne pas tomber là dedans, retrouver le cours normal de notre amitié, et ça n’impliquait surement pas cette attraction particulière pour ma coloc. On quitta ensuite l’appart et une fois en voiture, mon vieux tacot fit des siennes. « Le coup de la panne ne serait pas une tactique de quoi que ce soit pour conclure, puisque je te rappelle qu’on sort de mon lit à l’instant… » la taquinai-je alors, avant de me reprendre. On avait dit quoi ? Le cours normal de notre amitié ? Ca incluait surement de ne pas faire référence à notre dérapage toutes les deux minutes. « En fait, c’était la voiture de Priape, que mon autre frère Emrys avait retapé. En gros c’est un dinosaure que mes aînés m’ont refilé. Ils doivent se dire qu’au moins comme ça, je risquerais pas les excès de vitesse. » Elle roulait, elle me servait pour aller au taf, c’était tout ce que je lui demandais, et puis j’avais mon petit côté écolo refoulé qui me poussait à emprunter régulièrement les transports communs, le réseau étant bien développé sur Cambridge et Boston. Roulant toujours, je racontai que ma première cliente, en juin dernier, après mon come back ici, avait été l’une de mes exs. « Emilia. Une cabot, tu la connais ? » répondis-je alors que mon interlocutrice s’interrogeait sur mon nombre d’ex, précisant un peu le fond de sa question. « Et si on couche plusieurs fois avec la personne mais sans être en couple avec ça compte dans quelle catégorie ? » demandai-je, en pensant à quelques unes de mes aventures estivales. Je comptais ensuite mentalement les fois où j’avais été véritablement en couple : « Y’a eu Gabrielle. Encore que, je suis pas sûr qu’elle, elle considère qu’on ait jamais vraiment formé un vrai couple tous les deux. » précisai-je, avec un petit rire forcé, plus amer qu’amusé. « Y’a eu Emilia, pendant l’un de mes voyages en Europe. Et puis, j’étais sorti avec quelques autres filles pendant mes années à Harvard mais y’en a surtout eu une qui a compté. » Petit voile de nostalgie sur le visage. « C’était lorsque j’étais en première année. On est resté six mois ensemble et puis, ça n’a pas marché… » Ma voix se brisa un peu, mes sourcils se froncèrent un peu alors que je précisais la raison de cette fin, qui même des années après me blessait encore : « Elle m’a trompé… » Et le pire, ce que j’ignorais encore aujourd’hui, c’était qu’elle l’avait fait avec l’un de mes amis… Bref, me reprenant, essayant de chasser mon trouble, je relançai avec plus d’enthousiasme : « Et toi Ash alors ? Combien de victimes au compteur ? »

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Entre vous y avait pas de tabous, vous pouviez parler de tout et tu savais plein de choses sur lui, sur sa vie, mais c'est vrai qu'il vous reste encore des choses a découvrir l'un sur l'autre. Voilà pourquoi tu avais accepté aussi de le suivre au garage. Afin de voir son quotidien là bas. Une fois dans la voiture, celle ci faisant un peu des siennes, tu le taquinais comme toujours. Tu n'étais pas prête de t'arrêter de le faire. Et si tu plaisantais sur un coup de panne qu'il pourrait te faire, sa réponse était très bien trouvé. En effet, tu sortais déjà de son lit, pas besoin d'un coup de la panne pour conclure. Il t'explique tout de même pourquoi la voiture est si vieille : elle a servit à ses deux frères avant lui. Ils viennent jamais te voir tes frères ? Tu sais que les deux ont des enfants alors tu imagines que ça doit être compliqué, mais en six mois que tu connais le mather, t'as jamais vu ses frères, et c'est vrai que vu qu'il t'en parle souvent, tu aimerais mettre des visages sur les prénoms. Puis s'ils sont aussi cool que Denys, ça doit promettre. Il évoqua ensuite une ex qui avait été sa première cliente. Apparemment c'est une cabot mais son nom te dit absolument rien. Hormis Ivy, Carter, Athéna, Ariel et Bambi, t'as pas des masses de copines cabots. Tu secoues donc la tête négativement puis tu continues sur ce sujet, t'intéressant aux nombres d'exs qu'il a. De vraies exs avec qui il est sorti officiellement. Sa première réponse fait marrer parce que c'est la catégorie que tu connais le plus celle là. Sex friends mais c'est pas considérable comme ex, sinon tu avais plus d'exs que n'importe qui dans le campus. Tu l'écoute finalement te citer ses exs. A Gabrielle tu lèves les yeux au ciel. Pour Emilia, tu souris, apparemment ça a du bien de finir entre eux, tant mieux. Quant à la dernière, celle de six mois, tu vois que ça le touche d'en reparler et quand il évoque la tromperie, ta main va automatiquement se poser sur la sienne et lui donner une petite pression. Un geste affectif pour lui montrer ta compassion. Désolée... Il avait décidément pas eut beaucoup de chance en amour. Un peu comme Ivy et Lucky. Alors pourquoi ils cherchent tous absolument à se poser, à trouver quelqu'un avec qui rester ? Pourquoi se prendre la tête avec des sentiments, de l'affection et des complications, quand tout peut être si simple avec juste du sexe ? Tu avais jamais comprit et surement car ça t'étais jamais arrivée de tomber amoureuse ou de t'arracher assez à un garçon pour pouvoir comprendre le vrai sens du mot amour. Tu retires ta main après quelques secondes alors qu'il te demande combien toi tu as fait de victimes. Tu rigoles. Si on parle des personnes avec qui on couche plusieurs fois comme tu as dit, beaucoup trop. Sinon officiellement, je dirais une dizaine, mais jamais rien de bien sérieux, rien qui n'a duré plus de trois mois. Et t'as pas honte, tu assumes. Ca a toujours été ton choix de pas te poser. Toujours toi qui a quitté la personne car tu t'attachais pas, car tu pouvais pas t'empêcher de vouloir d'autres hommes, car c'était un accord commun comme avec Bona et Jupiter, ou bien tu te faisais quitter car tu mettais aucune dévotion dans la relation. En même temps en voyant comment le mariage de tes parents à tourné, les multiples mensonges et maîtresses ou amants, t'as pas grandi dans un environnement qui prône l'amour et les fins heureuses. Mais tu le vis bien. C'est plus tes meilleures amies qui désespère de te voir instable et pas foutu de tomber amoureuse.

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Je racontai l’histoire de ce vieux break, c’était un peu une histoire de famille donc y’avait un petit attachement sentimental pour cette caisse, même si on était loin du bolide clinquant. Emrys l’avait récupéré et retapé pour Pri, qui comme moi n’avait pas vraiment roulé sur l’or pendant ses études. Et voilà comment j’avais hérité du vieux tacot, cadeau de mes frangins. Ash s’étonna de ne pas avoir vu mes aînés. « Priape est en australie. J’espère pouvoir aller le voir cet été. » Et voir ma nièce surtout qui devait avoir tellement grandi. « Et Emrys est super pris par son travail sur NY. On essaie de se voir de temps en temps mais c’est pas facile de trouver des dates qui collent. » Moi j’avais mes études, les cours, le boulot au garage. Lui il avait son travail, ses livres, puisqu’il était également auteur, et son môme. Rouler vers le garage me refit penser à mon premier jour, ma première cliente, mon premier dépannage : Emilia. Je confiai l’anecdote à Ash qui me questionna ensuite sur mes ex. Bon, niveau terminologie, j’étais pas vraiment au point : ex, plans culs, plans d’une nuit, je m’y perdais un peu et la blondinette clarifia pour moi : des coucheries régulières sans être ensemble faisaient de vous des sex friends. « Oh, d’acc… » J’avais presqu’envie de lui demander ce qu’on était nous, elle et moi, parce qu’une coucherie occasionnelle avec quelqu’un qu’on ne connaissait pas c’était une aventure, mais quand il s’agissait de conclure avec sa meilleure amie, c’était encore une catégorie différente non ? Non, de toute façon, je ravalais ma question, pas la peine d’ouvrir le débat et de créer du malaise. Surtout que de parler de mes exs risquait de me troubler suffisamment comme ça. Surtout quand j’évoquais ma première vraie copine et la façon tranchante dont ça s’était fini avec elle. De quoi vous vacciner des relations en quelque sorte. La main d’Ash se posa doucement sur la mienne et je secouai la tête pour la rassurer : « T’inquiète c’est rien… C’est loin, de l’histoire ancienne. » Sujet plus joyeux que je lançai alors : les victimes de mon amie. La dénomination que j’utilisais pour désigner ses exs la fit aussitôt rire, et puis elle me répondit donc qu’elle avait un nombre de conquêtes impressionnant. Ouais, dont je faisais désormais parti du coup. Perdu dans la masse. Et pourquoi cette pensée m’atteignait d’un coup ? J’avais eu pas mal d’aventures moi même… Bref, reprends toi Denys. J’écoutais la suite, la dizaine d’ex qu’elle n’énuméra pas, restant évasive, aucune histoire ne l’ayant apparemment vraiment marquée. Mais vu le ton sur lequel elle s’exprimait, ça n’avait pas l’air d’être une souffrance du tout pour la jeune femme. Je souris en ralentissant, tournant pour garer ma voiture sur un parking, devant un entrepôt : le garage. « On est arrivé, prêt à jouer les assistantes mécano… » Je sortis du véhicule et commençai à m’avancer vers l’entrée. Installé au bureau, le boss ronchonna que j’étais en retard, ne remarquant d’abord pas mon amie, avant de la voir et de demander sur un ton mal aimable de qui il s’agissait : « Ha… C’est… ma cousine. Elle vient de loin alors je pouvais pas la laisser seule et puis comme je suis encore blessé. » Je tendis mon index pour montrer ma microscopique coupure qui datait de quelques jours plus tôt. « Bah je me suis dit qu’elle allait m’aider. » Regard septique du boss. Ronchonnement que je choisis d’interpréter comme un oui et hop, j’entraînais miss Strauss par la main direction les vestiaires. « Tu vas vraiment m’aider ? Je te prête un bleu de travail pour pas te salir ? »

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La discussion se fait à nouveau super facilement entre vous deux. A nouveau vous discutez de tout et de rien, comme vous l'avez toujours fait. Comme deux meilleurs amis, comme si vous n'aviez jamais couché ensemble. Non tu n'allais pas oublier ni faire comme si rien ne c'était passé, la preuve vous vous taquiniez mutuellement sur le sujet, preuve que ça faisait désormais partie de votre relation et que y avait pas de raisons d'agir comme si rien n'avait eut lieu. Tu le questionnes sur ses frères et ce que tu retiens c'est qu'il envisage de rendre visite à Priape cet été. Tu iras pas au spring break ? S'il te dit que non, ton sourire va totalement s'effacer. Les inscriptions n'ont pas encore lieu étant assez lointaine mais tu envisages d'y aller. Ca sera ton premier et tu aimerais que Denys y soit aussi. T'as du mal à imaginer son absence durant tout l'été. Ouais non, t'as pas envie d'imaginer ça du tout. La conversation continue et bifurque sur vos exs. Il te raconte pour lui, puis tu en viens à raconter pour toi, bien qu'il y a pas grand chose à raconter à ton sujet. L'amour n'a jamais frappé à ta porte mais ça t'a jamais dérangé. T'es jeune, t'as que vingt deux ans, tu as le temps de te poser. Puis vous arrivez à son garage. Tu souris en voyant la devanture. Excitée de découvrir ses collègues et son lieu de travail, tu le suis, restant un peu à l'écart, derrière lui. Face à son patron, au visage clairement peu content du retard de ton meilleur ami et de ta présence, t'as envie de rire. Le type a soit mal baiser, soit il a besoin de péter un coup. Et quand Den' annonce être ta cousine, t'as envie de rire encore plus. Tu tentes de faire un sourire à son bosse, pour le détendre, mais ton sourire colgate ne fonctionne pas vraiment. Pour une fois. Son excuse passe finalement, après quelques ronchonnements de son supérieur, mais au moins tu peux rester. Tu suis à nouveau le mather et quand il attrape ta main, si ce contact quelques minutes plus tôt n'a rien déclenché quand tu as toi même montré une marque d'affection à son égard, là tu sens un léger électrochoc. Tu sens comme un mini éclair parcourir de ta main, jusqu'à ton bras pour remonter et finir à ta poitrine. C'est ton ami qui te sort de cette perturbation. Tu secoues donc la tête, le regarde un instant avant de lui répondre enfin. Euh, oui oui, bien sûr. T'as un bleu de travail sexy au moins ? Histoire que je ramène des clients, ton bosse sera bien plus content comme ça du coup et il remerciera probablement Denys. T'as pas THE tenue sur toi, si tu te salis tu n'en feras pas mort d'hommes, mais autant éviter et te fondre dans la masse avec le bleu. Puis tu reportes ton regard sur le jeune homme, repensant légèrement à ce contact de vos mains et ce que tu as ressenti...

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Quand on parla de ma voiture, bien de famille, forcément, c’est avec un brin de nostalgie que j’évoquais mes deux frères. Ils me manquaient mais on n’avait pas vraiment le temps et la logistique pour se voir. Alors je confiais à mon amie mon intention d’aller voir Pri en Australie cet été. La réaction de miss Strauss fut immédiate : elle pensait aussitôt au voyage estival qu’organisait la fac. « Bah si cette année, ça pouvait être l’Australie la destination, ça m’irait bien. Ca ferait une pierre deux coups. » commentai-je en souriant avant de revenir sur terre : « Mais ça m’étonnerait. Ca fait loin donc je ne me fais pas d’illusions… » J’avais envie e voir Priape, mais pas envie de rater le SC. « Ca m’embêterait de ne pas y participer. L’an dernier j’étais chef d’équipe, je voulais remettre ça cette année. » racontai-je, grand sourire aux lèvres en repensant aux croustibats, nos délires, nos fiestas. On avait peut être pas gagné la chasse au trésor mais on s’était tellement marré. « On verra, on y est pas encore de toute façon. Tu y participeras toi ? » Parce que oui, d’un coup, l’idée de passer deux mois sans se voir m’effleurait l’esprit, et je n’en avais clairement pas envie. Y’avait qu’à voir comment ces dernières semaines à s’éviter m’avaient perturbé, combien elle m’avait manqué. On parla de nos ex, nos anciennes histoires et puis le garage se dessina devant nous. Quelques instants plus tard, j’en menais pas large devant mon patron, plus bougon que jamais. Ne nous éternisons pas là. Je baragouinais mes excuses et sans attendre, saisis la main de mon amie pour l’entrainer direction les vestiaires. Je lui proposais un bleu de travail et la jeune femme sembla un instant songeuse suite à ma question, une lueur étrange dans les yeux. « Tu te défiles c’est ça ? » rigolai-je, sans comprendre la source du malaise. Mais elle retrouva vite son attitude habituelle lorsqu’elle exigea avec humour un bleu sexy. « Bah, c’est taille unique alors pour le côté séduisant de la tenue, on repassera. » commentai-je en attrapant deux tenues de boulot sur l’un des portants et en lui en tendant une. « Mais tu serais canon même dans un sac à patate… » ajoutai-je, sincère, encore plus maintenant que je savais le corps parfait qu’elle cachait sous ses vêtements. «Joue pas trop les aimants à clients, sinon on va finir à pas d’heure. » Puis j’avais encore le programme chichon-bière-télé avec la belle, alors si on pouvait ne pas finir trop tard, ça nous permettrait de réaliser un bout de ce plan. Ma tenue en main, je bug un instant devant mon casier, regardant la porte en métal, puis jetant un coup d’œil à mon amie, avant de me dire que de toute façon, on venait de se voir bien plus dénudés que ça tout à l’heure alors jouer les pudiques n’était peut être pas nécessaire. Je défis mon pantalon, le rangeai en boule dans mon casier, avant d’enfiler le vêtement bleu, tenue caractéristique des mécanos. Puis je me tournai vers Ash pour lui demander : « Prête ? »

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